Tribunal federal
8C 18/2007
{T 0/2}
Urteil vom 1. Februar 2008
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Ursprung, Präsident,
Bundesrichterin Widmer, Bundesrichter Frésard,
Gerichtsschreiber Jancar.
Parteien
K.________, Beschwerdeführer, vertreten durch Rechtsanwalt Dr. Roland Ilg, Rämistrasse 5, 8001 Zürich,
gegen
IV-Stelle Luzern, Landenbergstrasse 35, 6005 Luzern,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Invalidenversicherung,
Beschwerde gegen den Entscheid des Verwaltungsgerichts des Kantons Luzern vom 16. Januar 2007.
Sachverhalt:
A.
Der 1952 geborene K.________, seit 8. Oktober 2003 Schweizer Bürger, war vom 20. Januar 1997 bis 31. Oktober 2004 bei der Firma L.________ als Operator im Bereich Verpackung angestellt. Am 3. Juli 2004 meldete er sich bei der Invalidenversicherung zum Leistungsbezug an. Der Hausarzt Dr. med. V.________, Allgemeine Medizin FMH/Manuelle Medizin (SAMM), stellte im Bericht vom 4. August 2004 folgende Diagnosen: Lumbovertebralsyndrom und Status nach lumboradikulärem Reizsyndrom L5/S1 links bei Diskushernie dort; reaktive Depression. Die Erkrankung bestehe seit Oktober 2003. Zur Abklärung der Verhältnisse holte die IV-Stelle diverse Arztberichte, einen Bericht der BEFAS, Berufliche Abklärungsstelle Stiftung Brändi, Horw, vom 12. Januar 2005 sowie ein Gutachten der MEDAS Zentralschweiz, Medizinische Abklärungsstelle, Luzern, vom 30. August 2005 ein. Mit Verfügung vom 9. November 2005 verneinte die IV-Stelle den Anspruch auf eine Invalidenrente (Invaliditätsgrad 37 %) sowie auf berufliche und medizinische Eingliederungsmassnahmen. Die dagegen erhobene Einsprache wies sie mit Entscheid vom 19. Juli 2006 teilweise gut und bejahte den Anspruch auf Arbeitsvermittlung.
B.
Die hiegegen eingereichte Beschwerde sowie die Begehren um Gewährung der unentgeltlichen Rechtspflege für das Einsprache- und das kantonale Verfahren wies das Verwaltungsgericht des Kantons Luzern mit Entscheid vom 16. Januar 2007 ab.
C.
Mit Beschwerde beantragt der Versicherte, in Aufhebung des kantonalen Entscheides sei ihm eine ganze Rente zuzusprechen; eventuell sei das Verfahren zur ergänzenden medizinischen MEDAS- und beruflichen BEFAS-Abklärung inkl. psychiatrischer Begutachtung zurückzuweisen; es sei ihm die unentgeltliche Prozessführung zu bewilligen. Er reicht neu Zeugnisse des Dr. med. V.________ vom 23. November 2004, 12. November und 15. Dezember 2005 sowie einen Bericht desselben vom 8. Februar 2007 ein.
Am 2. Mai 2007 legte der Versicherte Berichte der Dres. med. A.________, Leitender Arzt Neurochirurgie, und Feuerstein, Oberarzt Neurochirurgie, Spital X.________, vom 27. März 2007 sowie des Dr. med. S.________, FMH Kardiologie, Leitender Arzt Kardiologie, Spital Y.________, vom 15. und 16. März 2007 auf.
Die IV-Stelle schliesst auf Beschwerdeabweisung. Das Bundesamt für Sozialversicherungen verzichtet auf eine Vernehmlassung.
Am 24. Januar 2008 (Postaufgabe) reichte der Versicherte einen Bericht des Dr. med. G.________, Oberarzt, Leiter Neurootologie, Spital X.________, vom 28. November 2007 ein.
Erwägungen:
1.
Der Versicherte beantragt in materieller Hinsicht die Zusprechung einer ganzen Invalidenrente. Eventuell verlangt er die Rückweisung der Sache zur ergänzenden medizinischen und beruflichen Abklärung.
1.1 Nach Art. 28 Abs. 1
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
|
1 | L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
a | sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles; |
b | il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable; |
c | au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins. |
1bis | Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205 |
2 | ...206 |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
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1 | L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
a | sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles; |
b | il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable; |
c | au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins. |
1bis | Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205 |
2 | ...206 |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
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1 | L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
a | sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles; |
b | il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable; |
c | au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins. |
1bis | Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205 |
2 | ...206 |
1.2
1.2.1 Bei den vorinstanzlichen Feststellungen zum Gesundheitszustand und zur Arbeits(un)fähigkeit (Art. 6
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 6 Incapacité de travail - Est réputée incapacité de travail toute perte, totale ou partielle, de l'aptitude de l'assuré à accomplir dans sa profession ou son domaine d'activité le travail qui peut raisonnablement être exigé de lui, si cette perte résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique.9 En cas d'incapacité de travail de longue durée, l'activité qui peut être exigée de lui peut aussi relever d'une autre profession ou d'un autre domaine d'activité. |
Dezember 2007, E. 2.2 mit Hinweis).
1.2.2 Rechtsfragen sind die gesetzlichen und rechtsprechungsgemässen Regeln über die Durchführung des Einkommensvergleichs (Art. 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré. |
-missbrauch oder -unterschreitung vorliegt (BGE 132 V 393 E. 3.3. S. 399; Urteil 8C 223/2007 vom 2. November 2007, E. 3).
1.2.3 Die konkrete Beweiswürdigung stellt eine Tatfrage dar. Dagegen ist die Beachtung des Untersuchungsgrundsatzes und der Beweiswürdigungsregeln nach Art. 61 lit. c
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
|
a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
2.
2.1 Im Bericht zu Handen der MEDAS vom 24. Juni 2005 führte der Psychiater Dr. med. F.________ aus, die anhaltende somatoforme Schmerzstörung (ICD-10: F45.4), deren diagnostische Kriterien knapp erfüllt seien, sei von keiner psychiatrischen Komorbidität begleitet. Von den vier Kriterien gemäss BGE 130 V 352 sei das dritte Kriterium (verfestigter, therapeutisch nicht mehr beeinflussbarer innerseelischer Verlauf einer an sich missglückten, psychisch aber entlastenden Konfliktbewältigung [primärer Krankheitsgewinn; "Flucht in die Krankheit"]) fraglich erfüllt; aufgrund der doch guten Ressourcen könnte allenfalls dieser innerseelische Konflikt therapeutisch angegangen werden. Bei der Frage, ob es dem Versicherten zumutbar sei, die nötige Willensanstrengung aufzubringen, um trotz der Schmerzen weiter arbeiten zu können, bediene er (Dr. med. B.________) sich des Kriterienkatalogs von Winckler und Foerster. Aus deren Sicht sei die zumutbare "Willensanspannung" umso eher zu verneinen, je mehr der acht von ihnen aufgestellten Kriterien erfüllt seien. Beim Versicherten seien höchstens drei Kriterien (hoher primärer und/oder sekundärer Krankheitsgewinn; primär chronifizierter Krankheitsverlauf ohne länger dauernde Remissionen;
unbefriedigende Behandlungsergebnisse trotz konsequent und lege artis durchgeführten Behandlungsmassnahmen, insbesondere gescheiterte stationäre Therapien) fraglich erfüllt. Abgestützt hierauf neige er (Dr. med. B.________) dazu, eine zumutbare Willensanstrengung beim Versicherten zu bejahen. Seine Restarbeitsfähigkeit betrage psychiatrischerseits 50 %.
2.2 Im Konsilium zu Handen der MEDAS vom 4. Juli 2005 ging Dr. med. J.________, Facharzt für physikalische Medizin und Rehabilitation FMH/speziell Rheumaerkrankungen, aus rheumatologischer Sicht von 70%iger Arbeitsfähigkeit für eine körperlich leichte, wechselbelastende Tätigkeit aus; eine Einschränkung bestehe bezüglich monotoner stereotyper Arbeitshaltungen, vermehrtem Bücken und Lastenheben über 10 kg.
2.3 Im MEDAS-Gutachten vom 30. August 2005 wurden folgende Diagnosen mit Einfluss auf die Arbeitsfähigkeit gestellt: chronisches zervikospondylogenes und lumbospondylogenes Syndrom links bei/mit Osteochondrosen C4/5, C5/6 und C6/7, Status nach konservativ behandelter Diskushernie C5/6 links 1994, Osteochondrose mit mediolateraler Diskushernie L5/S1 links (klinisch ohne Nervernwurzelkompressionssymptomatik); anhaltende somatoforme Schmerzstörung (ICD-10: F45.4). Die zuletzt ausgeübte, wahrscheinlich körperlich schwere Arbeit als Produktionsmitarbeiter bei der Lego sei dem Versicherten nicht mehr zumutbar; limitierend seien die rheumatologischen mehr als die psychopathologischen Befunde. Für eine körperlich leichte Tätigkeit in Wechselposition ohne monotone stereotype Arbeitshaltung und ohne vermehrtes Bücken und unter Berücksichtigung einer Traglimite von 10 kg schätzten sie die Arbeitsfähigkeit auf 50 %; limitierend seien die psychopathologischen mehr als die rheumatologischen Befunde.
3.
Der Versicherte bringt letztinstanzlich unter Berufung auf diverse Arztberichte vor, er sei aus rheumatologischen und psychischen Gründen zu 100 % arbeitsunfähig. Gemäss dem MEDAS-Gutachten sei er zu 50 % arbeitsfähig, weshalb es absolut nicht nachvollziehbar sei, von 70%iger Arbeitsfähigkeit auszugehen. Auf Grund des chronifizierten Verlaufs müsse angenommen werden, dass er sich nie mehr in den Arbeitsprozess werde eingliedern lassen. Der errechnete Invaliditätsgrad von 37 % sei absolut falsch.
3.1 Die IV-Stelle macht geltend, in der vorinstanzlichen Beschwerde habe der Versicherte den von ihr ermittelten Invaliditätsgrad von 37 % und mithin auch die festgestellte Arbeitsfähigkeit in angepasster Tätigkeit von 70 % in keiner Weise gerügt. Er habe zwar pauschal eine ganze Rente beantragt, habe aber vorinstanzlich nicht ausgeführt, was an der Bemessung des Invaliditätsgrades falsch gewesen sein soll. Deshalb erstaune es, dass er nun letztinstanzlich diese Punkte bestreite. Damit bringe er gegenüber dem vorinstanzlichen Verfahren eindeutig neue Tatsachen vor. Dies sei gemäss Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
|
1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
3.2 Neue Tatsachen und Beweismittel dürfen nur soweit vorgebracht werden, als der Entscheid der Vorinstanz dazu Anlass gibt, was in der Beschwerde näher darzulegen ist (Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
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1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
Tatsachen oder Beweismittel unterbreiten, die vorzutragen oder einzureichen sie im vorinstanzlichen Verfahren einerseits prozessual Gelegenheit und anderseits nach Treu und Glauben Anlass gehabt hat (Niggli/Uebersax/Wiprächtiger, Basler Kommentar, Bundesgerichtsgesetz, Basel 2008, Art. 99 N 20, 22 und 40; Seiler/von Werdt/Güngerich, Bundesgerichtsgesetz [BGG], Bern 2007, Art. 99 N 3).
3.3 Im vorinstanzlichen Verfahren hat der Versicherte die von der IV-Stelle aus rheumatologischer Sicht festgestellte Arbeitsfähigkeit von 70 % in angepasster Tätigkeit nicht beanstandet. Hiebei handelt es sich um eine Tatfrage (E. 1.2.1 hievor). Nicht gerügt hat er vorinstanzlich auch den Standpunkt der IV-Stelle, in psychischer Hinsicht sei er zu 100 % arbeitsfähig, weil bezüglich der festgestellten somatoformen Schmerzstörung keine schwerwiegende psychische Komorbidität bestehe sowie die Kriterien für die Annahme der Unzumutbarkeit einer willentlichen Schmerzüberwindung und eines vollen Wiedereinstiegs in den Arbeitsprozess nicht erfüllt seien. Vielmehr stellte sich der Versicherte vorinstanzlich selber auf diesen Standpunkt, indem er ausführte, mittels einer Umschulung könne sein Abgleiten in die Erfüllung dieser Kriterien verhindert werden. Allein aus dem Umstand, dass er vorinstanzlich eine ganze Rente beantragt hat, kann nicht auf eine rechtsgenügliche Bestreitung der von der IV-Stelle festgestellten Arbeits(un)fähigkeit geschlossen werden, wenn in der Beschwerdebegründung entsprechende Ausführungen fehlten.
Zwar ist es grundsätzlich eine frei überprüfbare Rechtsfrage, ob im Rahmen der somatoformen Schmerzstörung die massgebenden Kriterien gesamthaft den Schluss auf eine nicht mit zumutbarer Willensanstrengung überwindbare Störung gestatten (E. 1.2.1 hievor). Indessen ist nicht einzusehen, weshalb der Beschwerdeführer entsprechende rechtserhebliche Einwände nicht bereits vorinstanzlich vorgebracht hat. Unter den gegebenen Umständen widerspricht es Treu und Glauben, wenn er erst letztinstanzlich geltend macht, aus psychischer Sicht sei er arbeitsunfähig (Botschaft zur Totalrevision der Bundesrechtspflege, BBI 2001 S. 4344 f.; urteile 4A 188/2007 vom 13. September 2007, E. 4.3.5, und 4A 223/2007 vom 30. August 2007, E.7; vgl. auch BGE 120 Ia 24 ff.). Es kann auch nicht gesagt werden, dass der vorinstanzliche Entscheid dem Beschwerdeführer dazu Anlass gegeben hat, die Frage der Arbeits(un)fähigkeit letztinstanzlich neu aufzuwerfen, zumal die diesbezügliche vorinstanzliche Begründung mit derjenigen der IV-Stelle im streitigen Einspracheentscheid übereinstimmt.
Nach dem Gesagten handelt es sich bei den letztinstanzlichen Einwänden des Beschwerdeführers, er sei aus rheumatologischen und psychischen Gründen vollständig arbeitsunfähig, um unzulässige neue Vorbringen (Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
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1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
4.
Die IV-Stelle hat einen Einkommensvergleich vorgenommen der gerundet zu einem Invaliditätsgrad von 37 % geführt hat (vgl. E. 1.2.2 hievor). Die Vorinstanz hat diesen Wert bestätigt, was nicht zu beanstanden ist.
Der Versicherte wendet ein, falls ihm tatsächlich eine 70%ige Erwerbsfähigkeit unterstellt werde, sei darauf hingewiesen, dass eine einfachste Tätigkeit schlechter bezahlt werde als eine einfache oder gar eine anspruchsvolle. Er könne auf Grund seines schlechten Gesundheitszustandes nur einfachste Arbeiten erledigen und nicht regelmässig arbeiten. Somit werde er nur im Stundenlohn bezahlt werden, der im Vergleich zu Löhnen von Personen mit im voraus festgesetzter Arbeitszeit in der Regel tiefer liege. Aufgrund seiner Leiden werde er zu schlechten Anfangsbedingungen eine Tätigkeit aufnehmen und ein allfälliger Arbeitgeber werde ihn lange einarbeiten müssen, was sich ebenfalls nachteilig auf die Lohnhöhe auswirken werde. Es sei der maximale Tabellenlohnabzug von 25 % zu gewähren, da er während jeder künftigen Tätigkeit aufgrund seiner Beschwerden nach kürzester Zeit immer wieder längere Ruhepausen werde einlegen müssen.
Diese Einwände des Versicherten sind nicht stichhaltig. Verwaltung und Vorinstanz haben als Ausgangspunkt für die Berechnung des Invalideneinkommens zu Recht auf den statistischen Durchschnittswert gemäss der LSE-Tabelle TA1 und hiebei auf den monatlichen Bruttolohn für mit einfachen und repetitiven Tätigkeiten (Anforderungsniveau 4) im privaten Sektor beschäftigte Männer abgestellt (vgl. BGE 126 V 75 E. 3b/bb S. 76 f. und E. 7a S. 81). Es bestehen vorliegend keine Gründe, von dieser Praxis abzuweichen. Weiter erscheint der vorgenommene leidensbedingte Abzug von gesamthaft 10 % nicht als rechtsfehlerhafte Ermessensausübung (E. 1.2.2 hievor), zumal im Rahmen der vorliegend einzig aus rheumatologischer Sicht relevanten Restarbeitsfähigkeit von 70 % (E. 2.2 hievor) keine erhöhte Pausenbedürftigkeit festgestellt wurde.
5.
Der Versicherte verlangt die Gewährung der unentgeltlichen Prozessführung für das Einspracheverfahren.
5.1 Wo die Verhältnisse es erfordern, wird der gesuchstellenden Partei ein unentgeltlicher Rechtsbeistand bewilligt (Art. 37 Abs. 4
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 37 Représentation et assistance - 1 Une partie peut, en tout temps, se faire représenter, à moins qu'elle ne doive agir personnellement, ou se faire assister, pour autant que l'urgence d'une enquête ne l'exclue pas. |
|
1 | Une partie peut, en tout temps, se faire représenter, à moins qu'elle ne doive agir personnellement, ou se faire assister, pour autant que l'urgence d'une enquête ne l'exclue pas. |
2 | L'assureur peut exiger du mandataire qu'il justifie ses pouvoirs par une procuration écrite. |
3 | Tant que la partie ne révoque pas la procuration, l'assureur adresse ses communications au mandataire. |
4 | Lorsque les circonstances l'exigent, l'assistance gratuite d'un conseil juridique est accordée au demandeur. |
Schwierigkeiten hinzukommen, denen der Gesuchsteller auf sich alleine gestellt nicht gewachsen ist (BGE 130 I 180 E. 2.2 S. 182 mit Hinweisen), und wenn auch eine Verbeiständung durch Verbandsvertreter, Fürsorger oder andere Fach- und Vertrauensleute sozialer Institutionen nicht in Betracht fällt (BGE 125 V 32 E. 2 S. 34, 114 V 228 E. 5b S. 236; AHI 2000 S. 162 E. 2a und b). Die sachliche Notwendigkeit wird nicht allein dadurch ausgeschlossen, dass das in Frage stehende Verfahren von der Offizialmaxime oder dem Untersuchungsgrundsatz beherrscht wird, die Behörde also gehalten ist, an der Ermittlung des rechtserheblichen Sachverhaltes mitzuwirken (BGE 130 I 180 E. 3.2 und E. 3.3 S. 183 f. mit Hinweisen). Die Offizialmaxime rechtfertigt es jedoch, an die Voraussetzungen, unter denen eine anwaltliche Verbeiständung sachlich geboten ist, einen strengen Massstab anzulegen (BGE 125 V 32 E. 4b S. 35 f.; Anwaltsrevue 2005/3 S. 123; Urteil I 692/05 vom 10. März 2006, E. 7.1).
5.2 Die Vorinstanz hat erwogen, Gesuche um unentgeltliche Prozessführung für das Einspracheverfahren würden restriktiv gutgeheissen. Eine Verbeiständung sei unter anderem bloss angebracht, wenn ein Beizug von Verbandsvertretern, Fürsorgern oder anderen Fach- und Vertrauensleuten nicht in Betracht falle. Diese Voraussetzung sei vorliegend nicht erfüllt.
Es sind keine Gründe ersichtlich, von dieser vorinstanzlichen Auffassung abzuweichen. Der Versicherte bringt keine stichhaltigen Einwände vor. Unbehelflich ist sein pauschales Vorbringen, es sei nicht nachvollziehbar, dass jeder einfache Sozialarbeiter zur Durchsetzung des Anspruchs im Stande wäre, auch wenn ein Rechtsanwalt sich gezwungen sehe, in vergleichbaren Fällen immer wieder das Gleiche vorzutragen. Irrelevant ist auch seine Argumentation, die Bewilligung des unentgeltlichen Rechtsbeistandes für das IV-Verfahren habe auch nach der Umstellung des invalidenversicherungsrechtlichen Verfahrens auf das sogenannte Vorbescheidverfahren zu erfolgen, da Art. 37 Abs. 4
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 37 Représentation et assistance - 1 Une partie peut, en tout temps, se faire représenter, à moins qu'elle ne doive agir personnellement, ou se faire assister, pour autant que l'urgence d'une enquête ne l'exclue pas. |
|
1 | Une partie peut, en tout temps, se faire représenter, à moins qu'elle ne doive agir personnellement, ou se faire assister, pour autant que l'urgence d'une enquête ne l'exclue pas. |
2 | L'assureur peut exiger du mandataire qu'il justifie ses pouvoirs par une procuration écrite. |
3 | Tant que la partie ne révoque pas la procuration, l'assureur adresse ses communications au mandataire. |
4 | Lorsque les circonstances l'exigent, l'assistance gratuite d'un conseil juridique est accordée au demandeur. |
6.
Der Beschwerdeführer macht geltend, die Vorinstanz habe die unentgeltliche Rechtspflege für das kantonale Verfahren zu Unrecht wegen Aussichtslosigkeit der Beschwerde abgewiesen.
Als aussichtslos sind nach der bundesgerichtlichen Rechtsprechung Prozessbegehren anzusehen, bei denen die Gewinnaussichten beträchtlich geringer sind als die Verlustgefahren und die deshalb kaum als ernsthaft bezeichnet werden können. Dagegen gilt ein Begehren nicht als aussichtslos, wenn sich Gewinnaussichten und Verlustgefahren ungefähr die Waage halten oder jene nur wenig geringer sind als diese. Massgebend ist, ob eine Partei, die über die nötigen finanziellen Mittel verfügt, sich bei vernünftiger Überlegung zu einem Prozess entschliessen würde; eine Partei soll einen Prozess, den sie auf eigene Rechnung und Gefahr nicht führen würde, nicht deshalb anstrengen können, weil er sie nichts kostet (BGE 129 I 129 E. 2.3.1 S. 135 mit Hinweisen).
Die vorinstanzlichen Argumente des Beschwerdeführers waren in keiner Weise geeignet, die Verneinung des - letztinstanzlich einzig noch streitigen - Rentenanspruchs durch die IV-Stelle in Frage zu stellen. Die Verweigerung der unentgeltlichen Rechtspflege für das kantonale Verfahren wegen Aussichtslosigkeit der Beschwerde ist daher nicht rechtswidrig.
7.
Bei diesem Verfahrensausgang sind die Gerichtskosten dem Versicherten aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
|
1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
2.
Das Gesuch um Gewährung der unentgeltlichen Rechtspflege wird abgewiesen.
3.
Die Gerichtskosten von Fr. 500.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
4.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Verwaltungsgericht des Kantons Luzern, Sozialversicherungsrechtliche Abteilung, der Ausgleichskasse EXFOUR und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 1. Februar 2008
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Der Gerichtsschreiber:
Ursprung Jancar