Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

2C 502/2021

Sentenza del 31 agosto 2022

II Corte di diritto pubblico

Composizione
Giudici federali Aubry Girardin, Presidente,
Hänni, Hartmann,
Cancelliere Savoldelli.

Partecipanti al procedimento
A.________,
patrocinato dall'avv. Francesco Barletta e dalla MLaw Sofia Scalabrini,
ricorrente,

contro

Amministrazione federale delle contribuzioni (AFC), Divisione principale imposta federale diretta, imposta preventiva, tasse di bollo,
Eigerstrasse 65, 3003 Berna.
opponente.

Oggetto
imposta preventiva,

ricorso contro la sentenza emanata il 12 maggio 2021 dal Tribunale amministrativo federale, Corte I (A-6685/2017).

Fatti:

A.
La società anonima B.________ SA è stata costituita il... 2003 e radiata d'ufficio dal registro di commercio il... 2008.
Dalla sua costituzione e fino al 30 giugno 2006, essa ha gestito il postribolo denominato C.________ situato a X.________ in un immobile di proprietà di A.________. In quel periodo, amministratore unico della società era D.________.

B.
In base ai risultati di un'inchiesta della sua Divisione affari penali e inchieste (DAPI), con decisione del 29 aprile 2014, l'AFC ha ritenuto che la citata società aveva omesso di incassare e contabilizzare i ricavi che le spettavano per la gestione della C.________ durante il periodo dal 1° gennaio 2006 al 30 giugno 2006, rinunciando agli stessi a favore dei suoi due amministratori di fatto, nonché unici azionisti, ovvero A.________, in ragione del 78 %, e E.________, in ragione del 22 %. Constatata l'esistenza di una distribuzione dissimulata di utili, qualificabili di prestazioni valutabili in denaro soggette all'imposta preventiva ai sensi dell'art. 4 cpv. 1 lett. b
SR 642.21 Loi fédérale du 13 octobre 1965 sur l'impôt anticipé (LIA)
LIA Art. 4 - 1 L'impôt anticipé sur les revenus de capitaux mobiliers a pour objet les intérêts, rentes, participations aux bénéfices et tous autres rendements:
1    L'impôt anticipé sur les revenus de capitaux mobiliers a pour objet les intérêts, rentes, participations aux bénéfices et tous autres rendements:
a  des obligations émises par une personne domiciliée en Suisse, des cédules hypothécaires et lettres de rentes émises en série, ainsi que des avoirs figurant au livre de la dette;
b  des actions, parts sociales de sociétés à responsabilité limitée et de sociétés coopératives, bons de participation sociale des banques coopératives, bons de participation ou bons de jouissance, émis par une personne domiciliée en Suisse;
c  des parts d'un placement collectif de capitaux au sens de la loi du 23 juin 2006 sur les placements collectifs (LPCC)12 émises par une personne domiciliée en Suisse ou par une personne domiciliée à l'étranger conjointement avec une personne domiciliée en Suisse;
d  des avoirs de clients auprès de banques et de caisses d'épargne suisses.
2    Le transfert du siège d'une société anonyme, d'une société à responsabilité limitée ou d'une société coopérative à l'étranger est assimilé à une liquidation du point de vue fiscal; la présente disposition est applicable par analogie aux placements collectifs au sens de la LPCC.13
della legge federale del 13 ottobre 1965 sull'imposta preventiva (LIP; RS 642.21) in combinato disposto con l'art. 20 cpv. 1
SR 642.211 Ordonnance du 19 décembre 1966 sur l'impôt anticipé (OIA)
OIA Art. 20 - 1 Est un rendement imposable d'actions, parts de sociétés à responsabilité limitée et sociétés coopératives, toute prestation appréciable en argent faite par la société aux possesseurs de droits de participation, ou
1    Est un rendement imposable d'actions, parts de sociétés à responsabilité limitée et sociétés coopératives, toute prestation appréciable en argent faite par la société aux possesseurs de droits de participation, ou
2    Est un rendement imposable de bons de participation, de bons de jouissance et de bons de participation sociale toute prestation appréciable en argent servie aux détenteurs de bons de participation, de bons de jouissance et de bons de participation sociale de banques coopératives; le remboursement de la valeur nominale de bons de participation ou de bons de participation sociale émis gratuitement ne constitue pas un élément du rendement imposable, pour autant que la société ou la banque coopérative prouve qu'elle a payé l'impôt anticipé sur la valeur nominale lors de l'émission des titres.25
3    ...26
dell'ordinanza del 19 dicembre 1966 sull'imposta preventiva (OIPrev, RS 642.211), ha quindi ritenuto giustificata una ripresa fiscale e dichiarato A.________ debitore dell'imposta preventiva dovuta dalla società per fr. 119'541.25, oltre accessori. Nel contempo, ha riconosciuto la sua responsabilità solidale anche per fr. 33'716.75, oltre accessori, dovuti da E.________.
Nel seguito, la citata decisione dell'AFC è stata confermata sia su reclamo (16 ottobre 2017) che su ricorso, con sentenza del Tribunale amministrativo federale del 12 maggio 2021.

C.
Il 23 giugno 2021, A.________ ha impugnato quest'ultima pronuncia con ricorso in materia di diritto pubblico al Tribunale federale, chiedendo: in via principale e in riforma del querelato giudizio, che la decisione su reclamo del 16 ottobre 2017 sia annullata, che gli sia riconosciuto un importo di fr. 5'000.-- a titolo di ripetibili e che tasse e spese siano poste a carico dello Stato; in via subordinata, che il dispositivo n. 1 del querelato giudizio sia annullato e l'incarto rinviato all'istanza inferiore, affinché si pronunci nuovamente sulla causa nel senso dei considerandi. Domanda inoltre la concessione dell'effetto sospensivo al gravame e l'assistenza giudiziaria.
Con decreto presidenziale del 1° luglio 2021, l'effetto sospensivo richiesto è stato concesso. Con risposte del 2 rispettivamente del 6 settembre 2021, il Tribunale amministrativo federale ha rinunciato a presentare osservazioni confermandosi nel proprio giudizio, mentre l'AFC ha domandato che il ricorso sia respinto. Con lettera del 29 agosto 2022 il ricorrente ha chiesto l'acquisizione agli atti del decreto di non luogo a procedere emesso nei suoi confronti il 2 agosto 2022 dalla procura ticinese (inc. NLP...).

Diritto:

1.
Diretto contro una decisione finale del Tribunale amministrativo federale (art. 86 cpv. 1 lett. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 86 Autorités précédentes en général - 1 Le recours est recevable contre les décisions:
1    Le recours est recevable contre les décisions:
a  du Tribunal administratif fédéral;
b  du Tribunal pénal fédéral;
c  de l'Autorité indépendante d'examen des plaintes en matière de radio-télévision;
d  des autorités cantonales de dernière instance, pour autant que le recours devant le Tribunal administratif fédéral ne soit pas ouvert.
2    Les cantons instituent des tribunaux supérieurs qui statuent comme autorités précédant immédiatement le Tribunal fédéral, sauf dans les cas où une autre loi fédérale prévoit qu'une décision d'une autre autorité judiciaire peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
3    Pour les décisions revêtant un caractère politique prépondérant, les cantons peuvent instituer une autorité autre qu'un tribunal.
e 90
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure.
LTF), il ricorso concerne una causa di diritto pubblico (art. 82 lett. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 82 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours:
a  contre les décisions rendues dans des causes de droit public;
b  contre les actes normatifs cantonaux;
c  qui concernent le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et votations populaires.
LTF) che non ricade sotto nessuna delle eccezioni previste dall'art. 83
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 83 Exceptions - Le recours est irrecevable contre:
a  les décisions concernant la sûreté intérieure ou extérieure du pays, la neutralité, la protection diplomatique et les autres affaires relevant des relations extérieures, à moins que le droit international ne confère un droit à ce que la cause soit58 jugée par un tribunal;
b  les décisions relatives à la naturalisation ordinaire;
c  les décisions en matière de droit des étrangers qui concernent:
c1  l'entrée en Suisse,
c2  une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit,
c3  l'admission provisoire,
c4  l'expulsion fondée sur l'art. 121, al. 2, de la Constitution ou le renvoi,
c5  les dérogations aux conditions d'admission,
c6  la prolongation d'une autorisation frontalière, le déplacement de la résidence dans un autre canton, le changement d'emploi du titulaire d'une autorisation frontalière et la délivrance de documents de voyage aux étrangers sans pièces de légitimation;
d  les décisions en matière d'asile qui ont été rendues:
d1  par le Tribunal administratif fédéral, sauf celles qui concernent des personnes visées par une demande d'extradition déposée par l'État dont ces personnes cherchent à se protéger,
d2  par une autorité cantonale précédente et dont l'objet porte sur une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit;
e  les décisions relatives au refus d'autoriser la poursuite pénale de membres d'autorités ou du personnel de la Confédération;
f  les décisions en matière de marchés publics:
fbis  les décisions du Tribunal administratif fédéral concernant les décisions visées à l'art. 32i de la loi fédérale du 20 mars 2009 sur le transport de voyageurs65;
f1  si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe; sont réservés les recours concernant des marchés du Tribunal administratif fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal fédéral des brevets, du Ministère public de la Confédération et des autorités judiciaires supérieures des cantons, ou
f2  si la valeur estimée du marché à adjuger est inférieure à la valeur seuil déterminante visée à l'art. 52, al. 1, et fixée à l'annexe 4, ch. 2, de la loi fédérale du 21 juin 2019 sur les marchés publics63;
g  les décisions en matière de rapports de travail de droit public qui concernent une contestation non pécuniaire, sauf si elles touchent à la question de l'égalité des sexes;
h  les décisions en matière d'entraide administrative internationale, à l'exception de l'assistance administrative en matière fiscale;
i  les décisions en matière de service militaire, de service civil ou de service de protection civile;
j  les décisions en matière d'approvisionnement économique du pays qui sont prises en cas de pénurie grave;
k  les décisions en matière de subventions auxquelles la législation ne donne pas droit;
l  les décisions en matière de perception de droits de douane fondée sur le classement tarifaire ou le poids des marchandises;
m  les décisions sur l'octroi d'un sursis de paiement ou sur la remise de contributions; en dérogation à ce principe, le recours contre les décisions sur la remise de l'impôt fédéral direct ou de l'impôt cantonal ou communal sur le revenu et sur le bénéfice est recevable, lorsqu'une question juridique de principe se pose ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs;
n  les décisions en matière d'énergie nucléaire qui concernent:
n1  l'exigence d'un permis d'exécution ou la modification d'une autorisation ou d'une décision,
n2  l'approbation d'un plan de provision pour les coûts d'évacuation encourus avant la désaffection d'une installation nucléaire,
n3  les permis d'exécution;
o  les décisions en matière de circulation routière qui concernent la réception par type de véhicules;
p  les décisions du Tribunal administratif fédéral en matière de télécommunications, de radio et de télévision et en matière postale qui concernent:70
p1  une concession ayant fait l'objet d'un appel d'offres public,
p2  un litige découlant de l'art. 11a de la loi du 30 avril 1997 sur les télécommunications71;
p3  un litige au sens de l'art. 8 de la loi du 17 décembre 2010 sur la poste73;
q  les décisions en matière de médecine de transplantation qui concernent:
q1  l'inscription sur la liste d'attente,
q2  l'attribution d'organes;
r  les décisions en matière d'assurance-maladie qui ont été rendues par le Tribunal administratif fédéral sur la base de l'art. 3474 de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)75;
s  les décisions en matière d'agriculture qui concernent:
s1  ...
s2  la délimitation de zones dans le cadre du cadastre de production;
t  les décisions sur le résultat d'examens ou d'autres évaluations des capacités, notamment en matière de scolarité obligatoire, de formation ultérieure ou d'exercice d'une profession;
u  les décisions relatives aux offres publiques d'acquisition (art. 125 à 141 de la loi du 19 juin 2015 sur l'infrastructure des marchés financiers79);
v  les décisions du Tribunal administratif fédéral en cas de divergences d'opinion entre des autorités en matière d'entraide judiciaire ou d'assistance administrative au niveau national;
w  les décisions en matière de droit de l'électricité qui concernent l'approbation des plans des installations électriques à courant fort et à courant faible et l'expropriation de droits nécessaires à la construction ou à l'exploitation de telles installations, si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe.
x  les décisions en matière d'octroi de contributions de solidarité au sens de la loi fédérale du 30 septembre 2016 sur les mesures de coercition à des fins d'assistance et les placements extrafamiliaux antérieurs à 198183, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs;
y  les décisions prises par le Tribunal administratif fédéral dans des procédures amiables visant à éviter une imposition non conforme à une convention internationale applicable dans le domaine fiscal;
z  les décisions citées à l'art. 71c, al. 1, let. b, de la loi du 30 septembre 2016 sur l'énergie86 concernant les autorisations de construire et les autorisations relevant de la compétence des cantons destinées aux installations éoliennes d'intérêt national qui y sont nécessairement liées, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe.
LTF (sentenza 2C 741/2020 del 17 giugno 2021 consid. 1.1) ed è stato presentato nei termini (art. 100 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
1    Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
2    Le délai de recours est de dix jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale;
c  les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93.
d  les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95.
3    Le délai de recours est de cinq jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change;
b  les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales.
4    Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national.
5    En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
6    ...96
7    Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps.
LTF). Data è anche la legittimazione ad insorgere (art. 89 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 89 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire;
b  est particulièrement atteint par la décision ou l'acte normatif attaqué, et
c  a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification.
2    Ont aussi qualité pour recourir:
a  la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions;
b  l'organe compétent de l'Assemblée fédérale en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération;
c  les communes et les autres collectivités de droit public qui invoquent la violation de garanties qui leur sont reconnues par la constitution cantonale ou la Constitution fédérale;
d  les personnes, organisations et autorités auxquelles une autre loi fédérale accorde un droit de recours.
3    En matière de droits politiques (art. 82, let. c), quiconque a le droit de vote dans l'affaire en cause a qualité pour recourir.
LTF), di modo che il gravame è di principio ammissibile quale ricorso ordinario in materia di diritto pubblico (art. 82
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 82 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours:
a  contre les décisions rendues dans des causes de droit public;
b  contre les actes normatifs cantonaux;
c  qui concernent le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et votations populaires.
segg. LTF).

2.

2.1. Il Tribunale federale applica d'ufficio il diritto federale (art. 106 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
LTF). Nondimeno, tenuto conto dell'onere di allegazione e motivazione imposto dall'art. 42 cpv. 1 e
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
2 LTF, considera di regola solo gli argomenti proposti (DTF 142 III 364 consid. 2.4). Chi ricorre deve pertanto spiegare, in maniera concisa ma confrontandosi con i considerandi della sentenza impugnata, perché quest'ultima viola il diritto (DTF 143 II 283 consid. 1.2.2).
Le esigenze di motivazione sono inoltre più severe quando è lamentata la violazione di diritti fondamentali, poiché il Tribunale federale ne esamina il rispetto unicamente se l'insorgente ha sostanziato con precisione la sua censura (art. 106 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
LTF; DTF 143 II 283 consid. 1.2.2 e 142 III 364 consid. 2.4).

2.2. Per quanto concerne i fatti, il Tribunale federale fonda il suo ragionamento giuridico sull'accertamento che è stato svolto dall'autorità inferiore (art. 105 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
LTF). Può scostarsene quando è stato eseguito in violazione del diritto ai sensi dell'art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
LTF o in modo manifestamente inesatto, ovvero arbitrario, profilo sotto il quale viene esaminato anche l'apprezzamento delle prove (DTF 136 III 552 consid. 4.2). L'eliminazione del vizio deve inoltre poter influire in maniera determinante sull'esito della causa (art. 97 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
LTF). Nuovi fatti e nuove prove sono ammessi solo alle condizioni previste dall'art. 99
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
LTF; nova in senso proprio sono esclusi (DTF 139 III 120 consid. 3.1.2).
Quando rimprovera all'autorità inferiore un accertamento dei fatti manifestamente inesatto - cioè arbitrario (DTF 140 III 115 consid. 2) - l'insorgente deve motivare la censura con precisione (art. 106 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
LTF). In questo contesto, non basta opporre il proprio punto di vista alle conclusioni dell'istanza inferiore. Siccome, nel campo dell'accertamento dei fatti e dell'apprezzamento delle prove, il giudice del merito gode di un grande potere discrezionale (sentenza 2C 984/2019 del 3 marzo 2021 consid. 2.3), va in particolare dimostrato che la sentenza impugnata ignora il senso e la portata di un mezzo di prova, omette senza ragioni valide di tenere conto di una prova importante, suscettibile di modificare l'esito della lite, oppure ammette o nega un fatto, ponendosi in aperto contrasto con gli atti o interpretandoli in modo insostenibile (DTF 140 III 264 consid. 2.3).

2.3. Le censure formulate nel ricorso rispettano i requisiti di motivazione solo in parte. Per quanto li disattendano, il gravame non può essere quindi approfondito oltre.
Stessa cosa vale nella misura in cui le critiche presentate non sono rivolte contro la querelata sentenza, che è l'unico possibile soggetto di disputa, bensì direttamente contro le decisioni del fisco o contro altri atti, quali quelli della Divisione affari penali e inchieste dell'Amministrazione federale delle contribuzioni (DAPI), resi nell'ambito delle inchieste da essa svolte (DTF 134 II 142 consid. 1.4; sentenza 2C 984/2019 del 3 marzo 2021 consid. 2.4).

3.
Come indicato, chiamato ad esprimersi sulla fattispecie, il Tribunale amministrativo federale ha confermato integralmente la decisione su reclamo emessa il 16 ottobre 2017 dall'AFC.

3.1. Nella sua pronuncia, l'istanza inferiore ha dapprima respinto le critiche con cui veniva fatta valere la violazione del diritto di essere sentito, garantito dall'art. 29 cpv. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
1    Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
2    Les parties ont le droit d'être entendues.
3    Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert.
Cost. rispettivamente dall'art. 6 n
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
1    Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
2    Les parties ont le droit d'être entendues.
3    Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert.
. 1 CEDU e concretizzato a vario titolo nella legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA; RS 172.021; giudizio impugnato, consid. 3); sempre in via preliminare, ha nel contempo escluso l'eventuale prescrizione dei crediti d'imposta oggetto della procedura (giudizio impugnato, consid. 4).

3.2. Dopo avere descritto la fattispecie e definito i termini del litigio (giudizio impugnato, consid. 5), avere delineato il quadro legale di riferimento (giudizio impugnato, consid. 6) e avere rinviato in particolare agli esiti dell'istruttoria svolta nella procedura aperta dalla DAPI, nel merito il Tribunale amministrativo federale ha quindi osservato:
(a) che l'esistenza di prestazioni valutabili in denaro soggette ad imposta preventiva, nella forma di distribuzioni dissimulate di utile al ricorrente, ai sensi dell'art. 4 cpv. 1 lett. b LlP in relazione con l'art. 20 cpv. 1
SR 642.211 Ordonnance du 19 décembre 1966 sur l'impôt anticipé (OIA)
OIA Art. 20 - 1 Est un rendement imposable d'actions, parts de sociétés à responsabilité limitée et sociétés coopératives, toute prestation appréciable en argent faite par la société aux possesseurs de droits de participation, ou
1    Est un rendement imposable d'actions, parts de sociétés à responsabilité limitée et sociétés coopératives, toute prestation appréciable en argent faite par la société aux possesseurs de droits de participation, ou
2    Est un rendement imposable de bons de participation, de bons de jouissance et de bons de participation sociale toute prestation appréciable en argent servie aux détenteurs de bons de participation, de bons de jouissance et de bons de participation sociale de banques coopératives; le remboursement de la valeur nominale de bons de participation ou de bons de participation sociale émis gratuitement ne constitue pas un élément du rendement imposable, pour autant que la société ou la banque coopérative prouve qu'elle a payé l'impôt anticipé sur la valeur nominale lors de l'émission des titres.25
3    ...26
OIPrev, andava confermata (giudizio impugnato, consid. 7.1);
(b) che l'ammontare di queste prestazioni, al quale l'AFC era giunta procedendo lecitamente a una tassazione d'ufficio e che costituisce la base per il calcolo dell'imposta preventiva dovuta (35 %; art. 13 cpv. 1 lett. a
SR 642.21 Loi fédérale du 13 octobre 1965 sur l'impôt anticipé (LIA)
LIA Art. 13 - 1 L'impôt anticipé s'élève:
1    L'impôt anticipé s'élève:
a  pour les revenus de capitaux mobiliers, les gains provenant de jeux d'argent qui ne sont pas exonérés de l'impôt selon l'art. 24, let. i à iter, LIFD57 et les gains provenant de jeux d'adresse ou de loteries destinés à promouvoir les ventes qui ne sont pas exonérés de l'impôt selon l'art. 24, let. j, LIFD: à 35 % de la prestation imposable;
b  pour les rentes viagères et les pensions: à 15 % de la prestation imposable;
c  pour les autres prestations d'assurances: à 8 % de la prestation imposable.
2    Le Conseil fédéral peut, à la fin d'une année, réduire le taux de l'impôt fixé à l'al. 1, let. a à 30 %, lorsque la situation monétaire ou le marché des capitaux l'exige.58
LIP), doveva essere considerato plausibile e confermato a sua volta (giudizio impugnato, consid. 7.2 e 7.3);
(c) che pure da confermare era l'attribuzione di queste prestazioni al ricorrente, in ragione del 78 %, e a E.________, in ragione del 22% (giudizio impugnato, consid. 7.4);
(d) che le conclusioni appena menzionate resistevano a tutte le (ulteriori) critiche sollevate dall'insorgente (giudizio impugnato, consid. 8-12, con riferimento alle prove testimoniali, al rapporto A.________, al classificatore F.________, alla perizia G.________, ecc.) e che necessaria non era nemmeno l'assunzione di ulteriori prove (giudizio impugnato, consid. 10.7, con particolare riferimento alla richiesta di allestimento di una perizia fiscale di carattere indipendente);
(e) che, in virtù dell'art. 12 cpv. 2
SR 313.0 Loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif (DPA)
DPA Art. 12 - 1 Lorsque, à la suite d'une infraction à la législation administrative fédérale, c'est à tort:
1    Lorsque, à la suite d'une infraction à la législation administrative fédérale, c'est à tort:
a  qu'une contribution n'est pas perçue, est remboursée, réduite ou remise, ou
b  qu'une allocation ou un subside est versé ou qu'une créance n'est pas produite par la Confédération, par un canton, une commune, un établissement ou une corporation de droit public ou par une organisation à laquelle sont confiées des tâches de droit public,
2    Est assujetti à la prestation ou à la restitution celui qui a obtenu la jouissance de l'avantage illicite, en particulier celui qui est tenu au paiement de la contribution ou celui qui a reçu l'allocation ou le subside.
3    Celui qui, intentionnellement, a commis l'infraction ou y a participé répond solidairement, avec les personnes assujetties au paiement selon l'al. 2, du montant à percevoir ou à restituer.
4    Tant que l'action pénale et l'exécution de la peine ne sont pas prescrites, l'assujettissement à la prestation ou à la restitution ne se prescrit pas.
della legge federale del 22 marzo 1974 sul diritto penale amministrativo (DPA; RS 313.0), assoggettati al pagamento retroattivo dell'imposta erano - oltre alla società, oramai radiata d'ufficio dal registro di commercio - sia il ricorrente sia E.________, quali persone che avevano fruito dell'indebito profitto, cioè dei ricavi non contabilizzati dalla stessa (giudizio impugnato, consid. 13).

4.

4.1. Come osservato, il Tribunale amministrativo federale ha tra l'altro concluso che i crediti d'imposta vantati non sono ancora prescritti, ciò che in un capitolo dal titolo "quo alla prescrizione del credito fiscale" (ricorso, p.to 7.2) l'insorgente contesta.
Sostiene infatti che il termine di 7 anni applicato dall'istanza inferiore sia errato e che vada applicato il termine di 5 anni previsto dall'art. 17
SR 642.21 Loi fédérale du 13 octobre 1965 sur l'impôt anticipé (LIA)
LIA Art. 17 - 1 La créance fiscale se prescrit par cinq ans dès la fin de l'année civile au cours de laquelle elle a pris naissance (art. 12).
1    La créance fiscale se prescrit par cinq ans dès la fin de l'année civile au cours de laquelle elle a pris naissance (art. 12).
2    La prescription ne court pas, ou elle est suspendue, tant que la créance fiscale est l'objet d'une garantie, ou tant qu'aucune des personnes tenues au paiement n'est domiciliée en Suisse.
3    La prescription est interrompue chaque fois qu'une personne tenue au paiement reconnaît la créance fiscale et chaque fois qu'un acte officiel tendant à recouvrer la créance est porté à la connaissance d'une personne tenue au paiement. À chaque interruption, un nouveau délai de prescription commence à courir.
4    La suspension et l'interruption ont effet à l'égard de toutes les personnes tenues au paiement.
LIP. A torto, tuttavia.

4.2. In casi come quello che ci occupa, nel quale è in discussione una distribuzione dissimulata di utili nella forma di prestazioni valutabili in denaro, con omissione del pagamento dell'imposta preventiva dovuta, quindi la realizzazione delle condizioni oggettive di una sottrazione dell'imposta preventiva (art. 61 lett. a
SR 642.21 Loi fédérale du 13 octobre 1965 sur l'impôt anticipé (LIA)
LIA Art. 61 - Celui qui, intentionnellement ou par négligence, à son propre avantage ou à celui d'un tiers:
a  soustrait des montants d'impôt anticipé à la Confédération;
b  ne satisfait pas à l'obligation de déclarer une prestation imposable (art. 19 et 20) ou fait une fausse déclaration;
c  obtient un remboursement injustifié de l'impôt anticipé, ou quelque autre avantage fiscal illicite,
LIP), la questione della prescrizione del credito fiscale litigioso non va infatti analizzata riferendosi alla legge federale sull'imposta preventiva, che prevede un termine di prescrizione di 5 anni (art. 17 cpv. 1
SR 642.21 Loi fédérale du 13 octobre 1965 sur l'impôt anticipé (LIA)
LIA Art. 17 - 1 La créance fiscale se prescrit par cinq ans dès la fin de l'année civile au cours de laquelle elle a pris naissance (art. 12).
1    La créance fiscale se prescrit par cinq ans dès la fin de l'année civile au cours de laquelle elle a pris naissance (art. 12).
2    La prescription ne court pas, ou elle est suspendue, tant que la créance fiscale est l'objet d'une garantie, ou tant qu'aucune des personnes tenues au paiement n'est domiciliée en Suisse.
3    La prescription est interrompue chaque fois qu'une personne tenue au paiement reconnaît la créance fiscale et chaque fois qu'un acte officiel tendant à recouvrer la créance est porté à la connaissance d'une personne tenue au paiement. À chaque interruption, un nouveau délai de prescription commence à courir.
4    La suspension et l'interruption ont effet à l'égard de toutes les personnes tenues au paiement.
LIP), bensì alla legge federale sul diritto penale amministrativo (sentenze 2C 822/2021 del 26 gennaio 2022 consid. 5.1; 2C 867/2018 del 6 novembre 2019 consid. 4.1; 2C 382/2017 del 13 dicembre 2018 consid. 2.1).
Nel contempo, l'applicazione della legge federale sul diritto penale amministrativo e la giurisprudenza in materia porta effettivamente anche a confermare che l'obbligo di pagamento dei tributi in esame sottostà ad un termine di prescrizione di 7 anni e che, considerata la sua sospensione già a partire dalla pronuncia della decisione d'imposizione del 29 aprile 2014, esso non sia ancora trascorso (art. 11 e
SR 642.21 Loi fédérale du 13 octobre 1965 sur l'impôt anticipé (LIA)
LIA Art. 17 - 1 La créance fiscale se prescrit par cinq ans dès la fin de l'année civile au cours de laquelle elle a pris naissance (art. 12).
1    La créance fiscale se prescrit par cinq ans dès la fin de l'année civile au cours de laquelle elle a pris naissance (art. 12).
2    La prescription ne court pas, ou elle est suspendue, tant que la créance fiscale est l'objet d'une garantie, ou tant qu'aucune des personnes tenues au paiement n'est domiciliée en Suisse.
3    La prescription est interrompue chaque fois qu'une personne tenue au paiement reconnaît la créance fiscale et chaque fois qu'un acte officiel tendant à recouvrer la créance est porté à la connaissance d'une personne tenue au paiement. À chaque interruption, un nouveau délai de prescription commence à courir.
4    La suspension et l'interruption ont effet à l'égard de toutes les personnes tenues au paiement.
12 DPA in relazione con l'art. 333 cpv. 5 lett. b
SR 642.21 Loi fédérale du 13 octobre 1965 sur l'impôt anticipé (LIA)
LIA Art. 17 - 1 La créance fiscale se prescrit par cinq ans dès la fin de l'année civile au cours de laquelle elle a pris naissance (art. 12).
1    La créance fiscale se prescrit par cinq ans dès la fin de l'année civile au cours de laquelle elle a pris naissance (art. 12).
2    La prescription ne court pas, ou elle est suspendue, tant que la créance fiscale est l'objet d'une garantie, ou tant qu'aucune des personnes tenues au paiement n'est domiciliée en Suisse.
3    La prescription est interrompue chaque fois qu'une personne tenue au paiement reconnaît la créance fiscale et chaque fois qu'un acte officiel tendant à recouvrer la créance est porté à la connaissance d'une personne tenue au paiement. À chaque interruption, un nouveau délai de prescription commence à courir.
4    La suspension et l'interruption ont effet à l'égard de toutes les personnes tenues au paiement.
vCP [nella versione in vigore fino al 31 dicembre 2006, che corrisponde all'attuale art. 333 cpv. 6 lett. b
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 333 - 1 Les dispositions générales du présent code sont applicables aux infractions prévues par d'autres lois fédérales, à moins que celles-ci ne contiennent des dispositions sur la matière.
1    Les dispositions générales du présent code sont applicables aux infractions prévues par d'autres lois fédérales, à moins que celles-ci ne contiennent des dispositions sur la matière.
2    Dans les autres lois fédérales:
a  la réclusion est remplacée par une peine privative de liberté de plus d'un an;
b  l'emprisonnement est remplacé par une peine privative de liberté de trois ans au plus ou par une peine pécuniaire;
c  l'emprisonnement de moins de six mois est remplacé par la peine pécuniaire, un mois d'emprisonnement valant 30 jours-amende d'au maximum 3000 francs.
3    L'infraction passible de l'amende ou des arrêts, ou de l'amende exclusivement, est une contravention. Les art. 106 et 107 sont applicables. Est réservé l'art. 8 de la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif546. L'infraction passible, en vertu d'une autre loi fédérale entrée en vigueur avant 1942, d'une peine d'emprisonnement ne dépassant pas trois mois est également une contravention.
4    Sont réservées les durées des peines qui dérogent à l'al. 2, les montants des amendes qui dérogent à l'art. 106, ainsi que l'art. 41.
5    Si une autre loi fédérale prévoit l'amende pour un crime ou un délit, l'art. 34 est applicable. Les règles sur la fixation de l'amende qui dérogent à cet article ne sont pas applicables. Est réservé l'art. 8 de la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif. Si l'amende est limitée à un montant inférieur à 1 080 000 francs, cette limitation est supprimée; au-delà, elle est maintenue. En pareil cas, le nombre maximum de jours-amende équivaut au montant maximum de l'amende encourue jusqu'alors divisé par 3000.
6    ...547
6bis    Si une infraction est punie soit d'une peine privative de liberté soit d'une peine pécuniaire d'un nombre minimal de jours-amende, cette limite inférieure vaut aussi pour la durée minimale en jours de la peine privative de liberté.548
7    Les contraventions prévues par d'autres lois fédérales sont punissables même quand elles ont été commises par négligence, à moins qu'il ne ressorte de la disposition applicable que la contravention est réprimée seulement si elle a été commise intentionnellement.
CP, in vigore dal 1° gennaio 2007]; DTF 143 IV 228 consid. 4.2-4.4; sentenza 2C 822/2021 del 26 gennaio 2022 consid. 5.1 seg., nei quali il Tribunale federale ha esposto di nuovo la propria prassi in materia, indicando anche che non vi sono motivi per discostarsene; sentenze 2C 867/2018 del 6 novembre 2019 consid. 4.2 e 2C 382/2017 del 13 dicembre 2018 consid. 2).

4.3. In effetti, se una società non ottempera all'obbligo di allestimento e quindi di consegna dei conti annuali all'AFC: (a) il momento in cui va considerata compiuta la fattispecie prevista dall'art. 61 cpv. 1 lett. a
SR 642.21 Loi fédérale du 13 octobre 1965 sur l'impôt anticipé (LIA)
LIA Art. 61 - Celui qui, intentionnellement ou par négligence, à son propre avantage ou à celui d'un tiers:
a  soustrait des montants d'impôt anticipé à la Confédération;
b  ne satisfait pas à l'obligation de déclarer une prestation imposable (art. 19 et 20) ou fait une fausse déclaration;
c  obtient un remboursement injustifié de l'impôt anticipé, ou quelque autre avantage fiscal illicite,
LIP coincide con la mancata trasmissione dei conti annuali all'AFC e va identificato all'indomani dei sei mesi e trenta giorni dopo la fine dell'esercizio durante il quale detta società ha effettuato una prestazione valutabile in denaro soggetta all'imposta preventiva (art. 699 cpv. 2
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 699 - 1 L'assemblée générale est convoquée par le conseil d'administration et, au besoin, par l'organe de révision. Elle peut également être convoquée par les liquidateurs et les représentants des obligataires.
1    L'assemblée générale est convoquée par le conseil d'administration et, au besoin, par l'organe de révision. Elle peut également être convoquée par les liquidateurs et les représentants des obligataires.
2    L'assemblée générale ordinaire a lieu chaque année dans les six mois qui suivent la clôture de l'exercice.
3    Des actionnaires peuvent requérir la convocation de l'assemblée générale s'ils détiennent ensemble au moins une des participations suivantes:
1  dans les sociétés dont les actions sont cotées en bourse: 5 % du capital-actions ou des voix;
2  dans les autres sociétés: 10 % du capital-actions ou des voix.
4    La convocation d'une assemblée générale doit être requise par écrit. Les objets de l'ordre du jour et les propositions doivent être mentionnés dans la requête.
5    Si le conseil d'administration ne donne pas suite à la requête dans un délai raisonnable, mais au plus tard dans les 60 jours, les requérants peuvent demander au tribunal d'ordonner la convocation de l'assemblée générale.
CO, relativo all'obbligo di svolgere un'assemblea generale della società entro sei mesi dalla chiusura dell'esercizio annuale; art. 21 cpv. 1 OLPrev, relativo all'obbligo di consegna all'AFC del conto annuale entro 30 giorni dalla sua approvazione da parte dell'assemblea generale; sentenza 2C 638/2021 del 10 giugno 2022 consid. 3.1 e 3.2, con riferimento all'art. 805 cpv. 2
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 805 - 1 L'assemblée des associés est convoquée par les gérants et, au besoin, par l'organe de révision. Les liquidateurs ont également le droit de la convoquer.
1    L'assemblée des associés est convoquée par les gérants et, au besoin, par l'organe de révision. Les liquidateurs ont également le droit de la convoquer.
2    L'assemblée ordinaire des associés a lieu chaque année dans les six mois qui suivent la clôture de l'exercice annuel. Les assemblées extraordinaires des associés sont convoquées conformément aux statuts et aussi souvent qu'il est nécessaire.
3    L'assemblée des associés est convoquée 20 jours au moins avant la date de la réunion. Les statuts peuvent prolonger ce délai ou le réduire à un minimum de dix jours. La possibilité de tenir une assemblée universelle est réservée.
4    ...701
5    Pour le surplus, les dispositions du droit de la société anonyme relatives à l'assemblée générale s'appliquent par analogie en ce qui concerne:
1  la convocation;
2  le droit des associés de convoquer l'assemblée des associés et de demander l'inscription d'un objet ou d'une proposition à l'ordre du jour;
2bis  le lieu de l'assemblée des associés et le recours aux médias électroniques;
3  l'objet des délibérations;
4  les propositions;
5  l'assemblée universelle et l'approbation donnée à une proposition;
6  les mesures préparatoires;
7  le procès-verbal;
8  la représentation des associés;
9  la participation sans droit.
CO, di tenore analogo all'art. 699 cpv. 2
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 699 - 1 L'assemblée générale est convoquée par le conseil d'administration et, au besoin, par l'organe de révision. Elle peut également être convoquée par les liquidateurs et les représentants des obligataires.
1    L'assemblée générale est convoquée par le conseil d'administration et, au besoin, par l'organe de révision. Elle peut également être convoquée par les liquidateurs et les représentants des obligataires.
2    L'assemblée générale ordinaire a lieu chaque année dans les six mois qui suivent la clôture de l'exercice.
3    Des actionnaires peuvent requérir la convocation de l'assemblée générale s'ils détiennent ensemble au moins une des participations suivantes:
1  dans les sociétés dont les actions sont cotées en bourse: 5 % du capital-actions ou des voix;
2  dans les autres sociétés: 10 % du capital-actions ou des voix.
4    La convocation d'une assemblée générale doit être requise par écrit. Les objets de l'ordre du jour et les propositions doivent être mentionnés dans la requête.
5    Si le conseil d'administration ne donne pas suite à la requête dans un délai raisonnable, mais au plus tard dans les 60 jours, les requérants peuvent demander au tribunal d'ordonner la convocation de l'assemblée générale.
CO); (b) il termine di prescrizione comincia a decorrere il giorno dopo il compimento "dell'attività colpevole", siccome il giorno stesso non va considerato (DTF 143 IV 228 consid. 4.5).
In concreto, concernendo il caso prestazioni per il periodo dal 1° gennaio 2006 al 30 giugno 2006, e ritenendo le parti pacifico che l'esercizio commerciale e l'anno solare siano qui coincidenti, detto termine ha quindi cominciato a decorrere il 1° agosto 2007, ovvero il giorno dopo a quello in cui occorre considerare come compiuta la fattispecie prevista dall'art. 61 cpv. 1 lett. a
SR 642.21 Loi fédérale du 13 octobre 1965 sur l'impôt anticipé (LIA)
LIA Art. 61 - Celui qui, intentionnellement ou par négligence, à son propre avantage ou à celui d'un tiers:
a  soustrait des montants d'impôt anticipé à la Confédération;
b  ne satisfait pas à l'obligation de déclarer une prestation imposable (art. 19 et 20) ou fait une fausse déclaration;
c  obtient un remboursement injustifié de l'impôt anticipé, ou quelque autre avantage fiscal illicite,
LIP (il 31 luglio 2007, all'indomani della scadenza dei sei mesi e trenta giorni dopo la fine dell'esercizio 2006, senza che la società trasmettesse i conti) ed avrebbe dovuto arrivare a conclusione il 31 luglio 2014 (intervento della prescrizione dal giorno successivo; sentenza 2C 638/2021 del 10 giugno 2022 consid. 3.2). Così però non è stato in quanto la decisione del 29 aprile 2014 ha comportato una sospensione del termine che si protrae tuttora (art. 11 cpv. 3
SR 313.0 Loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif (DPA)
DPA Art. 11 - 1 En matière de contraventions, l'action pénale se prescrit par quatre ans.8
1    En matière de contraventions, l'action pénale se prescrit par quatre ans.8
2    Si cependant la contravention consiste en une soustraction ou une mise en péril de contributions ou en l'obtention illicite d'un remboursement, d'une réduction ou d'une remise de contributions, le délai de prescription est de sept ans.9
3    En matière de crimes, de délits et de contraventions, la prescription est suspendue:
a  pendant la durée d'une procédure de réclamation, de recours ou d'une procédure judiciaire concernant l'assujettissement à la prestation ou à la restitution ou sur une autre question préjudicielle à trancher selon la loi administrative spéciale, ou
b  tant que l'auteur subit à l'étranger une peine privative de liberté.10
4    Les peines se prescrivent par cinq ans pour les contraventions.
DPA; sentenze 2C 638/2021 del 10 giugno 2022 consid. 3.2; 2C 382/2017 del 13 dicembre 2018 consid. 2.5). Con la precisazione che il termine di prescrizione di 7 anni ha cominciato a decorrere un giorno dopo rispetto a quanto indicato nel giudizio impugnato (1° agosto invece che 31 luglio), perché il giorno del compimento "dell'attività colpevole" non conta, l'esito cui esso giunge in merito
al mancato intervento della prescrizione va quindi pienamente condiviso.

4.4. Confermato che, in presenza di una distribuzione dissimulata di utili nella forma di prestazioni valutabili in denaro, le pretese avanzate dall'AFC non sono ancora prescritte, vanno ora esaminate le critiche con le quali il ricorrente mette in discussione l'esistenza di una simile fattispecie e l'entità degli importi richiestigli.
Richiamandosi a quanto indicato dall'istanza precedente, dapprima è però necessario rammentare il quadro legale.

5.

5.1. Nel considerando 6 del loro giudizio, i Giudici di prima istanza si sono tra l'altro riferiti: da un lato, all'art. 4 cpv. 1 lett. b
SR 642.21 Loi fédérale du 13 octobre 1965 sur l'impôt anticipé (LIA)
LIA Art. 4 - 1 L'impôt anticipé sur les revenus de capitaux mobiliers a pour objet les intérêts, rentes, participations aux bénéfices et tous autres rendements:
1    L'impôt anticipé sur les revenus de capitaux mobiliers a pour objet les intérêts, rentes, participations aux bénéfices et tous autres rendements:
a  des obligations émises par une personne domiciliée en Suisse, des cédules hypothécaires et lettres de rentes émises en série, ainsi que des avoirs figurant au livre de la dette;
b  des actions, parts sociales de sociétés à responsabilité limitée et de sociétés coopératives, bons de participation sociale des banques coopératives, bons de participation ou bons de jouissance, émis par une personne domiciliée en Suisse;
c  des parts d'un placement collectif de capitaux au sens de la loi du 23 juin 2006 sur les placements collectifs (LPCC)12 émises par une personne domiciliée en Suisse ou par une personne domiciliée à l'étranger conjointement avec une personne domiciliée en Suisse;
d  des avoirs de clients auprès de banques et de caisses d'épargne suisses.
2    Le transfert du siège d'une société anonyme, d'une société à responsabilité limitée ou d'une société coopérative à l'étranger est assimilé à une liquidation du point de vue fiscal; la présente disposition est applicable par analogie aux placements collectifs au sens de la LPCC.13
LIP, nella versione in vigore fino al 31 dicembre 2019, qui determinante (RU 1992 733; sentenza 2C 741/2020 del 17 giugno 2021 consid. 4.1), secondo cui sono sottoposti all'imposta anche i redditi da azioni; d'altro lato, all'art. 20 cpv. 1 OlPrev, che definisce come reddito imponibile da azioni ogni prestazione valutabile in denaro corrisposta dalla società ai titolari di diritti di partecipazione, o a terze persone loro vicine, che non ha il carattere di rimborso delle quote di capitale sociale versato, esistenti all'atto della prestazione.
In questo contesto, hanno poi pertinentemente ricordato che, nella nozione di prestazione valutabile in denaro rientra anche la cosiddetta distribuzione dissimulata di utili e che, per costante giurisprudenza, si è di fronte ad una simile fattispecie quando: (a) una società esegue una prestazione senza ottenere una controprestazione corrispondente; (b) questa prestazione è accordata ad un azionista o a una persona comunque vicina, mentre non sarebbe stata accordata alle medesime condizioni a un qualunque terzo; (c) il carattere particolarmente vantaggioso della prestazione sia riconoscibile per gli organi societari (sentenza 2C 741/2020 del 17 giugno 2021 consid. 4.1 con rinvii).

5.2. Sul piano probatorio, hanno nel contempo attirato l'attenzione sul fatto: (a) che, confrontato a fattispecie relative a prestazioni valutabili in denaro, il fisco deve in particolare apportare la prova che la società ha accordato a un'azionista o a una persona vicina una prestazione senza ottenere una controprestazione adeguata, ma che se gli elementi da esso addotti costituiscono indizi sufficienti in merito all'esistenza di una sproporzione, spetta al contribuente dimostrare il contrario (DTF 138 II 57 consid. 7.1 e 133 II 153 consid. 4.3; sentenza 2C 984/2019 del 3 marzo 2021 consid. 6.2); (b) che quando il fisco accerta l'esistenza di una prestazione valutabile in denaro la cui entità non è quantificabile con chiarezza, ne può stabilire l'ammontare ricorrendo a una stima (sentenze 2C 741/2020 del 17 giugno 2021 consid. 4.2 con rinvii); (c) che, in simile contesto, l'autorità deve fondarsi sul corso ordinario delle cose e il comportamento del contribuente, avvicinandosi il più possibile al reale stato dei fatti, ma che in caso di dubbio non è obbligata a basarsi su quello a lui più favorevole (sentenza 2C 499/2011 del 9 luglio 2012 consid. 5.5).

6.

6.1. In un capitolo dal titolo "quo alle censure di merito" (ricorso, p.to 7.3), l'insorgente osserva innanzitutto che l'ammontare delle prestazioni valutabili in denaro è stato stabilito in base a una stima che si fonda su meri indizi, "per cui non c'è nulla che possa portare a sostenere che quelle stesse cifre siano realistiche" e che gli siano imputabili.
Detto ciò, aggiunge che le risultanze della tassazione d'ufficio "non trovano riscontro con gli incassi reali che la società generava e che né il TAF né l'AFC spiegano come siano giunti a predisporre le loro stime, che perdurano contestate anche in questa sede".

6.2. Come già rilevato, quando il fisco accerta l'esistenza di una prestazione valutabile in denaro la cui entità non è quantificabile con chiarezza, esso ne può stabilire l'ammontare ricorrendo a una stima (sentenze 2C 741/2020 del 17 giugno 2021 consid. 4.2; 2C 499/2011 del 9 luglio 2012 consid. 5.5). In simile contesto, deve fondarsi sul corso ordinario delle cose e il comportamento del contribuente, avvicinandosi il più possibile al reale stato dei fatti (sentenze 2C 741/2020 del 17 giugno 2021 consid. 4.2; 2C 499/2011 del 9 luglio 2012 consid. 5.5).
Di conseguenza, contrariamente a quanto pare sostenere l'insorgente, la possibilità di svolgere una stima non è affatto esclusa. Al contrario, è riconosciuta espressamente e le questioni che si pongono sono semmai altre, ovvero: (a) se le condizioni per procedervi erano date; (b) se la stima eseguita - in presenza delle condizioni per procedervi - si avvicini o meno al reale stato dei fatti.

6.3. Ora, a queste due differenti domande il Tribunale amministrativo federale ha risposto in maniera affermativa, esponendo in entrambi i casi le sue ragioni (giudizio impugnato, consid. 7.2-7.3).
Proprio con tali spiegazioni il p.to 7.3 dell'impugnativa però non si confronta, di modo che già a causa dell'assenza di una presa di posizione in merito agli argomenti addotti dall'istanza inferiore - in maniera per altro assai precisa e puntuale - la critica non può essere condivisa (art. 42 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
LTF; DTF 142 III 364 consid. 2.4).

6.4. Per quanto, sempre nel p.to 7.3 del ricorso, l'insorgente si lamenti di un'assenza di prove in merito al fatto di avere beneficiato di prestazioni valutabili in denaro, rispettivamente al fatto di averne beneficiato in ragione del 78 %, va d'altra parte rilevato che la conclusione cui bisogna giungere è la stessa di quella tratta nel precedente considerando 6.3, in relazione alla stima delle prestazioni valutabili in denaro.

Prima ancora di esaminare l'esistenza delle condizioni per procedere a una stima e di considerare la stima effettuata come condivisibile, il Tribunale amministrativo federale ha infatti anche spiegato perché l'esistenza di prestazioni valutabili in denaro soggette ad imposta preventiva, nella forma di distribuzioni dissimulate di utile al ricorrente, andava confermata (giudizio impugnato, consid. 7.1). Nel contempo, si è chinato a lungo pure sulla suddivisione di tali prestazioni tra l'insorgente (78 %) e E.________ (22 %) (giudizio impugnato, consid. 7.4 e, a complemento dello stesso, consid. 12).
Anche in questo caso, il tentativo di mettere in discussione la percezione di simili prestazioni non poteva quindi esaurirsi nella presentazione di una visione contraria, come avviene nella fattispecie, ma avrebbe dovuto passare da un confronto con le spiegazioni ricevute dai Giudici di prima istanza, che sono di nuovo molto precise e che si estendono su più pagine del loro giudizio (art. 42 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
LTF).

6.5. Nella misura in cui le conclusioni del Tribunale amministrativo federale si fondano su un apprezzamento di fatti e prove, va del resto constatato che, oltre a mancare di un confronto con il giudizio impugnato, richiesto dall'art. 42 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
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1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
LTF (DTF 142 III 364 consid. 2.4), il p.to 7. 3 del ricorso manca anche di critiche conformi all'art. 106 cpv. 2 LT, a comprova dell'insostenibilità di tale apprezzamento.
In effetti, l'arbitrio nell'accertamento dei fatti e/o nell'apprezzamento delle prove non può essere semplicemente affermato e nemmeno è dimostrato presentando una personale lettura della fattispecie, come fa il ricorrente, ma è dato solo se l'istanza inferiore non ha manifestamente compreso il senso e la portata di un mezzo di prova, ha omesso di considerare un mezzo di prova pertinente senza un serio motivo o se, sulla base dei fatti raccolti, ha tratto deduzioni insostenibili. Di conseguenza, spetta a chi insorge argomentare, per ogni accertamento di fatto censurato, in che modo le prove avrebbero dovuto essere valutate, per quale ragione l'apprezzamento dell'autorità sia insostenibile e in che misura la lesione invocata sarebbe suscettibile di influenzare l'esito complessivo del litigio (DTF 143 IV 500 consid. 1.1; sentenze 2C 741/2020 del 17 giugno 2021 consid. 5.2; 2C 984/2019 del 3 marzo 2021 consid. 7.3 e 2C 91/2019 del 12 settembre 2019 consid. 2.3).

6.6. Tale conclusione vale poi - a maggior ragione - nella misura in cui le critiche d'arbitrio dell'insorgente sono rivolte (anche) alla stima delle prestazioni valutabili in denaro che gli vengono imputate dalle istanze inferiori (giudizio impugnato, consid. 7.3).
Davanti ad una stima, come quella alla quale ha proceduto il fisco in relazione ai ricavi conseguiti dalla B.________ SA nel periodo litigioso, dopo avere constatato che la contabilità della stessa era stata omessa o non poteva essere considerata affidabile, anche il Tribunale federale interviene infatti con riserbo, cioè solo in presenza di errori grossolani, che spetta a chi insorge dimostrare (sentenze 2C 741/2020 del 17 giugno 2021 consid. 5.3; 2C 499/2011 del 9 luglio 2012 consid. 5.5 e 2C 502/2008 del 18 dicembre 2008 consid. 4.2).

7.

7.1. In un capitolo dal titolo "censure ricorrente - ricostruzione patrimoniale ricorrente e mancata acquisizione dei mezzi di prova (perizia giudiziaria e testimonianze" (ricorso, p.to 8), l'insorgente adduce quindi una serie di critiche: (a) in relazione alle prove testimoniali (ricorso, p.to 8.1, con particolare riferimento ai testi H.________, I.________ e J.________); (b) in relazione alle perizie da lui prodotte (ricorso, p.to 8.2, con riferimento al parere K.________ e alla perizia G.________); (c) in relazione ad altri aspetti (ricorso, p.ti 8.3-8.5, con riferimento a redditi della sostanza immobiliare per fr. 782'100.--, a spese di corrente a contanti per fr. 576'000.--, a maggiori afflussi di liquidità per fr. 3'588'024.--).
Nel caso delle testimonianze, le censure concernono il considerando 9 del giudizio impugnato, nel quale il Tribunale amministrativo federale si è espresso sulle dichiarazioni di varie persone, segnatamente in merito alla questione a sapere se il ricorrente potesse essere ritenuto azionista delle o persona vicina alle diverse società che si sono succedute nella gestione della C.________ e del Bar L.________, tra cui la B.________ SA (giudizio impugnato, consid. 9.5). Sia nel caso delle perizie che nel caso degli altri aspetti sollevati, le censure concernono invece il considerando 10 del giudizio impugnato, nel quale il Tribunale amministrativo federale si è espresso sulla situazione finanziaria del ricorrente rispettivamente sulle sue entrate, per poi confermare le conclusioni dell'autorità inferiore secondo cui - nei periodi in discussione - egli ha beneficiato di introiti economici che erano spiegabili solo con il suo rapporto di vicinanza alle società che hanno gestito la C.________ e il Bar L.________ (giudizio impugnato, consid. 10.7).

7.2. In relazione alle prove testimoniali, il ricorrente esordisce rilevando che "davanti al TAF sono state evidenziate le discrepanze e le falsità delle dichiarazioni rese da H.________, smentite dalle dichiarazioni rese anche a verbale dai vari soggetti sentiti all'epoca dei fatti".
A tale considerazione, accompagna quindi stralci di deposizioni del H.________ stesso, così come di altre persone (in particolare, di I.________ e J.________, dei quali vengono riprese le deposizioni "giurate"), per poi concludere che "alla luce di quanto sopra è del tutto escluso che dalle dichiarazioni rese da H.________ e da M.________ si possa addurre una men che minima prova che consenta di qualificare il ricorrente azionista della società o anche persona vicina alla medesima. Allo stesso tempo è arbitrario asserire che grazie alle testimonianze può dirsi che A.________ abbia beneficiato di prestazioni valutabili in denaro dalla società in questione".

7.3. Argomentando in tal senso, l'arbitrio che viene denunciato nell'impugnativa non è tuttavia dimostrato.

7.3.1. Anche in questo caso, manca infatti un confronto con il giudizio dell'istanza inferiore (art. 42 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
LTF), che si esprime riguardo al tema delle prove testimoniali spiegando su diverse pagine perché l'apprezzamento delle autorità fiscali federali sia da condividere, mentre le critiche del ricorrente siano da respingere.
Nel contempo, manca di nuovo pure una critica conforme a quanto indicato nei considerandi 2.2 e 6.5, necessaria in materia di apprezzamento delle prove e dalla quale risulti perché il ragionamento del Tribunale amministrativo federale contenga errori di gravità qualificata.

7.3.2. In effetti, come risulta da una lettura del considerando 9, il discorso svolto riguardo ai testi dall'autorità inferiore è piuttosto articolato e comprende: (a) la constatazione dell'inammissibilità di censure relative alla validità di determinate dichiarazioni e dell'incoerenza del ricorrente nel presentare queste censure (giudizio impugnato, consid. 9.1); (b) il rigetto della critica secondo cui il fisco avrebbe apprezzato e interpretato erroneamente le dichiarazioni di vari testi (giudizio impugnato, consid. 9.2, con particolare riferimento alle prime dichiarazioni fornite dai testi J.________, M.________, H.________, D.________, e N.________); (c) la constatazione del fatto che le successive dichiarazioni giurate di I.________ e J.________ erano prive di valenza probatoria (giudizio impugnato, consid. 9.3); (d) il diniego della necessità di procedere all'audizione di nuovi testi (giudizio impugnato consid. 9.4).
Di conseguenza, anche il tentativo di rimetterne in discussione (del tutto o in parte) i contenuti - per dimostrarne l'insostenibilità (lesione dell'art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
Cost.) - doveva essere altrettanto preciso.

7.3.3. La precisione richiesta a una censura d'arbitrio (art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
Cost; art. 106 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
LTF) non è tuttavia riscontrabile nel ricorso, poiché esso in sostanza si limita: da un lato, a riprendere stralci di deposizioni di singoli testi (H.________), fornendone poi una propria interpretazione, slegata dal quadro complessivo delineato nel querelato giudizio; d'altro lato, a riprodurre parte delle dichiarazioni giurate di I.________ e J.________, dandovi anche in tal caso una lettura solo personale e del tutto indipendente da quanto indicato in proposito dall'istanza precedente, procedendo alla sua valutazione degli atti.
Detto delle critiche al considerando 9 del giudizio impugnato, relative ai testimoni (precedente consid. 7.1 lett. a), occorre di seguito esaminare le critiche al considerando 10, relative al parere K.________ e alla perizia G.________, nonché ad altri aspetti (precedente consid. 7.1 lett. b e c).

7.4. Ora, in relazione al parere K.________, presentato per "smontare" la ricostruzione contenuta nel rapporto A.________, va osservato che le censure dell'insorgente (ricorso, p.to 8.2.1) non sono rivolte contro l'istanza inferiore, che ha considerato il citato rapporto come irrilevante e non ha quindi esaminato nemmeno il parere che intendeva "smontarlo" (giudizio impugnato, consid. 10.1.2), bensì contro le autorità fiscali ticinesi, che in passato avrebbero a torto utilizzato il rapporto A.________ per determinare le imposte di loro competenza.
Non concernendo la percezione dell'imposta preventiva, ma l'esito di altre procedure (percezione dell'imposta federale diretta e dell'imposta cantonale), la questione esposta non va quindi approfondita.

7.5. In relazione alla perizia G.________ (ricorso, p.to 8.2.3), nonché agli altri aspetti sollevati (ricorso, p.ti 8.3-8.5; redditi della sostanza immobiliare per fr. 782'100.--, spese di corrente a contanti per fr. 576'000.--, maggiori afflussi di liquidità per fr. 3'588'024.--), vale invece un analogo discorso di quello fatto più sopra per le critiche al considerando 9 della sentenza del Tribunale amministrativo federale.

7.5.1. Come già osservato, nel considerando 10 del giudizio impugnato, che si estende su una cinquantina di pagine fitte di dettagli e rimandi, il Tribunale amministrativo federale si è infatti espresso in merito alla situazione finanziaria del ricorrente, per poi confermare le conclusioni dell'autorità inferiore secondo cui - nei periodi in discussione - egli ha beneficiato di introiti economici giustificabili solo con il suo rapporto di vicinanza alle società che hanno gestito la C.________ e il Bar L.________ (giudizio impugnato, consid. 10.7).
L'istanza inferiore è giunta a tale conclusione dopo avere messo in particolare a confronto: da un lato, la ricostruzione patrimoniale svolta dall'AFC, partendo dai contenuti del classificatore F.________; d'altro lato, la ricostruzione patrimoniale contenuta nella perizia G.________, prodotta dall'insorgente per la prima volta con replica del 30 luglio 2018.

7.5.2. Ora, per l'insorgente il primo arbitrio commesso in questo contesto sarebbe dato dal fatto che, nonostante davanti al Tribunale amministrativo federale l'AFC abbia ammesso degli errori, e la ricostruzione contenuta nel classificatore F.________ abbia quindi dovuto essere corretta, i Giudici di prima istanza hanno continuato a ritenere affidabile questa ricostruzione (ricorso, p.to 8.2.3).
Così argomentando, non considera tuttavia che l'istanza inferiore non si è limitata a prendere atto della necessità di correggere l'importo relativo alla "mancanza di liquidità" (da fr. 4'629'165.-- a fr. 4'167'011.--), ma ha pure spiegato con chiarezza perché detta modifica non era tale "da pregiudicare le conclusioni della DAPI e dell'autorità inferiore" (giudizio impugnato, consid. 10.6).

7.5.3. Era di conseguenza di queste ragioni - chiare e precise e che insistono sul fatto che la ricostruzione contenuta nel classificatore F.________ non mira a stabilire la base imponibile dell'imposta, bensì ad attestare, insieme ad altri elementi, che egli ha avuto delle entrate spiegabili solo con il rapporto di vicinanza alle società che gestivano la C.________ e il Bar L.________ - che andava semmai sostanziata l'insostenibilità del giudizio reso, ciò che però non avviene.
Indipendentemente dall'assenza di una motivazione in tal senso, non può poi sfuggire il fatto che il Tribunale amministrativo federale ha comunque considerato che, per un importo di fr. 4'167'011.--, detta ricostruzione andava confermata e che, anche in relazione alle ragioni di tale esplicita conferma, lungamente esposte nella querelata sentenza, l'arbitrio non è dimostrato.

7.5.4. Pure nei p.ti 8.3, 8.4, 8.5 del gravame, nei quali sono affrontati temi che sono stati trattati nei considerandi 10.3-10.5 del giudizio impugnato (redditi della sostanza immobiliare per fr. 782'100.--, spese di corrente a contanti per fr. 576'000.--, maggiori afflussi di liquidità per fr. 3'588'024.--), il ricorrente svolge in effetti un discorso che si esaurisce nella presentazione di una propria e personale lettura di singoli aspetti, formulata come se il Tribunale federale fosse un'istanza che rivede con piena cognizione anche l'accertamento dei fatti, ciò che però questa Corte non è.
In particolare, va infatti precisato che non spetta al Tribunale federale nemmeno esaminare o interpretare ex novo tutti i documenti agli atti, ai quali l'impugnativa si richiama, perché quello di far valere di essersi già riferito a determinate prove davanti all'istanza inferiore è un dovere dell'insorgente, che deve anche indicare in che termini si era a suo tempo espresso. Proceduto in tal senso, egli ha quindi la facoltà di lamentare: o un apprezzamento delle prove lesivo del divieto d'arbitrio (art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
Cost.; precedente considerando 2.2); o una violazione del proprio diritto di essere sentito (art. 29 cpv. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
1    Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
2    Les parties ont le droit d'être entendues.
3    Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert.
Cost.) se, benché chiesto e necessario, l'apprezzamento non vi sia stato (sentenza 2C 984/2019 del 3 marzo 2021, relativa a un gravame presentato sempre dal qui ricorrente, consid. 5.2). Anche in relazione a queste due differenti possibilità, una critica compiuta e conforme all'art. 106 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
LTF non è qui tuttavia data.

8.

8.1. In un capitolo intitolato "puntuali censure alle operazioni nr. 1, 2, 3, 8, 9, 10, 11, 13, 15, 17A, 18, 19, 23, 24, 25, 28, 32, 45, 48, 56, 59, 61, 72 e 73" (ricorso, p.to 9), l'insorgente prende quindi posizione in merito a quanto è stato indicato dal Tribunale amministrativo federale nel considerando 10.5.2.4 del querelato giudizio.
Una volta di più, l'arbitrio non è però sostanziato perché, quando lo fa, egli si riferisce al giudizio di prima istanza soltanto in maniera frammentaria. Inoltre, non tiene nemmeno conto del fatto che la presentazione del punto di vista di chi ricorre non dimostra ancora l'insostenibilità della sentenza che sta impugnando (sentenza 2C 741/2020 del 17 giugno 2021 consid. 2.2, con ulteriori rinvii).

8.2. Anche nel considerando 10.5.2.4, che si estende su una ventina di pagine, i Giudici di prima istanza passano infatti in rassegna ognuna delle 24 operazioni menzionate: esponendo di volta in volta sia i contenuti della perizia G.________, prodotta in replica, sia la posizione assunta successivamente dalle parti in causa, per poi procedere al proprio apprezzamento e decidere al riguardo.
Ciò nonostante, nelle poche righe che dedica alle operazioni citate, che occupano circa una pagina dell'impugnativa, il ricorrente non ne discute nessuna in particolare, limitandosi genericamente a ribadire che - secondo lui - gli errori riscontrati nella ricostruzione della DAPI (con conseguente correzione dell'importo relativo alla "mancanza di liquidità" da fr. 4'629'165.-- a fr. 4'167'011.--), avrebbero dovuto portare l'istanza inferiore a decidere in sfavore del fisco.

8.3. Nella misura in cui - in maniera altrettanto stringata - indica che "nessun testimone ha mai confermato la ricostruzione dell'azionariato 78%-22%" e che le sue entrate "non sono in alcun modo correlate con le attività del postribolo" non si può poi che rinviare nuovamente a quanto è stato indicato dai Giudici di prima istanza, e cioè:
da un lato, al considerando 7.4 della loro sentenza, relativo proprio alla ricostruzione dell'azionariato e al quale si richiama - completandolo - anche il successivo considerando 12;
d'altro lato, al considerando 7.1.3, in cui viene ammessa più in generale la qualità di beneficiario delle prestazioni in discussione nei confronti del ricorrente, insieme a E.________, dopo avere sottolineato sia tutti gli indizi e le "stranezze" emersi nel corso dell'indagine promossa dalla DAPI, sia la mancanza di plausibilità delle spiegazioni ricevute dagli interessati riguardo ai suoi risultati, insorgente compreso.
In effetti, in assenza della prova della manifesta insostenibilità degli apprezzamenti di fatto contenuti in tali passaggi (giudizio impugnato, consid. 7.1.3, 7.4 e 12), anche le conclusioni tratte sulla base di questi apprezzamenti permangono valide.

9.

9.1. In un capitolo intitolato "mancata assunzione dei mezzi di prova richiesti" il ricorrente domanda infine che il dispositivo n. 1 del giudizio impugnato sia annullato e che l'incarto sia restituito all'istanza inferiore per fare allestire una perizia fiscale indipendente. Dimostrata l'inattendibilità della ricostruzione del suo patrimonio da parte della DAPI, sulla quale si è fondata anche la querelata sentenza, non resterebbe infatti che percorrere questa via.

9.2. Sennonché, come risulta dai considerandi precedenti, la dimostrazione di tale inattendibilità non è stata affatto fornita, e la ragione che ha portato l'istanza inferiore a rinunciare ad ordinare una nuova perizia - ovvero il fatto che essa non era necessaria, perché gli elementi agli atti bastavano per confermare l'attendibilità di principio della ricostruzione della DAPI (giudizio impugnato, consid. 10.7 con rinvio ai consid. 10.1.1, 10.1.3 e 10.6) - continua quindi a sussistere.

10.

10.1. Per quanto precede, il ricorso è respinto. L'istanza di assistenza giudiziaria presentata contestualmente al gravame - tendente all'esonero dal pagamento di spese giudiziarie e all'ottenimento del gratuito patrocinio per la procedura davanti al Tribunale federale - va parimenti respinta, in quanto, così come redatto, il gravame doveva apparire sin dall'inizio come privo di probabilità di successo (art. 64 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens.
1    Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens.
2    Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires.
3    La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies.
4    Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire.
LTF; sentenza 2C 984/2019 del 3 marzo 2021 consid. 11.1).

10.2. Nell'addossare le spese giudiziarie al ricorrente soccombente (art. 65 e
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens.
1    Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens.
2    Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires.
3    La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies.
4    Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire.
66 cpv. 1 LTF) si tiene comunque conto delle circostanze, fissando un importo ridotto (art. 65 cpv. 1 e
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
1    Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
2    L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière.
3    Son montant est fixé en règle générale:
a  entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations.
4    Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent:
a  des prestations d'assurance sociale;
b  des discriminations à raison du sexe;
c  des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs;
d  des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24.
5    Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4.
2, art. 66 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
LTF). Non vengono assegnate ripetibili (art. 68 cpv. 3
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
LTF).

Per questi motivi, il Tribunale federale pronuncia:

1.
Il ricorso è respinto.

2.
La domanda di assistenza giudiziaria è respinta.

3.
Le spese giudiziarie di fr. 4'000.-- sono poste a carico del ricorrente.

4.
Comunicazione al patrocinatore del ricorrente, all'Amministrazione federale delle contribuzioni, Divisione principale imposta federale diretta, imposta preventiva, tasse di bollo, nonché al Tribunale amministrativo federale, Corte I.

Losanna, 31 agosto 2022

In nome della II Corte di diritto pubblico
del Tribunale federale svizzero

La Presidente: F. Aubry Girardin

Il Cancelliere: Savoldelli