Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

6B 280/2018

Urteil vom 24. Oktober 2018

Strafrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichter Denys, Präsident,
Bundesrichter Oberholzer, Rüedi,
Gerichtsschreiber Briw.

Verfahrensbeteiligte
X.________,
vertreten durch Advokat Jacques Butz,
Beschwerdeführer,

gegen

1. Staatsanwaltschaft des Kantons
Basel-Landschaft, Erste Staatsanwältin,
2. A.C.________,
3. B.C.________,
beide vertreten durch Advokat Denis G. Giovannelli,
4. D.________,
vertreten durch Advokat Martin Lutz,
Beschwerdegegner.

Gegenstand
Fahrlässige Tötung, Willkür,

Beschwerde gegen das Urteil des Kantonsgerichts Basel-Landschaft, Abteilung Strafrecht,
vom 16. August 2017 (460 16 240).

Sachverhalt:

A.
X.________, Inhaber und Sicherheitsverantwortlicher einer Firma für Gerüstbau, führte am 26. April 2011 zusammen mit E.C.________, F.________ und G.________ die Begehung auf einer vorgesehenen Baustelle durch. Er besichtigte mit ihnen die Einsatzorte und besprach die Arbeiten sowie den zum Einsatzort zu benützenden Weg. Der Vorarbeiter F.________ erstellte in der ersten Woche das Gerüst auf der Südseite. Es folgte eine Arbeitspause, weil für den Transport des Gerüstmaterials für das rückseitige nordwestliche Dach ein Kran abgewartet werden musste.
Y.________ nahm an der Besichtigung nicht teil, wurde aber infolge einer Planänderung kurzfristig anstelle des ursprünglich vorgesehenen F.________ als Chefmonteur auf der rückseitigen nordwestlichen Baustelle eingesetzt. Am Vormittag des 6. Mai 2011 wurde mit dem Aufbau des Gerüsts auf der nordwestlichen Seite begonnen. Nach der Mittagspause holte E.C.________ Kleinmaterial auf der Südseite. Beim Rückweg brach er durch das Eternitdach und stürzte aus einer Höhe von ca. 9,5 m auf den Betonboden der Fabrikhalle. Er verstarb auf der Unfallstelle.

B.
Das Strafgerichtspräsidium Basel-Landschaft verurteilte X.________ am 16. August 2016 wegen fahrlässiger Tötung zu einer bedingt vollziehbaren Geldstrafe von 160 Tagessätzen zu Fr. 140.-- (bei zwei Jahren Probezeit) und sprach ihn von der Anklage der vorsätzlichen Verletzung der Regeln der Baukunde frei.
Y.________ verurteilte es wegen fahrlässiger Tötung zu einer bedingt vollziehbaren Geldstrafe von 160 Tagessätzen zu Fr. 30.-- (bei zwei Jahren Probezeit) und sprach ihn von der Anklage der vorsätzlichen Verletzung der Regeln der Baukunde frei.
Das Kantonsgericht Basel-Landschaft bestätigte am 16. August 2017 das erstinstanzliche Urteil im Schuld- und Strafpunkt und änderte es hinsichtlich Entschädigung, Genugtuung und Kosten einzig betreffend eine Genugtuung in Ziff. III.1.d zugunsten einer Privatklägerin.

C.
X.________ beantragt mit Beschwerde in Strafsachen, das vorinstanzliche Urteil aufzuheben und ihn freizusprechen, die Zivilforderungen vollumfänglich abzuweisen oder auf den Zivilweg zu verweisen, eventualiter das Urteil aufzuheben und die Sache zur Neubeurteilung an die Vorinstanz zurückzuweisen; der Beschwerde sei die aufschiebende Wirkung zu erteilen.

Erwägungen:

1.
Der Beschwerdeführer hält zum Gesuch um aufschiebende Wirkung fest, würden die gutgeheissenen Zivilforderungen und Entschädigungen fällig, könnte bei einem nachträglichen Freispruch und dem damit verbundenen Rückerstattungsanspruch ein Insolvenzrisiko bei den Privatklägern bestehen. Er belegt nicht, dass Vollstreckungsmassnahmen eingeleitet wurden oder unmittelbar bevorstünden, und begründet keinen nicht wieder gutzumachenden Nachteil im Sinne von Art. 103
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 103 Effet suspensif - 1 En règle générale, le recours n'a pas d'effet suspensif.
1    En règle générale, le recours n'a pas d'effet suspensif.
2    Le recours a effet suspensif dans la mesure des conclusions formulées:
a  en matière civile, s'il est dirigé contre un jugement constitutif;
b  en matière pénale, s'il est dirigé contre une décision qui prononce une peine privative de liberté ferme ou une mesure entraînant une privation de liberté; l'effet suspensif ne s'étend pas à la décision sur les prétentions civiles;
c  en matière d'entraide pénale internationale, s'il a pour objet une décision de clôture ou toute autre décision qui autorise la transmission de renseignements concernant le domaine secret ou le transfert d'objets ou de valeurs;
d  en matière d'assistance administrative fiscale internationale.
3    Le juge instructeur peut, d'office ou sur requête d'une partie, statuer différemment sur l'effet suspensif.
BGG (vgl. Urteil 6B 917/2016 vom 9. Dezember 2016 E. 1). Auf das Gesuch ist nicht einzutreten.

2.

2.1. Der Beschwerdeführer rügt "hauptsächlich" eine Verletzung von Bundesrecht, indem die Vorinstanz davon ausgegangen sei, der Straftatbestand der fahrlässigen Tötung sei erfüllt. An bestimmten Stellen werde aber auch die unrichtige Feststellung des Sachverhalts gerügt, welche mit den Akten in Widerspruch stünden und bei welchen einzelne Beweise völlig einseitig berücksichtigt worden seien. Die Vorinstanz sei damit in Willkür verfallen und habe gegen den Grundsatz der Unschuldsvermutung verstossen.
Der Beschwerdeführer weist an mehreren Stellen auf das Urteil, bezeichnet aber lediglich an einer Stelle seiner Beschwerdeschrift ein Aktorium (betreffend einen gutachterlich festgestellten, aber im Ergebnis nicht entscheiderheblichen Cannabiskonsum zeitnah zum Unfall; Beschwerde S. 15). In dieser Weise ist Willkür nicht zu begründen.

2.2. In der Begründung ist in gedrängter Form darzulegen, inwiefern der angefochtene Akt Recht verletzt (Art. 42 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
Satz 1 BGG). Für die Anfechtung des Sachverhalts gilt das strenge Rügeprinzip (Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
i.V.m. Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG; BGE 141 IV 249 E. 1.3.1 S. 253). Wird die BV (Art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
und Art. 32 Abs. 1
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 32 Procédure pénale - 1 Toute personne est présumée innocente jusqu'à ce qu'elle fasse l'objet d'une condamnation entrée en force.
1    Toute personne est présumée innocente jusqu'à ce qu'elle fasse l'objet d'une condamnation entrée en force.
2    Toute personne accusée a le droit d'être informée, dans les plus brefs délais et de manière détaillée, des accusations portées contre elle. Elle doit être mise en état de faire valoir les droits de la défense.
3    Toute personne condamnée a le droit de faire examiner le jugement par une juridiction supérieure. Les cas où le Tribunal fédéral statue en instance unique sont réservés.
BV) als verletzt behauptet, besteht eine qualifizierte Rügepflicht (BGE 142 III 364 E. 2.4 S. 367 f.; Urteil 6B 272/2018 vom 15. Mai 2018 E. 3.4). Ob der Grundsatz "Im Zweifel für den Angeklagten" (in dubio pro reo) als Maxime der Beweiswürdigung verletzt ist, prüft das Bundesgericht auf Willkür hin, d.h. es hebt einen Entscheid erst auf, wenn er schlechterdings nicht zu vertreten ist, nicht schon wenn eine andere Entscheidung auch vertretbar wäre. Frei prüft das Bundesgericht hingegen, ob der beschuldigten Person die Beweislast zugeschoben wurde, sie also mit dem Argument verurteilt wurde, sie habe ihre Unschuld nicht dargelegt oder bewiesen (zu den beiden Maximen des Grundsatzes in dubio pro reo BGE 120 Ia 31 E. 2c und 2d S. 37 f.; zur Veröffentlichung vorgesehenes Urteil 6B 804/2017 vom 23. Mai 2018 E. 2.2.1 ff.). Willkür liegt nach ständiger Rechtsprechung nur vor, wenn die vorinstanzliche Beweiswürdigung
schlechterdings unhaltbar ist (BGE 143 IV 241 E. 2.3.1 S. 244). Die Rüge muss in der Beschwerde explizit vorgebracht und substanziiert, d.h. aktengestützt, begründet werden. Demzufolge genügt es nicht, einen von den tatsächlichen Feststellungen der Vorinstanz abweichenden Sachverhalt zu behaupten (Urteil 6B 720/2018 vom 3. Oktober 2018 E. 3.2).

2.3. Von einer willkürlichen Beweiswürdigung oder der Verletzung des Grundsatzes in dubio pro reo als Beweis- bzw. Beweislastmaxime oder der Unschuldsvermutung kann schlicht nicht die Rede sein. Die Einwände des Beschwerdeführers betreffen, soweit sie rechtserheblich sind, die objektive Zurechnung.

3.

3.1. Der Beschwerdeführer anerkennt den Sachverhalt "grösstenteils". Er bringt vor, vorgesehen gewesen sei, zuerst das Gerüst auf der gut zugänglichen, südlichen Seite des Hauptgebäudes zu erstellen und erst hernach die schwieriger zugängliche, rückseitige nordwestliche Seite einzurüsten.
"Dort musste das Gerüst mangels anderer Möglichkeit auf den untersten Teil des Welleternitdachs eines Nebengebäudes gestellt werden, das an das Hauptgebäude anschloss. Bei der besagten Begehung am allerersten Tag zeigte der Beschwerdeführer seinen Mitarbeitern - also auch dem später verunfallten E.C.________ - den Weg, welche diese zu nehmen hatten, um auf das rückseitige, nordwestliche Dach zur Erstellung des dortigen Gerüsts zu gelangen. Es war dies ein Weg durch das Innere des Firmengebäudes, bei welchem zuerst mit einem Warenlift ins 4. Obergeschoss zu fahren und von da zu einer rund 20 m entfernten Art Ausstiegslucke zu gehen war, um von dieser über eine Metallplattform/Metallkanzel an der Aussenseite des Gebäudes und eine dortige Metallleiter ca. 4 m hinab auf eine angemauerte Regenrinne zu gelangen, von wo aus man den Aufbau des Gerüsts auf das Eternitdach sicher vornehmen konnte" (Beschwerde S. 4 f.).

Er führt anschliessend aus, der zweite Vorarbeiter sei mit der dortigen nordwestlichen Baustellenleitung betraut worden:

"Dessen Instruktion nahm der erste Vorarbeiter F.________ vor, wobei er Y.________ den Weg auf das rückseitige Dach durch das Innere des Hauptgebäudes zwar nicht erklärte, jedoch den später tödlich verunfallten E.C.________ anwies, diesen Weg Y.________ zu zeigen. [...] Weder der Beschwerdeführer noch sein erster Vorarbeiter F.________ erklärten dem zweiten Vorarbeiter Y.________ direkt den Weg durch das Innere des Gebäudes auf das rückwärtige Dach" (Beschwerde S. 5).

3.2. Die Vorinstanz stellt fest, die beiden Beschuldigten würden den Anklagesachverhalt grundsätzlich anerkennen (Urteil S. 17).
Die Aufgabe habe darin bestanden, das Firmengebäude für nachfolgende Dachdeckerarbeiten einzurüsten. Am Morgen des 6. Mai 2011 sei Y.________ am Firmensitz von F.________ über die auszuführenden Arbeiten unterrichtet worden. Hierbei seien aber weder speziell zu beachtende Sicherheitsmassnahmen zur Sprache gekommen, namentlich seien keine Weisungen zur Sicherung der Baustelle erteilt worden, noch sei Y.________ vom Beschwerdeführer über den zu nehmenden Weg zum Arbeitsort orientiert worden, vielmehr sei er diesbezüglich an E.C.________ verwiesen worden. Im Verlauf der Arbeit hätten alle drei Arbeiter mehrfach via Gerüst an der Südfassade das Ziegeldach der Fabrik erklommen und dieses überquert, seien dann über ein weiteres Gerüst auf ein tiefer gelegenes Eternitdach hinabgestiegen und schliesslich diesem auf dem First über weitere Eternitdächer bis zur Einsatzstelle gefolgt. Den ursprünglich vorgesehenen Weg durch das Gebäudeinnere und dann via eine ca. vier Meter hohe, auf einer einbetonierten Regenrinne von ca. 32 cm Breite abgestellte, mobile Aluminiumleiter habe am 6. Mai 2011 keiner der drei Arbeiter benützt. Y.________ habe zwar die beiden Arbeiter angewiesen, die Eternitdächer nur dort zu betreten, wo die Platten mittels
Schrauben auf den Dachträgern befestigt gewesen seien, habe es aber in seiner Funktion als Chefmonteur unterlassen, E.C.________ und G.________ am grundsätzlichen Betreten der nicht durchbruchsicheren Eternitdächer zu hindern. Desgleichen habe es Y.________ unterlassen, sich beim Beschwerdeführer nach einem sicheren Weg zu erkundigen oder den als gefährlich erkannten Weg mit entsprechenden Vorkehrungen zu sichern.
Nach der Mittagspause sei E.C.________ über die ungesicherten Eternitdächer gelaufen, habe an der Südfassade das Material mit einer Rollwinde hinauftransportieren lassen und sei auf dem Rückweg neben dem First durch das mit Eternitplatten abgedeckte Dach eingebrochen (Urteil S. 18 f.).

3.3. Gemäss Art. 117
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 117 - Quiconque, par négligence, cause la mort d'une personne est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire.
StGB wird bestraft, wer fahrlässig den Tod eines Menschen verursacht. Der Tatbestand setzt den Tod einer Person, eine Sorgfaltspflichtverletzung und den Kausalzusammenhang zwischen Tod und Sorgfaltswidrigkeit voraus (BGE 122 IV 145 E. 3 S. 147; Urteile 6B 1098/2017 vom 5. April 2018 E. 4.2, 6B 174/2013 vom 20. Juni 2013 E. 3.1).
Nach Art. 12 Abs. 3
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 12 - 1 Sauf disposition expresse et contraire de la loi, est seul punissable l'auteur d'un crime ou d'un délit qui agit intentionnellement.
1    Sauf disposition expresse et contraire de la loi, est seul punissable l'auteur d'un crime ou d'un délit qui agit intentionnellement.
2    Agit intentionnellement quiconque commet un crime ou un délit avec conscience et volonté. L'auteur agit déjà intentionnellement lorsqu'il tient pour possible la réalisation de l'infraction et l'accepte au cas où celle-ci se produirait.
3    Agit par négligence quiconque, par une imprévoyance coupable, commet un crime ou un délit sans se rendre compte des conséquences de son acte ou sans en tenir compte. L'imprévoyance est coupable quand l'auteur n'a pas usé des précautions commandées par les circonstances et par sa situation personnelle.
StGB handelt fahrlässig, wer die Folge seines Verhaltens aus pflichtwidriger Unvorsichtigkeit nicht bedenkt oder darauf nicht Rücksicht nimmt (Satz 1). Pflichtwidrig ist die Unvorsichtigkeit, wenn die beschuldigte Person die Vorsicht nicht beachtet, zu der sie nach den Umständen und nach ihren persönlichen Verhältnissen verpflichtet ist (Satz 2). Fahrlässige Tötung kann durch Unterlassen begangen werden. Es handelt sich um ein unechtes Unterlassungsdelikt (vgl. BGE 113 IV 68 E. 5a S. 72; zur Abgrenzung von Handeln und Unterlassen Urteil 6B 1388/2017 vom 4. April 2018 E. 4.3). Pflichtwidrig untätig bleibt, wer die Gefährdung oder Verletzung eines strafrechtlich geschützten Rechtsgutes nicht verhindert, obwohl er aufgrund seiner Rechtsstellung dazu verpflichtet ist (Art. 11 Abs. 2
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 11 - 1 Un crime ou un délit peut aussi être commis par le fait d'un comportement passif contraire à une obligation d'agir.
1    Un crime ou un délit peut aussi être commis par le fait d'un comportement passif contraire à une obligation d'agir.
2    Reste passif en violation d'une obligation d'agir quiconque14 n'empêche pas la mise en danger ou la lésion d'un bien juridique protégé par la loi pénale bien qu'il y soit tenu à raison de sa situation juridique, notamment en vertu:
a  de la loi;
b  d'un contrat;
c  d'une communauté de risques librement consentie;
d  de la création d'un risque.
3    Quiconque reste passif en violation d'une obligation d'agir n'est punissable à raison de l'infraction considérée que si, compte tenu des circonstances, il encourt le même reproche que s'il avait commis cette infraction par un comportement actif.
4    Le juge peut atténuer la peine.
StGB).

3.4. Ein Schuldspruch wegen fahrlässiger Tötung setzt mithin voraus, dass der Täter den "Erfolg" durch Verletzung einer Sorgfaltspflicht verursacht hat. Dies ist der Fall, wenn er im Zeitpunkt der Tat auf Grund der Umstände sowie seiner Kenntnisse und Fähigkeiten die Gefährdung der Rechtsgüter des Opfers hätte erkennen können und müssen, und wenn er zugleich die Grenzen des erlaubten Risikos überschritten hat. Wo besondere, der Unfallverhütung und der Sicherheit dienende Normen ein bestimmtes Verhalten gebieten, bestimmt sich das Mass der zu beachtenden Sorgfalt in erster Linie nach diesen Vorschriften (BGE 143 IV 138 E. 2.1 S. 140).
Die zum Erfolg führenden Geschehensabläufe müssen für den Täter mindestens in ihren wesentlichen Zügen voraussehbar sein. Es gilt der Massstab der Adäquanz (BGE 135 IV 56 E. 2.1 S. 64). Der Erfolg muss zudem vermeidbar gewesen sein. Dabei wird ein hypothetischer Kausalverlauf untersucht und geprüft, ob der Erfolg bei pflichtgemässem Verhalten des Täters ausgeblieben wäre. Für die Zurechnung des Erfolgs genügt, wenn das Verhalten des Täters mindestens mit einem hohen Grad an Wahrscheinlichkeit die Ursache des Erfolgs bildete (BGE 135 IV 56 E. 2.1 S. 65).

3.5. Der Beschwerdeführer war der Sicherheitsverantwortliche seiner Firma (Urteil S. 23). Er hatte unbestreitbar eine Garantenstellung inne (Urteil S. 22). Er musste die nach den Umständen gebotenen Sicherheitsvorkehren anordnen und sich vergewissern, dass diese tatsächlich ausgeführt und eingehalten werden.
Die Vorinstanz verweist zunächst auf die zentrale arbeitsrechtliche Norm von Art. 328 Abs. 2
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 328 - 1 L'employeur protège et respecte, dans les rapports de travail, la personnalité du travailleur; il manifeste les égards voulus pour sa santé et veille au maintien de la moralité. En particulier, il veille à ce que les travailleurs ne soient pas harcelés sexuellement et qu'ils ne soient pas, le cas échéant, désavantagés en raison de tels actes.124
1    L'employeur protège et respecte, dans les rapports de travail, la personnalité du travailleur; il manifeste les égards voulus pour sa santé et veille au maintien de la moralité. En particulier, il veille à ce que les travailleurs ne soient pas harcelés sexuellement et qu'ils ne soient pas, le cas échéant, désavantagés en raison de tels actes.124
2    Il prend, pour protéger la vie, la santé et l'intégrité personnelle du travailleur, les mesures commandées par l'expérience, applicables en l'état de la technique, et adaptées aux conditions de l'exploitation ou du ménage, dans la mesure où les rapports de travail et la nature du travail permettent équitablement de l'exiger de lui.125
OR zum Schutz der Persönlichkeit des Arbeitnehmers im Allgemeinen:

"Er [der Arbeitgeber] hat zum Schutz von Leben, Gesundheit und persönlicher Integrität der Arbeitnehmerinnen und Arbeitnehmer die Massnahmen zu treffen, die nach der Erfahrung notwendig, nach dem Stand der Technik anwendbar und den Verhältnissen des Betriebes oder Haushaltes angemessen sind, soweit es mit Rücksicht auf das einzelne Arbeitsverhältnis und die Natur der Arbeitsleistung ihm billigerweise zugemutet werden kann."

Die Vorinstanz verweist sodann u.a. auf die Verordnung vom 19. Dezember 1983 über die Verhütung von Unfällen und Berufskrankheiten (Verordnung über die Unfallverhütung [VUV; SR 832.30]). Gemäss Art. 17
SR 832.30 Ordonnance du 19 décembre 1983 sur la prévention des accidents et des maladies professionnelles (Ordonnance sur la prévention des accidents, OPA) - Ordonnance sur la prévention des accident
OPA Art. 17 Toits - 1 Les toits sur lesquels les travailleurs doivent fréquemment monter pour des motifs inhérents à l'exploitation, seront conçus de telle sorte qu'ils soient praticables en toute sécurité.
1    Les toits sur lesquels les travailleurs doivent fréquemment monter pour des motifs inhérents à l'exploitation, seront conçus de telle sorte qu'ils soient praticables en toute sécurité.
2    Si les travailleurs doivent monter sur d'autres toits, des mesures destinées à prévenir les chutes seront prises auparavant.
VUV sind Dächer, die aus betrieblichen Gründen oft betreten werden müssen, so zu gestalten, dass sie von Arbeitern sicher begangen werden können (Abs. 1); bevor andere Dächer betreten werden, sind Massnahmen zu treffen, die den Absturz von Arbeitnehmern verhindern (Abs. 2). Sie verweist weiter auf die Verordnung vom 29. Juni 2005 über die Sicherheit und den Gesundheitsschutz der Arbeitnehmerinnen und Arbeitnehmer bei Bauarbeiten (Bauarbeitenverordnung [BauAV; SR 832.311.141]). Diese Verordnung legt legt nach ihrem Zweckartikel fest, welche Massnahmen für die Sicherheit und den Gesundheitsschutz der Arbeitnehmerinnen und Arbeitnehmer bei Bauarbeiten getroffen werden müssen. Gemäss Art. 8 Abs. 1
SR 832.311.141 Ordonnance du 18 juin 2021 sur la sécurité et la protection de la santé des travailleurs dans les travaux de construction (Ordonnance sur les travaux de construction, OTConst) - Ordonnance sur les travaux de construction
OTConst Art. 8 Sauvetage de victimes d'accidents - 1 Le sauvetage des victimes d'accidents doit être garanti.
1    Le sauvetage des victimes d'accidents doit être garanti.
2    Les numéros de téléphone des services de sauvetage les plus proches, comme le médecin, l'hôpital, l'ambulance, la police, les pompiers et l'hélicoptère, doivent être communiqués sous une forme appropriée aux travailleurs.
BauAV müssen die Arbeitsplätze sicher und über sichere Verkehrswege zu erreichen sein. Gemäss Art. 8 Abs. 2
SR 832.311.141 Ordonnance du 18 juin 2021 sur la sécurité et la protection de la santé des travailleurs dans les travaux de construction (Ordonnance sur les travaux de construction, OTConst) - Ordonnance sur les travaux de construction
OTConst Art. 8 Sauvetage de victimes d'accidents - 1 Le sauvetage des victimes d'accidents doit être garanti.
1    Le sauvetage des victimes d'accidents doit être garanti.
2    Les numéros de téléphone des services de sauvetage les plus proches, comme le médecin, l'hôpital, l'ambulance, la police, les pompiers et l'hélicoptère, doivent être communiqués sous une forme appropriée aux travailleurs.
BauAV gehören zur Gewährleistung der Sicherheit der Arbeitsplätze und Verkehrswege insbesondere die folgenden Massnahmen gemäss lit. a-h: u.a. sind Absturzsicherungen im Sinne der Artikel 15-19 anzubringen (lit. a), bei nicht
durchbruchsicheren Flächen, Bauteilen und Abdeckungen sind Abschrankungen anzubringen oder andere Massnahmen zu treffen, damit sie nicht versehentlich begangen werden; nötigenfalls sind sie mit tragfähigen Abdeckungen oder Laufstegen zu überbrücken (lit. b), beschränkt durchbruchsichere Flächen sind als solche zu kennzeichnen (lit. c). Gemäss Art. 33
SR 832.311.141 Ordonnance du 18 juin 2021 sur la sécurité et la protection de la santé des travailleurs dans les travaux de construction (Ordonnance sur les travaux de construction, OTConst) - Ordonnance sur les travaux de construction
OTConst Art. 33 Qualité de l'air - 1 Il convient de veiller à ce que:
1    Il convient de veiller à ce que:
a  l'air ambiant aux postes de travail contienne entre 19 et 21 % de volume d'oxygène;
b  les valeurs limites des substances dangereuses pour la santé dans l'air visées dans les directives sur la concentration admissible aux postes de travail selon l'art. 50, al. 3, OPA4 ne soient pas dépassées.
2    Les substances dangereuses pour la santé, notamment celles qui sont présentes dans les fouilles, les canalisations, les puits ou les tunnels et à l'intérieur des bâtiments doivent être:
a  évacuées à l'air libre, sans mettre personne en danger;
b  filtrées par un système de circulation d'air, ou
c  diluées au moyen d'une ventilation artificielle.
3    Les substances dangereuses pour la santé dont les effets cancérigènes sont connus doivent être évacuées à l'air libre, sans mettre personne en danger. Si cela s'avère impossible dans certains cas spécifiques, ces substances doivent être, selon l'état de la technique, soit filtrées par un système de circulation d'air, soit diluées au moyen d'une ventilation artificielle de sorte que l'exposition soit la plus faible possible.
4    La qualité de l'air doit être régulièrement contrôlée.
5    Lorsque la qualité de l'air nécessaire pour protéger les travailleurs ne peut être assurée au moyen de mesures techniques ou organisationnelles, des appareils de protection des voies respiratoires doivent être utilisés.
6    Si des appareils de protection des voies respiratoires avec apport artificiel d'air frais doivent être utilisés, il convient de faire appel à des travailleurs aptes à utiliser ces appareils compte tenu de leur constitution physique. Ces travailleurs doivent avoir été informés des dangers encourus et instruits à l'utilisation des appareils.
BauAV ist vor Beginn der Arbeiten abzuklären, ob die Dachflächen durchbruchsicher sind; kann dieses nicht nachgewiesen werden, müssen die entsprechende Massnahmen nach Artikel 35
SR 832.311.141 Ordonnance du 18 juin 2021 sur la sécurité et la protection de la santé des travailleurs dans les travaux de construction (Ordonnance sur les travaux de construction, OTConst) - Ordonnance sur les travaux de construction
OTConst Art. 35 Risque de noyade - 1 Afin d'éviter une chute dans l'eau lors de travaux exécutés au bord et au-dessus de l'eau, il convient de prendre des mesures conformément aux art. 23 et 29.
1    Afin d'éviter une chute dans l'eau lors de travaux exécutés au bord et au-dessus de l'eau, il convient de prendre des mesures conformément aux art. 23 et 29.
2    Si les mesures visées à l'al. 1 ne sont pas possibles d'un point de vue technique, il faut:
a  porter des équipements de protection et de sauvetage appropriés, tels que des gilets de sauvetage, et
b  avoir à disposition des bouées de sauvetage, des cordages, des lignes de jet et des crochets.
3    Lors de travaux exécutés au bord, dans et au-dessus d'eaux courantes, pour lesquels le risque existe que des travailleurs soient emportés, il convient de mettre à disposition des installations de retenue ou des bateaux de sauvetage à moteur, à moins que le sauvetage ne puisse être effectué à partir d'un emplacement situé à la surface, notamment depuis la rive, un ponton, un radeau, une plate-forme ou une passerelle.
4    Pour les travaux exécutés au bord, dans et au-dessus de l'eau, il convient de faire appel à des travailleurs aptes à réaliser ces travaux compte tenu de leur constitution physique. Ces travailleurs doivent avoir été informés des dangers encourus et instruits à l'utilisation d'engins de sauvetage.
getroffen werden. Nach Art. 35 Abs. 1
SR 832.311.141 Ordonnance du 18 juin 2021 sur la sécurité et la protection de la santé des travailleurs dans les travaux de construction (Ordonnance sur les travaux de construction, OTConst) - Ordonnance sur les travaux de construction
OTConst Art. 35 Risque de noyade - 1 Afin d'éviter une chute dans l'eau lors de travaux exécutés au bord et au-dessus de l'eau, il convient de prendre des mesures conformément aux art. 23 et 29.
1    Afin d'éviter une chute dans l'eau lors de travaux exécutés au bord et au-dessus de l'eau, il convient de prendre des mesures conformément aux art. 23 et 29.
2    Si les mesures visées à l'al. 1 ne sont pas possibles d'un point de vue technique, il faut:
a  porter des équipements de protection et de sauvetage appropriés, tels que des gilets de sauvetage, et
b  avoir à disposition des bouées de sauvetage, des cordages, des lignes de jet et des crochets.
3    Lors de travaux exécutés au bord, dans et au-dessus d'eaux courantes, pour lesquels le risque existe que des travailleurs soient emportés, il convient de mettre à disposition des installations de retenue ou des bateaux de sauvetage à moteur, à moins que le sauvetage ne puisse être effectué à partir d'un emplacement situé à la surface, notamment depuis la rive, un ponton, un radeau, une plate-forme ou une passerelle.
4    Pour les travaux exécutés au bord, dans et au-dessus de l'eau, il convient de faire appel à des travailleurs aptes à réaliser ces travaux compte tenu de leur constitution physique. Ces travailleurs doivent avoir été informés des dangers encourus et instruits à l'utilisation d'engins de sauvetage.
BauAV ist das Arbeiten auf nicht durchbruchsicheren Dachflächen nur von Laufstegen aus gestattet, und soweit dies nicht nicht möglich oder unverhältnismässig ist, sind ab einer Absturzhöhe von 3 m Auffangnetze oder Fanggerüste zu montieren. Sind Arbeiten in der Nähe von nicht durchbruchsicheren Dachflächen auszuführen, so sind diese gegenüber den Arbeitsbereichen abzuschranken oder durchbruchsicher abzudecken (Art. 35 Abs. 2
SR 832.311.141 Ordonnance du 18 juin 2021 sur la sécurité et la protection de la santé des travailleurs dans les travaux de construction (Ordonnance sur les travaux de construction, OTConst) - Ordonnance sur les travaux de construction
OTConst Art. 35 Risque de noyade - 1 Afin d'éviter une chute dans l'eau lors de travaux exécutés au bord et au-dessus de l'eau, il convient de prendre des mesures conformément aux art. 23 et 29.
1    Afin d'éviter une chute dans l'eau lors de travaux exécutés au bord et au-dessus de l'eau, il convient de prendre des mesures conformément aux art. 23 et 29.
2    Si les mesures visées à l'al. 1 ne sont pas possibles d'un point de vue technique, il faut:
a  porter des équipements de protection et de sauvetage appropriés, tels que des gilets de sauvetage, et
b  avoir à disposition des bouées de sauvetage, des cordages, des lignes de jet et des crochets.
3    Lors de travaux exécutés au bord, dans et au-dessus d'eaux courantes, pour lesquels le risque existe que des travailleurs soient emportés, il convient de mettre à disposition des installations de retenue ou des bateaux de sauvetage à moteur, à moins que le sauvetage ne puisse être effectué à partir d'un emplacement situé à la surface, notamment depuis la rive, un ponton, un radeau, une plate-forme ou une passerelle.
4    Pour les travaux exécutés au bord, dans et au-dessus de l'eau, il convient de faire appel à des travailleurs aptes à réaliser ces travaux compte tenu de leur constitution physique. Ces travailleurs doivent avoir été informés des dangers encourus et instruits à l'utilisation d'engins de sauvetage.
BauAV).

3.6. Der Beschwerdeführer hatte Y.________ nicht entsprechend informiert, sondern den Geschädigten angewiesen, diesem den korrekten Weg zu zeigen. Zu Recht stuft die Vorinstanz eine solche Delegation von sicherheitsrelevanten Fragen an den sicherheitstechnisch nicht geschulten Temporärarbeiter als von vornherein nicht zulässig ein und erkennt darin eine Sorgfaltswidrigkeit. Der Beschwerdeführer hatte pflichtwidrig nicht von Anfang an geprüft, ob das zu betretende Dach durchbruchsicher war, und er hatte nicht für entsprechende Massnahmen zum Schutz der Arbeiter gesorgt (Urteil S. 23 f.).
Auch hatte sich die Baustelle am 6. Mai 2011 anders präsentiert, weil durch das neu erstellte Gerüst auf der Südseite des Gebäudes ein Zugang zu den Dächern geschaffen worden war, welcher bei der ursprünglichen Begehung noch nicht existierte. Die Vorinstanz nimmt an, es sei daher fraglos damit zu rechnen gewesen, dass ein Arbeiter diesen Weg wählen könnte. Es seien keine Umstände zu erkennen, aufgrund derer das Verhalten des Geschädigten den adäquaten Kausalzusammenhang hätte unterbrechen können, insbesondere auch nicht aufgrund der Tatsache, dass dieser im Zeitpunkt des Unfalls unter der Wirkung von THC gestanden hatte. Der Beschwerdeführer hätte dafür sorgen müssen, dass sich der Geschädigte nicht im Gefahrenbereich aufhält, bzw. hätte er den Gefahrenbereich mittels geeigneter Massnahmen entschärfen müssen (Urteil S. 24, 25).
Zur Vorhersehbarkeit führt die Vorinstanz aus, es gebe keine Hinweise, dass Y.________ Weisungen missachtet hätte. Bei pflichtgemässem Alternativverhalten des Beschwerdeführers, insbesondere der Absicherung des Gefahrenbereichs, wäre es nicht zu dem Unfall gekommen (Urteil S. 25-27). Die Kritik des Beschwerdeführers hinsichtlich des Verhaltens von Y.________ geht an der Sache vorbei. Dieser wurde denn auch wegen Pflichtwidrigkeit seinerseits wie der Beschwerdeführer für schuldig befunden.

3.7. Der Beschwerdeführer wendet unbehelflich ein, die Vorinstanz nehme willkürlich an, es lasse sich nicht mehr eruieren, wie verbindlich und eindeutig die fragliche Anweisung an den Geschädigten bezüglich des Weges gewesen sei (Beschwerde S. 11). Er legt indes nicht dar, aus welchen Akten sich das Gegenteil ergeben sollte. Entgegen dem Beschwerdeführer ist ohnehin nicht "allein massgebend", dass eine Anweisung an den Geschädigten erfolgt ist. Massgebend ist, dass der Beschwerdeführer die Gefahrenstelle nicht gesichert hat.
Der Beschwerdeführer wendet sich ebenfalls gegen die Annahme der Vorinstanz betreffend den neu eröffneten Zugang von der Südseite her durch die Erstellung des Gerüsts. Die Vorinstanz habe damit die Anweisungen an den Geschädigten unterschlagen (Beschwerde S. 13).
Erneut ist darauf hinzuweisen, dass der Beschwerdeführer die Gefahrenstelle von allem Anfang an hätte sichern müssen (oben E. 3.5). Dass der Geschädigte "eigenmächtig den ihm wohl bequemer und schneller erscheinenden Weg über die Eternitdächer" nehmen könnte (Beschwerde S. 13), war nach aller Erfahrung vorauszusehen. Alle drei Arbeiter wählten diesen Weg. Es lässt sich nicht ernsthaft annehmen, dass die Arbeiter in der bestehenden Arbeitssituation den vom Beschwerdeführer gezeigten, höchst umständlichen und wohl ebenfalls nicht unproblematischen Weg auch tatsächlich jedes Mal beschreiten würden. Vom Gegenteil auszugehen, würde angesichts der Arbeitsrealität bereits die Fahrlässigkeit eines Sicherheitsverantwortlichen begründen. Das Verhalten des Beschwerdeführers (nämlich die unterlassene Sicherung bzw. Erstellung eines von Anfang an sicheren Zugangs) war nach dem gewöhnlichen Lauf der Dinge und den Erfahrungen des Lebens geeignet, einen Erfolg wie den eingetretenen herbeizuführen oder mindestens zu begünstigen (BGE 135 IV 56 E. 2.1 S. 64). Damit ist die Adäquanz zu bejahen. Der Einwand des Beschwerdeführers, den Geschädigten treffe ein Mitverschulden, vermag ihn nicht zu entlasten. Das Strafrecht kennt keine
Verschuldenskompensation. Dieses Mitverschulden bildet keinen "ganz aussergewöhnlichen Umstand" im Sinne der Unterbrechung des Kausalzusammenhangs, mit dem schlechthin nicht gerechnet werden musste und der derart schwer wiegt, dass er alle anderen Ursachen, namentlich das Verhalten des Beschwerdeführers in den Hintergrund drängt (BGE 135 IV 56 E. 2.1 S. 64 f.). Wer eine spezifische Kontrollverantwortung innehat, muss mit Fehlern rechnen (Urteil 6B 174/2013 vom 20. Juni 2013 E. 3.4.2 [Arztstrafrecht]). Der adäquate Kausalzusammenhang wird unterbrochen, wenn zu einer an sich adäquaten Ursache eine andere Ursache hinzutritt, die einen derart hohen Wirkungsgrad aufweist, dass erstere nach wertender Betrachtungsweise als rechtlich nicht mehr beachtlich erscheint; entscheidend ist die Intensität der beiden Ursachen (BGE 130 III 182 E. 5.4 S. 188). Das Verhalten eines Dritten vermag den Kausalzusammenhang nur zu unterbrechen, wenn diese Zusatzursache derart ausserhalb des normalen Geschehens liegt, derart unsinnig ist, dass damit nicht zu rechnen war (BGE 142 IV 237 E. 1.5.2 S. 244; Urteil 6B 1388/2017 vom 4. April 2018 E. 4.5.2 und 4.5.3 [Sportunfall]). Das Verhalten des Geschädigten liegt nicht derart ausserhalb des normalen
Geschehens, ist nicht derart unsinnig, dass damit nicht zu rechnen war. Der Sachverhalt lässt sich nicht mit jenem im Urteil 6S.262/2006 vom 23. Oktober 2006 E. 2.2 vergleichen, wo sich der ausgebildete Polier nicht an die Weisung des Baustellenleiters hielt, bis zum Abschalten der Fahrleitung mit der Arbeit zuzuwarten. In casu unterliess es der Beschwerdeführer eine nach aller Erfahrung augenscheinlich gefährliche Situation entgegen eindeutigen Vorschriften zu sichern. Mit einer blossen Anweisung an den Geschädigten entschärfte er weder diesen Gefahrenherd noch genügte er den allgemein einleuchtenden Vorschriften. Als nicht unterbrechenskausal gewertet werden kann überdies der "zeitnahe" THC-Konsum des Geschädigten. Kausal wirkte sich aus, dass der Geschädigte beim Abholen des für den Gerüstbau benötigten Materials beim Rückweg auf dem First durch das nicht gesicherte Dach einbrach (oben E. 3.2 in fine).

3.8. Der Beschwerdeführer bringt vor, die Vorinstanz sage nicht, welche Sicherungsmassnahmen er unterlassen habe. Insoweit sie ihre Annahme des hypothetischen Kausalzusammenhangs auf fehlende Sicherheitsvorkehrungen stütze, biete der Sachverhalt keinerlei Grundlagen und sei dieser in diesem Sinne unvollständig und unrichtig. Die Vorinstanz verkenne mit dem Hinweis auf Art. 17 Abs. 1
SR 832.30 Ordonnance du 19 décembre 1983 sur la prévention des accidents et des maladies professionnelles (Ordonnance sur la prévention des accidents, OPA) - Ordonnance sur la prévention des accident
OPA Art. 17 Toits - 1 Les toits sur lesquels les travailleurs doivent fréquemment monter pour des motifs inhérents à l'exploitation, seront conçus de telle sorte qu'ils soient praticables en toute sécurité.
1    Les toits sur lesquels les travailleurs doivent fréquemment monter pour des motifs inhérents à l'exploitation, seront conçus de telle sorte qu'ils soient praticables en toute sécurité.
2    Si les travailleurs doivent monter sur d'autres toits, des mesures destinées à prévenir les chutes seront prises auparavant.
VUV, dass es sich nicht um ein Dach gehandelt habe, welches aus betrieblichen Gründen habe betreten werden müssen; es habe weder einen Arbeitsbereich noch einen autorisierten Arbeitsweg dargestellt (Beschwerde S. 20).
Es ist hier lediglich zu wiederholen, dass der Arbeitgeber einerseits für sichere Zugangswege zu sorgen hat und andererseits bei Bauarbeiten in der Nähe von nicht durchbruchsicheren Dachflächen diese gegenüber den Arbeitsbereichen "abzuschranken oder durchbruchsicher abzudecken" hat (Art. 35 Abs. 2
SR 832.311.141 Ordonnance du 18 juin 2021 sur la sécurité et la protection de la santé des travailleurs dans les travaux de construction (Ordonnance sur les travaux de construction, OTConst) - Ordonnance sur les travaux de construction
OTConst Art. 35 Risque de noyade - 1 Afin d'éviter une chute dans l'eau lors de travaux exécutés au bord et au-dessus de l'eau, il convient de prendre des mesures conformément aux art. 23 et 29.
1    Afin d'éviter une chute dans l'eau lors de travaux exécutés au bord et au-dessus de l'eau, il convient de prendre des mesures conformément aux art. 23 et 29.
2    Si les mesures visées à l'al. 1 ne sont pas possibles d'un point de vue technique, il faut:
a  porter des équipements de protection et de sauvetage appropriés, tels que des gilets de sauvetage, et
b  avoir à disposition des bouées de sauvetage, des cordages, des lignes de jet et des crochets.
3    Lors de travaux exécutés au bord, dans et au-dessus d'eaux courantes, pour lesquels le risque existe que des travailleurs soient emportés, il convient de mettre à disposition des installations de retenue ou des bateaux de sauvetage à moteur, à moins que le sauvetage ne puisse être effectué à partir d'un emplacement situé à la surface, notamment depuis la rive, un ponton, un radeau, une plate-forme ou une passerelle.
4    Pour les travaux exécutés au bord, dans et au-dessus de l'eau, il convient de faire appel à des travailleurs aptes à réaliser ces travaux compte tenu de leur constitution physique. Ces travailleurs doivent avoir été informés des dangers encourus et instruits à l'utilisation d'engins de sauvetage.
BauAV; oben E. 3.5). Nach dem Sachverhalt ist klar, dass der Beschwerdeführer keine Sicherheitsvorkehren gemäss dem einschlägigen Recht und der augenscheinlichen örtlichen Notwendigkeit angeordnet und durchgesetzt hatte. Der Einwand geht sodann an der Sache vorbei. Alle Arbeiter wählten am ersten Arbeits-Vormittag diesen Weg. Wie dargelegt, musste der Beschwerdeführer (nach der Adäquanztheorie) damit rechnen, dass die Arbeiter einen "bequemer und schneller erscheinenden Weg" (oben E. 3.7) wählen würden.
Schliesslich ist notorisch, dass Arbeiter unter Arbeits- und Termindruck oder angesichts einer durch Sicherheitsvorkehren empfundenen Umständlichkeit die Eigensicherung gelegentlich zurückzustellen versucht sind und sich damit selbst gefährden. Dieser Gefährdung hat der Arbeitgeber vorzubeugen. Sicherungstechnik ist die Kernkompetenz des Gerüstbauers.

4.
Die Beschwerde ist abzuweisen, soweit darauf einzutreten ist. Dem Beschwerdeführer sind die Gerichtskosten aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 3'000.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.

3.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Kantonsgericht Basel-Landschaft, Abteilung Strafrecht, schriftlich mitgeteilt.

Lausanne, 24. Oktober 2018

Im Namen der Strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Der Präsident: Denys

Der Gerichtsschreiber: Briw