Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

{T 0/2}
8C 605/2012

Urteil vom 21. September 2012
I. sozialrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichter Ursprung, Präsident,
Bundesrichterinnen Leuzinger, Niquille,
Gerichtsschreiberin Durizzo.

Verfahrensbeteiligte
S.________, vertreten durch
Rechtsanwalt Kurt Brunner,
Beschwerdeführer,

gegen

Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (SUVA), Fluhmattstrasse 1, 6004 Luzern,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Unfallversicherung (Invalidenrente),

Beschwerde gegen den Entscheid des Verwaltungsgerichts des Kantons Zug
vom 24. Mai 2012.

Sachverhalt:

A.
S.________, geboren 1977, hatte sich am 5. August 2008 bei einem Sturz eine Fraktur an der rechten Hand zugezogen (subcapitale Metacarpaleköpfchen-Fraktur Dig. V). Er klagte über anhaltende Beschwerden, und auch nach einer Korrekturosteotomie am 22. Januar 2009 zeigte sich eine Deviation um etwa 30 Grad. Nachdem er seine Tätigkeit als Maurer-Akkordant nicht mehr hatte aufnehmen können, wurde ihm die Stelle auf den 31. Januar 2009 gekündigt. Die Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (SUVA), bei welcher er für die Folgen von Berufs- und Nichtberufsunfällen sowie Berufskrankheiten versichert war, schloss den Fall mit Verfügung vom 26. Oktober 2010 und Einspracheentscheid vom 6. Juni 2011 ab und stellte ihre Versicherungsleistungen ein mit der Begründung, dass gemäss den medizinischen Abklärungen keine wesentlichen objektiven Einschränkungen mehr bestünden und auf dem allgemeinen Arbeitsmarkt, insbesondere auch als Akkordmaurer, wieder eine volle Arbeitsfähigkeit bestehe.

B.
Die dagegen erhobene Beschwerde wies das Verwaltungsgericht des Kantons Zug mit Entscheid vom 24. Mai 2012 ab.

C.
S.________ lässt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten führen mit dem Antrag, unter Aufhebung des angefochtenen Entscheides seien ihm die gesetzlichen Leistungen zuzusprechen; namentlich werden weitere Abklärungen zur Festsetzung einer Invalidenrente und einer Integritätsentschädigung beantragt.

Die vorinstanzlichen Akten wurden eingeholt. Ein Schriftenwechsel wurde nicht durchgeführt.

Erwägungen:

1.
1.1 Die Beschwerde kann wegen Rechtsverletzung gemäss Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
und Art. 96
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour:
a  inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse;
b  application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire.
BGG erhoben werden. Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG). Es ist somit weder an die in der Beschwerde geltend gemachten Argumente noch an die Erwägungen der Vorinstanz gebunden; es kann eine Beschwerde aus einem anderen als dem angerufenen Grund gutheissen und es kann sie mit einer von der Argumentation der Vorinstanz abweichenden Begründung abweisen (vgl. BGE 130 III 136 E. 1.4 S. 140). Gemäss Art. 42 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG ist die Beschwerde hinreichend zu begründen, andernfalls wird darauf nicht eingetreten (Art. 108 Abs. 1 lit. b
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 108 Juge unique - 1 Le président de la cour décide en procédure simplifiée de ne pas entrer en matière:
1    Le président de la cour décide en procédure simplifiée de ne pas entrer en matière:
a  sur les recours manifestement irrecevables;
b  sur les recours dont la motivation est manifestement insuffisante (art. 42, al. 2);
c  sur les recours procéduriers ou abusifs.
2    Le président de la cour peut confier cette tâche à un autre juge.
3    L'arrêt est motivé par une brève indication de la cause de l'irrecevabilité.
BGG). Das Bundesgericht prüft grundsätzlich nur die geltend gemachten Rügen; es ist nicht gehalten, wie eine erstinstanzliche Behörde alle sich stellenden rechtlichen Fragen zu prüfen, wenn diese vor Bundesgericht nicht mehr vorgetragen wurden. Es kann die Verletzung von Grundrechten und von kantonalem und interkantonalem Recht nur insofern prüfen, als eine solche Rüge in der Beschwerde vorgebracht und begründet worden ist (Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG).

1.2 Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
und Art. 105 Abs. 3
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG).

2.
Der Beschwerdeführer macht sinngemäss im Wesentlichen geltend, dass die ärztlichen Stellungnahmen widersprüchlich und eine volle Arbeitsfähigkeit in der angestammten Tätigkeit nicht ausgewiesen sei. Insbesondere habe die SUVA zu Unrecht auf die Einschätzungen des Prof. Dr. med. T.________ sowie ihres Kreisarztes abgestellt.

3.
Das kantonale Gericht hat die Bestimmungen und Grundsätze zum Beweiswert von Arztberichten und medizinischen Gutachten (BGE 135 V 465 E. 4.3 S. 468 ff.; 125 V 351 E. 3 S. 352 ff.) zutreffend dargelegt. Darauf wird verwiesen.

4.
SUVA-Kreisarzt Dr. med. M.________ stellte nach seiner Untersuchung vom 22. Dezember 2009 eine Fehlstellung im Bereich des rechten Kleinfingers (Deviation um 30 Grad) sowie eine Einschränkung beim Faustschluss fest (fehlende ca. 7 cm von der Fingerspitze bis zur Handinnenfläche). Er überwies den Versicherten - unter Beilage seines Untersuchungsberichtes vom 23. Dezember 2009, welcher auch einen Hinweis auf die berufliche Situation enthält - zur Beurteilung und allfälligen Weiterbehandlung an Prof. Dr. med. T.________, FMH Chirurgie, spez. Handchirurgie, Klinik X.________. Gemäss dessen Bericht vom 15. Januar 2010 wurde die Faust bei der Untersuchung mit keinem Finger voll geschlossen und der kleine Finger aktiv voll gestreckt gehalten. Passiv habe der Versicherte die Faust jedoch locker komplett schliessen und auch alle Endglieder voll einkrallen können. Prof. Dr. med. T.________ schloss daraus, dass die vorgeführte Faustschlussbehinderung erheblichen demonstrativen Charakter habe. Es fand sich an der rechten Hand weder eine Schwellung noch eine Muskelminderung. Nach den Ausführungen des Prof. Dr. med. T.________ kann eine Fehlstellung grundsätzlich durch das sehr bewegliche Grundgelenk des Kleinfingers kompensiert werden, sodass
objektiv keine Funktionsbeeinträchtigung besteht. Aufgrund der von ihm erhobenen und im Bericht im Einzelnen dargestellten Befunde war davon auch im vorliegenden Fall auszugehen. In Kenntnis dieses Berichtes führte SUVA-Kreisarzt Dr. med. M.________ am 4. März 2010 eine entsprechend differenzierte Untersuchung durch und stellte ebenfalls fest, dass es bei Ablenkung des Versicherten praktisch zur Normalstellung komme und auch der Faustschluss passiv ohne grossen Widerstand vollständig und mit Einkrallen aller Finger durchgeführt werde, was seiner Auffassung nach bei einer effektiven Fehlstellung nicht möglich wäre. Mit Blick auf diesen Untersuchungsbefund war auch nach Einschätzung des SUVA-Kreisarztes eine Einschränkung nicht zu objektivieren, sodass der Versicherte in praktisch sämtlichen Tätigkeiten ganztags eingesetzt werden könne und auch eine Integritätsentschädigung nicht geschuldet sei.

In seiner Beurteilung vom 3. Dezember 2010 ergänzte SUVA-Kreisarzt Dr. med. M.________, dass Schaftfrakturen, wie sie der Versicherte erlitten habe, meistens problemlos heilen würden. Manchmal komme es zu Fehlstellungen, welche jedoch recht gut toleriert würden. Im Fall des Versicherten habe eine solche nicht objektiviert werden können, denn die Abspreizung sei bei Ablenkung nicht mehr vorhanden und die Untersuchung bei ihm und bei Prof. T.________ sei komplett normal gewesen. Zufolge des objektiv blanden Befundes könne keine Reduktion der Arbeitsfähigkeit oder der Leistungsfähigkeit festgestellt werden.

5.
Demgegenüber fällt auf und ist entscheidwesentlich, dass die vom Beschwerdeführer konsultierten Ärzte von diesen Befunden keine Kenntnis hatten.

Sie berichteten in der Folge wiederholt von der vom Versicherten gezeigten Fehlstellung. So liegt etwa eine entsprechende Stellungnahme des Dr. med. R.________, Facharzt Allgemein- und Rettungsmedizin und Naturheilkunde, vor (nicht datiert, bei der SUVA eingegangen am 7. April 2010). Dr. med. L.________, FMH Chirurgie, spez. Handchirurgie, welcher den Versicherten operiert hatte, wies am 19. Mai 2010 ausdrücklich darauf hin, dass ihm die Beurteilung des Prof. Dr. med. T.________ nicht bekannt sei, und rapportierte, ebenfalls nach entsprechender Befunderhebung, dass sich der Versicherte nicht fähig fühle, den Beruf als Akkordmaurer wieder aufzunehmen. Im Einspracheverfahren gab Dr. med. L.________ am 25. November 2010 zuhanden des Rechtsvertreters des Versicherten an, dass dieser als Akkordmaurer in der Arbeitsfähigkeit eingeschränkt sein dürfte und er nicht mehr die gleiche Leistung erbringe; in einer angepassten Tätigkeit sei er zu 100% arbeitsfähig. Nach Erlass des Einspracheentscheides wurde ein Bericht des Dr. med. O.________, Facharzt FMH für Orthopädische Chirurgie und Traumatologie des Bewegungsapparates, vom 5. Juli 2011 eingereicht, welcher ebenfalls eine Fehlstellung und eine eingeschränkte Greiffunktion der rechten Hand
erwähnte und den Versicherten an die Klinik Y.________, überwies.

Nachdem den erwähnten Ärzten namentlich die Einschätzung des Prof. Dr. med. T.________ nicht bekannt war und sie sich daher mit den von ihm erhobenen Befunden nicht auseinandersetzen, kann auf ihre Berichte nicht abgestellt werden. Zur Arbeitsfähigkeit äusserten sich einzig Dr. med. L.________, welcher sich jedoch ausdrücklich auf die Angaben des Versicherten stützte, sowie Dr. med. O.________, welcher die Ausübung der angestammten Tätigkeit wegen der eingeschränkten Greiffunktion als unmöglich erachtete. Damit lassen sich keine Zweifel am Bericht des Prof. Dr. med. T.________ und an den kreisärztlichen Stellungnahmen begründen. Diese werden durch Dr. med. K.________, Klinik Y.________, Handchirurgie, vom 22. August 2011, insoweit bestätigt, als seiner Einschätzung nach funktionell ein gutes Bewegungsausmass vorliege und der Kleinfinger problemlos an den Ringfinger adduziert werden könne, weshalb er von einer weiteren operativen Korrektur wie auch von einer Revision des Nervs (Ramus dorsalis nervi ulnaris), welcher allenfalls eine Schmerzsymptomatik verursachen könne, abriet. Auch die im vorinstanzlichen Verfahren eingereichten Berichte vermögen daran nichts zu ändern. So verwies Dr. med. L.________ am 16. Juni 2011 zuhanden des
Rechtsvertreters des Versicherten erneut auf dessen Schmerzangaben und vermochte sich, ebenso wie Dr. med. K.________ am 27. März 2012, zur Arbeitsfähigkeit als Akkordmaurer nicht zu äussern. Die Überprüfung der prospektiven Festsetzung der Arbeitsfähigkeit ex post wäre an sich zulässig gewesen, wenn bis zu dem für die richterliche Überprüfung massgebenden Zeitpunkt des hier angefochtenen Einspracheentscheides (BGE 129 V 167 E. 1 S. 169) eine sachverhaltliche Grundlage für eine zuverlässige Beurteilung bestanden hätte (RKUV 2005 Nr. U 560 S. 398, U 3/04 E. 2.2). Das Attest einer siebentägigen 100%igen Arbeitsunfähigkeit des Dr. med. R.________ vom 17. Juni 2011 zufolge einer behandlungsbedürftigen massiven entzündlichen und schmerzhaften Schwellung, welche sich nach Antritt einer (von der Invalidenversicherung vermittelten) Praktikumsstelle mit regelmässig schwerer Arbeit eingestellt habe, kann indessen mit Blick auf die genannten Voraussetzungen keine Berücksichtigung finden.

6.
Damit ist die Beurteilung der Vorinstanz, welche gestützt auf die erwähnten Stellungnahmen des Prof. Dr. med. T.________ und des SUVA-Kreisarztes von einer uneingeschränkten Arbeitsfähigkeit in der angestammten Tätigkeit ausgegangen ist und daher einen Anspruch auf eine Invalidenrente verneint hat, nicht zu beanstanden.

Gleiches gilt hinsichtlich des Anspruchs auf eine Integritätsentschädigung; während sich das kantonale Gericht dazu einlässlich geäussert hat, erneuert der Beschwerdeführer seinen diesbezüglichen Antrag, ohne sich jedoch mit den vorinstanzlichen Erwägungen auseinanderzusetzen.

Der Beschwerdeführer rügt schliesslich, dass der Fall zu früh abgeschlossen worden sei. Er macht diesbezüglich einzig geltend, dass die Eingliederungsmassnahmen der Invalidenversicherung noch nicht abgeschlossen seien, was hier jedoch keine Berücksichtigung finden kann. Die Invalidenversicherung hat am 18. April 2011 in Kenntnis des Standes der Abklärungen der SUVA berufliche Massnahmen gewährt, wobei nach Lage der Akten dafür ausschlaggebend nicht die Beschwerden an der Hand, sondern ein Rückenleiden war. Zur Frage der noch möglichen namhaften Besserung als Voraussetzung für eine weitere Gewährung von Taggeldern durch den Unfallversicherer (Art. 19 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 19 Naissance et extinction du droit - 1 Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53.
1    Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53.
2    Le droit à la rente s'éteint lorsque celle-ci est remplacée en totalité par une indemnité en capital, lorsqu'elle est rachetée ou lorsque l'assuré décède. ...54.
3    Le Conseil fédéral édicte des prescriptions détaillées sur la naissance du droit aux rentes lorsque l'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré, mais que la décision de l'assurance-invalidité quant à la réadaptation professionnelle intervient plus tard.
UVG; BGE 134 V 109 E. 3 und 4 S. 112 ff.) hat sich das kantonale Gericht zutreffend geäussert.

7.
Die Beschwerde kann ohne Durchführung des Schriftenwechsels (Art. 102 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 102 Échange d'écritures - 1 Si nécessaire, le Tribunal fédéral communique le recours à l'autorité précédente ainsi qu'aux éventuelles autres parties ou participants à la procédure ou aux autorités qui ont qualité pour recourir; ce faisant, il leur impartit un délai pour se déterminer.
1    Si nécessaire, le Tribunal fédéral communique le recours à l'autorité précédente ainsi qu'aux éventuelles autres parties ou participants à la procédure ou aux autorités qui ont qualité pour recourir; ce faisant, il leur impartit un délai pour se déterminer.
2    L'autorité précédente transmet le dossier de la cause dans le même délai.
3    En règle générale, il n'y a pas d'échange ultérieur d'écritures.
BGG) erledigt werden.

8.
Das Verfahren ist kostenpflichtig (Art. 65
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
1    Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
2    L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière.
3    Son montant est fixé en règle générale:
a  entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations.
4    Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent:
a  des prestations d'assurance sociale;
b  des discriminations à raison du sexe;
c  des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs;
d  des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24.
5    Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4.
BGG). Die Gerichtskosten werden dem unterliegenden Beschwerdeführer auferlegt (Art. 65 Abs. 4 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
1    Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
2    L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière.
3    Son montant est fixé en règle générale:
a  entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations.
4    Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent:
a  des prestations d'assurance sociale;
b  des discriminations à raison du sexe;
c  des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs;
d  des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24.
5    Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4.
in Verbindung mit Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 750.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.

3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Verwaltungsgericht des Kantons Zug und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.

Luzern, 21. September 2012

Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Der Präsident: Ursprung

Die Gerichtsschreiberin: Durizzo