Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

{T 0/2}
9C 651/2012

Urteil vom 15. Mai 2013
II. sozialrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichter Kernen, Präsident,
Bundesrichter Meyer, Bundesrichterin Glanzmann,
Gerichtsschreiberin Helfenstein.

Verfahrensbeteiligte
M.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Werner Buchter,
Beschwerdeführer,

gegen

Ausgleichskasse des Kantons Schaffhausen, Oberstadt 9, 8200 Schaffhausen,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Alters- und Hinterlassenenversicherung,

Beschwerde gegen den Entscheid des Obergerichts des Kantons Schaffhausen vom 22. Juni 2012.

Sachverhalt:

A.
M.________ amtete seit der Gründung der X.________ AG im Jahr 1993 bis Dezember 2007 als einziges Mitglied des Verwaltungsrats mit Einzelunterschrift. Vom 11. April 2006 bis 22. Februar 2008 war K.________ als Geschäftsführer im Handelsregister eingetragen. Am xx. xx. 2008 wurde die Gesellschaft gestützt auf die Verfügung des Kantonsgerichts Schaffhausen vom xx. xx. 2008 wegen fehlenden Organen aufgelöst. Am 9. September 2008 wurde über das Vermögen der Gesellschaft der Konkurs eröffnet und am 5. Dezember 2008 mangels Aktiven wieder eingestellt. Mit Verfügung vom 12. Januar 2010 verpflichtete die Ausgleichskasse M.________ zur Bezahlung von Schadenersatz für entgangene bundes- und kantonalrechtliche Sozialversicherungsbeiträge in der Höhe von Fr. 34'661.20 (einschliesslich FAK-Beiträge, Verwaltungskosten, Verzugszinsen, Mahngebühren und Betreibungskosten). Die hiegegen von M._______ erhobene Einsprache wies die Ausgleichskasse mit Entscheid vom 25. Juni 2010 ab.

B.
Die gegen den Einspracheentscheid erhobene Beschwerde wies das Obergericht des Kantons Schaffhausen mit Entscheid vom 22. Juni 2012 ab, nachdem es vom Bundesamt für Sozialversicherungen (BSV) eine Stellungnahme vom 20. April 2011 zur Beitragspflicht der Arbeitnehmer der konkursiten Gesellschaft eingeholt hatte, in welcher auf die Bestätigung einer Sondervereinbarung der Deutschen Verbindungsstelle Krankenversicherung - Ausland (DVKA) vom 11. April 2011 verwiesen wurde.

C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten lässt M.________ beantragen, der vorinstanzliche Entscheid sei aufzuheben und er sei von der Schadenersatzpflicht zu befreien. Eventualiter sei die Sache zur Neubeurteilung an die Vorinstanz zurückzuweisen.

Das kantonale Sozialversicherungsgericht und die Ausgleichskasse schliessen auf Abweisung der Beschwerde, während das BSV auf eine Vernehmlassung verzichtet.

Erwägungen:

1.
Die Zuständigkeit der II. sozialrechtlichen Abteilung des Bundesgerichts zum Entscheid über die streitige Schadenersatzpflicht erstreckt sich auch auf die Forderung für entgangene Sozialversicherungsbeiträge nach kantonalem Recht (Urteil 9C 704/2007 vom 17. März 2008 E. 1, nicht publ. in: BGE 134 I 179, aber in: SVR 2008 FL Nr. 1 S. 1, 9C 720/2008 vom 7. Dezember 2009, E. 1). Diesbezüglich gilt eine qualifizierte Rügepflicht (Urteil 9C 684/2012 vom 7. März 2013 mit weiteren Hinweisen), welcher in der Beschwerde nicht nachgekommen wird. Insoweit ist darauf nicht einzutreten.

2.
Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten (Art. 82 ff
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 82 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours:
a  contre les décisions rendues dans des causes de droit public;
b  contre les actes normatifs cantonaux;
c  qui concernent le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et votations populaires.
. BGG) kann wegen Rechtsverletzung gemäss Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
. BGG erhoben werden. Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG), und kann deren Sachverhaltsfeststellung von Amtes wegen nur berichtigen oder ergänzen, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG beruht (Art. 105 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG). Eine unvollständige Sachverhaltsfeststellung stellt eine vom Bundesgericht ebenfalls zu korrigierende Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG dar (SEILER/VON WERDT/GÜNGERICH, Kommentar zum Bundesgerichtsgesetz, Bern 2007 N 24 zu Art. 97
SR 831.10 Loi fédérale du 20 décembre 1946 sur l'assurance-vieillesse et survivants (LAVS)
LAVS Art. 97
).

3.
Die Vorinstanz hat die Bestimmungen über die Arbeitgeberhaftung (Art. 52
SR 831.10 Loi fédérale du 20 décembre 1946 sur l'assurance-vieillesse et survivants (LAVS)
LAVS Art. 52 Responsabilité - 1 L'employeur qui, intentionnellement ou par négligence grave, n'observe pas des prescriptions et cause ainsi un dommage à l'assurance, est tenu à réparation.
1    L'employeur qui, intentionnellement ou par négligence grave, n'observe pas des prescriptions et cause ainsi un dommage à l'assurance, est tenu à réparation.
2    Si l'employeur est une personne morale, les membres de l'administration et toutes les personnes qui s'occupent de la gestion ou de la liquidation répondent à titre subsidiaire du dommage. Lorsque plusieurs personnes sont responsables d'un même dommage, elles répondent solidairement de la totalité du dommage.281
3    L'action en réparation du dommage se prescrit conformément aux dispositions du code des obligations282 sur les actes illicites.283
4    La caisse de compensation fait valoir sa créance en réparation du dommage par voie de décision.284
5    En dérogation à l'art. 58, al. 1, LPGA285, le tribunal des assurances du canton dans lequel l'employeur est domicilié est compétent pour traiter le recours.
6    La responsabilité au sens de l'art. 78 LPGA est exclue.
AHVG; Art. 14 Abs. 1
SR 831.10 Loi fédérale du 20 décembre 1946 sur l'assurance-vieillesse et survivants (LAVS)
LAVS Art. 14 Délais de perception et procédure - 1 Les cotisations perçues sur le revenu provenant de l'exercice d'une activité dépendante sont retenues lors de chaque paie. Elles doivent être versées périodiquement par l'employeur en même temps que la cotisation d'employeur.
1    Les cotisations perçues sur le revenu provenant de l'exercice d'une activité dépendante sont retenues lors de chaque paie. Elles doivent être versées périodiquement par l'employeur en même temps que la cotisation d'employeur.
2    Les cotisations perçues sur le revenu provenant de l'exercice d'une activité indépendante, les cotisations des assurés n'exerçant aucune activité lucrative et celles des assurés dont l'employeur n'est pas tenu de payer des cotisations sont déterminées et versées périodiquement. Le Conseil fédéral fixera les périodes de calcul et de cotisations.67
2bis    Les cotisations des requérants d'asile, des personnes admises à titre provisoire et des personnes à protéger qui ne sont pas titulaires d'une autorisation de séjour n'exerçant pas d'activité lucrative ne peuvent être fixées et, sous réserve de l'art. 16, al. 1, versées que:
a  lorsqu'ils ont obtenu le statut de réfugié;
b  lorsqu'ils ont obtenu une autorisation de séjour, ou
c  lorsque, en raison de leur âge, de leur invalidité ou de leur décès, il naît un droit aux prestations prévues par la présente loi ou par la LAI68.69
3    Les cotisations dues par les employeurs sont en général encaissées selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 51 LPGA70. En dérogation à l'art. 49, al. 1, LPGA, il en va de même si les cotisations sont importantes.71
4    Le Conseil fédéral édicte des dispositions sur:72
a  les délais de paiement des cotisations;
b  la procédure de sommation et de taxation d'office;
c  le paiement a posteriori de cotisations non versées;
d  la remise du paiement de cotisations arriérées, même en dérogation à l'art. 24 LPGA;
e  ...76
5    Le Conseil fédéral peut prévoir qu'aucune cotisation n'est versée si le salaire annuel déterminant ne dépasse pas la rente de vieillesse mensuelle maximale; il peut exclure cette possibilité pour des activités déterminées. Le salarié peut toutefois demander que les cotisations soient dans tous les cas payées par l'employeur.77
6    Le Conseil fédéral peut en outre prévoir que les cotisations dues sur un revenu annuel provenant d'une activité indépendante exercée à titre accessoire et ne dépassant pas le montant de la rente de vieillesse mensuelle maximale ne sont perçues que si l'assuré en fait la demande.78
AHVG in Verbindung mit Art. 34 ff
SR 831.101 Règlement du 31 octobre 1947 sur l'assurance-vieillesse et survivants (RAVS)
RAVS Art. 34 Périodes de paiement - 1 Les cotisations seront payées à la caisse:
1    Les cotisations seront payées à la caisse:
a  par les employeurs, chaque mois; elles le seront par trimestre lorsque la masse salariale n'excède pas 200 000 francs par an;
b  par les personnes exerçant une activité lucrative indépendante, par les personnes sans activité lucrative et par les salariés dont l'employeur n'est pas tenu de payer des cotisations, chaque trimestre;
c  par les employeurs appliquant la procédure simplifiée prévue aux art. 2 et 3 de la loi du 17 juin 2005 sur le travail au noir (LTN)150, chaque année.
2    Dans des cas motivés, la caisse de compensation peut, pour les personnes visées à l'al. 1, let. a et b, qui sont tenues de verser une cotisation annuelle à l'assurance-vieillesse et survivants et à l'assurance-invalidité ainsi qu'au régime des allocations pour perte de gain de 3000 francs au plus, fixer des périodes de paiement plus longues mais qui ne dépassent pas une année.151
3    Les cotisations doivent être payées dans les dix jours qui suivent le terme de la période de paiement. Dans la procédure simplifiée prévue aux art. 2 et 3 LTN, les employeurs doivent payer les cotisations dans les 30 jours qui suivent la facturation.152
. AHVV) sowie die hiezu ergangene Rechtsprechung, insbesondere über den Eintritt des Schadens und über den Zeitpunkt der Kenntnis des Schadens (BGE 129 V 193, 128 V 10, 119 V 89 E. 3 S. 92), die subsidiäre Haftung der Organe eines Arbeitgebers (BGE 129 V 11, 126 V 237, 123 V 12 E. 5b S. 15, je mit Hinweisen), den zu ersetzenden Schaden (BGE 126 V 443 E. 3a S. 444, 123 V 12 E. 5b S. 15, je mit Hinweisen), die erforderliche Widerrechtlichkeit (BGE 118 V 193 E. 2a S. 195 mit Hinweisen), die Voraussetzung des qualifizierten Verschuldens und den dabei zu berücksichtigenden - differenzierten - Sorgfaltsmassstab zutreffend wiedergegeben (BGE 108 V 199 E. 3a S. 202, ZAK 1992 S. 248 E. 4b, je mit Hinweisen; vgl. auch THOMAS NUSSBAUMER, Die Haftung des Verwaltungsrates nach Art. 52
SR 831.10 Loi fédérale du 20 décembre 1946 sur l'assurance-vieillesse et survivants (LAVS)
LAVS Art. 52 Responsabilité - 1 L'employeur qui, intentionnellement ou par négligence grave, n'observe pas des prescriptions et cause ainsi un dommage à l'assurance, est tenu à réparation.
1    L'employeur qui, intentionnellement ou par négligence grave, n'observe pas des prescriptions et cause ainsi un dommage à l'assurance, est tenu à réparation.
2    Si l'employeur est une personne morale, les membres de l'administration et toutes les personnes qui s'occupent de la gestion ou de la liquidation répondent à titre subsidiaire du dommage. Lorsque plusieurs personnes sont responsables d'un même dommage, elles répondent solidairement de la totalité du dommage.281
3    L'action en réparation du dommage se prescrit conformément aux dispositions du code des obligations282 sur les actes illicites.283
4    La caisse de compensation fait valoir sa créance en réparation du dommage par voie de décision.284
5    En dérogation à l'art. 58, al. 1, LPGA285, le tribunal des assurances du canton dans lequel l'employeur est domicilié est compétent pour traiter le recours.
6    La responsabilité au sens de l'art. 78 LPGA est exclue.
AHVG, in: AJP 9/96, S. 1081). Darauf wird verwiesen.

4.
In Frage steht die Schadenersatzpflicht des Beschwerdeführers. Dabei ist zunächst streitig, ob die ausstehenden Beiträge, auf denen die Schadenersatzforderung gründet, zu Recht erhoben wurden.

4.1 Nach der Rechtsprechung findet im Schadenersatzprozess gemäss Art. 52
SR 831.10 Loi fédérale du 20 décembre 1946 sur l'assurance-vieillesse et survivants (LAVS)
LAVS Art. 52 Responsabilité - 1 L'employeur qui, intentionnellement ou par négligence grave, n'observe pas des prescriptions et cause ainsi un dommage à l'assurance, est tenu à réparation.
1    L'employeur qui, intentionnellement ou par négligence grave, n'observe pas des prescriptions et cause ainsi un dommage à l'assurance, est tenu à réparation.
2    Si l'employeur est une personne morale, les membres de l'administration et toutes les personnes qui s'occupent de la gestion ou de la liquidation répondent à titre subsidiaire du dommage. Lorsque plusieurs personnes sont responsables d'un même dommage, elles répondent solidairement de la totalité du dommage.281
3    L'action en réparation du dommage se prescrit conformément aux dispositions du code des obligations282 sur les actes illicites.283
4    La caisse de compensation fait valoir sa créance en réparation du dommage par voie de décision.284
5    En dérogation à l'art. 58, al. 1, LPGA285, le tribunal des assurances du canton dans lequel l'employeur est domicilié est compétent pour traiter le recours.
6    La responsabilité au sens de l'art. 78 LPGA est exclue.
AHVG eine Überprüfung der den Ausständen zu Grunde liegenden Beitragsforderungen nicht mehr statt, soweit sie auf einer Nachzahlungs- oder Veranlagungsverfügung beruhen, die unangefochten in Rechtskraft erwachsen ist (Urteil 9C 684/2012 vom 7. März 2012 E. 7.1 mit Hinweisen). Durch die Möglichkeit der Gesellschaft sowie des betroffenen Arbeitnehmers, gegen eine Nachzahlungsverfügung Beschwerde zu führen, ist genügend Gewähr dafür geboten, dass die Organe der zahlungsunfähig gewordenen Arbeitgeberin nicht mit ungerechtfertigten Schadenersatzforderungen belastet werden. Deswegen haben sich die Organe im Schadenersatzverfahren eine vor der Konkurseröffnung eröffnete Nachzahlungsverfügung (vgl. AHI 1993 S. 173 E. 3b) entgegenhalten zu lassen. Eine Ausnahme gilt dann, wenn die Nachzahlungsverfügung der juristischen Person in einem Zeitpunkt eröffnet wurde, in welchem die ins Recht Gefassten als Organ ausgeschieden waren (BGE 134 V 401 E. 5). Ebenfalls vorbehalten bleiben jene Fälle, in denen sich aus den Akten Anhaltspunkte für eine zweifellose Unrichtigkeit der durch die Nachzahlungsverfügung festgesetzten Beiträge ergeben (AHI 1993 S. 172 E. 3a; ZAK 1991 S. 125
E. II/1b, Urteil H 77/03 vom 18. Januar 2005 E. 7).

4.2 Die Vorinstanz hat ausser Acht gelassen, dass der Beschwerdeführer nicht bis zur Konkurseröffnung über die Gesellschaft am 9. September 2008 als Verwaltungsrat amtete, sondern bereits im Dezember 2007 aus der Gesellschaft ausschied. Mithin war er im Zeitpunkt des Erlasses der beiden Nachzahlungsverfügungen vom 7. August 2008 nicht mehr Organ der Gesellschaft. Nach dem Gesagten sind die mit den Nachzahlungsverfügungen festgesetzten Beiträge deshalb zu überprüfen.

4.3 Es beruhen indes nicht alle der Schadenersatzforderung zu Grunde liegenden Beiträge auf Nachzahlungsverfügungen. Die Vorinstanz stellte zwar fest, allein ein Teil der Beitragsausstände beruhe auf rechtskräftigen Nachzahlungsverfügungen, weshalb die Beitragspflicht der Arbeitnehmer der X.________ AG zu klären sei. Sie legte aber weder näher dar, welche Beiträge für welche Arbeitnehmer und welche Periode auf einer Nachzahlungsverfügung beruhten, noch machte sie weitergehende Feststellungen im Zusammenhang mit der Höhe der Schadenersatzforderung.

4.4 Mit Nachzahlungsverfügungen vom 7. August 2008 festgesetzt wurden die nicht abgerechneten Beiträge gemäss der Arbeitgeberkontrolle vom 10. Juli 2008 für das Jahr 2006 von Fr. 2'104.40 (betreffend L.________ für September bis Dezember mit einem Lohn von Fr. 10'822.- und P.________ für Dezember mit Fr. 4'100.-) sowie für das Jahr 2007 von Fr. 2'890.20 (betreffend L.________, für Januar bis März mit einem Lohn von Fr. 18'480.- und U.________ für Januar bis März mit Fr. 1'272.-) zuzüglich Verzugszinsen von Fr. 168.65 und Fr. 87.10 sowie Mahngebühren von Fr. 30.-, insgesamt Fr. 5'280.35.

4.5 Die übrigen ausstehenden Beiträge von Fr. 29'380.85 betreffen die mit den Lohnbescheinigungen deklarierten Löhne 2006 und 2007 und wurden wie folgt festgesetzt:
4.5.1 Ein erster Teil der Beiträge 2006 in der Höhe von Fr. 1'883.90 (betreffend E.________ mit einem Lohn von Fr. 13'500.- für September bis November 2006, inklusive Mahn- und Betreibungskosten sowie Verzugszinsen) wurde gestützt auf die am 27. Februar 2007 bei der Ausgleichskasse eingegangene Lohnbescheinigung 2006 am 8. März 2007 in Rechnung gestellt, am 11. Mai 2007 gemahnt und am 15. August 2007 betrieben. Nachdem kein Rechtsvorschlag erhoben wurde, war die Ausgleichskasse nicht mehr gehalten, das Veranlagungsverfahren durchzuführen (Rz. 2160 der Weisung des Bundesamtes für Sozialversicherungen über den Bezug der Beiträge, WBB; ZAK 1978 S. 300; Urteil H 420/99 E. 3b mit Hinweis auf das Urteil H 63/98 vom 15. Dezember 1998) und konnte die Betreibung direkt fortsetzen, was zu einem definitiven Pfändungsverlustschein vom 18. Januar 2008 führte. Eine Überprüfung der Beitragsforderung findet vorliegend deshalb nicht mehr statt. Eine zweifellose Unrichtigkeit ist nicht gegeben (vgl. E. 5.2 und 5.3 nachfolgend).
4.5.2 Nach Einreichung einer ergänzten Lohnbescheinigung 2006 sowie der Lohnbescheinigung 2007 im September 2007 stellte die Ausgleichskasse am 8. Oktober 2007 die restlichen Beiträge für 2006 in der Höhe von Fr. 6'701.25 und am 12. Oktober 2007 für 2007 in der Höhe von Fr. 20'276.55 in Rechnung. Dies betraf folgende Arbeitnehmer und Abrechnungsmonate:

für 2006:
C.________ Dezember Fr. 5'600.-
I._________ Dezember Fr. 4'400.-
G.________ Dezember Fr. 4'400.-
Y.________ Dezember Fr. 4'100.-
S.________ Dezember Fr. 4'240.-
B.________ Dezember Fr. 5'500.-
A.________ Dezember Fr. 6'035.-
R.________ Dezember Fr. 5'770.-
U.________ Dezember Fr. 5'500.-
E.________ September bis November Fr. 13'500.-

für 2007:
C.________ Januar bis März Fr. 16'800.-
I._________ Januar bis März Fr. 13'200.-
G.________ Januar bis März Fr. 13'200.-
Y.________ Januar bis März Fr. 12'300.-
S.________ Januar bis März Fr. 12'720.-
B.________ Januar bis März Fr. 16'500.-
A.________ Januar bis März Fr. 18'105.-
R.________ Januar bis März Fr. 17'310.-
U.________ Januar bis März Fr. 18'500.-
H.________ Januar Fr. 4'500.-
Beide Rechnungen wurden am 5. Dezember 2007 gemahnt und am 21. Februar 2008 betrieben, wobei die Zahlungsbefehle im Rahmen eines Rechtshilfegesuches an die Adresse von K.________ in Deutschland zugestellt wurden und darauf kein Rechtsvorschlag erhoben wurde. Die Betreibung überschnitt sich mit der Verfügung des Kantonsgerichts Schaffhausen vom 19. Februar 2008, mit welcher die Gesellschaft wegen fehlenden Organen von Amtes wegen nach Art. 154 HregV aufgelöst wurde. Schliesslich wurde mit Verfügung vom 8. August 2008 das Fortsetzungsbegehren der Ausgleichskasse vom Betreibungs- und Konkursamt Schaffhausen zurückgewiesen.

Der Beschwerdeführer war indes bereits im Dezember 2007 als Organ der Gesellschaft ausgeschieden. Deshalb sind auch diese Beitragsforderungen zu überprüfen und es erübrigen sich Weiterungen zur besonderen Sachlage eines Veranlagungsverfahrens bei Auflösung der Gesellschaft mangels Organen und gleichzeitiger Betreibung.

4.6 Mit Ausnahme der sich aus dem an E.________ ausbezahlten Lohn ergebenden Beiträge sind damit sämtliche Beitragsforderungen zu prüfen.

5.
Streitig sind die Beitragsforderungen nicht in masslicher Hinsicht, sondern mit Blick auf die Unterstellung der betreffenden Mitarbeiter unter die Schweizerischen Rechtsvorschriften.

Der Beschwerdeführer bringt vor, die von der X.________ AG beschäftigten Arbeitnehmer unterstünden nicht der Beitragspflicht, da sie ihren Wohnsitz in Deutschland gehabt hätten und nicht in der Schweiz tätig gewesen seien. Mit der nachträglichen Unterstellung unter die Schweizerischen Rechtsvorschriften sei er nicht einverstanden.

Demgegenüber hat die Vorinstanz zur Begründung der Beitragspflicht mit der Ausgleichskasse auf die Sondervereinbarung des BSV mit der DVKA verwiesen (Bestätigung der DVKA vom 11. April 2011) und festgestellt, damit seien die Arbeitnehmer der X.________ AG für den Zeitraum Dezember (recte: September) 2006 bis November 2007 den schweizerischen Rechtsvorschriften unterstellt worden, weshalb von der Beitragspflicht der X.________ AG auszugehen sei.
5.1
5.1.1 Gemäss Art. 1a Abs. 1
SR 831.10 Loi fédérale du 20 décembre 1946 sur l'assurance-vieillesse et survivants (LAVS)
LAVS Art. 1a Assurance obligatoire - 1 Sont assurés conformément à la présente loi:
1    Sont assurés conformément à la présente loi:
a  les personnes physiques domiciliées en Suisse;
b  les personnes physiques qui exercent en Suisse une activité lucrative;
c  les ressortissants suisses qui travaillent à l'étranger:
c1  au service de la Confédération,
c2  au service d'organisations internationales avec lesquelles le Conseil fédéral a conclu un accord de siège et qui sont considérées comme employeurs au sens de l'art. 12,
c3  au service d'organisations d'entraide privées soutenues de manière substantielle par la Confédération en vertu de l'art. 11 de la loi fédérale du 19 mars 1976 sur la coopération au développement et l'aide humanitaire internationales12.
1bis    Le Conseil fédéral règle les modalités en ce qui concerne l'al. 1, let. c.13
2    Ne sont pas assurés:
a  les ressortissants étrangers qui bénéficient de privilèges et d'immunités, conformément aux règles du droit international public;
b  les personnes affiliées à une institution officielle étrangère d'assurance-vieillesse et survivants si l'assujettissement à la présente loi constituait pour elles un cumul de charges trop lourdes;
c  les indépendants et les salariés dont l'employeur n'est pas tenu de payer des cotisations, lorsqu'ils ne remplissent les conditions énumérées à l'al. 1 que pour une période relativement courte; le Conseil fédéral règle les modalités.
3    Peuvent rester assurés:
a  les personnes qui travaillent à l'étranger pour le compte d'un employeur dont le siège est en Suisse et qui sont rémunérées par lui, pour autant qu'il y consente;
b  les étudiants sans activité lucrative qui quittent leur domicile en Suisse pour effectuer leur formation à l'étranger, jusqu'au 31 décembre de l'année où ils ont 30 ans.16
4    Peuvent adhérer à l'assurance:
a  les personnes domiciliées en Suisse qui ne sont pas assurées en raison d'une convention internationale;
b  les membres du personnel de nationalité suisse d'un bénéficiaire institutionnel de privilèges, d'immunités et de facilités visé à l'art. 2, al. 1, de la loi du 22 juin 2007 sur l'État hôte18, qui ne sont pas obligatoirement assurés en Suisse en raison d'un accord conclu avec ledit bénéficiaire;
c  les conjoints sans activité lucrative, domiciliés à l'étranger, de personnes qui exercent une activité lucrative et qui sont assurées en vertu de l'al. 1, let. c, ou al. 3, let. a, ou en vertu d'une convention internationale.19
5    Le Conseil fédéral précise les conditions permettant de rester assuré en vertu de l'al. 3 et d'y adhérer en vertu de l'al. 4; il fixe les modalités de résiliation et d'exclusion.20
AHVG sind natürliche Personen mit Wohnsitz in der Schweiz (lit. a) und natürliche Personen, die in der Schweiz einer Erwerbstätigkeit ausüben (lit. b), in der AHV obligatorisch versichert.
5.1.2 In einem grenzüberschreitenden Sachverhalt ist zudem das Abkommen vom 21. Juni 1999 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft einerseits und der Europäischen Gemeinschaft und ihren Mitgliedern andererseits über die Freizügigkeit (FZA; SR 0.142.112.681) zu beachten. Nach Art. 1 Abs. 1
IR 0.142.112.681 Accord du 21 juin 1999 entre la Confédération suisse d'une part, et la Communauté européenne et ses Etats membres, d'autre part, sur la libre circulation des personnes (avec annexes, prot. et acte final)
ALCP Art. 1 Objectif - L'objectif de cet accord, en faveur des ressortissants des États membres de la Communauté européenne et de la Suisse, est:
a  d'accorder un droit d'entrée, de séjour, d'accès à une activité économique salariée, d'établissement en tant qu'indépendant et le droit de demeurer sur le territoire des parties contractantes;
b  de faciliter la prestation de services sur le territoire des parties contractantes, en particulier de libéraliser la prestation de services de courte durée;
c  d'accorder un droit d'entrée et de séjour, sur le territoire des parties contractantes, aux personnes sans activité économique dans le pays d'accueil;
d  d'accorder les mêmes conditions de vie, d'emploi et de travail que celles accordées aux nationaux.
des auf der Grundlage des Art. 8
IR 0.142.112.681 Accord du 21 juin 1999 entre la Confédération suisse d'une part, et la Communauté européenne et ses Etats membres, d'autre part, sur la libre circulation des personnes (avec annexes, prot. et acte final)
ALCP Art. 8 Coordination des systèmes de sécurité sociale - Les parties contractantes règlent, conformément à l'annexe II, la coordination des systèmes de sécurité sociale dans le but d'assurer notamment:
a  l'égalité de traitement;
b  la détermination de la législation applicable;
c  la totalisation, pour l'ouverture et le maintien du droit aux prestations, ainsi que pour le calcul de celles-ci, de toutes périodes prises en considération par les différentes législations nationales;
d  le paiement des prestations aux personnes résidant sur le territoire des parties contractantes;
e  l'entraide et la coopération administratives entre les autorités et les institutions.
des FZA ausgearbeiteten und Bestandteil des Abkommens bildenden (Art. 15
IR 0.142.112.681 Accord du 21 juin 1999 entre la Confédération suisse d'une part, et la Communauté européenne et ses Etats membres, d'autre part, sur la libre circulation des personnes (avec annexes, prot. et acte final)
ALCP Art. 15 Annexes et protocoles - Les annexes et protocoles du présent accord en font partie intégrante. L'acte final contient les déclarations.
FZA) Anhangs II ("Koordinierung der Systeme der sozialen Sicherheit") FZA in Verbindung mit Abschnitt A dieses Anhangs wenden die Vertragsparteien untereinander insbesondere die Verordnung (EG) Nr. 883/2004 des Europäischen Parlaments und des Rates vom 29. April 2004 zur Koordinierung der Systeme der sozialen Sicherheit (SR 0.831.109.268.1; kurz: VO 883/2004) und die Verordnung (EG) Nr. 987/2009 des Europäischen Parlaments und des Rates vom 16. September 2009 zur Festlegung der Modalitäten für die Durchführung der VO 883/2004 (SR 0.831.109.268.11) oder gleichwertige Vorschriften an.

Die beiden genannten gemeinschaftsrechtlichen Verordnungen sind für die Schweiz durch den Beschluss Nr. 1/2012 des Gemischten Ausschusses vom 31. März 2012 zur Ersetzung des Anhangs II des Abkommens über die Koordinierung der Systeme der sozialen Sicherheit per 1. April 2012 in Kraft getreten (AS 2012 2345; vgl. auch Urteil 8C 455/2011 vom 4. Mai 2012 E. 2.1).
Die VO 883/2004, welche die Verordnung (EWG) Nr. 1408/71 des Rates vom 14. Juni 1971 zur Anwendung der Systeme der sozialen Sicherheit auf Arbeitnehmer und Selbstständige sowie deren Familienangehörige, die innerhalb der Gemeinschaft zu- und abwandern (SR 0.831.109.268.1; kurz: VO Nr. 1408/71) ersetzt hat, begründet gemäss ihren Übergangsbestimmungen jedoch keinen Anspruch für den Zeitraum vor dem Beginn ihrer Anwendung (Art. 87 Abs. 1), weshalb vorliegend noch die VO 1408/71 und die Verordnung (EWG) Nr. 574/72 des Rates vom 21. März 1972 über die Durchführung der VO (EWG) Nr. 1408/71 über die Anwendung der Systeme der sozialen Sicherheit auf Arbeitnehmer und Selbstständige sowie deren Familienangehörige, die innerhalb der Gemeinschaft zu- und abwandern (kurz: VO 574/72; SR 0.831.109.268.11) anwendbar bleibt (vgl. Urteil 8C 385/2012 E. 4.2 zur Publikation vorgesehen; vgl. auch BGE 138 V 392 E. 4.1.3 S. 396 und Urteil 8C 670/2012 E. 3.1).
5.1.3 Die VO Nr. 1408/71 gilt unter anderem auch für Rechtsvorschriften über Zweige der sozialen Sicherheit, die Leistungen bei Alter und an Hinterbliebene betreffen (Art. 4 Abs. 1 lit. c und d). Die entsprechenden Bestimmungen finden in der Alters- und Hinterlassenenversicherung durch den Verweis in Art. 153a Abs. 1 lit. a
SR 831.10 Loi fédérale du 20 décembre 1946 sur l'assurance-vieillesse et survivants (LAVS)
LAVS Art. 153a - 1 Pour les personnes qui sont ou qui ont été soumises à la législation sur la sécurité sociale de la Suisse ou d'un ou de plusieurs États de l'Union européenne et qui sont des ressortissants suisses ou des ressortissants de l'un des États de l'Union européenne, pour les réfugiés ou les apatrides qui résident en Suisse ou dans un État de l'Union européenne, ainsi que pour les membres de la famille et les survivants de ces personnes, les actes ci-après, dans leur version qui lie la Suisse en vertu de l'annexe II, section A, de l'Accord du 21 juin 1999 entre la Confédération suisse, d'une part, et la Communauté européenne et ses États membres, d'autre part, sur la libre circulation des personnes444 (accord sur la libre circulation des personnes) sont applicables aux prestations comprises dans le champ d'application de la présente loi:
1    Pour les personnes qui sont ou qui ont été soumises à la législation sur la sécurité sociale de la Suisse ou d'un ou de plusieurs États de l'Union européenne et qui sont des ressortissants suisses ou des ressortissants de l'un des États de l'Union européenne, pour les réfugiés ou les apatrides qui résident en Suisse ou dans un État de l'Union européenne, ainsi que pour les membres de la famille et les survivants de ces personnes, les actes ci-après, dans leur version qui lie la Suisse en vertu de l'annexe II, section A, de l'Accord du 21 juin 1999 entre la Confédération suisse, d'une part, et la Communauté européenne et ses États membres, d'autre part, sur la libre circulation des personnes444 (accord sur la libre circulation des personnes) sont applicables aux prestations comprises dans le champ d'application de la présente loi:
a  le règlement (CE) no 883/2004445;
b  le règlement (CE) no 987/2009446;
c  le règlement (CEE) no 1408/71447;
d  le règlement (CEE) no 574/72448.
2    Pour les personnes qui sont ou qui ont été soumises à la législation sur la sécurité sociale de la Suisse, de l'Islande, de la Norvège ou du Liechtenstein et qui sont des ressortissants suisses ou des ressortissants de l'Islande, de la Norvège ou du Liechtenstein, ou qui résident en tant que réfugiés ou apatrides en Suisse ou sur le territoire de l'Islande, de la Norvège ou du Liechtenstein, ainsi que pour les membres de la famille et les survivants de ces personnes, les actes ci-après, dans leur version qui lie la Suisse en vertu de l'appendice 2 de l'annexe K de la Convention du 4 janvier 1960 instituant l'Association européenne de libre-échange449 (convention AELE) sont applicables aux prestations comprises dans le champ d'application de la présente loi:
a  le règlement (CE) no 883/2004;
b  le règlement (CE) no 987/2009;
c  le règlement (CEE) no 1408/71;
d  le règlement (CEE) no 574/72.
3    Le Conseil fédéral adapte les renvois aux actes de l'Union européenne visés aux al. 1 et 2 chaque fois qu'une modification de l'annexe II de l'accord sur la libre circulation des personnes et de l'appendice 2 de l'annexe K de la convention AELE est adoptée.
4    Les expressions «États membres de l'Union européenne», «États membres de la Communauté européenne», «États de l'Union européenne» et «États de la Communauté européenne» figurant dans la présente loi désignent les États auxquels s'applique l'accord sur la libre circulation des personnes.
AHVG Anwendung.
5.1.4 Titel II der Verordnung Nr. 1408/71 (Art. 13 bis 17a) enthält allgemeine Kollisionsregeln zur Bestimmung der anzuwendenden Rechtsvorschriften. Dabei legt Art. 13 Abs. 1 den kollisionsrechtlichen Grundsatz der Einheitlichkeit der anwendbaren Rechtsvorschriften nach den Regeln gemäss Art. 13 Abs. 2 bis Art. 17a in dem Sinne fest, dass für jede betroffene Person die Rechtsvorschriften nur eines Mitgliedstaates massgebend sind (BGE 138 V 533 E. 3.1 S. 537 und 258 E. 4.2 S. 263 f. mit Hinweis). Ausnahmen vorbehalten, gilt für Arbeitnehmende das Beschäftigungslandprinzip. Dies trifft auch dann zu, wenn sie im Gebiet eines anderen Mitgliedstaates wohnen oder ihr Arbeitgeber oder das Unternehmen, das sie beschäftigt, den Wohn- oder Betriebssitz im Gebiet eines anderen Mitgliedstaates hat (Grundsatz der lex loci laboris; Art. 13 Abs. 2 lit. a der Verordnung Nr. 1408/71; BGE 138 V 533 E. 3.1 S. 537 und 258 E.4.2 S. 263 f. mit Hinweis). Eine Ausnahme ist unter anderem vorgesehen für eine Person, die in mehreren Mitgliedstaaten abhängig beschäftigt oder selbstständig tätig ist. Handelt es sich hierbei um eine Person, die nicht als Mitglied des fahrenden oder fliegenden Personals eines Unternehmens beschäftigt ist, unterliegt sie den
Rechtsvorschriften des Mitgliedstaates, in dessen Gebiet sie wohnt, wenn sie ihre Tätigkeit zum Teil im Gebiet dieses Staates ausübt oder wenn sie für mehrere Unternehmen oder mehrere Arbeitgeber tätig ist, die ihren Sitz oder Wohnsitz im Gebiet verschiedener Mitgliedstaaten haben (Art. 14 Abs. 2 lit. b/i). Sodann unterliegt sie den Rechtsvorschriften des Mitgliedstaates, in dessen Gebiet das Unternehmen oder der Arbeitgeber, das bzw. der sie beschäftigt, seinen Sitz oder Wohnsitz hat, sofern sie nicht im Gebiet eines Mitgliedstaates wohnt, in denen sie ihre Tätigkeiten ausübt (Art. 14 Abs. 2 lit. b/ii, vgl. BGE 138 V 533 E. 3).
5.1.5 Gemäss Art. 17 der VO 1408/71 können zwei oder mehrere Mitgliedstaaten, die zuständigen Behörden dieser Staaten oder die von diesen Behörden bezeichneten Stellen im Interesse bestimmter Personengruppen oder bestimmter Personen Ausnahmen von den Artikeln 13 bis 16 vereinbaren.

5.2 Das BSV beantragte nach entsprechenden Abklärungen der Ausgleichskasse im Zusammenhang mit der Auszahlung von Insolvenzentschädigungen sowie einem Strafverfahren wegen Zweckentfremdung von AHV-Beiträgen am 2. Februar 2011 bei der DVKA eine Sondervereinbarung betreffend die Beitragsunterstellung der Arbeinehmer der konkursiten Gesellschaft. Die DVKA begründete ihr Einverständnis mit einer Sondervereinbarung in ihrem Schreiben vom 11. April 2011 nicht. Wie sich jedoch dem Antragsschreiben des BSV entnehmen lässt, gingen die Ausgleichskasse und das BSV davon aus, die Mitarbeiter seien ausschliesslich in Deutschland tätig gewesen. Die Sondervereinbarung stellt damit eine Ausnahme von Art. 14 Abs. 2 lit. b/i der VO 1408/71 (Unterstellung unter die deutschen Rechtsvorschriften) dar (vgl. E. 5.1.4 hievor).

Entgegen der Auffassung des Beschwerdeführers sind solche Vereinbarungen auch rückwirkend zulässig. Nach der Rechtsprechung des EuGH haben die Mitgliedstaaten die Möglichkeit, die Anwendung der Rechtsvorschriften eines dieser Mitgliedstaaten auch mit rückwirkender Kraft zu beschliessen (EuGH, Rechtssache 101/83 (Brusse) Slg. 1984, 2223 ff. = SozR 6050 Art. 17 Nr. 2). Art. 17 der VO 1408/71 gewährt nach seinem Wortlaut den Mitgliedstaaten eine umfassende Vereinbarungsbefugnis, wenn es heisst, dass sie Ausnahmen von den Art. 13 bis 16 vereinbaren können. Art. 17 enthält weder Anhaltspunkte, aus denen auf ein Verbot von Vereinbarungen mit rückwirkender Kraft geschlossen werden könnte, noch hindert er, dass für einen längeren Zeitraum pauschal die Rechtsvorschriften eines der Mitgliedstaaten für anwendbar erklärt werden (Steinmeyer, in: Fuchs [Hrsg.], Europäisches Sozialrecht, 3. Aufl. 2005, Rz. 2 bis 4 zu Art. 13 VO 1408/71 S. 172 f.). Damit steht die Beitragspflicht der an von der Sondervereinbarung erfassten Arbeitnehmer ausbezahlten Löhne fest.

5.3 Die DVKA hat eine ausnahmsweise Nicht-Unterstellung unter die deutschen Rechtsvorschriften für folgende Arbeitnehmer bestätigt:
C.________ Dez. '06 bis März '07
I._________ Dez. '06 bis März '07
G.________ Dez. '06 bis Sept. '07
Y.________ Dez. '06 bis März '07 und Mai - Sept. '07
S.________ Dez. '06 bis Dez. '06
B.________ Dez. '06 bis Juli '07
A.________ Dez. '06 bis März '07 und Juli - Nov. '07
R.________ Dez. '06 bis März '07
U.________ Dez. '06 bis März '07 und Juli - Nov. '07
E.________ Sept. -Nov. '06
H.________ Jan. '07 bis Jan. '07
L.________ Sept. '06 bis März '07 und Juni - Okt. '07
Entgegen der Auffassung der Vorinstanz umfasst die Sondervereinbarung indes nicht alle Arbeitnehmer, für deren Löhne Beiträge erhoben und der Schadenersatzforderung zu Grunde gelegt wurden. Von der Vereinbarung nicht erfasst wird P.________, für welche mit der Arbeitgeberkontrolle ein Lohn für den Monat Dezember 2006 von Fr. 4'100.- festgestellt wurde (vgl. E. 4.4). Weshalb diese Arbeitnehmerin von der Vereinbarung nicht erfasst wurde, lässt sich den Akten nicht entnehmen. Die Ausgleichskasse hat sich dazu auch nicht geäussert, obwohl der Nachweis, dass die Arbeitgebenden Beiträge schulden, die sie nicht bezahlt haben, ihr obliegt (vgl. Rz. 2137 WBB). Nachdem die anderen beiden mit der Arbeitgeberkontrolle erfassten Mitarbeiter L.________ und U.________ (vgl. E. 4.4 hievor) in der Vereinbarung aufgeführt werden, ist davon auszugehen, dass P.________ beim Antrag an die DVKA absichtlich weggelassen oder von der DVKA nicht bestätigt wurde. Ihre Beitragspflicht ist mithin (auch in Anbetracht ihres mit der Arbeitgeberkontrolle festgestellten Wohnsitzes in Deutschland) nicht erstellt. Damit sind die auf P.________ entfallenden, aufgerechneten Beiträge nicht geschuldet und betragen inklusive anteilsmässigem Verzugszins (Fr. 46.35) und
Mahngebühren (Fr. 3.55) insgesamt Fr. 628.10 (10.1% AHV/IV/EO-Beitrag auf die Lohnsumme von Fr. 4'100.- = Fr. 414.10, 1.4% FAK von Fr. 4'100.- = Fr. 57.40, 2% ALV von Fr. 4'100.- = Fr. 82.-, Verwaltungskosten 3% auf die Beitragssumme von Fr. 414.10 = Fr. 12.40, Sozialfonds 0.3% = Fr. 12.30), weshalb die Schadenersatzforderung sich um diesen Betrag auf Fr. 34'033.10 reduziert.

6.
6.1 Damit steht fest, dass die konkursite Gesellschaft Beiträge im Umfange von Fr. 34'033.10 nicht bezahlt hat und daher den ihr als Arbeitgeberin obliegenden Pflichten gemäss Art. 14 Abs. 1
SR 831.10 Loi fédérale du 20 décembre 1946 sur l'assurance-vieillesse et survivants (LAVS)
LAVS Art. 14 Délais de perception et procédure - 1 Les cotisations perçues sur le revenu provenant de l'exercice d'une activité dépendante sont retenues lors de chaque paie. Elles doivent être versées périodiquement par l'employeur en même temps que la cotisation d'employeur.
1    Les cotisations perçues sur le revenu provenant de l'exercice d'une activité dépendante sont retenues lors de chaque paie. Elles doivent être versées périodiquement par l'employeur en même temps que la cotisation d'employeur.
2    Les cotisations perçues sur le revenu provenant de l'exercice d'une activité indépendante, les cotisations des assurés n'exerçant aucune activité lucrative et celles des assurés dont l'employeur n'est pas tenu de payer des cotisations sont déterminées et versées périodiquement. Le Conseil fédéral fixera les périodes de calcul et de cotisations.67
2bis    Les cotisations des requérants d'asile, des personnes admises à titre provisoire et des personnes à protéger qui ne sont pas titulaires d'une autorisation de séjour n'exerçant pas d'activité lucrative ne peuvent être fixées et, sous réserve de l'art. 16, al. 1, versées que:
a  lorsqu'ils ont obtenu le statut de réfugié;
b  lorsqu'ils ont obtenu une autorisation de séjour, ou
c  lorsque, en raison de leur âge, de leur invalidité ou de leur décès, il naît un droit aux prestations prévues par la présente loi ou par la LAI68.69
3    Les cotisations dues par les employeurs sont en général encaissées selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 51 LPGA70. En dérogation à l'art. 49, al. 1, LPGA, il en va de même si les cotisations sont importantes.71
4    Le Conseil fédéral édicte des dispositions sur:72
a  les délais de paiement des cotisations;
b  la procédure de sommation et de taxation d'office;
c  le paiement a posteriori de cotisations non versées;
d  la remise du paiement de cotisations arriérées, même en dérogation à l'art. 24 LPGA;
e  ...76
5    Le Conseil fédéral peut prévoir qu'aucune cotisation n'est versée si le salaire annuel déterminant ne dépasse pas la rente de vieillesse mensuelle maximale; il peut exclure cette possibilité pour des activités déterminées. Le salarié peut toutefois demander que les cotisations soient dans tous les cas payées par l'employeur.77
6    Le Conseil fédéral peut en outre prévoir que les cotisations dues sur un revenu annuel provenant d'une activité indépendante exercée à titre accessoire et ne dépassant pas le montant de la rente de vieillesse mensuelle maximale ne sont perçues que si l'assuré en fait la demande.78
AHVG in Verbindung mit Art. 34 ff
SR 831.101 Règlement du 31 octobre 1947 sur l'assurance-vieillesse et survivants (RAVS)
RAVS Art. 34 Périodes de paiement - 1 Les cotisations seront payées à la caisse:
1    Les cotisations seront payées à la caisse:
a  par les employeurs, chaque mois; elles le seront par trimestre lorsque la masse salariale n'excède pas 200 000 francs par an;
b  par les personnes exerçant une activité lucrative indépendante, par les personnes sans activité lucrative et par les salariés dont l'employeur n'est pas tenu de payer des cotisations, chaque trimestre;
c  par les employeurs appliquant la procédure simplifiée prévue aux art. 2 et 3 de la loi du 17 juin 2005 sur le travail au noir (LTN)150, chaque année.
2    Dans des cas motivés, la caisse de compensation peut, pour les personnes visées à l'al. 1, let. a et b, qui sont tenues de verser une cotisation annuelle à l'assurance-vieillesse et survivants et à l'assurance-invalidité ainsi qu'au régime des allocations pour perte de gain de 3000 francs au plus, fixer des périodes de paiement plus longues mais qui ne dépassent pas une année.151
3    Les cotisations doivent être payées dans les dix jours qui suivent le terme de la période de paiement. Dans la procédure simplifiée prévue aux art. 2 et 3 LTN, les employeurs doivent payer les cotisations dans les 30 jours qui suivent la facturation.152
. AHVV nur unvollständig nachgekommen ist. Sie hat damit Vorschriften im Sinne von Art. 52 Abs. 2
SR 831.10 Loi fédérale du 20 décembre 1946 sur l'assurance-vieillesse et survivants (LAVS)
LAVS Art. 52 Responsabilité - 1 L'employeur qui, intentionnellement ou par négligence grave, n'observe pas des prescriptions et cause ainsi un dommage à l'assurance, est tenu à réparation.
1    L'employeur qui, intentionnellement ou par négligence grave, n'observe pas des prescriptions et cause ainsi un dommage à l'assurance, est tenu à réparation.
2    Si l'employeur est une personne morale, les membres de l'administration et toutes les personnes qui s'occupent de la gestion ou de la liquidation répondent à titre subsidiaire du dommage. Lorsque plusieurs personnes sont responsables d'un même dommage, elles répondent solidairement de la totalité du dommage.281
3    L'action en réparation du dommage se prescrit conformément aux dispositions du code des obligations282 sur les actes illicites.283
4    La caisse de compensation fait valoir sa créance en réparation du dommage par voie de décision.284
5    En dérogation à l'art. 58, al. 1, LPGA285, le tribunal des assurances du canton dans lequel l'employeur est domicilié est compétent pour traiter le recours.
6    La responsabilité au sens de l'art. 78 LPGA est exclue.
AHVG missachtet (vgl. statt vieler: BGE 118 V 187 E. 1 am Ende), was grundsätzlich die volle Schadenersatzpflicht gemäss Art. 52
SR 831.10 Loi fédérale du 20 décembre 1946 sur l'assurance-vieillesse et survivants (LAVS)
LAVS Art. 52 Responsabilité - 1 L'employeur qui, intentionnellement ou par négligence grave, n'observe pas des prescriptions et cause ainsi un dommage à l'assurance, est tenu à réparation.
1    L'employeur qui, intentionnellement ou par négligence grave, n'observe pas des prescriptions et cause ainsi un dommage à l'assurance, est tenu à réparation.
2    Si l'employeur est une personne morale, les membres de l'administration et toutes les personnes qui s'occupent de la gestion ou de la liquidation répondent à titre subsidiaire du dommage. Lorsque plusieurs personnes sont responsables d'un même dommage, elles répondent solidairement de la totalité du dommage.281
3    L'action en réparation du dommage se prescrit conformément aux dispositions du code des obligations282 sur les actes illicites.283
4    La caisse de compensation fait valoir sa créance en réparation du dommage par voie de décision.284
5    En dérogation à l'art. 58, al. 1, LPGA285, le tribunal des assurances du canton dans lequel l'employeur est domicilié est compétent pour traiter le recours.
6    La responsabilité au sens de l'art. 78 LPGA est exclue.
AHVG nach sich zieht.

Zu prüfen bleibt, ob diese zum Beitragsverlust führende Pflichtverletzung des Arbeitgebers dem Beschwerdeführer - seines Zeichens einziger Verwaltungsrat und damit formelles Organ einer Aktiengesellschaft als juristischer Person (Art. 626 Ziff. 6
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 626 - 1 Les statuts doivent contenir des dispositions sur:
1    Les statuts doivent contenir des dispositions sur:
1  la raison sociale et le siège de la société;
2  le but de la société;
3  le montant du capital-actions, la monnaie dans laquelle il est fixé et le montant des apports effectués;
4  le nombre, la valeur nominale et l'espèce des actions;
5  ...
7  la forme des communications de la société à ses actionnaires.
2    Lorsque les actions de la société sont cotées en bourse, les statuts doivent également contenir des dispositions:
1  sur le nombre d'activités que les membres du conseil d'administration, de la direction et du conseil consultatif peuvent exercer dans des fonctions similaires dans d'autres entreprises poursuivant un but économique;
2  sur la durée maximale des contrats qui prévoient les rémunérations des membres du conseil d'administration, de la direction et du conseil consultatif, et sur le délai de résiliation maximal pour les contrats à durée indéterminée (art. 735b);
3  sur les principes régissant les tâches et les compétences du comité de rémunération;
4  sur les modalités relatives au vote de l'assemblée générale sur les rémunérations du conseil d'administration, de la direction et du conseil consultatif.322
3    Ne sont pas considérées comme des «autres entreprises» selon l'al. 2, ch. 1, les entreprises qui sont contrôlées par la société ou qui contrôlent la société.323
in Verbindung mit Art. 707 ff
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 707 - 1 Le conseil d'administration de la société se compose d'un ou de plusieurs membres.572
1    Le conseil d'administration de la société se compose d'un ou de plusieurs membres.572
2    ...573
3    Lorsqu'une personne morale ou une société commerciale est membre de la société, elle ne peut avoir la qualité de membre du conseil d'administration574, mais ses représentants sont éligibles en son lieu et place.
. OR), welches grundsätzlich als Schadenersatzpflichtiger in Frage kommt - als grobfahrlässiges Verhalten anzurechnen ist.

6.2 Ob ein Organ schuldhaft gehandelt hat, hängt entscheidend von der Verantwortung und den Kompetenzen ab, die ihm von der juristischen Person übertragen wurden. Bei nicht geschäftsführenden Verwaltungsratsmitgliedern von Aktiengesellschaften ist entscheidend, ob sie den ihnen obliegenden Kontroll- und Aufsichtspflichten nachgekommen sind. Nach Art. 716a Abs. 1 Ziff. 5
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 716a - 1 Le conseil d'administration a les attributions intransmissibles et inaliénables suivantes:
1    Le conseil d'administration a les attributions intransmissibles et inaliénables suivantes:
1  exercer la haute direction de la société et établir les instructions nécessaires;
2  fixer l'organisation;
3  fixer les principes de la comptabilité et du contrôle financier ainsi que le plan financier pour autant que celui-ci soit nécessaire à la gestion de la société;
4  nommer et révoquer les personnes chargées de la gestion et de la représentation;
5  exercer la haute surveillance sur les personnes chargées de la gestion pour s'assurer notamment qu'elles observent la loi, les statuts, les règlements et les instructions données;
6  établir le rapport de gestion590, préparer l'assemblée générale et exécuter ses décisions;
7  déposer la demande de sursis concordataire et aviser le tribunal en cas de surendettement;
8  lorsque les actions de la société sont cotées en bourse, établir le rapport de rémunération.
2    Le conseil d'administration peut répartir entre ses membres, pris individuellement ou groupés en comités, la charge de préparer et d'exécuter ses décisions ou de surveiller certaines affaires. Il veille à ce que ses membres soient convenablement informés.
OR obliegt dem Verwaltungsrat die Oberaufsicht über die mit der Geschäftsführung betrauten Personen, namentlich im Hinblick auf die Befolgung der Gesetze, Statuten, Reglemente und Weisungen. Gemäss dieser Bestimmung hat das Verwaltungsratsmitglied nicht nur die Pflicht, an den Verwaltungsratssitzungen teilzunehmen, sondern sich periodisch über den Geschäftsgang zu informieren und bei Unregelmässigkeiten in der Geschäftsführung einzuschreiten (vgl. FORSTMOSER/MEIER-HAYOZ/NOBEL, Schweizerisches Aktienrecht, § 30, N. 49). Die Bestimmung entspricht weitgehend dem bis Ende Juni 1992 gültig gewesenen Art. 722 Abs. 2 Ziff. 3
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 722 - La société répond des actes illicites commis dans la gestion de ses affaires par une personne autorisée à la gérer ou à la représenter.
OR, wonach die Verwaltung einer Aktiengesellschaft die mit der Geschäftsführung beauftragten Personen zu überwachen und sich regelmässig über den Geschäftsgang unterrichten zu lassen hatte. Wie das Eidgenössische Versicherungsgericht hiezu
festgestellt hat, setzt die Sorgfaltspflicht voraus, dass der Verwaltungsrat die ihm unterbreiteten Berichte kritisch liest, nötigenfalls ergänzende Auskünfte verlangt und bei Irrtümern oder Unregelmässigkeiten einschreitet. Dabei wird es aber einem Verwaltungsratspräsidenten einer Grossfirma nicht als grobfahrlässiges Verschulden angerechnet werden können, wenn er nicht jedes einzelne Geschäft, sondern nur die Tätigkeit der Geschäftsleitung und den Geschäftsgang im Allgemeinen überprüft und daher beispielsweise nicht beachtet, dass in Einzelfällen die Abrechnung der Lohnbeiträge nicht erfolgt ist. Das Gegenstück wäre der Präsident des Verwaltungsrates einer Firma, der faktisch das einzige ausführende Organ der Firma ist, oder aber der Verwaltungsratspräsident einer Firma, dem bekannt ist oder doch nach den jeweiligen Umständen bekannt sein sollte, dass die Abrechnungspflicht möglicherweise mangelhaft erfüllt wird (BGE 114 V 219 E. 4a S. 223; 108 V 199 E. 3a S. 202; ZAK 1985 S. 620 E. 3b, Urteil H 182/06 vom 29. Januar 2008, je mit Hinweisen). Zwar können einzelne Geschäftsführungsfunktionen delegiert werden. Zur Wahrung der geforderten Sorgfalt gehört jedoch neben der richtigen Auswahl des geeigneten Mandatsträgers auch dessen
Instruktion und Überwachung. So kann sich der Geschäftsführer allein durch Delegation der Aufgaben nicht seiner Verantwortung entledigen. Dies gilt für einen Vereinspräsidenten (AHI 2002 S. 51, H 200/01) ebenso wie für einen Verwaltungsrat (BGE 123 V 15 E. 5b), einen geschäftsführenden Gesellschafter einer GmbH (AHI 2000 S. 220) oder einen Stiftungsrat (Urteil H 14/00 vom 30. Juli 2001).

6.3 Das kantonale Gericht hat das Verhalten des Beschwerdeführers als grobfahrlässig beurteilt und den Kausalzusammenhang mit dem eingetretenen Schaden bejaht. Daran ändere nichts, dass die ausstehenden Beitragszahlungen ausschliesslich aus den Geschäftsjahren 2006 und 2007 resultierten, in welchen K.________ Geschäftsführer gewesen sei und 10 Mitarbeiter eingestellt habe, während die Firma vorher kein Personal beschäftigt habe. Der Beschwerdeführer habe angesichts der Umstände nicht darauf vertrauen dürfen, dass die X.________ AG weiterhin inaktiv bleiben würde. Vielmehr habe er mit der Aufnahme einer geschäftlichen Tätigkeit rechnen müssen, zumal er selbst für die Führung der Buchhaltung zuständig gewesen sei, welche durch Mitarbeiter seiner Unternehmung geführt worden sei. Er habe jedenfalls die Geschäftstätigkeit der X.________ AG, namentlich des Beitragswesens, ungenügend überwacht.

Das Bundesgericht beurteilt die Haftungsfrage nicht abweichend. Es kann in erster Linie auf die diesbezüglichen Erwägungen des angefochtenen Entscheids verwiesen werden.

6.4 Soweit der Beschwerdeführer grundsätzliche Kritik an der Organhaftung nach Art. 52
SR 831.10 Loi fédérale du 20 décembre 1946 sur l'assurance-vieillesse et survivants (LAVS)
LAVS Art. 52 Responsabilité - 1 L'employeur qui, intentionnellement ou par négligence grave, n'observe pas des prescriptions et cause ainsi un dommage à l'assurance, est tenu à réparation.
1    L'employeur qui, intentionnellement ou par négligence grave, n'observe pas des prescriptions et cause ainsi un dommage à l'assurance, est tenu à réparation.
2    Si l'employeur est une personne morale, les membres de l'administration et toutes les personnes qui s'occupent de la gestion ou de la liquidation répondent à titre subsidiaire du dommage. Lorsque plusieurs personnes sont responsables d'un même dommage, elles répondent solidairement de la totalité du dommage.281
3    L'action en réparation du dommage se prescrit conformément aux dispositions du code des obligations282 sur les actes illicites.283
4    La caisse de compensation fait valoir sa créance en réparation du dommage par voie de décision.284
5    En dérogation à l'art. 58, al. 1, LPGA285, le tribunal des assurances du canton dans lequel l'employeur est domicilié est compétent pour traiter le recours.
6    La responsabilité au sens de l'art. 78 LPGA est exclue.
AHVG übt, geht diese fehl: Das Bundesgericht hat bereits wiederholt zur Kritik an der Rechtsprechung zur Arbeitgeber-Organhaftung Stellung bezogen; unter Verweis auf BGE 129 V 11, 114 V 219 sowie Urteil H 112/03 vom 2. November 2004 erübrigen sich dazu Weiterungen.

6.5 Sodann widerspricht sich der Beschwerdeführer selbst, wenn er anführt, die X.________ AG sei ohne Ausnahme inaktiv gewesen, nachdem er selbst die Lohnbescheinigungen eingereicht hat (auf dem Begleitschreiben vom 24. September 2007 befindet sich seine Unterschrift) und dabei weder einen Vorbehalt zur Beitragsunterstellung im Zusammenhang mit einer zusätzlichen ausländischen Tätigkeit der Mitarbeiter noch bezüglich allfälliger nicht ausbezahlter Löhne angebracht hat. Davon, dass sein Fehlverhalten eindeutig in den Hintergrund tritt, kann unter diesen Umständen nicht die Rede sein. Mit der Vorinstanz ist festzuhalten, dass es unglaubwürdig ist, wenn der Beschwerdeführer erneut anführt, K.________ habe als Direktor der Gesellschaft ohne sein Wissen und eigenmächtig Arbeitnehmer angestellt und die Lohnzahlungen bar ausgerichtet, ohne dass er etwas davon gewusst habe. Im Übrigen hat der Beschwerdeführer selbst auch das Bestellformular für einen Versicherungsausweis eines Mitarbeiters eingereicht. Es ist ihm vorzuwerfen, dass er die ihm obliegenden Überwachungspflichten (vgl. E. 6.2) nicht wahrgenommen hat, insbesondere bei solch überschaubaren Verhältnissen.

6.6 An seinem Verschulden ändert entgegen der Auffassung des Beschwerdeführers schliesslich auch nichts, dass die Beitragspflicht mit der Sondervereinbarung gemäss Art. 17 VO1408/71 erst rückwirkend festgestellt wurde und er vom genauen Hintergrund dieser Unterstellung erst anlässlich der Aktenkonsultation im Hinblick auf die Anfechtung des nunmehr angefochtenen Entscheides der Vorinstanz vom 22. Juni 2012 erfuhr. Soweit er geltend machen will, er habe von der Beitragspflicht vorher gar nicht wissen können, weshalb ihm auch keine Pflichtverletzung vorgeworfen werden könne, trifft es zwar zu, dass nach der Rechtsprechung der Vorwurf schuldhafter Schadensverursachung dann entfallen kann, wenn sich über die beitragsrechtliche Qualifikation der fraglichen Entgelte in guten Treuen streiten lässt, wobei damit nicht von vornherein die Pflicht zu Rückstellungen entfällt (SVR AHV Nr. 9 S. 25, H 8/07 E. 7).

Hier ist insbesondere zu berücksichtigen, dass der Beschwerdeführer selbst, wie bereits erwähnt, im Jahre 2007 die Lohnbescheinigungen für 2006 und 2007 eingereicht hat. Wenn er der Meinung gewesen wäre, die Mitarbeiter seien in der Schweiz nicht abrechnungspflichtig, hätte er bei der Einreichung der Lohnbescheinigung mindestens einen Vorbehalt hinsichtlich der Beitragsunterstellung anbringen können. Dergleichen ist aus den Akten nicht ersichtlich. Vielmehr wurden die Beiträge von den Lohnzahlungen tatsächlich abgezogen. Bei dieser Sachlage musste der Beschwerdeführer mit der Beitragserhebung rechnen und war deshalb verpflichtet, für verfügbare Rückstellungen zu sorgen, was er jedoch unterlassen hat.

6.7 Insoweit sich der Beschwerdeführer auf ein Mitverschulden der Ausgleichskasse beruft, weil ihn die - an die Firma adressierten - Mahnungen nicht erreicht hätten, so ist dies ausschliesslich ein (firmen-)internes Problem. Dass die Ausgleichskasse längere Zeit keine Inkassoschritte unternommen und den Vollzug des Zahlungsverkehrs nur unzureichend überwacht hat, stellt eine pauschale Behauptung dar, die nicht weiter untermauert ist. Im Gegenteil präsentiert sich die Vorgehensweise der Ausgleichskasse alles andere als schleppend (vgl. E. 4.5.1 und 4.5.2).

6.8 Zusammenfassend ist deshalb von einem haftungsbegründenden qualifizierten Verschulden des Beschwerdeführers auszugehen.

7.
Angesichts des anteilsmässig geringen Obsiegens werden die Gerichtskosten vollumfänglich dem Beschwerdeführer auferlegt (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG); ebenso wenig ist eine Parteientschädigung geschuldet.

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird teilweise gutgeheissen, soweit darauf einzutreten ist. Die Verfügung der Ausgleichskasse des Kantons Schaffhausen vom 12. Januar 2010 und ihr Einspracheentscheid vom 25. Juni 2010 werden insoweit abgeändert, dass der Beschwerdeführer der Ausgleichskasse Schadenersatz in der Höhe von Fr. 34'033.10 zu zahlen hat.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 3000.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.

3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Obergericht des Kantons Schaffhausen und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.

Luzern, 15. Mai 2013

Im Namen der II. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Der Präsident: Kernen

Die Gerichtsschreiberin: Helfenstein