Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

{T 0/2}

8C 124/2014

Urteil vom 14. November 2014

I. sozialrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichterin Leuzinger, Präsidentin,
Bundesrichter Ursprung, Bundesrichter Maillard,
Gerichtsschreiberin Kopp Käch.

Verfahrensbeteiligte
A.________, vertreten durch
Rechtsanwalt David Husmann,
Beschwerdeführerin,

gegen

Unfallversicherung Stadt Zürich, Stadelhoferstrasse 33, 8001 Zürich,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Unfallversicherung,

Beschwerde gegen den Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich vom 18. Dezember 2013.

Sachverhalt:

A.
Die 1956 geborene A.________ war seit 1. Februar 2005 als Hortleiterin für das Schulamt in einem Pensum von 80 % tätig und dadurch bei der Unfallversicherung der Stadt Zürich (nachfolgend UVZ) gegen die Folgen von Unfällen versichert. Am 26. Dezember 2009 erlitt A.________ einen Skiunfall, bei welchem sie gemäss Unfallmeldung vom 7. Januar 2010 und Regress-Frageblatt Skiunfall vom 14. Januar 2010 von einem Skifahrer von hinten links angefahren wurde, stürzte und mit dem Hinterkopf auf dem Boden aufprallte. Die dabei zugezogene Schulterverletzung wurde am 27. Dezember 2009 operativ versorgt. Die UVZ erbrachte die gesetzlichen Leistungen. Nach diversen medizinischen Abklärungen, insbesondere nach Einholung eines polydisziplinären Gutachtens der Medizinischen Abklärungsstelle (MEDAS) vom 25. Juli 2011, verneinte die UVZ mit Verfügung vom 3. Oktober 2011 den adäquaten Kausalzusammenhang zwischen den noch bestehenden psychischen Beschwerden und dem Unfallereignis und stellte die bisher erbrachten Leistungen per 25. Juli 2011 ein. Bezüglich Schulterbeschwerden bejahte sie die Unfallkausalität, sprach eine Integritätsentschädigung entsprechend einer Integritätseinbusse von 5 % zu und verneinte einen Rentenanspruch sowie die
Kostenübernahme für weitere Heilbehandlungen. Mit Einspracheentscheid vom 23. April 2012 hiess die UVZ die Einsprache der Versicherten bezüglich der psychischen Beschwerden teilweise gut, sprach ihr deswegen jedoch mangels Adäquanz keine weiteren Leistungen zu, wies sie hingegen bezüglich der Schulter- sowie der HWS-Beschwerden ab und bestätigte ihre Verfügung vom 3. Oktober 2011.

B.
Die von A.________ hiegegen erhobene Beschwerde wies das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich mit Entscheid vom 18. Dezember 2013 ab.

C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten lässt A.________ beantragen, in Aufhebung des vorinstanzlichen Entscheids vom 18. Dezember 2013 sei die UVZ zu verpflichten, ihr die gesetzlichen Leistungen nach UVG auszurichten und ihr ab 25. Juli 2011 weiterhin Taggelder von 100 % sowie Heilungskosten zu gewähren; eventualiter sei die UVZ zu verpflichten, ihr eine Invalidenrente von 100 % und eine Integritätsentschädigung im Ausmass der tatsächlichen Schwere des Integritätsschadens, mindestens 50 %, zu gewähren; subeventualiter sei eine polydisziplinäre Begutachtung vorzunehmen.

Die UVZ schliesst auf Abweisung der Beschwerde. Das Bundesamt für Gesundheit verzichtet auf eine Vernehmlassung. A.________ lässt mit Eingabe vom 4. Juni 2014 an ihren Anträgen und Ausführungen festhalten.

Erwägungen:

1.

1.1. Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann wegen Rechtsverletzungen gemäss Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
und 96
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour:
a  inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse;
b  application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire.
BGG erhoben werden. Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG). Es ist folglich weder an die in der Beschwerde geltend gemachten Argumente noch an die Erwägungen der Vorinstanz gebunden; es kann eine Beschwerde aus einem anderen als dem angerufenen Grund gutheissen und es kann eine Beschwerde mit einer von der Argumentation der Vorinstanz abweichenden Begründung abweisen (vgl. BGE 132 II 257 E. 2.5 S. 262; 130 III 136 E. 1.4 S. 140). Immerhin prüft das Bundesgericht, unter Berücksichtigung der allgemeinen Begründungspflicht der Beschwerde (Art. 42 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
und 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG), grundsätzlich nur die geltend gemachten Vorbringen, falls allfällige weitere rechtliche Mängel nicht geradezu offensichtlich sind (BGE 138 I 274 E. 1.6 S. 280).

1.2. Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
und Art. 105 Abs. 3
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG).

2.

2.1. Neue Tatsachen und Beweismittel dürfen nur soweit vorgebracht werden, als erst der Entscheid der Vorinstanz dazu Anlass gibt (Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
BGG; zur Geltung dieses Grundsatzes im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung: BGE 135 V 194 E. 3.4 S. 199 f.). Solche Umstände können namentlich in formellrechtlichen Mängeln des angefochtenen Entscheids liegen, mit denen die Partei nicht rechnete und nach Treu und Glauben nicht zu rechnen brauchte, oder darin, dass die Vorinstanz materiell in einer Weise urteilt, dass bestimmte Sachumstände neu und erstmals rechtserheblich werden. Der vorinstanzliche Verfahrensausgang allein bildet noch keinen hinreichenden Anlass im Sinne von Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
BGG für die Zulässigkeit von unechten Noven, die bereits im kantonalen Verfahren ohne weiteres hätten vorgebracht werden können (nicht publ. E. 2.3 des Urteils BGE 135 V 163, in SVR 2009 BVG Nr. 30 S. 109 [9C 920/2008]; vgl. auch Urteil 8C 51/2010 vom 21. Mai 2010 E. 3.1). Das Vorbringen von Tatsachen oder Beweismitteln, die sich erst nach dem angefochtenen Entscheid ereigneten oder entstanden (sog. echte Noven), ist vor Bundesgericht unzulässig (Urteile 8C 660/2013 vom 15.
Mai 2014 E. 2.1, 8C 843/2013 vom 14. März 2014 E. 2.1 und 8C 502/2010 vom 21. Juli 2010 E. 3, je mit Hinweisen).

2.2. Der von der Beschwerdeführerin letztinstanzlich beigebrachte MRI-Bericht des Dr. med. B.________, Facharzt FMH Radiologie, Medizinisch Radiologisches Institut C.________, vom 21. Januar 2014 ist erst nach dem am 18. Dezember 2013 erlassenen vorinstanzlichen Entscheid verfasst worden und kann damit als sogenanntes echtes Novum im vorliegenden Prozess nicht beachtet werden.

3.
Die Vorinstanz hat die Grundlagen über den für eine Leistungspflicht der obligatorischen Unfallversicherung erforderlichen natürlichen und adäquaten Kausalzusammenhang zwischen dem Unfallereignis und dem Gesundheitsschaden im Allgemeinen (BGE 134 V 109 E. 2.1 S. 111 f. mit Hinweisen) sowie über die erforderliche adäquate Kausalität bei psychischen Unfallfolgen im Besonderen (BGE 115 V 133; vgl. auch BGE 134 V 109 E. 6.1 S. 116) zutreffend dargelegt. Richtig sind auch die Ausführungen über die Dauer des Anspruchs auf Heilbehandlung (Art. 19 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 19 Naissance et extinction du droit - 1 Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53.
1    Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53.
2    Le droit à la rente s'éteint lorsque celle-ci est remplacée en totalité par une indemnité en capital, lorsqu'elle est rachetée ou lorsque l'assuré décède. ...54.
3    Le Conseil fédéral édicte des prescriptions détaillées sur la naissance du droit aux rentes lorsque l'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré, mais que la décision de l'assurance-invalidité quant à la réadaptation professionnelle intervient plus tard.
UVG e contrario) und über den Anspruch auf eine Invalidenrente (Art. 18 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 18 Invalidité - 1 Si l'assuré est invalide (art. 8 LPGA50) à 10 % au moins par suite d'un accident, il a droit à une rente d'invalidité, pour autant que l'accident soit survenu avant l'âge de référence51.52
1    Si l'assuré est invalide (art. 8 LPGA50) à 10 % au moins par suite d'un accident, il a droit à une rente d'invalidité, pour autant que l'accident soit survenu avant l'âge de référence51.52
2    Le Conseil fédéral règle l'évaluation du degré de l'invalidité dans des cas spéciaux. Il peut à cette occasion déroger à l'art. 16 LPGA.
UVG) sowie auf eine Integritätsentschädigung (Art. 24 f
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 24 Droit - 1 Si, par suite de l'accident, l'assuré souffre d'une atteinte importante et durable à son intégrité physique, mentale ou psychique, il a droit à une indemnité équitable pour atteinte à l'intégrité.66
1    Si, par suite de l'accident, l'assuré souffre d'une atteinte importante et durable à son intégrité physique, mentale ou psychique, il a droit à une indemnité équitable pour atteinte à l'intégrité.66
2    L'indemnité est fixée en même temps que la rente d'invalidité ou, si l'assuré ne peut prétendre une rente, lorsque le traitement médical est terminé. Le Conseil fédéral peut fixer la naissance du droit à un autre moment dans les cas spéciaux, notamment en cas d'atteinte à la santé liée à l'inhalation de fibres d'amiante.67
. UVG). Darauf wird verwiesen.

4.
Streitig und zu prüfen ist, ob die Beschwerdeführerin auf Grund der von ihr geltend gemachten Beschwerden auch über den 25. Juli 2011 hinaus Leistungen der Beschwerdegegnerin als Folge des Ereignisses vom 26. Dezember 2009 beanspruchen kann.

4.1. Das kantonale Gericht hat in Würdigung der umfangreichen medizinischen Aktenlage, insbesondere gestützt auf das polydisziplinäre Gutachten der MEDAS vom 25. Juli 2011, festgestellt, dass bezüglich der unbestrittenermassen unfallkausalen Schulterbeschwerden vom im Zeitpunkt der Begutachtung mit überwiegender Wahrscheinlichkeit erreichten Endzustand ausgegangen werden durfte, und hat die Verneinung eines daraus resultierenden Rentenanspruchs sowie die Zusprechung einer Integritätsentschädigung auf der Basis einer Integritätseinbusse von 5 % bestätigt. Hinsichtlich der Unfallkausalität der Nacken- und HWS-Beschwerden ist die Vorinstanz zum Schluss gekommen, die Nackenbeschwerden seien auf degenerative Vorzustände zurückzuführen und diese Beschwerden insgesamt seien nur möglicherweise unfallkausal. Selbst wenn jedoch die natürliche Kausalität zu bejahen und von organisch nicht nachweisbaren Nackenbeschwerden auszugehen wäre - so das kantonale Gericht - wäre die Adäquanzprüfung in Anbetracht der ausgeprägten psychischen Problematik nach der Rechtsprechung und den Kriterien für psychische Fehlentwicklungen vorzunehmen und nicht die Schleudertraumapraxis anzuwenden. Es sei von einem mittelschweren Unfall im Grenzbereich zu den
leichten auszugehen und die adäquate Kausalität zu verneinen, da keines der massgeblichen Kriterien vorliege.

4.2. Die Versicherte bemängelt die Beweiskraft des MEDAS-Gutachtens und sieht im Abstellen darauf eine Verletzung des Untersuchungsgrundsatzes. Des Weiteren rügt sie im Wesentlichen einen zu frühen Fallabschluss sowie eine unrichtige Kausalitätsbeurteilung. Schliesslich macht sie geltend, in Anbetracht der 100%igen Arbeitsunfähigkeit stehe ihr eine ganze Invalidenrente sowie eine Integritätsentschädigung von mindestens 50 % zu.

5.

5.1. Was zunächst das Beschwerdebild der Versicherten anbelangt, ist im Abstellen auf das MEDAS-Gutachten vom 25. Juli 2011 keine Bundesrechtswidrigkeit zu erkennen. Mit der Vorinstanz ist diesem Gutachten, welches auf einem rheumatologischen, einem neurologischen und einem psychiatrischen Konsilium basiert, voller Beweiswert zuzuerkennen, da es die von der Rechtsprechung aufgestellten Kriterien an ein beweiskräftiges Gutachten erfüllt, für die streitigen Belange umfassend ist, auf den erforderlichen Untersuchungen beruht, die geklagten Beschwerden berücksichtigt und in Kenntnis der Vorakten (Anamnese) abgegeben wurde; zudem erweist sich die Beschreibung der medizinischen Situation und Zusammenhänge als einleuchtend und die Schlussfolgerungen sind begründet (BGE 134 V 231 E. 5.1; 125 V 351 E. 2a S. 352 mit Hinweis). Dass dabei bezüglich HWS auf die CT-Untersuchung vom 28. Dezember 2009 sowie auf das MRI vom 8. Juli 2010 abgestellt wurde, vermag daran nichts zu ändern, ergab sich doch bereits aus diesen Untersuchungen das Vorhandensein degenerativer Veränderungen und setzt sich das MEDAS-Gutachten mit diesen Befunden auseinander. Keinesfalls können mit dem unzulässigerweise neu aufgelegten MRI-Bericht vom 21. Januar 2014 die
Schlussfolgerungen der Gutachter in Frage gestellt werden.

5.2. Kann dem MEDAS-Gutachten somit voller Beweiswert zugesprochen werden, ist die vorinstanzliche Feststellung, wonach die Schulterbeschwerden unfallkausal und die Nackenbeschwerden auf degenerative Vorzustände zurückzuführen seien, nicht zu beanstanden.

5.3. Was die psychischen Beschwerden anbelangt, ist mit dem kantonalen Gericht davon auszugehen, dass entgegen der Auffassung der Versicherten rasch eine psychische Überlagerungsproblematik im Vordergrund stand. Diesbezüglich ist darauf hinzuweisen, dass bereits im ambulanten Bericht des Spitals D.________ vom 4. Januar 2010 psychische Beschwerden erwähnt wurden und Dr. med. E.________, stellvertretender Oberarzt Orthopädie, Klinik F.________, im Bericht vom 8. März 2010 die Inanspruchnahme psychologischer, respektive psychiatrischer Hilfe empfahl. Ebenso hielt Frau Dr. med. G.________, FMH Phys. Medizin/Rehabilitation Sportmedizin SGSM, im Bericht des Vertrauensarztes vom 23. März 2010 fest, eine psychologische Begleitung müsse unbedingt stattfinden. Frau Dr. med. H.________, Spezialärztin FMH für Psychiatrie und Psychotherapie, bei welcher sich die Versicherte einer psychotherapeutischen Behandlung unterzog, diagnostizierte am 31. März 2010 eine Anpassungsstörung mit deutlich depressiven und ängstlichen Zügen. Nachdem in den verschiedenen medizinischen Berichten immer wieder das psychische Beschwerdebild erwähnt worden war, attestierte Frau Dr. med. G.________ im Bericht des Vertrauensarztes vom 21. Oktober 2010 eine allein aus
somatischer Sicht bestehende Arbeitsfähigkeit in der angestammten Tätigkeit, jedoch eine 100%ige Arbeitsunfähigkeit von der psychischen Seite her. Sie hielt fest, es seien sich alle ärztlichen Fachpersonen einig, dass sich die von der Versicherten geklagten Beschwerden nur unzureichend mit der zugrunde liegenden Verletzung erklären liessen und das Schwergewicht der zukünftigen Behandlung auf der psychischen Ebene liegen müsse. Frau Dr. med. I.________, Psychiatrie und Psychotherapie FMH, bestätigte in ihrem Bericht des Vertrauensarztes vom 9. November 2010 das Vorliegen einer vorwiegend psychischen Problematik und diagnostizierte eine längere depressive Reaktion im Sinne einer Anpassungsstörung an Unfallfolgen sowie eine undifferenzierte psychosomatische Störung. Schliesslich bejahte auch der psychiatrische MEDAS-Gutachter Dr. med. J.________, Psychiatrie und Psychotherapie FMH, die dringende Indikation einer psychiatrisch-psychotherapeutischen Behandlung und diagnostizierte eine chronische Schmerzstörung mit somatischen und psychischen Faktoren, eine komplizierte, protrahierte Trauerreaktion sowie eine weitgehend remittierte längere depressive Reaktion, während im MEDAS-Gutachten allein aus somatischer Sicht eine vollumfängliche
Arbeitsfähigkeit für körperlich leichte und mittelschwere Tätigkeiten attestiert wurde.

6.
Die Beschwerdeführerin beanstandet sodann einen verfrühten Fallabschluss.

6.1. Gestützt auf Art. 19 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 19 Naissance et extinction du droit - 1 Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53.
1    Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53.
2    Le droit à la rente s'éteint lorsque celle-ci est remplacée en totalité par une indemnité en capital, lorsqu'elle est rachetée ou lorsque l'assuré décède. ...54.
3    Le Conseil fédéral édicte des prescriptions détaillées sur la naissance du droit aux rentes lorsque l'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré, mais que la décision de l'assurance-invalidité quant à la réadaptation professionnelle intervient plus tard.
UVG hat der Unfallversicherer den Fall (unter Einstellung der vorübergehenden Leistungen [Heilbehandlung, Taggeld] und Prüfung des Anspruchs auf eine Invalidenrente und eine Integritätsentschädigung) abzuschliessen, wenn von der Fortsetzung der ärztlichen Behandlung keine namhafte Besserung des Gesundheitszustandes der versicherten Person mehr erwartet werden kann und allfällige Eingliederungsmassnahmen der Invalidenversicherung abgeschlossen sind (BGE 134 V 109 E. 4.1 S. 113 f. mit Hinweisen). Was unter einer namhaften Besserung des Gesundheitszustandes im genannten Sinne zu verstehen ist, bestimmt sich namentlich nach Massgabe der zu erwartenden Steigerung oder Wiederherstellung der Arbeitsfähigkeit, soweit unfallbedingt beeinträchtigt, wobei die durch weitere Heilbehandlung zu erwartende Besserung ins Gewicht fallen muss. Unbedeutende Verbesserungen genügen nicht (BGE 134 V 109 E. 4.3 S. 115 mit Hinweisen). Sodann gilt, dass der Gesundheitszustand der versicherten Person prognostisch und nicht auf Grund retrospektiver Feststellungen zu beurteilen ist (RKUV 2005 Nr. U 557 S. 388, U 244/04 E. 3.1 mit Hinweisen; Urteil 8C 849/2011 vom 29. Mai 2012 E. 3.2). Die bei der Adäquanzprüfung psychischer
Unfallfolgen einzig zu berücksichtigenden physischen Komponenten lassen sich im Zeitpunkt, in welchem von einer Fortsetzung der auf die somatischen Leiden gerichteten ärztlichen Behandlung keine namhafte Besserung mehr erwartet werden kann, zuverlässig beurteilen (BGE 134 V 109 E. 6.1 S. 116 mit Hinweisen; Urteil 8C 362/2014 vom 25. Juni 2014 E. 3.3).

6.2. Eingliederungsmassnahmen der Invalidenversicherung stehen vorliegend nicht zur Diskussion. Die Rechtmässigkeit des Fallabschlusses beurteilt sich somit danach, ob von einer Fortsetzung der ärztlichen Behandlung über den 25. Juli 2011 hinaus noch eine namhafte Besserung des somatischen Gesundheitszustandes erwartet werden konnte, was von der Vorinstanz unter ausführlicher Wiedergabe der sachbezüglichen medizinischen Aktenlage verneint wurde. Diese Beurteilung ist nicht zu beanstanden. Wie das kantonale Gericht zutreffend dargelegt hat, ist die Frage prognostisch und namentlich nach Massgabe der zu erwartenden Steigerung der unfallbedingt beeinträchtigten Arbeitsfähigkeit zu beurteilen (BGE 134 V 109 E. 4.3 S. 15). Gemäss MEDAS-Gutachten vom 25. Juli 2011 war der Endzustand bezüglich der Schulterbeschwerden erreicht und waren der Versicherten allein von Seiten des Bewegungsapparates her körperlich leichte und mittelschwere Tätigkeiten in vollem Umfang zumutbar; einschränkend wirke sich ausschliesslich die psychiatrische Diagnose aus. Wie die Vorinstanz dargelegt hat, vermag die am 14. Juni 2012 durchgeführte Schulteroperation an der prognostisch vorgenommenen Beurteilung nichts zu ändern. Es geht dabei nicht um den "Endzustand
der medizinischen Behandlung und Therapie", mithin um das Dahinfallen jeglichen Bedarfs an Heilbehandlung. Der Zeitpunkt des Fallabschlusses bestimmt sich vielmehr danach, ob weitere ärztliche Behandlung eine namhafte Besserung erwarten liess. Das kann mit dem kantonalen Gericht verneint werden. Die medizinischen Akten geben hiezu verlässlichen Aufschluss. Der Fallabschluss erweist sich damit als rechtens.

7.

7.1. Hinsichtlich der geltend gemachten weiteren Beschwerden, namentlich Nacken- und HWS-Beschwerden, ist - wie in E. 5 hievor aufgezeigt - mit der Vorinstanz davon auszugehen, dass die Nackenbeschwerden auf die erheblichen degenerativen Vorzustände zurückzuführen und die Nacken-/HWS-Beschwerden insgesamt nur möglicherweise durch den Unfall begründet sind, dass jedoch ohnehin die psychische Problematik im Vordergrund stand. Das Vorliegen eines Schulter-Nacken-Arm-Syndroms oder der zum typischen Beschwerdebild eines Schleudertraumas der HWS gehörenden Beeinträchtigungen ist entgegen der Auffassung der Beschwerdeführerin nicht aktenkundig und wurde in den zahlreichen medizinischen Berichten nicht ernsthaft diskutiert. Auch aus dem von der Versicherten geltend gemachten Umstand, sie habe vor dem Unfall keine entsprechenden Beschwerden aufgewiesen, lässt sich nicht ein kausaler Zusammenhang ableiten, da dies auf einen beweisrechtlich unzulässigen "post hoc ergo propter hoc"-Schluss hinausliefe (SVR 2010 UV Nr. 20 S. 40, 8C 626/2009 E. 3.2 mit Hinweisen). In Übereinstimmung mit der Rechtsprechung hat das kantonale Gericht daher erkannt, dass selbst bei teilweisem Vorliegen der zur Distorsion der HWS oder einer vergleichbaren Verletzung
gehörenden Beeinträchtigungen, diese gegenüber der ausgeprägten psychischen Problematik ganz in der Hintergrund träten, weshalb die Anwendung der Schleudertraumapraxis ausser Betracht falle. Der adäquate Kausalzusammenhang wurde somit zu Recht nach den gemäss BGE 115 V 133 (Psychopraxis) zu beachtenden Grundsätzen, mithin unter Ausklammerung der psychischen Beschwerdekomponenten des Gesundheitsschadens, beurteilt.

7.2. Das kantonale Gericht hat den Skiunfall vom 26. Dezember 2009 als mittelschweren Unfall im Grenzbereich zu den leichten qualifiziert, was mit Blick auf die bundesgerichtliche Rechtsprechung zu Skiunfällen nicht zu beanstanden ist (vgl. Urteile 8C 53/2011 vom 30. Mai 2011 E. 4.1.1 und 8C 785/2009 vom 16. Juni 2010 E. 7.3 mit Hinweisen). Die Adäquanz des Kausalzusammenhangs ist somit nur zu bejahen, wenn von den sieben zu berücksichtigenden, unter Ausklammerung psychischer Beschwerdekomponenten zu prüfenden Zusatzkriterien mehrere in einfacher Weise oder ein einzelnes in besonders ausgeprägter Form vorliegen (SVR 2014 UV Nr. 25 S. 81, 8C 51/2014, E. 5.4; BGE 129 V 177 E. 4.1 S. 183 f.; 115 V 133 E. 6c/aa S. 140).

7.3. Während das kantonale Gericht keines der massgeblichen Kriterien als erfüllt sieht, liegen nach Auffassung der Beschwerdeführerin sämtliche Kriterien bereits aus somatischen Gründen vor.

7.3.1. Die Beschwerdeführerin macht geltend, dass das Kriterium der besonders dramatischen Begleitumstände/besonderen Eindrücklichkeit des Unfalls erfüllt sei. Diesbezüglich ist allein eine objektive Betrachtungsweise massgebend, wobei sämtliche der als mittelschwer qualifizierten Unfälle eine gewisse Eindrücklichkeit aufweisen, so dass allein daraus noch nicht auf eine besondere Ausprägung geschlossen werden kann. Dem Unfallhergang wurde sodann bereits bei der Einordnung des Ereignisses bei den mittelschweren Unfällen Rechnung getragen. Das kantonale Gericht hat die Erfüllung des Kriteriums zu Recht verneint.

7.3.2. Bezüglich des Kriteriums der Schwere oder besonderen Art der erlittenen Verletzungen, insbesondere ihre erfahrungsgemässe Eignung, psychische Fehlentwicklungen auszulösen, kann auf die Erwägungen der Vorinstanz verwiesen werden. Dasselbe gilt hinsichtlich des Kriteriums der ungewöhnlich langen Dauer der ärztlichen Behandlung, wozu weder die Abklärungsmassnahmen noch die psycho- und physiotherapeutischen Behandlungen zu zählen sind.

7.3.3. Eine ärztliche Fehlbehandlung ist ebenso wenig ausgewiesen wie ein schwieriger Heilungsverlauf und erhebliche Komplikationen. Für letzteres Kriterium genügt nicht, dass die Spickdrähte am 13. Januar 2010 vorzeitig entfernt werden mussten, sondern es werden besondere Gründe verlangt, welche die Heilung beeinträchtigt haben und die hier nicht ersichtlich sind.

7.3.4. Entgegen der Auffassung der Beschwerdeführerin sind sodann auch die Kriterien der körperlichen Dauerschmerzen und von Grad und Dauer der physisch bedingten Arbeitsunfähigkeit nicht erfüllt. Wie aus der in E. 5.3 hievor dargelegten medizinischen Aktenlage hervorgeht, waren die Beschwerden der Versicherten schon bald nach dem Unfallereignis nicht mit der erlittenen Verletzung erklärbar und galt die Versicherte aus somatischer Sicht als arbeitsfähig (vgl. Bericht der Frau Dr. med. G.________ vom 21. Oktober 2010 und MEDAS-Gutachten vom 25. Juli 2011).

7.4. Das kantonale Gericht hat nach dem Gesagten die Adäquanz des Kausalzusammenhangs zwischen dem Unfall vom 26. Dezember 2009 und den über den 25. Juli 2011 hinaus anhaltenden psychischen Beschwerden zu Recht verneint.

8.
Was schliesslich die Leistungen der obligatorischen Unfallversicherung für die unfallkausalen Schulterbeschwerden anbelangt, rügt die Versicherte eine unrichtige Integritätseinschätzung. Diesbezüglich kann auf die einlässlichen und überzeugenden Erwägungen der Vorinstanz verwiesen werden, mit welchen sich die Beschwerdeführerin nicht ansatzweise auseinandersetzt. Der Antrag auf Ausrichtung einer Invalidenrente von 100 % sodann ist mit keinem Wort begründet, weshalb sich Ausführungen dazu erübrigen.

9.
Das Verfahren ist kostenpflichtig (Art. 65
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
1    Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
2    L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière.
3    Son montant est fixé en règle générale:
a  entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations.
4    Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent:
a  des prestations d'assurance sociale;
b  des discriminations à raison du sexe;
c  des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs;
d  des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24.
5    Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4.
BGG). Die Gerichtskosten werden der Beschwerdeführerin als unterliegender Partei auferlegt (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden der Beschwerdeführerin auferlegt.

3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.

Luzern, 14. November 2014

Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Die Präsidentin: Leuzinger

Die Gerichtsschreiberin: Kopp Käch