Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

8C 608/2019

Urteil vom 14. Januar 2020

I. sozialrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichter Maillard, Präsident,
Bundesrichterin Viscione, Bundesrichter Abrecht,
Gerichtsschreiber Jancar.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwältin Evalotta Samuelsson,
Beschwerdeführer,

gegen

AXA Versicherungen AG,
General Guisan-Strasse 40, 8400 Winterthur,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Unfallversicherung (Arbeitsunfähigkeit),

Beschwerde gegen den Entscheid des Versicherungsgerichts des Kantons Aargau
vom 23. Juli 2019 (VBE.2018.655).

Sachverhalt:

A.
Der 1974 geborene A.________ arbeitet als IT-Analyst bei der B.________ GmbH und ist damit bei der AXA Versicherungen AG (nachfolgend AXA) obligatorisch unfallversichert. Am 21. August 2016 zog er sich bei einem Sturz auf ein Glas eine Rissquetschwunde am linken Daumenballen zu. Gleichentags erfolgte im Kreisspital C.________ eine Wundversorgung in Lokalanästhesie. Die AXA kam für die Heilbehandlung und das Taggeld auf. Im Spital D.________ erfolgten am 13. September 2016 eine operative Revision der linken Hand und am 12. Mai 2017 eine Narbenkorrektur Dig. I links.
Mit Verfügung vom 30. November 2017 stellte die AXA die Taggelder per 1. Januar 2018 ein, da der Versicherte in der angestammten Tätigkeit als Informatiker wieder zu 100 % arbeitsfähig sei. Die rezeptierten Schmerzmittel und die dafür notwendigen ärztlichen Kontrollen würden bis auf Weiteres übernommen. Es bestehe kein Anspruch auf Integritätsentschädigung. Die Einsprache des Versicherten hiess die AXA in dem Sinne teilweise gut, als sie zum Schluss kam, der Anspruch auf eine allfällige Integritätsentschädigung sei nach Erreichen des Endzustandes noch zu prüfen. Im Übrigen wies sie die Einsprache im Sinne der Erwägungen ab (Entscheid vom 20. Juli 2018).

B.
Die hiergegen erhobene Beschwerde wies das Versicherungsgericht des Kantons Aargau mit Entscheid vom 23. Juli 2019 ab.

C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten beantragt der Versicherte, in Aufhebung des kantonalen Entscheides seien ihm auch nach dem 31. Dezember 2017 die gesetzlichen Leistungen (Taggelder, Heilkosten etc.) aus dem Unfall vom 21. August 2016 zuzusprechen; eventuell sei die Sache an die AXA zu weiteren Erhebungen und Ausrichtung weiterer gesetzlicher Leistungen zurückzuweisen.
Die AXA schliesst auf Beschwerdeabweisung. Das Bundesamt für Gesundheit verzichtet auf Vernehmlassung.

Erwägungen:

1.
Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann eine Rechtsverletzung nach Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
. BGG gerügt werden. Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG). Dennoch prüft es - offensichtliche Fehler vorbehalten - nur die in seinem Verfahren gerügten Rechtsmängel (Art. 42 Abs. 1 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
. BGG; BGE 135 II 384 E. 2.2.1 S. 389). Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
und Art. 105 Abs. 3
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG).

2.
Das kantonale Gericht hat die rechtlichen Grundlagen über die Ansprüche auf Heilbehandlung (Art. 10 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 10 Traitement médical - 1 L'assuré a droit au traitement médical approprié des lésions résultant de l'accident, à savoir:
1    L'assuré a droit au traitement médical approprié des lésions résultant de l'accident, à savoir:
a  au traitement ambulatoire dispensé par le médecin, le dentiste ou, sur prescription de ces derniers, par le personnel paramédical ainsi que par le chiropraticien, de même qu'au traitement ambulatoire dispensé dans un hôpital;
b  aux médicaments et analyses ordonnés par le médecin ou le dentiste;
c  au traitement, à la nourriture et au logement dans la division commune d'un hôpital;
d  aux cures complémentaires et aux cures de bain prescrites par le médecin;
e  aux moyens et appareils servant à la guérison.
2    L'assuré peut choisir librement son médecin, son dentiste, son chiropraticien, sa pharmacie et l'hôpital ou l'établissement de cure dans lequel il veut se faire soigner.31
3    Le Conseil fédéral peut définir les prestations obligatoirement à la charge de l'assurance et limiter la couverture des frais de traitement à l'étranger. Il peut fixer les conditions que l'assuré doit remplir pour avoir droit à l'aide et aux soins à domicile.32
UVG) und Taggeld (Art. 16
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 16 Droit - 1 L'assuré totalement ou partiellement incapable de travailler (art. 6 LPGA35) à la suite d'un accident a droit à une indemnité journalière.36
1    L'assuré totalement ou partiellement incapable de travailler (art. 6 LPGA35) à la suite d'un accident a droit à une indemnité journalière.36
2    Le droit à l'indemnité journalière naît le troisième jour qui suit celui de l'accident. Il s'éteint dès que l'assuré a recouvré sa pleine capacité de travail, dès qu'une rente est versée ou dès que l'assuré décède.
3    L'indemnité journalière de l'assurance-accidents n'est pas allouée s'il existe un droit à une indemnité journalière de l'assurance-invalidité ou à une allocation de maternité, d'allocation à l'autre parent, de prise en charge ou d'adoption selon la loi du 25 septembre 1952 sur les allocations pour perte de gain37.38
4    L'indemnité journalière est versée aux personnes au chômage nonobstant les délais d'attente (art. 18, al. 1, LACI39) ou les jours de suspension (art. 30 LACI).40
5    Les personnes visées à l'art. 1a, al. 1, let. c, qui reçoivent une rente conformément à l'art. 22bis, al. 5, LAI41 en relation avec l'art. 28 LAI n'ont pas droit à une indemnité journalière.42
UVG) sowie die Voraussetzungen des Fallabschlusses (Art. 19 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 19 Naissance et extinction du droit - 1 Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53.
1    Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53.
2    Le droit à la rente s'éteint lorsque celle-ci est remplacée en totalité par une indemnité en capital, lorsqu'elle est rachetée ou lorsque l'assuré décède. ...54.
3    Le Conseil fédéral édicte des prescriptions détaillées sur la naissance du droit aux rentes lorsque l'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré, mais que la décision de l'assurance-invalidité quant à la réadaptation professionnelle intervient plus tard.
UVG; BGE 134 V 109 E. 4 S. 113) richtig dargelegt. Gleiches gilt zum Beweiswert von Arztberichten (BGE 135 V 465 E. 4.7 S. 471, 134 V 231 E. 5.1 S. 232, 125 V 351 E. 3a S. 352). Darauf wird verwiesen.

3.
Streitig und zu prüfen ist, ob das kantonale Gericht Bundesrecht verletzte, indem es - der AXA folgend - die Leistungseinstellung per 1. Januar 2018 bestätigte.
Es erwog im Wesentlichen, die AXA sei in medizinischer Hinsicht den Beurteilungen ihres beratenden Arztes Dr. med. E.________, Facharzt FMH Chirurgie, vom 20. November 2017 sowie 14. Mai und 2. Juli 2018 gefolgt. Diese erfüllten die Anforderungen an eine beweiskräftige medizinische Beurteilungsgrundlage. Gestützt hierauf stehe fest, dass der Versicherte die vor dem Unfall ausgeübte Tätigkeit ab 1. Januar 2018 wieder in einem Vollzeitpensum ausüben könne. Die Einschätzungen der Dr. med. F.________, Fachärztin FMH Allg. Chirurgie, vom 5. Januar 2017 und der Prof. Dr. med. G.________, Chefärztin, Klinik für Hand-, Plastische und Chirurgie der peripheren Nerven, Spital D.________, vom 27. März 2018, wonach der Versicherte nur zu 60 % arbeitsfähig sei, habe Dr. med. E.________ schlüssig widerlegt. Zu seiner Einschätzung passe auch, dass der Versicherte seit 1. Januar 2018 wieder zu 100 % in seiner angestammten Tätigkeit als IT-Analyst arbeite und nicht einmal krankgeschrieben gewesen sei. Die diskutierte Diagnose eines komplexen regionalen Schmerzsyndroms (CRPS) habe Dr. med. E.________ berücksichtigt. Es bestünden keine auch nur geringen Zweifel an seiner Beurteilung, weshalb die AXA Leistungen über den 31. Dezember 2107 hinaus zu
Recht abgelehnt habe.

4.

4.1. Der Beschwerdeführer beruft sich erstmals auf die Ausführungen des Regionalen Ärztlichen Dienstes und auf die gestützt hierauf ergangene Verfügung der IV-Stelle des Kantons Aargau vom 14. Juni 2019, wonach er in seiner angestammten Tätigkeit ab Januar 2018 bloss zu 70 % arbeitsfähig sei. Da diese Unterlagen vor dem angefochtenen Gerichtsentscheid vom 23. Juli 2019 datieren, handelt es sich um unechte Noven, deren Einbringung vor Bundesgericht nur im Rahmen von Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
BGG zulässig ist. Der vorinstanzliche Verfahrensausgang allein bildet noch keinen hinreichenden Anlass für die Zulässigkeit unechter Noven, die bereits im kantonalen Verfahren ohne Weiteres hätten vorgebracht werden können (nicht publ. E. 1.3 des Urteils BGE 138 V 286, in SVR 2012 FZ Nr. 3 S. 7, 8C 690/2011 vom 16. Juli 2012). Unbehelflich ist der bloss pauschale Einwand des Versicherten, die Einbringung der obigen Akten vor Bundesgericht sei zulässig, da sie nach Abschluss des vorinstanzlichen Schriftenwechsels vom 13. Dezember 2018 ergangen seien. Denn er legt nicht substanziiert dar, dass ihm deren Einreichung vor Vorinstanz trotz hinreichender Sorgfalt prozessual unmöglich und objektiv unzumutbar war. Die besagten Unterlagen und die darauf basierenden
Ausführungen des Versicherten sind somit unbeachtlich (vgl. Urteil 8C 603/2019 vom 22. November 2019 E. 5).

4.2. Zudem beruft sich der Beschwerdeführer auf den Bericht der Prof. Dr. med. G.________ vom 14. August 2019. Hierbei handelt es sich, da erst nach dem angefochtenen Gerichtsentscheid entstanden, um ein unzulässiges echtes Novum (Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
BGG; BGE 139 III 120 E. 3.1.2 S. 123; Urteil 8C 603/2019 vom 22. November 2019 E. 5). Die darauf basierenden Ausführungen des Beschwerdeführers sind somit ebenfalls unbeachtlich.

5.

5.1. Der Beschwerdeführer bringt weiter im Wesentlichen vor, die Vorinstanz habe zu Unrecht auf die bloss prognostische Einschätzung des Dr. med. E.________ vom 20. November 2017 abgestellt, wonach er ab 1. Januar 2018 in der angestammten Tätigkeit zu 100 % arbeitsfähig sei. Gemäss dem Bericht der Prof. Dr. med. G.________ vom 1. November 2017 sei vielmehr mit einem langwierigen Verlauf von zwei bis zweieinhalb Jahren zu rechnen gewesen. Ihrem Bericht vom 22. Juni 2018 seien ein neuropathisches Schmerzsyndrom und der Verdacht auf ein CRPS zu entnehmen. Selbst laut Dr. med. E.________ sei der Endzustand erst drei Jahre nach dem Eingriff zu erwarten gewesen, wobei unklar sei, ob er die Operation vom 13. September 2016 oder diejenige vom 12. Mai 2017 gemeint habe. Gemäss der Stellungnahme der Dr. med. F.________ vom 5. Januar 2017 sei eine 60%ige Arbeitsfähigkeit nachvollziehbar. Somit bestünden erhebliche Zweifel an der Einschätzung des Dr. med. E.________. Aus der 100%igen Arbeitstätigkeit des Versicherten könne nicht eine 100%ige Leistungsfähigkeit abgeleitet werden. Er arbeite aus Not wegen der Taggeldeinstellung durch die AXA. Er komme nur mit bis zu 400 mg Tramal täglich über die Runden; dieses lindere aber nur die Schmerzen.
Die Funktionsfähigkeit der Hand habe sich wegen der Überbeanspruchung verschlechtert. Die Medikation sei ihm entgegen der Vorinstanz unzumutbar. Die AXA sei somit auch nach dem 1. Januar 2018 leistungspflichtig. Eventuell sei die Sache zu weiteren Beweiserhebungen (Einholung eines externen Handgutachtens inkl. Evaluation der funktionellen Leistungsfähigkeit der betroffenen Hand) und Taggeldausrichtung an die AXA zurückzuweisen.

5.2.

5.2.1. Der Taggeldanspruch knüpft, wie sich aus dem Wortlaut von Art. 16 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 16 Droit - 1 L'assuré totalement ou partiellement incapable de travailler (art. 6 LPGA35) à la suite d'un accident a droit à une indemnité journalière.36
1    L'assuré totalement ou partiellement incapable de travailler (art. 6 LPGA35) à la suite d'un accident a droit à une indemnité journalière.36
2    Le droit à l'indemnité journalière naît le troisième jour qui suit celui de l'accident. Il s'éteint dès que l'assuré a recouvré sa pleine capacité de travail, dès qu'une rente est versée ou dès que l'assuré décède.
3    L'indemnité journalière de l'assurance-accidents n'est pas allouée s'il existe un droit à une indemnité journalière de l'assurance-invalidité ou à une allocation de maternité, d'allocation à l'autre parent, de prise en charge ou d'adoption selon la loi du 25 septembre 1952 sur les allocations pour perte de gain37.38
4    L'indemnité journalière est versée aux personnes au chômage nonobstant les délais d'attente (art. 18, al. 1, LACI39) ou les jours de suspension (art. 30 LACI).40
5    Les personnes visées à l'art. 1a, al. 1, let. c, qui reçoivent une rente conformément à l'art. 22bis, al. 5, LAI41 en relation avec l'art. 28 LAI n'ont pas droit à une indemnité journalière.42
UVG ergibt, an das während der Versicherungsunterstellung eingetretene Risiko (Unfall, unfallähnliche Körperschädigung, Berufskrankheit) sowie die daraus entstehende Arbeitsunfähigkeit an und ist, auch was die Bemessung der Höhe des Taggeldes betrifft, abstrakt und vergangenheitsorientiert. Ein weiteres Leistungserfordernis besteht, wenn in der Bestimmung auch nicht ausdrücklich erwähnt, im Vorliegen eines wirtschaftlichen Schadens. Mit dem Taggeld wird die aus der Arbeitsunfähigkeit resultierende Erwerbseinbusse kompensiert, weshalb eine versicherte Person, die auf Grund der Unfallfolgen zwar (medizinisch-theoretisch) in der Arbeitsfähigkeit beeinträchtigt ist, jedoch keine Verdiensteinbusse erleidet, grundsätzlich nicht anspruchsberechtigt ist (BGE 134 V 392 E. 5.3 S. 394).

5.2.2. Unbestritten ist die vorinstanzliche Feststellung, dass der Beschwerdeführer im hier massgebenden Zeitraum seit der Taggeldeinstellung per 1. Januar 2018 bis zum Erlass des Einspracheentscheides am 20. Juli 2018 (BGE 134 V 392 E. 6 S. 397) wieder zu 100 % in seiner angestammten Tätigkeit als Informatiker bei der B.________ GmbH arbeitete und nicht einmal krankgeschrieben war. Er bringt zwar vor, mit Einschränkungen zu arbeiten. Er macht jedoch nicht geltend und belegt auch nicht, dass er im massgebenden Zeitraum eine Verdiensteinbusse erlitten hätte. Somit bestand kein Taggeldanspruch mehr.

5.2.3. Soweit der Beschwerdeführer die Übernahme der Heilbehandlungskosten beantragt, ist festzuhalten, dass die AXA die rezeptierten Schmerzmittel und die dafür notwendigen ärztlichen Kontrollen bis auf Weiteres übernommen hat. Dass eine anderweitige Heilbehandlung erforderlich wäre, macht der Beschwerdeführer nicht substanziiert geltend und ist auch nicht ersichtlich.

5.2.4. Hinsichtlich der Integritätsentschädigung hat die AXA entschieden, dass der allfällige Anspruch darauf nach Erreichen des Endzustandes noch zu prüfen sei. Dies beanstandet der Beschwerdeführer nicht, weshalb sich Weiterungen hierzu erübrigen.

5.2.5. Da von weiteren medizinischen Abklärungen keine entscheidrelevanten Ergebnisse zu erwarten sind, ist darauf zu verzichten (antizipierte Beweiswürdigung; BGE 144 V 361 E. 6.5 S. 368 f., 136 I 229 E. 5.3 S. 236).

5.2.6. Nach dem Gesagten erweist sich die Beschwerde als unbegründet, weshalb sie abzuweisen ist.

6.
Der unterliegende Beschwerdeführer trägt die Gerichtskosten (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.

3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Versicherungsgericht des Kantons Aargau und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.

Luzern, 14. Januar 2020
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Der Präsident: Maillard

Der Gerichtsschreiber: Jancar