Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

8C 287/2023

Urteil vom 13. Dezember 2023

IV. öffentlich-rechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichter Wirthlin, Präsident,
Bundesrichterin Viscione, Bundesrichter Métral,
Gerichtsschreiber Jancar.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Michael Bütikofer,
Beschwerdeführer,

gegen

SWICA Versicherungen AG,
Römerstrasse 37, 8400 Winterthur,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Unfallversicherung (Invalidenrente; Einkommensvergleich; Valideneinkommen),

Beschwerde gegen das Urteil des Kantonsgerichts
Basel-Landschaft vom 2. Februar 2023 (725 22 99 / 25).

Sachverhalt:

A.
Der 1993 geborene A.________ absolvierte seit 1. August 2010 eine Ausbildung als Detailhandelsfachmann EFZ im B.________ und war dadurch bei der SWICA Versicherungen AG (nachfolgend SWICA) obligatorisch unfallversichert. Am 22. August 2011 erlitt er bei einem Motorradunfall ein Polytrauma mit einer kompletten Paraplegie (sub Th8). Die SWICA kam für die Heilbehandlung und das Taggeld auf. Im Rahmen der von der Invalidenversicherung (IV) gewährten beruflichen Massnahmen absolvierte der Versicherte bei der C.________ vom 1. August 2013 bis 31. Juli 2018 die Ausbildung zum Informatiker EFZ, Schwerpunkt Applikationsentwicklung, die er erfolgreich abschloss. Seit 1. August 2018 arbeitete er als ICT-Supporter bei der C.________, anfangs zu 60.98 %, seit 1. August 2019 zu 80.49 % und seit 1. Mai 2020 zu 90.24 %. Mit Verfügung vom 15. Dezember 2020 sprach ihm die SWICA vom 1. Januar bis 31. Juli 2019 eine Invalidenrente bei einem Invaliditätsgrad von 27 % zu. Ab 1. August 2019 verneinte sie den Rentenanspruch, da seither keine Erwerbseinbusse mehr bestehe. Dies bestätigte sie mit Einspracheentscheid vom 11. März 2022.

B.
Die hiergegen vom Versicherten erhobene Beschwerde wies das Kantonsgericht Basel-Landschaft mit Urteil vom 2. Februar 2023 ab.

C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten beantragt der Versicherte, in Aufhebung des kantonalen Urteils sei die SWICA anzuweisen, seinen Invaliditätsgrad - sowohl bezüglich des Validen- als auch des Invalideneinkommens - anhand seines effektiv erzielten Einkommens als Informatiker EFZ zu berechnen. Sie sei zu verurteilen, ihm die sich daraus ergebende Invalidenrente rückwirkend seit wann rechtens auszurichten. Eventuell sei die Sache zur Vornahme weiterer Abklärungen an die Vorinstanz oder allenfalls die SWICA zurückzuweisen mit der Anordnung, ein neues Urteil bzw. eine neue Verfügung im Sinne der Beschwerderügen zu erlassen.
Das Bundesgericht verzichtet auf den Schriftenwechsel.

Erwägungen:

1.
Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann eine Rechtsverletzung nach Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
. BGG gerügt werden. Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG). Dennoch prüft es - offensichtliche Fehler vorbehalten - nur die in seinem Verfahren gerügten Rechtsmängel (Art. 42 Abs. 1 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
. BGG; BGE 145 V 57 E. 4.2). Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
, Art. 105 Abs. 3
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG).

2.
Streitig ist, ob die Zusprache einer Invalidenrente vom 1. Januar bis 31. Juli 2019 bei einem Invaliditätsgrad von 27 % und die Verneinung des Rentenanspruchs ab 1. August 2019 vor Bundesrecht standhalten. In diesem Rahmen ist einzig die Bemessung des vom Beschwerdeführer im Gesundheitsfall hypothetisch erzielbaren Valideneinkommens umstritten.

2.1. Auf den 1. Januar 2017 sind die mit Bundesgesetz vom 25. September 2015 revidierten Bestimmungen des UVG in Kraft getreten. Versicherungsleistungen für Unfälle, die sich vor deren Inkrafttreten ereignet haben, und für Berufskrankheiten, die vor diesem Zeitpunkt ausgebrochen sind, werden nach bisherigem Recht gewährt (vgl. Übergangsbestimmung in Art. 118 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 118 Dispositions transitoires - 1 Les prestations d'assurance allouées pour les accidents qui sont survenus avant l'entrée en vigueur de la présente loi et pour les maladies professionnelles qui se sont déclarées avant cette date sont régies par l'ancien droit.
1    Les prestations d'assurance allouées pour les accidents qui sont survenus avant l'entrée en vigueur de la présente loi et pour les maladies professionnelles qui se sont déclarées avant cette date sont régies par l'ancien droit.
2    Dans les cas mentionnés à l'al. 1, les assurés de la CNA sont toutefois soumis, dès leur entrée en vigueur, aux dispositions de la présente loi sur les points suivants:
a  le traitement médical accordé après la fixation de la rente (art. 21), si le droit naît après l'entrée en vigueur de la présente loi;
b  l'exclusion de la réduction des prestations pour soins et des indemnisations lorsque l'accident ou la maladie professionnelle a été provoqué par une faute grave (art. 37, al. 2);
c  les rentes d'invalidité, les indemnités pour atteinte à l'intégrité, les allocations pour impotent, les rentes de survivants ainsi que les frais de transport du corps et les frais funéraires, si le droit naît après l'entrée en vigueur de la présente loi;
d  l'allocation prolongée de rentes d'orphelins aux enfants qui suivent une formation (art. 30, al. 3); l'intéressé doit faire valoir son droit dans un délai d'une année lorsque le droit à la rente est déjà éteint au moment de l'entrée en vigueur de la présente loi;
e  le rachat des rentes (art. 35);
f  les allocations de renchérissement (art. 34); le renchérissement est réputé compensé pour tous les rentiers par les rentes allouées en vertu de l'ancien droit et par d'éventuelles allocations de renchérissement; les allocations pour les rentiers du service du travail, militaire et civil, continuent à être versées aux frais de la Confédération.
3    Lorsque l'assuré décédé était tenu, par décision judiciaire ou par convention, de verser des contributions d'entretien à un enfant illégitime au sens du code civil dans sa teneur du 10 décembre 1907282, cet enfant est assimilé à un enfant de l'assuré pour l'allocation d'une rente d'orphelin.
4    Les prestations d'assurance allouées pour les accidents non professionnels qui sont survenus avant l'entrée en vigueur de la modification du 9 octobre 1998283 sont régies par l'ancien droit. Les prestations en espèces seront toutefois servies selon le nouveau droit si la prétention naît après l'entrée en vigueur de la modification du 9 octobre 1998.284
5    Si la prétention naît avant l'entrée en vigueur de la modification du 15 décembre 2000, la rente d'invalidité est allouée d'après l'ancien droit.285
UVG; BGE 143 V 285 E. 2.1). So verhält es sich hier, weshalb das bisherige Recht und die dazu ergangene Rechtsprechung zur Anwendung kommen.

2.2. Die Vorinstanz hat die rechtlichen Grundlagen und die Rechtsprechung betreffend die Invaliditätsbemessung nach der allgemeinen Methode des Einkommensvergleichs (Art. 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré.
ATSG), die Ermittlung des Valideneinkommens (BGE 139 V 28 E. 3.3.3, 96 V 29; Art. 28 Abs. 1
SR 832.202 Ordonnance du 20 décembre 1982 sur l'assurance-accidents (OLAA)
OLAA Art. 28 Évaluation du degré de l'invalidité dans les cas spéciaux - 1 Si une invalidité consécutive à un accident couvert par l'assurance a empêché l'assuré soit d'entreprendre une formation professionnelle dont il prouve qu'elle était envisagée et conforme à ses aptitudes, soit d'achever une formation en cours, le revenu déterminant pour l'évaluation de l'invalidité est celui que l'assuré aurait pu réaliser dans la profession considérée s'il n'était pas invalide.
1    Si une invalidité consécutive à un accident couvert par l'assurance a empêché l'assuré soit d'entreprendre une formation professionnelle dont il prouve qu'elle était envisagée et conforme à ses aptitudes, soit d'achever une formation en cours, le revenu déterminant pour l'évaluation de l'invalidité est celui que l'assuré aurait pu réaliser dans la profession considérée s'il n'était pas invalide.
2    Chez les assurés qui exercent simultanément plusieurs activités salariées, le degré d'invalidité est déterminé en fonction de l'incapacité subie dans l'ensemble de ces activités. Si en plus d'une activité salariée, l'assuré exerce une activité lucrative indépendante non assurée en vertu de la loi ou une activité non rémunérée, l'incapacité subie dans cette activité n'est pas prise en considération.
3    Si la capacité de travail de l'assuré était déjà réduite de manière durable avant l'accident par suite d'une atteinte à la santé non assurée, il y a lieu, pour évaluer l'invalidité, de comparer le revenu que l'assuré aurait pu réaliser compte tenu de la diminution de sa capacité de travail initiale avec celui qu'il pourrait encore obtenir en dépit des suites de l'accident et de l'atteinte préexistante.64
4    Si, en raison de son âge, l'assuré ne reprend pas d'activité lucrative après l'accident ou si la diminution de la capacité de gain est due essentiellement à son âge avancé, les revenus de l'activité lucrative déterminants pour l'évaluation du degré d'invalidité sont ceux qu'un assuré d'âge moyen dont la santé a subi une atteinte de même gravité pourrait réaliser.
UVV; vgl. auch BGE 145 V 141 E. 5.2.1), den Untersuchungsgrundsatz (Art. 43 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
, Art. 61 lit. c
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes:
a  elle doit être simple, rapide et en règle générale publique;
b  l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté;
c  le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement;
d  le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours;
e  si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats;
f  le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant;
fbis  pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté;
g  le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige;
h  les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit;
i  les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement.
ATSG) und den Beweisgrad der überwiegenden Wahrscheinlichkeit (BGE 146 V 271 E. 4.4) richtig dargelegt. Darauf wird verwiesen.

2.3. Zu wiederholen ist Art. 28 Abs. 1
SR 832.202 Ordonnance du 20 décembre 1982 sur l'assurance-accidents (OLAA)
OLAA Art. 28 Évaluation du degré de l'invalidité dans les cas spéciaux - 1 Si une invalidité consécutive à un accident couvert par l'assurance a empêché l'assuré soit d'entreprendre une formation professionnelle dont il prouve qu'elle était envisagée et conforme à ses aptitudes, soit d'achever une formation en cours, le revenu déterminant pour l'évaluation de l'invalidité est celui que l'assuré aurait pu réaliser dans la profession considérée s'il n'était pas invalide.
1    Si une invalidité consécutive à un accident couvert par l'assurance a empêché l'assuré soit d'entreprendre une formation professionnelle dont il prouve qu'elle était envisagée et conforme à ses aptitudes, soit d'achever une formation en cours, le revenu déterminant pour l'évaluation de l'invalidité est celui que l'assuré aurait pu réaliser dans la profession considérée s'il n'était pas invalide.
2    Chez les assurés qui exercent simultanément plusieurs activités salariées, le degré d'invalidité est déterminé en fonction de l'incapacité subie dans l'ensemble de ces activités. Si en plus d'une activité salariée, l'assuré exerce une activité lucrative indépendante non assurée en vertu de la loi ou une activité non rémunérée, l'incapacité subie dans cette activité n'est pas prise en considération.
3    Si la capacité de travail de l'assuré était déjà réduite de manière durable avant l'accident par suite d'une atteinte à la santé non assurée, il y a lieu, pour évaluer l'invalidité, de comparer le revenu que l'assuré aurait pu réaliser compte tenu de la diminution de sa capacité de travail initiale avec celui qu'il pourrait encore obtenir en dépit des suites de l'accident et de l'atteinte préexistante.64
4    Si, en raison de son âge, l'assuré ne reprend pas d'activité lucrative après l'accident ou si la diminution de la capacité de gain est due essentiellement à son âge avancé, les revenus de l'activité lucrative déterminants pour l'évaluation du degré d'invalidité sont ceux qu'un assuré d'âge moyen dont la santé a subi une atteinte de même gravité pourrait réaliser.
UVV: Konnte der Versicherte wegen einer Invalidität, welche die Folge eines versicherten Unfalles ist, eine nachweislich geplante und seinen Fähigkeiten entsprechende berufliche Ausbildung nicht aufnehmen oder eine begonnene Ausbildung nicht abschliessen, so ist für die Bestimmung des Invaliditätsgrades dasjenige Erwerbseinkommen massgebend, das er ohne die Invalidität in jenem Beruf erzielen könnte.
Art. 28 Abs. 1
SR 832.202 Ordonnance du 20 décembre 1982 sur l'assurance-accidents (OLAA)
OLAA Art. 28 Évaluation du degré de l'invalidité dans les cas spéciaux - 1 Si une invalidité consécutive à un accident couvert par l'assurance a empêché l'assuré soit d'entreprendre une formation professionnelle dont il prouve qu'elle était envisagée et conforme à ses aptitudes, soit d'achever une formation en cours, le revenu déterminant pour l'évaluation de l'invalidité est celui que l'assuré aurait pu réaliser dans la profession considérée s'il n'était pas invalide.
1    Si une invalidité consécutive à un accident couvert par l'assurance a empêché l'assuré soit d'entreprendre une formation professionnelle dont il prouve qu'elle était envisagée et conforme à ses aptitudes, soit d'achever une formation en cours, le revenu déterminant pour l'évaluation de l'invalidité est celui que l'assuré aurait pu réaliser dans la profession considérée s'il n'était pas invalide.
2    Chez les assurés qui exercent simultanément plusieurs activités salariées, le degré d'invalidité est déterminé en fonction de l'incapacité subie dans l'ensemble de ces activités. Si en plus d'une activité salariée, l'assuré exerce une activité lucrative indépendante non assurée en vertu de la loi ou une activité non rémunérée, l'incapacité subie dans cette activité n'est pas prise en considération.
3    Si la capacité de travail de l'assuré était déjà réduite de manière durable avant l'accident par suite d'une atteinte à la santé non assurée, il y a lieu, pour évaluer l'invalidité, de comparer le revenu que l'assuré aurait pu réaliser compte tenu de la diminution de sa capacité de travail initiale avec celui qu'il pourrait encore obtenir en dépit des suites de l'accident et de l'atteinte préexistante.64
4    Si, en raison de son âge, l'assuré ne reprend pas d'activité lucrative après l'accident ou si la diminution de la capacité de gain est due essentiellement à son âge avancé, les revenus de l'activité lucrative déterminants pour l'évaluation du degré d'invalidité sont ceux qu'un assuré d'âge moyen dont la santé a subi une atteinte de même gravité pourrait réaliser.
UVV bezieht sich auf die berufliche Grundausbildung und nicht auf die spätere berufliche Weiterentwicklung. Zudem muss auch bei dieser Bestimmung eine berufliche Ausbildung "nachweislich geplant" gewesen sein, um Spekulationen zu vermeiden und um auf das Einkommen im entsprechenden Beruf abstellen zu können. Eine vom Grundsatz abweichende Beurteilung, wonach konkrete Anhaltspunkte für eine berufliche Weiterentwicklung verlangt werden, ergibt sich daher für junge versicherte Personen nicht (SVR 2010 UV Nr. 13 S. 51, 8C 550/2009 E. 4.2; Urteil 8C 864/2011 vom 1. Februar 2012 E. 5.2.4; vgl. auch BGE 114 V 119 E. 2a). Blosse Absichtserklärungen der versicherten Person genügen nicht. Vielmehr muss die Absicht, beruflich weiterzukommen, bereits im Zeitpunkt des Unfalls durch konkrete Schritte wie Kursbesuche, Aufnahme eines Studiums, Ablegung von Prüfungen usw. kundgetan worden sein (BGE 145 V 141 E. 5.2.1; SVR 2010 UV Nr. 13 S. 51 E. 4.1).

3.
Die SWICA argumentierte in der Verfügung vom 15. Dezember 2020 bzw. im strittigen Einspracheentscheid vom 11. März 2022, als Valideneinkommen sei der hypothetische Verdienst des Beschwerdeführers von Fr. 54'204.- zu veranschlagen, den er im Falle der Beendigung der Lehre als Verkäufer im B.________ im Jahr 2019 bei einer 100%igen Anstellung erzielt hätte. Nach der am 31. Juli 2018 abgeschlossenen Ausbildung zum Informatiker habe er bei der C.________ im Jahr 2019 als ICT-Supporter zunächst bei einer Anstellung von 60.98 % Fr. 39'637.- verdient. Hieraus hätten eine Erwerbseinbusse von Fr. 14'567.- bzw. ein Invaliditätsgrad von 27 % resultiert. Ab 1. August 2019 habe er sein Arbeitspensum auf 80.49 % erhöht, was zu einem Einkommen von Fr. 62'782.20 bzw. zu keiner Erwerbseinbusse mehr geführt habe. Somit habe der Beschwerdeführer vom 1. Januar bis 31. Juli 2019 Anspruch auf eine Invalidenrente bei einem Invaliditätsgrad von 27 %.

4.
Die Vorinstanz erwog im Wesentlichen, nach dem Unfall vom 22. August 2011 habe der Beschwerdeführer im Rahmen der beruflichen IV-Massnahmen ab August 2012 ein einjähriges Praktikum im Informatikbereich bei der C.________ absolviert. Danach habe er bei dieser im August 2013 die Ausbildung als Informatiker EFZ mit der Fachrichtung Applikationsentwicklung begonnen und sie im Sommer 2018 erfolgreich abgeschlossen. Seit 1. August 2018 sei er bei der C.________ als ICT-Supporter in einem Teilzeitpensum von 60.98 % angestellt worden. Per 1. August 2019 habe er das Arbeitspensum auf 80.49 % erhöhen können. Seit 1. Mai 2020 sei er als Wirtschaftsinformatiker in der Organisationsgruppe Informatikprozesse Kunde Internet/Intranet mit einem Teilzeitpensum von 90 % tätig gewesen. Seit 1. Januar 2023 übe er die Funktion als Wirtschaftsinformatiker 26-S2 aus. Der Beschwerdeführer habe in der Schule von Januar 2018 (richtig: 2008) bis Juni 2018 (richtig: 2008) das Wahlfach "Tastaturschreiben" besucht und dieses mit den Noten 5.5 bzw. 5 abgeschlossen. Im Schuljahr 2008/2009 habe er das Pflichtfach "Grundlagen der Informatik" mit der Note 6 absolviert. Weiter habe er sich in seiner Freizeit der Informatik gewidmet und mit 14 respektive 16 Jahren
schulbegleitend das "ECDL Start Certificate" und anschliessend die "European Computer Driving Licence" erfolgreich abgeschlossen. Von der 8. bis 10. Klasse habe er während der Weihnachtszeit im B.________ ausgeholfen. Vom 10. bis 14. November 2018 (richtig: 2008) habe er eine Schnupperlehrwoche in einem Informatikbetrieb absolviert. Die SWICA mache zu Recht geltend, dass die Zertifikate "ECDL Start Certificate" und "European Computer Driving Licence" mittlerweile zum Volksschulstandard gehörten. Im gleichen Sinne müsse auch das Praktikum vom 10. bis 14. November 2008 gewürdigt werden. Der Beschwerdeführer habe sich nach diesem Praktikum gegen die Ausbildung zum Informatiker EFZ entschieden, obwohl ihm sein Praktikumsverantwortlicher einen entsprechenden Lehrvertrag angeboten habe. Ferner habe der Beschwerdeführer nach dem Unfall im September 2012 geäussert, er wolle die begonnene Lehre als Detailhandelsfachmann EFZ beenden (vgl. Abklärungsbericht vom 9. Februar 2012). Damit seien keine konkreten Anhaltspunkte für eine Validenkarriere im Informatikbereich ersichtlich. Es sei höchstens ein gewisses gesteigertes Interesse an der Informatik erkennbar. Weiter mache der Beschwerdeführer geltend, es könne unmittelbar von seiner
Invaliden- auf seine Validenkarriere geschlossen werden, da gewisse Überschneidungen zwischen einem Detailhandelsangestellten EFZ und einem Informatiker EFZ vorlägen. Hierbei stütze er sich auf seine überdurchschnittliche Leistungsbereitschaft und besonderen beruflichen Qualifikationen im Rahmen seiner Invalidenkarriere und auf den Umstand, dass er bereits vor dem Unfall eine hohe Technik- bzw. Informatikaffinität gezeigt habe. Zu berücksichtigen sei jedoch - so die Vorinstanz weiter -, dass er für seine Informatikertätigkeit eine neue Ausbildung habe absolvieren müssen. Seine Berufslaufbahn sei daher nicht in seinem ursprünglichen Tätigkeitsbereich des Detailhandels erfolgt. Es erlaube sich daher kein Rückschluss von der Invaliden- auf die hypothetische Validenkarriere. Somit habe die SWICA beim Einkommensvergleich zu Recht das hypothetische Valideneinkommen im Detailhandel von Fr. 54'204.- berücksichtigt.

5.
Soweit der Beschwerdeführer hinsichtlich seiner beruflichen Entwicklung auf seine Darstellung in der vorinstanzlichen Beschwerde verweist, ist dies unzulässig (BGE 143 V 168 E. 5.2.3, 134 II 244; Urteil 8C 73/2023 vom 28. Juni 2023 E. 6 mit Hinweis).

6.

6.1. Der Beschwerdeführer macht weiter im Wesentlichen geltend, beim Unfall am 22. August 2011 sei er 18 Jahre alt gewesen. Da er mithin in jungen Jahren verunfallt sei, dürfe der massgebende Beweisgrad der überwiegenden Wahrscheinlichkeit bei der Festsetzung des Valideneinkommens und der Frage, inwieweit seine (hypothetische) berufliche Weiterentwicklung im Gesundheitsfall zu berücksichtigen sei, nicht überspannt werden. Die Vorinstanz habe seine informatikbezogenen Aktivitäten während der Schulzeit bzw. bis zum Lehrbeginn als Detailhandelsfachmann EFZ am 1. August 2010 grundsätzlich anerkannt (vgl. E. 4 hiervor), deren Tragweite aber verkannt. Diese konkreten Umstände in Kombination mit seinem sehr jungen Alter beim Unfall seien starke Indizien dafür, dass er sich schon vor diesem und damit vor seiner Invalidenkarriere bis hin zum Wirtschaftsinformatiker über längere Zeit mit der Informatik beschäftigt und für diesen Berufszweig interessiert habe. Daher sei es keine aus der Luft gegriffene Hypothese, wenn davon ausgegangen werde, er wäre im Gesundheitsfall Informatiker geworden. Die Vorinstanz habe verkannt, dass er sich nach der von der IV unterstützten Lehre zum Informatiker aus eigenem Antrieb beruflich besonders qualifiziert
habe. Dies sei einzig auf seine ausgesprochen grossen Fähigkeiten als Informatiker, mithin auf eine trotz Invalidität erlangte besondere berufliche Qualifizierung zurückzuführen, die sich auch auf den Lohn (erheblich) ausgewirkt habe. Praxisgemäss bedeute dies, dass ein Rückschluss aus der vom Beschwerdeführer nach dem Unfall vom 22. August 2011 durchlaufenen beruflichen Entwicklung auf die hypothetische berufliche Entwicklung im Gesundheitsfall gezogen werden dürfe, auch wenn er heute nicht mehr in seinem angestammten Tätigkeitsbereich arbeiten sollte. Die vorinstanzliche Auffassung, wonach sich kein Rückschluss von der Invalidenkarriere auf die hypothetische Validenkarriere erlaube, weil die Berufslaufbahn des Beschwerdeführers "nicht in seinem ursprünglichen Tätigkeitsbereich des Detailhandels, sondern in demjenigen der Informatik" erfolgt sei, sei somit mit der bundesgerichtlichen Rechtsprechung unvereinbar. Dies müsse umso mehr gelten, weil zum einen die konkreten Umstände dafür sprächen, dass er ohne Invalidität eine vergleichbare Position auch im angestammten Tätigkeitsgebiet erreicht hätte. Zum anderen zeichne er sich durch eine trotz Invalidität erlangte besondere berufliche Qualifizierung aus. Somit sei beim Validen- und
Invalideneinkommen von seinem effektiv erzielten Erwerbseinkommen, mithin von demjenigen als (Wirtschafts-) Informatiker auszugehen. Bei dieser - nicht technisch gesprochenen - "Parallelisierung" der Vergleichseinkommen entspreche die unfallbedingte Arbeitsunfähigkeit jeweils dem allenfalls rentenbegründenden Invaliditätsgrad.

6.2.

6.2.1. Wegen der gesundheitlichen Folgen des Unfalls vom 22. August 2011 konnte der damals 18-jährige Beschwerdeführer die am 1. August 2010 begonnene Ausbildung als Detailhandelsfachmann EFZ nicht beenden. Die Vorinstanz kam in eingehender Würdigung der Aktenlage zu Recht zum Schluss, dass im massgebenden Zeitpunkt des Eintritts des Gesundheitsschadens am 22. August 2011 keine konkreten Anhaltspunkte für eine Validenkarriere des Beschwerdeführers als Informatiker ersichtlich gewesen seien (vgl. E. 4 hiervor).
Dieses vorinstanzliche Ergebnis wird insbesondere massgeblich durch die Tatsache untermauert, dass der Beschwerdeführer vom 10. bis 14. November 2008 im D.________ ein Informatiker-Praktikum absolvierte. Obwohl ihm dieser Betrieb einen Lehrvertrag als Informatiker angeboten hatte, entschied sich der Beschwerdeführer für die Absolvierung der Lehre als Detailhandelsfachmann EFZ im B.________. Der Umstand, dass er im ersten Lehrjahr im B.________ vordergründig in der PC/Software-Abteilung tätig war, lässt nicht den Schluss auf eine bereits im Unfallzeitpunkt am 22. August 2011 "nachweislich geplante" Validenkarriere als Informatiker zu (vgl. E. 2.3 hiervor).
In diesem Lichte braucht nicht geprüft zu werden, ob - wie der Beschwerdeführer geltend macht - die Vorinstanz zu Unrecht erwogen hat, die Zertifikate "ECDL Start Certificate" und "European Computer Driving Licence" sowie das vom 10. bis 14. November 2008 absolvierte Praktikum gehörten mittlerweile zum Volksschulstandard.

6.2.2. Unbehelflich ist der Einwand des Beschwerdeführers, praxisgemäss müsse berücksichtigt werden, dass er in jungen Jahren verunfallt sei, weshalb seine beruflichen Umstände noch wenig ereignisreich gewesen seien und der Beweisgrad der überwiegenden Wahrscheinlichkeit betreffend seine berufliche Weiterentwicklung somit nicht überspannt werden dürfe (Urteile 9C 368/2017 vom 3. August 2017 E. 4.3.1 und 9C 85/2009 vom 15. März 2010 E. 3.7). Denn diese Urteile betreffen nicht die spezifische Regelung des Art. 28 Abs. 1
SR 832.202 Ordonnance du 20 décembre 1982 sur l'assurance-accidents (OLAA)
OLAA Art. 28 Évaluation du degré de l'invalidité dans les cas spéciaux - 1 Si une invalidité consécutive à un accident couvert par l'assurance a empêché l'assuré soit d'entreprendre une formation professionnelle dont il prouve qu'elle était envisagée et conforme à ses aptitudes, soit d'achever une formation en cours, le revenu déterminant pour l'évaluation de l'invalidité est celui que l'assuré aurait pu réaliser dans la profession considérée s'il n'était pas invalide.
1    Si une invalidité consécutive à un accident couvert par l'assurance a empêché l'assuré soit d'entreprendre une formation professionnelle dont il prouve qu'elle était envisagée et conforme à ses aptitudes, soit d'achever une formation en cours, le revenu déterminant pour l'évaluation de l'invalidité est celui que l'assuré aurait pu réaliser dans la profession considérée s'il n'était pas invalide.
2    Chez les assurés qui exercent simultanément plusieurs activités salariées, le degré d'invalidité est déterminé en fonction de l'incapacité subie dans l'ensemble de ces activités. Si en plus d'une activité salariée, l'assuré exerce une activité lucrative indépendante non assurée en vertu de la loi ou une activité non rémunérée, l'incapacité subie dans cette activité n'est pas prise en considération.
3    Si la capacité de travail de l'assuré était déjà réduite de manière durable avant l'accident par suite d'une atteinte à la santé non assurée, il y a lieu, pour évaluer l'invalidité, de comparer le revenu que l'assuré aurait pu réaliser compte tenu de la diminution de sa capacité de travail initiale avec celui qu'il pourrait encore obtenir en dépit des suites de l'accident et de l'atteinte préexistante.64
4    Si, en raison de son âge, l'assuré ne reprend pas d'activité lucrative après l'accident ou si la diminution de la capacité de gain est due essentiellement à son âge avancé, les revenus de l'activité lucrative déterminants pour l'évaluation du degré d'invalidité sont ceux qu'un assuré d'âge moyen dont la santé a subi une atteinte de même gravité pourrait réaliser.
UVV und die dazu ergangene Rechtsprechung, die sich bereits auf eine in der Regel junge Personengruppe beziehen (vgl. E. 2.3 hiervor; SVR 2010 UV Nr. 13 S. 51 E. 4.2).

6.2.3. Nach dem Gesagten ist es insgesamt nicht bundesrechtswidrig, dass die Vorinstanz für die Bemessung des Valideneinkommens des Beschwerdeführers gestützt auf Art. 28
SR 832.202 Ordonnance du 20 décembre 1982 sur l'assurance-accidents (OLAA)
OLAA Art. 28 Évaluation du degré de l'invalidité dans les cas spéciaux - 1 Si une invalidité consécutive à un accident couvert par l'assurance a empêché l'assuré soit d'entreprendre une formation professionnelle dont il prouve qu'elle était envisagée et conforme à ses aptitudes, soit d'achever une formation en cours, le revenu déterminant pour l'évaluation de l'invalidité est celui que l'assuré aurait pu réaliser dans la profession considérée s'il n'était pas invalide.
1    Si une invalidité consécutive à un accident couvert par l'assurance a empêché l'assuré soit d'entreprendre une formation professionnelle dont il prouve qu'elle était envisagée et conforme à ses aptitudes, soit d'achever une formation en cours, le revenu déterminant pour l'évaluation de l'invalidité est celui que l'assuré aurait pu réaliser dans la profession considérée s'il n'était pas invalide.
2    Chez les assurés qui exercent simultanément plusieurs activités salariées, le degré d'invalidité est déterminé en fonction de l'incapacité subie dans l'ensemble de ces activités. Si en plus d'une activité salariée, l'assuré exerce une activité lucrative indépendante non assurée en vertu de la loi ou une activité non rémunérée, l'incapacité subie dans cette activité n'est pas prise en considération.
3    Si la capacité de travail de l'assuré était déjà réduite de manière durable avant l'accident par suite d'une atteinte à la santé non assurée, il y a lieu, pour évaluer l'invalidité, de comparer le revenu que l'assuré aurait pu réaliser compte tenu de la diminution de sa capacité de travail initiale avec celui qu'il pourrait encore obtenir en dépit des suites de l'accident et de l'atteinte préexistante.64
4    Si, en raison de son âge, l'assuré ne reprend pas d'activité lucrative après l'accident ou si la diminution de la capacité de gain est due essentiellement à son âge avancé, les revenus de l'activité lucrative déterminants pour l'évaluation du degré d'invalidité sont ceux qu'un assuré d'âge moyen dont la santé a subi une atteinte de même gravité pourrait réaliser.
UVV denjenigen Lohn als massgebend erachtete, den er ohne die Invalidität im Beruf als Detailhandelsfachmann EFZ hypothetisch erzielen könnte (vgl. E. 2.3 hiervor).

6.3.

6.3.1. Der Beschwerdeführer bringt vor, entgegen der Auffassung der Vorinstanz (siehe E. 4 hiervor) dürfe ein Rückschluss aus der von ihm nach dem Unfall vom 22. August 2011 durchlaufenen beruflichen Entwicklung auf die hypothetische berufliche Entwicklung im Gesundheitsfall gezogen werden, auch wenn er heute nicht mehr in seinem angestammten Tätigkeitsbereich tätig sein sollte (vgl. E. 6.1 hiervor).

6.3.2. Dem Beschwerdeführer ist beizupflichten, dass praxisgemäss eine trotz Invalidität erlangte besondere berufliche Qualifizierung allenfalls Rückschlüsse auf die mutmassliche Entwicklung erlaubt, zu der es ohne Eintritt des (unfallbedingten) Gesundheitsschadens gekommen wäre. Allerdings darf aus einer erfolgreichen Invalidenkarriere in einem neuen Tätigkeitsbereich nicht ohne Weiteres abgeleitet werden, die versicherte Person hätte ohne Invalidität eine vergleichbare Position auch im angestammten Tätigkeitsgebiet erreicht (BGE 145 V 141 E. 5.2.1).
Aus dieser Rechtsprechung kann der Beschwerdeführer nichts zu seinen Gunsten ableiten. Denn er zeigt nicht substanziiert auf, inwiefern er im massgebenden Beruf als Detailhandelsfachmann EFZ hypothetisch eine vergleichbare Position bzw. ein entsprechendes Einkommen wie in der nach dem Unfall aufgenommenen Tätigkeit als Informatiker hätte erreichen können.

7.
Zusammenfassend haben SWICA und Vorinstanz als Valideneinkommen zu Recht den hypothetischen Lohn des Beschwerdeführers im Detailhandel von Fr. 54'204.- veranschlagt. Dieser Betrag ist in der Höhe unbestritten. Gleiches gilt für den von der SWICA vorgenommenen und vorinstanzlich bestätigten Einkommensvergleich, der vom 1. Januar bis 31. Juli 2019 zum Anspruch auf eine Invalidenrente bei einem Invaliditätsgrad von 27 % und danach zu keinem Rentenanspruch mehr führt. Demnach hat es hiermit sein Bewenden.

8.
Der unterliegende Beschwerdeführer trägt die Gerichtskosten (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.

3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Kantonsgericht Basel-Landschaft und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.

Luzern, 13. Dezember 2023

Im Namen der IV. öffentlich-rechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Der Präsident: Wirthlin

Der Gerichtsschreiber: Jancar