Bundesverwaltungsgericht
Tribunal administratif fédéral
Tribunale amministrativo federale
Tribunal administrativ federal


Corte IV
D-3433/2006
{T 0/2}

Sentenza del 13 settembre 2007

Composizione: Giudici Vito Valenti (giudice presidente), Bruno Huber e Fulvio Haefeli
Cancelliere Marco Poretti

A._______, nato il _______, di origine palestinese,
patrocinato ________,
Ricorrente

contro

Ufficio federale della migrazione (UFM), Quellenweg 6, 3003 Berna,
Autorità inferiore

concernente

la decisione del 28 maggio 2004 in materia d'asilo, allontanamento ed esecuzione dell'allontanamento / N _______

Ritenuto in fatto:

A. L'interessato ha presentato domanda d'asilo il 9 aprile 2002. Successivamente, è stato attribuito al Cantone Ticino.
Ha dichiarato, nella sostanza (cfr. verbali d'audizione del 19 aprile e 20 giugno 2002 e del 29 gennaio 2004), d'essere d'origine palestinese e d'aver lasciato il proprio domicilio di B._______, località sita nei territori occupati, perché perseguitato dalle forze israeliane. In particolare, sarebbe stato detenuto in un carcere israeliano dal _______ al _______ 2001 - poiché accusato d'avere aiutato l'organizzazione C._______ - per poi essere rilasciato, dopo avere versato una cauzione, perché le accuse mosse nei suoi confronti non avrebbero potuto essere dimostrate. Gli israeliani lo avrebbero in seguito nuovamente cercato, ragione per cui il ______ 2002 avrebbe deciso d'espatriare.
B. Il 28 maggio 2004, l'UFM (allora Ufficio federale dei rifugiati, UFR) ha respinto la succitata domanda. Nello stesso tempo, ha pronunciato l'allontanamento del richiedente dalla Svizzera, nonché l'esecuzione dell'allontanamento medesimo, siccome lecita, esigibile e possibile.
C. Il 1° luglio 2004, l'interessato ha inoltrato ricorso dinanzi alla Commissione svizzera di ricorso in materia d'asilo (CRA), allora competente, contro la citata decisione dell'UFM. Ha chiesto l'accoglimento del gravame, il riconoscimento della qualità di rifugiato e la concessione dell'asilo.
D. Con decisione incidentale del 13 luglio 2004, la CRA ha invitato il ricorrente a versare, entro il 28 luglio 2004, un anticipo di fr. 600.-- a copertura delle presumibili spese processuali, con comminatoria d'inammissibilità del ricorso in caso di decorso infruttuoso del termine.
E. L'insorgente ha tempestivamente versato l'anticipo richiesto.
F. Il 5 e il 27 agosto 2004, il ricorrente ha prodotto, fra l'altro, la fotocopia di un documento presentato come la ricevuta di una somma di denaro versatagli dalle autorità palestinesi a titolo d'indennizzo per la detenzione subita da parte delle autorità israeliane.
G. Il 7 settembre 2004, invitato ad esprimersi, l'UFM ha proposto la reiezione del gravame.
H. Il 6 ottobre 2004, l'insorgente ha presentato la memoria di replica per il tramite del proprio patrocinatore.
I. Il _______ 2005, il ricorrente ha contratto matrimonio con una cittadina polacca con domicilio in Polonia.
J. Il 21 dicembre 2006, invitato ad esprimersi in merito all'eventuale adempimento da parte dell'insorgente delle condizioni del caso di rigore personale grave, l'UFM ha nuovamente proposto la reiezione del gravame.
K. Il 25 maggio 2007, il Tribunale amministrativo federale (TAF) ha invitato il ricorrente ad esprimersi sull'eventuale applicazione alla procedura in esame dell'art. 52 cpv. 1
SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi)
LAsi Art. 52 ... - 1 ...154
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della legge sull'asilo del 26 giugno 1998 (LAsi, RS 142.31). Gli è pure stata trasmessa la citata determinazione dell'UFM del 21 dicembre 2006.
L. L'8 giugno 2007, l'insorgente ha inoltrato le proprie osservazioni.
M. Degli altri scritti e documenti si dirà, nella misura in cui necessario ai fini del giudizio, in corso di motivazione.

Considerato in diritto:

1. Il TAF decide definitivamente in merito ai ricorsi contro le decisioni dell'UFM in materia d'asilo (art. 31 e
SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi)
LAsi Art. 52 ... - 1 ...154
1    ...154
2    ...155
33 lett. d della legge sul Tribunale amministrativo federale del 17 giugno 2005 [LTAF, RS 173.32], art. 105 cpv. 1
SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi)
LAsi Art. 105 Recours contre les décisions du SEM - Le recours contre les décisions du SEM est régi par la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral360.
LAsi e art. 83 lett. d
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 83 Exceptions - Le recours est irrecevable contre:
a  les décisions concernant la sûreté intérieure ou extérieure du pays, la neutralité, la protection diplomatique et les autres affaires relevant des relations extérieures, à moins que le droit international ne confère un droit à ce que la cause soit58 jugée par un tribunal;
b  les décisions relatives à la naturalisation ordinaire;
c  les décisions en matière de droit des étrangers qui concernent:
c1  l'entrée en Suisse,
c2  une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit,
c3  l'admission provisoire,
c4  l'expulsion fondée sur l'art. 121, al. 2, de la Constitution ou le renvoi,
c5  les dérogations aux conditions d'admission,
c6  la prolongation d'une autorisation frontalière, le déplacement de la résidence dans un autre canton, le changement d'emploi du titulaire d'une autorisation frontalière et la délivrance de documents de voyage aux étrangers sans pièces de légitimation;
d  les décisions en matière d'asile qui ont été rendues:
d1  par le Tribunal administratif fédéral, sauf celles qui concernent des personnes visées par une demande d'extradition déposée par l'État dont ces personnes cherchent à se protéger,
d2  par une autorité cantonale précédente et dont l'objet porte sur une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit;
e  les décisions relatives au refus d'autoriser la poursuite pénale de membres d'autorités ou du personnel de la Confédération;
f  les décisions en matière de marchés publics:
fbis  les décisions du Tribunal administratif fédéral concernant les décisions visées à l'art. 32i de la loi fédérale du 20 mars 2009 sur le transport de voyageurs65;
f1  si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe; sont réservés les recours concernant des marchés du Tribunal administratif fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal fédéral des brevets, du Ministère public de la Confédération et des autorités judiciaires supérieures des cantons, ou
f2  si la valeur estimée du marché à adjuger est inférieure à la valeur seuil déterminante visée à l'art. 52, al. 1, et fixée à l'annexe 4, ch. 2, de la loi fédérale du 21 juin 2019 sur les marchés publics63;
g  les décisions en matière de rapports de travail de droit public qui concernent une contestation non pécuniaire, sauf si elles touchent à la question de l'égalité des sexes;
h  les décisions en matière d'entraide administrative internationale, à l'exception de l'assistance administrative en matière fiscale;
i  les décisions en matière de service militaire, de service civil ou de service de protection civile;
j  les décisions en matière d'approvisionnement économique du pays qui sont prises en cas de pénurie grave;
k  les décisions en matière de subventions auxquelles la législation ne donne pas droit;
l  les décisions en matière de perception de droits de douane fondée sur le classement tarifaire ou le poids des marchandises;
m  les décisions sur l'octroi d'un sursis de paiement ou sur la remise de contributions; en dérogation à ce principe, le recours contre les décisions sur la remise de l'impôt fédéral direct ou de l'impôt cantonal ou communal sur le revenu et sur le bénéfice est recevable, lorsqu'une question juridique de principe se pose ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs;
n  les décisions en matière d'énergie nucléaire qui concernent:
n1  l'exigence d'un permis d'exécution ou la modification d'une autorisation ou d'une décision,
n2  l'approbation d'un plan de provision pour les coûts d'évacuation encourus avant la désaffection d'une installation nucléaire,
n3  les permis d'exécution;
o  les décisions en matière de circulation routière qui concernent la réception par type de véhicules;
p  les décisions du Tribunal administratif fédéral en matière de télécommunications, de radio et de télévision et en matière postale qui concernent:70
p1  une concession ayant fait l'objet d'un appel d'offres public,
p2  un litige découlant de l'art. 11a de la loi du 30 avril 1997 sur les télécommunications71;
p3  un litige au sens de l'art. 8 de la loi du 17 décembre 2010 sur la poste73;
q  les décisions en matière de médecine de transplantation qui concernent:
q1  l'inscription sur la liste d'attente,
q2  l'attribution d'organes;
r  les décisions en matière d'assurance-maladie qui ont été rendues par le Tribunal administratif fédéral sur la base de l'art. 3474 de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)75;
s  les décisions en matière d'agriculture qui concernent:
s1  ...
s2  la délimitation de zones dans le cadre du cadastre de production;
t  les décisions sur le résultat d'examens ou d'autres évaluations des capacités, notamment en matière de scolarité obligatoire, de formation ultérieure ou d'exercice d'une profession;
u  les décisions relatives aux offres publiques d'acquisition (art. 125 à 141 de la loi du 19 juin 2015 sur l'infrastructure des marchés financiers79);
v  les décisions du Tribunal administratif fédéral en cas de divergences d'opinion entre des autorités en matière d'entraide judiciaire ou d'assistance administrative au niveau national;
w  les décisions en matière de droit de l'électricité qui concernent l'approbation des plans des installations électriques à courant fort et à courant faible et l'expropriation de droits nécessaires à la construction ou à l'exploitation de telles installations, si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe.
x  les décisions en matière d'octroi de contributions de solidarité au sens de la loi fédérale du 30 septembre 2016 sur les mesures de coercition à des fins d'assistance et les placements extrafamiliaux antérieurs à 198183, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs;
y  les décisions prises par le Tribunal administratif fédéral dans des procédures amiables visant à éviter une imposition non conforme à une convention internationale applicable dans le domaine fiscal;
z  les décisions citées à l'art. 71c, al. 1, let. b, de la loi du 30 septembre 2016 sur l'énergie86 concernant les autorisations de construire et les autorisations relevant de la compétence des cantons destinées aux installations éoliennes d'intérêt national qui y sont nécessairement liées, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe.
della legge sul Tribunale federale del 17 giugno 2005 [LTF, RS 173.110]).
2. Dal 1° gennaio 2007, questo Tribunale giudica, in quanto sia competente, i ricorsi pendenti presso le commissioni federali di ricorso o d'arbitrato o presso i servizi dei ricorsi dei dipartimenti. Il giudizio si svolge secondo il nuovo diritto processuale (art. 53 cpv. 2
SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)
LTAF Art. 53 Dispositions transitoires - 1 La procédure de recours contre les décisions qui ont été rendues avant l'entrée en vigueur de la présente loi et qui, selon l'ancien droit, pouvaient faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral ou le Conseil fédéral est régie par l'ancien droit.
1    La procédure de recours contre les décisions qui ont été rendues avant l'entrée en vigueur de la présente loi et qui, selon l'ancien droit, pouvaient faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral ou le Conseil fédéral est régie par l'ancien droit.
2    Les recours qui sont pendants devant les commissions fédérales de recours ou d'arbitrage ou devant les services de recours des départements à l'entrée en vigueur de la présente loi sont traités par le Tribunal administratif fédéral dans la mesure où celui-ci est compétent. Ils sont jugés sur la base du nouveau droit de procédure.
della legge sul Tribunale amministrativo federale del 17 giugno 2005 [LTAF, RS 173.32]).
3. Giusta il capoverso 1 delle disposizioni transitorie della LAsi riguardanti la modifica del 16 dicembre 2005, ai procedimenti pendenti al momento dell'entrata in vigore della citata modifica, il 1° gennaio 2007, è applicabile il nuovo diritto.
4. Giusta l'art. 6
SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi)
LAsi Art. 6 Règles de procédure - Les procédures sont régies par la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)11, par la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral12 et par la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral13, à moins que la présente loi n'en dispose autrement.
LAsi, le procedure in materia d'asilo sono rette dalla legge federale sulla procedura amministrativa del 20 dicembre 1968 (PA, RS 172.021), dalla LTAF e dalla LTF, in quanto la LAsi non preveda altrimenti.
5. V'è motivo d'entrare nel merito del ricorso che adempie le condizioni d'ammissibi-lità di cui all'art. 48
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 48 - 1 A qualité pour recourir quiconque:
1    A qualité pour recourir quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité inférieure ou a été privé de la possibilité de le faire;
b  est spécialement atteint par la décision attaquée, et
c  a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification.
2    A également qualité pour recourir toute personne, organisation ou autorité qu'une autre loi fédérale autorise à recourir.
nonché all'art. 50 e
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 48 - 1 A qualité pour recourir quiconque:
1    A qualité pour recourir quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité inférieure ou a été privé de la possibilité de le faire;
b  est spécialement atteint par la décision attaquée, et
c  a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification.
2    A également qualité pour recourir toute personne, organisation ou autorité qu'une autre loi fédérale autorise à recourir.
all'art. 52
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 52 - 1 Le mémoire de recours indique les conclusions, motifs et moyens de preuve et porte la signature du recourant ou de son mandataire; celui-ci y joint l'expédition de la décision attaquée et les pièces invoquées comme moyens de preuve, lorsqu'elles se trouvent en ses mains.
1    Le mémoire de recours indique les conclusions, motifs et moyens de preuve et porte la signature du recourant ou de son mandataire; celui-ci y joint l'expédition de la décision attaquée et les pièces invoquées comme moyens de preuve, lorsqu'elles se trouvent en ses mains.
2    Si le recours ne satisfait pas à ces exigences, ou si les conclusions ou les motifs du recourant n'ont pas la clarté nécessaire, sans que le recours soit manifestement irrecevable, l'autorité de recours impartit au recourant un court délai supplémentaire pour régulariser le recours.
3    Elle avise en même temps le recourant que si le délai n'est pas utilisé, elle statuera sur la base du dossier ou si les conclusions, les motifs ou la signature manquent, elle déclarera le recours irrecevable.
PA.
6. Il TAF esamina liberamente il diritto federale, l'accertamento dei fatti e l'inadeguatezza senza essere vincolato dai motivi invocati dalle parti (art. 62 cpv. 4
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 62 - 1 L'autorité de recours peut modifier la décision attaquée à l'avantage d'une partie.
1    L'autorité de recours peut modifier la décision attaquée à l'avantage d'une partie.
2    Elle peut modifier au détriment d'une partie la décision attaquée, lorsque celle-ci viole le droit fédéral ou repose sur une constatation inexacte ou incomplète des faits: pour inopportunité, la décision attaquée ne peut être modifiée au détriment d'une partie, sauf si la modification profite à la partie adverse.
3    Si l'autorité de recours envisage de modifier, au détriment d'une partie, la décision attaquée, elle l'informe de son intention et lui donne l'occasion de s'exprimer.
4    Les motifs invoqués à l'appui du recours ne lient en aucun cas l'autorité de recours.
PA) o dai considerandi della decisione impugnata (DTF 126 I 207).
7. Nella decisione impugnata, l'autorità inferiore ha considerato inverosimili i motivi d'asilo addotti, segnatamente poiché l'interessato non ha saputo indicare a quale Tribunale sarebbe stata versata la citata cauzione né come avrebbe fatto il padre a venire a conoscenza delle modalità di rilascio del figlio. È peraltro inverosimile che sia stato arrestato per avere fornito soldi ed abiti a C._______, una forma di contributo praticato da un'importante parte della popolazione e che non è considerato neppure dalle autorità israeliane come necessariamente destinato al sostegno d'attività terroristiche, come dimostra anche il mancato arresto del padre e del fratello dell'interessato che hanno parimenti sostenuto C._______. Infine, i documenti esibiti sono inidonei a dimostrare dei motivi d'asilo.
8. Il ricorrente ha fatto valere, per quanto qui di rilievo, che per il detenuto non importa più di quel tanto di conoscere le modalità ed il luogo di pagamento della cauzione, ritenuto che per lui, come per ogni prigioniero, determinante è unicamente il fatto d'essere liberato e di potere fuggire. Inoltre, il fatto che suo padre e suo fratello non siano stati arrestati non può essere assunto come motivo per respingere la sua domanda, considerato che le ragioni di un siffatto agire delle autorità israeliane possono essere molteplici e nulla hanno a che fare con il pericolo concreto che corre il ricorrente, ritenuto altresì che essi avrebbero fornito aiuti a C._______ negli anni di pace. La verosimiglianza delle sue dichiarazioni sarebbe stata riconosciuta anche in due rapporti dei rappresentanti delle istituzioni di soccorso presenti alle audizioni del 20 giugno 2002 e del 29 gennaio 2004.
9. Nella risposta al ricorso del 7 settembre 2004, l'autorità inferiore ha rilevato in particolare che le due audizioni del 20 giugno 2002 e del 29 gennaio 2004 si sono svolte correttamente e che le note dei rappresentanti delle istituzioni di soccorso non possono invalidare la valutazione di cui alla decisione impugnata. L'UFM ha pure osservato che il motivo del versamento evocato nel documento emesso dal ministero delle finanze dell'autorità palestinese non è menzionato nel medesimo. Infine, per quanto riguarda gli articoli estratti da internet e attinenti alla situazione generale, l'autorità di prime cure ha osservato che malgrado i continui interventi dell'esercito israeliano nei territori occupati e nelle zone di confine, in Cisgiordania non regna attualmente una situazione di aperta guerra civile o di violenza generalizzata.
10. Nella replica del 6 ottobre 2004, l'insorgente sostiene che le sue allegazioni trovano riscontro nel bollettino di versamento esibito, il cui valore probatorio non potrebbe essere relativizzato.
11. Il 21 dicembre 2006, invitato ad esprimersi, l'UFM ha indicato che a suo giudizio non sono dati gli estremi del caso di rigore personale grave, ritenuto che il ricorrente è in Svizzera solo dall'aprile del 2002, che non ha famiglia a carico, che non si è creato un'esistenza economica duratura in Svizzera e che, avendo sposato una cittadina polacca, è facilitata l'integrazione in detto Paese della comunità europea piuttosto che in Svizzera.
12. Nelle osservazioni dell'8 giugno 2007, relative segnatamente all'applicazione al caso di specie dell'art. 52 cpv. 1 lett. b
SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi)
LAsi Art. 52 ... - 1 ...154
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LAsi, l'insorgente fa valere che della Polonia non conosce né la cultura né la lingua, ragione per cui non si può parlare di un'integrazione facilitata in tale Paese, benché sia convolato a nozze con una cittadina polacca, piuttosto che in Svizzera, dove vive da più di cinque anni. Peraltro, avrebbe più volte chiesto l'evasione della sua domanda anteriormente al 31 dicembre 2006, di modo che l'applicazione del nuovo diritto costituirebbe una violazione dei principi della sicurezza del diritto, della proporzionalità, del divieto dell'arbitrio e della buona fede.
13. L'art. 52 cpv. 1 lett. b
SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi)
LAsi Art. 52 ... - 1 ...154
1    ...154
2    ...155
LAsi - la cui formulazione è rimasta invariata dalla modifica della LAsi del 16 dicembre 2005 entrata in vigore il 1° gennaio 2007 - prevede che la domanda d'asilo di una persona che si trova in Svizzera è di regola respinta se il richiedente può recarsi in un Paese terzo in cui vivono parenti prossimi.
13.1 Nel caso concreto, non è contestato che l'insorgente abbia contratto matrimonio con una cittadina polacca che, per quanto emerge dagli atti di causa, vive in Polonia. Non è parimenti contestato dal ricorrente che il coniuge di un cittadino polacco abbia il diritto di trasferirsi in Polonia, Paese che peraltro ha sottoscritto la Convenzione per la salvaguardia dei diritti dell'uomo e delle libertà fondamentali del 4 novembre 1950 (CEDU, RS 0.101) ed il suo articolo 8. In altri termini, il ricorrente non contesta né l'esistenza del citato vincolo matrimoniale né la presenza in Polonia della moglie né infine la possibilità di stabilirsi in detto Paese in modo durevole e sicuro (v. sulla questione Giurisprudenza ed informazioni della Commissione svizzera di ricorso in materia d'asilo [GICRA] 2001 n. 4). Le censure giusta le quali egli non conosce né cultura né lingua polacche e che un insediamento in Polonia lo vedrebbe "tutto fuorché integrato, malgrado sia convolato a nozze con una cittadina polacca" nulla mutano alla sostanza della causa, già solo per il fatto che non si vede per quali motivi non potrebbe integrarsi in Polonia, se del caso aiutato dalla moglie. Peraltro, per sovrabbondanza e a prescindere dal fatto che l'art. 44 cpv. 3
SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi)
LAsi Art. 44 Renvoi et admission provisoire - Lorsqu'il rejette la demande d'asile ou qu'il refuse d'entrer en matière, le SEM prononce, en règle générale, le renvoi de Suisse et en ordonne l'exécution; il tient compte du principe de l'unité de la famille. Pour le surplus, la décision d'exécuter le renvoi est régie par les art. 83 et 84 LEI127.
LAsi è nel frattempo stato abrogato, può essere rilevato che la sua integrazione in Svizzera non giustifica comunque, allo stato attuale delle cose, un'ammissione di un caso di rigore personale grave (v. considerando 18.4 del presente giudizio).
13.2 A titolo abbondanziale, questo Tribunale osserva che i motivi d'asilo addotti dal ricorrente sono stati giustamente considerati siccome inverosimili in virtù delle risultanze processuali. Basti qui rilevare che le allegazioni decisive dell'insorgente s'esauriscono in mere affermazioni di parte non corroborate da alcun elemento di seria consistenza. Non dimostra alcunché di rilevante neppure la fotocopia di una ricevuta del _______ 2001 che riguarderebbe il versamento a favore del ricorrente, da parte dell'autorità nazionale palestinese, di un risarcimento per ingiusta carcerazione da parte degli israeliani. In effetti, da un lato, le fotocopie non costituiscono di principio dei mezzi efficaci ed idonei da un punto di vista probatorio, considerato che possono essere il frutto d'ogni genere di manipolazione, fermo restando che nel caso concreto l'insorgente non ha spiegato per quale ragione non avrebbe potuto fornire, usando della necessaria diligenza, l'originale del menzionato documento. Dall'altro lato, e come rettamente rilevato dall'autorità inferiore, il documento non comporta alcuna indicazione del motivo del pagamento rispettivamente delle circostanze cui fa riferimento il ricorrente. Peraltro, che vi siano ancora state delle ricerche da parte delle autorità israeliane dopo la pretesa liberazione e che dette autorità lo ricerchino ancora oggi sono allegazioni che s'esauriscono parimenti in mere affermazioni di parte non corroborate da alcun elemento della benché minima consistenza. In siffatte circostanze, non soccorrono l'insorgente le osservazioni dei rappresentanti delle istituzioni di soccorso presenti alle citate audizioni, ritenuto che si limitano ad esporre genericamente un'opinione personale, peraltro non nell'apposito attestato delle audizioni, ma in un documento interno preparato ulteriormente. Infine, per quanto attiene ai numerosi documenti esibiti relativi alle condizioni di vita a B._______, va rilevato che la situazione generale vigente nella regione di provenienza del ricorrente non è di per sé sufficiente ai fini dell'accoglimento della domanda d'asilo, determinante essendo principalmente la situazione personale del richiedente.
14. Da quanto esposto, discende che sul punto di questione dell'asilo il ricorso, privo di fondamento, non merita tutela e la decisione di respingimento della domanda d'asilo va confermata.
15. Il ricorrente non adempie le condizioni in virtù delle quali l'UFM avrebbe dovuto astenersi dal pronunciare l'allontanamento dalla Svizzera (art. 14 cpv. 1 e
SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi)
LAsi Art. 14 Relation avec la procédure relevant du droit des étrangers - 1 À moins qu'il n'y ait droit, le requérant ne peut engager de procédure visant l'octroi d'une autorisation de séjour relevant du droit des étrangers entre le moment où il dépose une demande d'asile et celui où il quitte la Suisse suite à une décision de renvoi exécutoire, après le retrait de sa demande ou si le renvoi ne peut être exécuté et qu'une mesure de substitution est ordonnée.
1    À moins qu'il n'y ait droit, le requérant ne peut engager de procédure visant l'octroi d'une autorisation de séjour relevant du droit des étrangers entre le moment où il dépose une demande d'asile et celui où il quitte la Suisse suite à une décision de renvoi exécutoire, après le retrait de sa demande ou si le renvoi ne peut être exécuté et qu'une mesure de substitution est ordonnée.
2    Sous réserve de l'approbation du SEM, le canton peut octroyer une autorisation de séjour à toute personne qui lui a été attribuée conformément à la présente loi, aux conditions suivantes:34
a  la personne concernée séjourne en Suisse depuis au moins cinq ans à compter du dépôt de la demande d'asile;
b  le lieu de séjour de la personne concernée a toujours été connu des autorités;
c  il s'agit d'un cas de rigueur grave en raison de l'intégration poussée de la personne concernée;
d  il n'existe aucun motif de révocation au sens de l'art. 62, al. 1, de la loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI)36.
3    Lorsqu'il entend faire usage de cette possibilité, le canton le signale immédiatement au SEM.
4    La personne concernée n'a qualité de partie que lors de la procédure d'approbation du SEM.
5    Toute procédure pendante déjà engagée en vue de l'octroi d'une autorisation de séjour est annulée par le dépôt d'une demande d'asile.
6    L'autorisation de séjour qui a été octroyée conserve sa validité et peut être prolongée conformément au droit des étrangers.
2 LAsi e art. 44 cpv. 1
SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi)
LAsi Art. 44 Renvoi et admission provisoire - Lorsqu'il rejette la demande d'asile ou qu'il refuse d'entrer en matière, le SEM prononce, en règle générale, le renvoi de Suisse et en ordonne l'exécution; il tient compte du principe de l'unité de la famille. Pour le surplus, la décision d'exécuter le renvoi est régie par les art. 83 et 84 LEI127.
LAsi nonché art. 32
SR 142.311 Ordonnance 1 du 11 août 1999 sur l'asile relative à la procédure (Ordonnance 1 sur l'asile, OA 1) - Ordonnance 1 sur l'asile
OA-1 Art. 32 Empêchement au prononcé de la décision de renvoi - (art. 44 LAsi)93
1    Le renvoi ne peut être prononcé lorsque le requérant d'asile:94
a  est titulaire d'une autorisation de séjour ou d'établissement valable;
b  fait l'objet d'une décision d'extradition,
c  fait l'objet d'une décision d'expulsion conformément à l'art. 121, al. 2, de la Constitution96 ou 68 LEI97, ou
d  fait l'objet d'une décision exécutoire d'expulsion pénale au sens de l'art. 66a ou 66abis du code pénal99 ou 49a ou 49abis du code pénal militaire du 13 juin 1927100.
2    Pour les cas visés à l'al. 1, let. c et d, l'autorité cantonale peut demander l'avis du SEM sur les éventuels empêchements à l'exécution du renvoi.101
dell'ordinanza 1 sull'asilo relativa a questioni procedurali dell'11 agosto 1999 [OAsi 1, RS 142.311]).
16. Per le ragioni già indicate nel considerando 13 del presente giudizio, non emerge dagli atti di causa alcun serio indizio secondo il quale l'esecuzione dell'allontanamento dell'insorgente possa violare l'art. 25 cpv. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 25 Protection contre l'expulsion, l'extradition et le refoulement - 1 Les Suisses et les Suissesses ne peuvent être expulsés du pays; ils ne peuvent être remis à une autorité étrangère que s'ils y consentent.
1    Les Suisses et les Suissesses ne peuvent être expulsés du pays; ils ne peuvent être remis à une autorité étrangère que s'ils y consentent.
2    Les réfugiés ne peuvent être refoulés sur le territoire d'un État dans lequel ils sont persécutés ni remis aux autorités d'un tel État.
3    Nul ne peut être refoulé sur le territoire d'un État dans lequel il risque la torture ou tout autre traitement ou peine cruels et inhumains.
della Costituzione federale della Confederazione Svizzera del 18 aprile 1999 (Cost., RS 101), l'art. 33 della Convenzione sullo statuto dei rifugiati del 28 luglio 1951 (Conv., RS 0.142.30), l'art. 5
SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi)
LAsi Art. 5 Interdiction du refoulement - 1 Nul ne peut être contraint, de quelque manière que ce soit, à se rendre dans un pays où sa vie, son intégrité corporelle ou sa liberté seraient menacées pour l'un des motifs mentionnés à l'art. 3, al. 1, ou encore d'où il risquerait d'être astreint à se rendre dans un tel pays.
1    Nul ne peut être contraint, de quelque manière que ce soit, à se rendre dans un pays où sa vie, son intégrité corporelle ou sa liberté seraient menacées pour l'un des motifs mentionnés à l'art. 3, al. 1, ou encore d'où il risquerait d'être astreint à se rendre dans un tel pays.
2    L'interdiction du refoulement ne peut être invoquée lorsqu'il y a de sérieuses raisons d'admettre que la personne qui l'invoque compromet la sûreté de la Suisse ou que, ayant été condamnée par un jugement passé en force à la suite d'un crime ou d'un délit particulièrement grave, elle doit être considérée comme dangereuse pour la communauté.
LAsi (principio del non-refoulement) nonché l'art. 14a cpv. 3
SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi)
LAsi Art. 5 Interdiction du refoulement - 1 Nul ne peut être contraint, de quelque manière que ce soit, à se rendre dans un pays où sa vie, son intégrité corporelle ou sa liberté seraient menacées pour l'un des motifs mentionnés à l'art. 3, al. 1, ou encore d'où il risquerait d'être astreint à se rendre dans un tel pays.
1    Nul ne peut être contraint, de quelque manière que ce soit, à se rendre dans un pays où sa vie, son intégrité corporelle ou sa liberté seraient menacées pour l'un des motifs mentionnés à l'art. 3, al. 1, ou encore d'où il risquerait d'être astreint à se rendre dans un tel pays.
2    L'interdiction du refoulement ne peut être invoquée lorsqu'il y a de sérieuses raisons d'admettre que la personne qui l'invoque compromet la sûreté de la Suisse ou que, ayant été condamnée par un jugement passé en force à la suite d'un crime ou d'un délit particulièrement grave, elle doit être considérée comme dangereuse pour la communauté.
della legge federale concernente la dimora e il domicilio degli stranieri del 26 marzo 1931 (LDDS, RS 142.20).
17.
17.1 La portata dell'art. 14a cpv. 3
SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi)
LAsi Art. 5 Interdiction du refoulement - 1 Nul ne peut être contraint, de quelque manière que ce soit, à se rendre dans un pays où sa vie, son intégrité corporelle ou sa liberté seraient menacées pour l'un des motifs mentionnés à l'art. 3, al. 1, ou encore d'où il risquerait d'être astreint à se rendre dans un tel pays.
1    Nul ne peut être contraint, de quelque manière que ce soit, à se rendre dans un pays où sa vie, son intégrité corporelle ou sa liberté seraient menacées pour l'un des motifs mentionnés à l'art. 3, al. 1, ou encore d'où il risquerait d'être astreint à se rendre dans un tel pays.
2    L'interdiction du refoulement ne peut être invoquée lorsqu'il y a de sérieuses raisons d'admettre que la personne qui l'invoque compromet la sûreté de la Suisse ou que, ayant été condamnée par un jugement passé en force à la suite d'un crime ou d'un délit particulièrement grave, elle doit être considérée comme dangereuse pour la communauté.
LDDS non si esaurisce, altresì, nella massima del "non-refoulement". Anche altri impegni di diritto internazionale della Svizzera possono essere ostativi all'esecuzione del rimpatrio, in particolare l'art. 3
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH)
CEDH Art. 3 Interdiction de la torture - Nul ne peut être soumis à la torture ni à des peines ou traitements inhumains ou dégradants.
della Convenzione per la salvaguardia dei diritti dell'uomo e delle libertà fondamentali del 4 novembre 1950 (CEDU, RS 0.101) o l'art. 3 della Convenzione contro la tortura ed altre pene o trattamenti crudeli, inumani o degradanti del 10 dicembre 1984 (Conv. tortura, RS 0.105). L'applicazione di tali disposizioni presuppone, peraltro, l'esistenza di serie e concrete ragioni per ritenere che lo straniero possa essere esposto, nel Paese verso il quale sarà allontanato, in casu la Polonia, a dei trattamenti contrari a detti articoli. Spetta all'interessato di rendere plausibile l'esistenza di siffatte serie e concrete ragioni.
17.2 Il TAF osserva che dagli atti di causa, segnatamente dalla determinazione dell'insorgente dell'8 giugno 2007, non v'è ragione di ritenere che il ricorrente possa essere esposto in Polonia al rischio serio e concreto di un trattamento contrario all'art. 3
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH)
CEDH Art. 3 Interdiction de la torture - Nul ne peut être soumis à la torture ni à des peines ou traitements inhumains ou dégradants.
CEDU o all'art. 3 Conv. tortura. In altri termini, l'interessato non ha saputo fornire un insieme d'indizi, oppure presunzioni non contraddette, sufficientemente gravi, precisi e concordanti quo ad un pericolo d'esposizione personale ad atti o fatti che si ritengono contrari alle menzionate disposizioni. Peraltro, ai sensi della giurisprudenza della Corte europea dei diritti dell'uomo, la situazione generale che regna in un Paese non comporta, ad essa sola, l'illiceità del rimpatrio secondo le disposizioni della CEDU (GICRA 1995 n. 12 consid. 10, pag. 110 e segg.).
17.3 Pertanto, l'esecuzione dell'allontanamento del ricorrente è lecita.
18. Occorre quindi esaminare se per l'insorgente vi siano pericoli concreti in caso d'esecuzione dell'allontanamento verso la Polonia (art. 14a cpv. 4
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH)
CEDH Art. 3 Interdiction de la torture - Nul ne peut être soumis à la torture ni à des peines ou traitements inhumains ou dégradants.
LDDS).
18.1 In Polonia, trattasi di fatti noti, non vige attualmente una situazione di guerra, guerra civile o violenza generalizzata che coinvolga l'insieme degli abitanti nella totalità del territorio nazionale. Da questo profilo, l'esecuzione dell'allontanamento è esigibile.
18.2 Per il resto, il TAF constata che il ricorrente è giovane, ha una certa formazione (studi _______) ed esperienza professionale (_______) ed è coniugato con una cittadina polacca residente in Polonia. Peraltro, in sede di ricorso l'insorgente neppure ha preteso che il suo stato di salute s'oppone alla pronuncia dell'esecuzione dell'allontanamento, senza che ad un esame d'ufficio degli atti di causa emerga la necessità di una permanenza del ricorrente in Svizzera per motivi medici (v. sulla questione GICRA 2003 n. 24). Dal rapporto medico del _______, emerge tutt'al più che all'insorgente è stata prescritta una terapia fisioterapica. Non v'è tuttavia motivo di ritenere, e il ricorrente neppure lo ha preteso, che, qualora ancora necessaria, detta terapia non sia ottenibile in Polonia. In siffatte circostanze, sono adempite le condizioni per formulare una prognosi favorevole, con riferimento all'effettiva possibilità di un adeguato inserimento sociale dell'insorgente in Polonia.
18.3 Da quanto esposto, consegue che l'esecuzione dell'allontanamento del ricorrente dalla Svizzera deve ritenersi ragionevolmente esigibile.
18.4 Nello scritto dell'8 giugno 2007, l'insorgente allega che qualora la sua procedura fosse stata evasa prima dell'entrata in vigore, il 1° gennaio 2007, della modifica della LAsi del 16 dicembre 2005 che ha soppresso l'art. 44 cpv. 3 a
SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi)
LAsi Art. 44 Renvoi et admission provisoire - Lorsqu'il rejette la demande d'asile ou qu'il refuse d'entrer en matière, le SEM prononce, en règle générale, le renvoi de Suisse et en ordonne l'exécution; il tient compte du principe de l'unité de la famille. Pour le surplus, la décision d'exécuter le renvoi est régie par les art. 83 et 84 LEI127.
5 LAsi, egli avrebbe dovuto ottenere l'ammissione provvisoria in Svizzera perché apparterrebbe alla categoria dei casi di rigore personale grave. Peraltro, l'applicazione del nuovo diritto violerebbe i principi della sicurezza del diritto, della proporzionalità, del divieto dell'arbitrio e della buona fede, conto tenuto del fatto che il gravame è stato interposto il 1° luglio 2004. In proposito, il TAF osserva, da un lato, che le disposizioni di cui all'art. 44 cpv. 3 a
SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi)
LAsi Art. 44 Renvoi et admission provisoire - Lorsqu'il rejette la demande d'asile ou qu'il refuse d'entrer en matière, le SEM prononce, en règle générale, le renvoi de Suisse et en ordonne l'exécution; il tient compte du principe de l'unité de la famille. Pour le surplus, la décision d'exécuter le renvoi est régie par les art. 83 et 84 LEI127.
5 LAsi sono state abrogate dalla citata modifica legislativa. D'altro lato, quanto alle censure di cui al menzionato scritto dell'8 giugno 2007, s'osserva che - secondo una costante giurisprudenza - il fatto che uno straniero abbia soggiornato in Svizzera per diversi anni, che si sia ben integrato professionalmente e socialmente e che il suo comportamento non abbia mai dato adito a lamentele non è di per sé sufficiente a giustificare una deroga alle misure limitative del numero di stranieri (v. DTAF C 288/2006 del 1° giugno 2007 destinata alla pubblicazione e i relativi rinvii alla giurisprudenza del Tribunale federale). Da quanto precede, emerge che quand'anche le citate disposizioni non fossero state abrogate, il ricorrente non avrebbe avuto alcuna possibilità di vedersi concessa l'ammissione provvisoria, considerato che risiede in Svizzera da poco più di cinque anni, che non si è creato un'indipendenza economica duratura nel nostro Paese e che ha sposato una cittadina straniera che vive all'estero. Il fatto che abbia imparato la lingua ufficiale in uso nel Cantone di residenza e che si sia sforzato di trovare un'occupazione non costituisce un'integrazione particolarmente riuscita ai sensi della citata giurisprudenza.
19. Ritenuta la possibilità, per il coniuge straniero di un cittadino polacco, d'ottenere un permesso di soggiorno in Polonia, il ricorrente, usando della necessaria diligenza, può dunque procurarsi ogni documento indispensabile per recarsi in detto Paese. Infine, nessun ostacolo d'ordine tecnico si oppone all'esecuzione dell'allontanamento che deve pure considerarsi possibile (art. 14a cpv. 2
SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi)
LAsi Art. 44 Renvoi et admission provisoire - Lorsqu'il rejette la demande d'asile ou qu'il refuse d'entrer en matière, le SEM prononce, en règle générale, le renvoi de Suisse et en ordonne l'exécution; il tient compte du principe de l'unité de la famille. Pour le surplus, la décision d'exécuter le renvoi est régie par les art. 83 et 84 LEI127.
LDDS).
20. Visto l'esito della procedura, le spese processuali, che seguono la soccombenza, sono poste a carico del ricorrente (art. 63 cpv. 1
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 63 - 1 En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis.
1    En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis.
2    Aucun frais de procédure n'est mis à la charge des autorités inférieures, ni des autorités fédérales recourantes et déboutées; si l'autorité recourante qui succombe n'est pas une autorité fédérale, les frais de procédure sont mis à sa charge dans la mesure où le litige porte sur des intérêts pécuniaires de collectivités ou d'établissements autonomes.
3    Des frais de procédure ne peuvent être mis à la charge de la partie qui a gain de cause que si elle les a occasionnés en violant des règles de procédure.
4    L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur perçoit du recourant une avance de frais équivalant aux frais de procédure présumés. Elle lui impartit pour le versement de cette créance un délai raisonnable en l'avertissant qu'à défaut de paiement elle n'entrera pas en matière. Si des motifs particuliers le justifient, elle peut renoncer à percevoir la totalité ou une partie de l'avance de frais.101
4bis    L'émolument d'arrêté est calculé en fonction de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la manière de procéder des parties et de leur situation financière. Son montant est fixé:
a  entre 100 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 100 et 50 000 francs dans les autres contestations.102
5    Le Conseil fédéral établit un tarif des émoluments.103 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral104 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales105 sont réservés.106
, 4
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 63 - 1 En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis.
1    En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis.
2    Aucun frais de procédure n'est mis à la charge des autorités inférieures, ni des autorités fédérales recourantes et déboutées; si l'autorité recourante qui succombe n'est pas une autorité fédérale, les frais de procédure sont mis à sa charge dans la mesure où le litige porte sur des intérêts pécuniaires de collectivités ou d'établissements autonomes.
3    Des frais de procédure ne peuvent être mis à la charge de la partie qui a gain de cause que si elle les a occasionnés en violant des règles de procédure.
4    L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur perçoit du recourant une avance de frais équivalant aux frais de procédure présumés. Elle lui impartit pour le versement de cette créance un délai raisonnable en l'avertissant qu'à défaut de paiement elle n'entrera pas en matière. Si des motifs particuliers le justifient, elle peut renoncer à percevoir la totalité ou une partie de l'avance de frais.101
4bis    L'émolument d'arrêté est calculé en fonction de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la manière de procéder des parties et de leur situation financière. Son montant est fixé:
a  entre 100 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 100 et 50 000 francs dans les autres contestations.102
5    Le Conseil fédéral établit un tarif des émoluments.103 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral104 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales105 sont réservés.106
bis e 5 PA nonché art. 3 lett. b del regolamento sulle tasse e sulle spese ripetibili nelle cause dinanzi al Tribunale amministrativo federale dell'11 dicembre 2006 [TS-TAF, RS 173.320.2]).

Per questi motivi, il Tribunale amministrativo federale pronuncia:

1. Il ricorso è respinto.
2. Le spese processuali, di fr. 600.--, sono poste a carico del ricorrente. L'anticipo di fr. 600.--, versato il 22 luglio 2004, è computato con le spese processuali.
3. Comunicazione:
- al patrocinatore del ricorrente (plico raccomandato; allegato: originale del giudizio impugnato)
- all'autorità inferiore (in copia, n. di rif. N _______)
- alla D._______ (in copia)

Il Giudice presidente: Il Cancelliere:

Vito Valenti Marco Poretti

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