Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

8C 254/2020

Urteil vom 11. August 2020

I. sozialrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichter Maillard, Präsident,
Bundesrichterin Heine, Bundesrichter Wirthlin,
Gerichtsschreiberin Polla.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Advokat Dr. Martin Kaiser,
Beschwerdeführerin,

gegen

Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (Suva), Fluhmattstrasse 1, 6004 Luzern,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Unfallversicherung (Kausalzusammenhang),

Beschwerde gegen den Entscheid
des Kantonsgerichts Basel-Landschaft
vom 23. Januar 2020 (725 19 288 / 13).

Sachverhalt:

A.
Die 1963 geborene A.________ war als Reinigungsmitarbeiterin der B.________ AG bei der Schweizerischen Unfallversicherungsanstalt (Suva) obligatorisch gegen die Folgen von Unfällen und Berufskrankheiten versichert. Am 24. Mai 2017 verfehlte sie beim Treppensteigen mit dem Wäschekorb in der Hand eine Stufe und stürzte. Die Suva erbrachte Heilbehandlungs- und Taggeldleistungen für die von Dr. med. C.________, Allgemeine Medizin FMH, am 25. August 2017 attestierte rechtsseitige Handgelenksprellung. Mit Verfügung vom 31. Januar 2019 stellte die Suva die gesetzlichen Leistungen rückwirkend auf den 15. Dezember 2018 ein, da die persistierenden Beschwerden an der rechten Hand nicht mehr unfallkausal seien. Daran hielt sie mit Einspracheentscheid vom 12. August 2019 fest.

B.
Die dagegen geführte Beschwerde wies das Kantonsgericht Basel-Landschaft mit Entscheid vom 23. Januar 2020 ab.

C.
A.________ lässt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten führen und beantragen, in Aufhebung des vorinstanzlichen Entscheids seien ihr über den 15. Dezember 2018 hinaus die gesetzlichen Leistungen in Form von Taggeldern bzw. allenfalls in Form von einer Invalidenrente zu gewähren. Eventualiter sei die Sache zwecks weiterer Abklärungen (an die Vorinstanz oder die Suva) zurückzuweisen.
Die Suva schliesst auf Abweisung der Beschwerde. Das Bundesamt für Gesundheit verzichtet auf eine Stellungnahme.

Erwägungen:

1.

1.1. Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann wegen Rechtsverletzungen gemäss Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
und 96
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour:
a  inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse;
b  application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire.
BGG erhoben werden. Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG). Es ist folglich weder an die in der Beschwerde geltend gemachten Argumente noch an die Erwägungen der Vorinstanz gebunden; es kann eine Beschwerde aus einem anderen als dem angerufenen Grund gutheissen und es kann sie mit einer von der Argumentation der Vorinstanz abweichenden Begründung abweisen. Immerhin prüft das Bundesgericht, unter Berücksichtigung der allgemeinen Pflicht zur Begründung der Beschwerde (Art. 42 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
und 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG), grundsätzlich nur die geltend gemachten Rügen, sofern die rechtlichen Mängel nicht geradezu offensichtlich sind (BGE 141 V 234 E. 1 S. 236 mit Hinweisen).

1.2. Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
und Art. 105 Abs. 3
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG).

2.
Streitig und zu prüfen ist, ob das kantonale Gericht die Leistungseinstellung der Beschwerdegegnerin auf den 15. Dezember 2018 bundesrechtskonform geschützt hat.
Die Vorinstanz hat die zur Beurteilung der Streitsache massgebenden Rechtsgrundlagen zutreffend dargelegt. Dies betrifft die Ausführungen zu den Voraussetzungen des Anspruchs auf Leistungen der Unfallversicherung (Art. 6 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 6 Généralités - 1 Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle.
1    Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle.
2    L'assurance alloue aussi ses prestations pour les lésions corporelles suivantes, pour autant qu'elles ne soient pas dues de manière prépondérante à l'usure ou à une maladie:
a  les fractures;
b  les déboîtements d'articulations;
c  les déchirures du ménisque;
d  les déchirures de muscles;
e  les élongations de muscles;
f  les déchirures de tendons;
g  les lésions de ligaments;
h  les lésions du tympan.21
3    L'assurance alloue en outre ses prestations pour les lésions causées à l'assuré victime d'un accident lors du traitement médical (art. 10).
UVG i.V.m. Art. 4
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 4 Accident - Est réputée accident toute atteinte dommageable, soudaine et involontaire, portée au corps humain par une cause extérieure extraordinaire qui compromet la santé physique, mentale ou psychique ou qui entraîne la mort.
und 7 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 7 Incapacité de gain - 1 Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
1    Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
2    Seules les conséquences de l'atteinte à la santé sont prises en compte pour juger de la présence d'une incapacité de gain. De plus, il n'y a incapacité de gain que si celle-ci n'est pas objectivement surmontable.12
ATSG), insbesondere zum Erfordernis eines natürlichen und adäquaten Kausalzusammenhangs zwischen dem Unfall und einer gesundheitlichen Beeinträchtigung sowie zum Dahinfallen der Leistungspflicht bei Erreichen des Status quo sine vel ante (SVR 2016 UV Nr. 18 S. 55, 8C 331/2015 E. 2.1.1; SVR 2010 UV Nr. 31 S. 125, 8C 816/2009 E. 4.3; Urteile 8C 781/2017 vom 21. September 2018 E. 5.1; 8C 326/2008 vom 24. Juni 2008 E. 3.2 und 4). Richtig wiedergegeben werden auch die Regeln, die bei der Beurteilung des Beweiswerts eines ärztlichen Berichts oder Gutachtens zu beachten sind (BGE 134 V 231 E. 5.1 S. 232; 125 V 351 E. 3a S. 352), insbesondere bei versicherungsinternen Beurteilungen (BGE 145 V 97 E. 8.5 S. 105; 139 V 225 E. 5.2 S. 229; 135 V 465 E. 4.4 S. 469 f.; 125 V 351 E. 3b/ee S. 353 f.; 122 V 157 E. 1d S. 162). Es wird darauf verwiesen.

3.
Die Vorinstanz hat in eingehender Würdigung der medizinischen Aktenlage die Auffassung der Suva bestätigt. Der Kreisarzt Dr. med. D.________, FMH Orthopädische Chirurgie und Traumatologie des Bewegungsapparates, sei anlässlich seiner Abschlussuntersuchung vom 14. Dezember 2018 zum Schluss gelangt, dass ab Dezember 2018 keine somatischen Ursachen mehr für die bestehenden Handgelenksbeschwerden vorlägen (Bericht vom 17. Januar 2019). Die Versicherte sei vollständig arbeitsfähig in der angestammten wie in einer leidensangepassten Tätigkeit. Dies stehe in Einklang mit den Feststellungen der Klinik E.________ vom 31. Oktober 2018, wonach gestützt auf das am 10. Oktober 2018 anlässlich des vom 4. bis 31. Oktober 2018 dauernden stationären Aufenthaltes veranlasste MRT keinerlei strukturelle Auffälligkeiten mehr ausgewiesen seien. Es sei im Bericht der Klinik E.________ auf eine erhebliche Symptomausweitung hingewiesen worden, wobei sich das Ausmass an demonstrierten Einschränkungen nicht mit den objektivierbaren pathologischen Befunden habe erklären lassen. Der behandelnde Dr. med. F.________, Handchirurgie, Leitender Arzt, Spital G.________, habe am 18. September 2017 sowie am 30. April 2018 eine Arthroskopie des Handgelenks
durchgeführt und bereits am 7. Juni 2018 im Anschluss an die zweite Operation keine organischen Ursachen für die unverändert persistierende Schmerzsituation mehr ausmachen können. Am 29. August 2018 habe er ein chronisches Schmerzsyndrom mit konsekutiver Schonhaltung diagnostiziert, wobei er auch den beschriebenen drohenden funktionellen Verlust der Hand nicht auf eine somatische Ursache habe zurückführen können. Soweit er im Bericht vom 7. Dezember 2018 ein neuropathisches Schmerzsyndrom als mögliche Beschwerdeursache aufführe, begnüge er sich diesbezüglich mit pauschaler Kritik am Umstand, dass in der Klinik E.________ keine handchirurgische Begutachtung vorgenommen worden sei. Eine solche habe er aber ebenso wenig veranlasst. Zudem habe er ein halbes Jahr später nach einer vorgenommenen Infiltration im Sinne einer vorübergehenden Handgelenksdenervation die Versicherte angewiesen, ihre rechte Hand im Alltag einzusetzen. Seine Berichte erweckten daher keine auch nur geringen Zweifel an der Suva-ärztlichen Beurteilung. Die Leistungseinstellung per 15. Dezember 2018 sei demnach korrekt.

4.

4.1.

4.1.1. Soweit die Beschwerdeführerin der vorinstanzlichen Feststellung, im Juni und September 2017 sei ein intaktes und straffes TFCC festgestellt worden, entgegenhält, "dass die Arthroskopie des Handgelenks mit überwiegender Wahrscheinlichkeit unfallkausal" sei, ist nicht ersichtlich, was sie daraus zu ihren Gunsten ableiten will. Dass die Beschwerdegegnerin einen Kausalzusammenhang zwischen der Gesundheitsschädigung am Handgelenk und der durchgeführten Arthroskopie (nicht aber mit der damit verbundenen Arthrodese DIP Dig. II) bejahte, hat nichts mit dem triangulären fibrokartilaginären Komplex (TFCC) zu tun. Eine Verletzung desselben wurde ärztlicherseits zu keinem Zeitpunkt festgestellt (Operationsbericht des Spitals G.________ vom 18. September 2017). Indikation für die Arthroskopie bildeten vielmehr die persistierenden Schmerzen im rechten Handgelenk sowie die nicht auf den Unfall zurückzuführende DIP-Arthrose, die mittels Arthrodese versorgt wurde. Die Ursache der Handgelenksbeschwerden blieben gemäss Diagnose im Operationsbericht vom 18. September 2017 auch nach durchgeführter Arthroskopie unklar. Weiter sind die Darlegungen im Bericht des Kreisarztes Dr. med. D.________ nicht schon allein deswegen beweisuntauglich, weil
die Vorinstanz ohne Datumsangabe festgestellt hat, der Kreisarzt sei u.a. gestützt auf die "aktuellste Bildgebung" zu seinem Ergebnis gelangt, wie die Beschwerdeführerin einwendet. Die Vorinstanz hat die entscheidwesentlichen medizinischen Akten detailliert aufgeführt. Aus ihren Erwägungen (S. 6) lässt sich ohne Weiteres schliessen, dass sich die Formulierung "aktuellste Bildgebung" auf die anlässlich des Rehabilitationsaufenthaltes in der Klinik E.________ veranlasste und am 10. Oktober 2018 am Spital H.________ durchgeführte MRI-Untersuchung des Handgelenks bezog.

4.1.2. Nachdem sich aus den medizinischen Akten keine Hinweise für eine über das Datum der Leistungseinstellung hinaus bestehende Unfallkausalität der persistierenden somatischen Beschwerden am rechten Handgelenk ergeben, waren mit der Vorinstanz keine weiteren Abklärungen in handchirurgischer Hinsicht angezeigt. Eine Verletzung des Untersuchungsgrundsatzes liegt nicht vor. Der Kreisarzt schloss nachvollziehbar und schlüssig eine namhafte Besserung der (natürlich) unfallkausalen Beschwerden somatischer Natur durch weitere ärztliche Behandlungsmassnahmen aus. Er ging von einer beim gemeldeten Ereignis vom 24. Mai 2017 bereits bestehenden beginnenden Handgelenksarthrose mit Synovitis als Vorzustand aus, der sich vorübergehend verschlimmert hatte. Dementsprechend ist ein im September/Oktober 2016 stattgehabtes Initialtrauma des rechten Handgelenks (Sturz auf die dorsal extendierte Hand) aktenmässig dokumentiert was unbestritten ist. Damit übereinstimmend wies ein CT des rechten Handgelenks vom 4. Juli 2017 zwei kleine Ossikel bei Status nach alter Verletzung aus. Dr. med. F.________ hielt anlässlich seiner ersten Untersuchung am 16. August 2017 weiter fest, die im CT beschriebenen knöchernen Fragmente seien suggestiv für eine
stattgehabte perilunäre Verletzung, klinisch sei aktuell jedoch keine carpale Instabilität fassbar. Am ehesten liege eine symptomatische Pseudoarthrose durch das scapholunäre Fragment dorsal vor (Bericht vom 23. August 2017). Was die somatischen Unfallfolgen betrifft, durfte das kantonale Gericht demnach in beweisrechtlicher Hinsicht zur Beurteilung der Leistungspflicht des Unfallversicherers nach dem 15. Dezember 2018 auf die Darlegungen des Kreisarztes Dr. med. D.________ abstellen. Unfallkausale strukturelle Läsionen, welche über die Leistungsterminierung hinaus Anspruch auf Leistungen der Suva begründeten, hat es bundesrechtskonform verneint. Dass eine von Dr. med. F.________ wegen der weiterhin geklagten Schmerzen durchgeführte (Probe-) Infiltration im Sinne einer Handgelenksdenervation für einige Tage eine Besserung der Beschwerden brachte, ändert an der überzeugenden Kausalitätsbeurteilung in somatischer Hinsicht nichts (Berichte des Spitals G.________ vom 8. und 27. August 2019).

4.2.

4.2.1. Zutreffend ist indessen der unter Hinweis auf das Urteil 8C 689/2019 vom 9. März 2020 E. 5.3 erfolgte Einwand der Beschwerdeführerin, dass auch bei fehlenden objektivierten Beschwerden eine Leistungspflicht des Unfallversicherers bestehen kann, sofern die Beschwerden in einem natürlichen und adäquaten Kausalzusammenhang zum Unfall stehen. Vorliegend konnte die verbliebene Schmerzproblematik nicht mehr auf ein pathologisches somatisches Substrat zurückgeführt werden. Der Kreisarzt verneinte unfallkausale somatische Pathologien nach dem Gesagten schlüssig.

4.2.2. Zur Beurteilung der natürlichen Kausalität der weiterhin bestehenden Schmerzproblematik liegt dennoch keine hinreichende Entscheidungsgrundlage vor; eine fachärztliche Auseinandersetzung hiermit findet sich nicht in den Akten. Psychische Beschwerden werden zwar nicht geltend gemacht und eine mehrmals im Rahmen des stationären Aufenthalts in der Klinik E.________ angebotene psychiatrische Abklärung lehnte die Versicherte dementsprechend ab. Bei der von Dr. med. F.________ im Bericht vom 7. Dezember 2018 (verdachtsweise) als neuropathisches autonom unterhaltenes Schmerzsyndrom bezeichneten Restsymptomatik handelt es sich aber jedenfalls um keine organisch objektiv ausgewiesene Unfallfolge im Sinne der Rechtsprechung (vgl. Urteil 8C 647/2018 vom 16. Januar 2019 E. 4.3.2). Daher hat eine besondere Prüfung des adäquaten Kausalzusammenhangs nach den zu psychischen Fehlentwicklungen nach einem Unfall entwickelten Grundsätzen gemäss BGE 115 V 133 zu erfolgen. Die Suva verneinte in ihrem Einspracheentscheid im Sinne einer Eventualbegründung in Anwendung dieser Rechtsprechung einen adäquaten Kausalzusammenhang zwischen den geklagten Restbeschwerden und dem geltend gemachten Unfallereignis. Die Vorinstanz hat sich hierzu in Verneinung
der natürlichen Kausalität nicht geäussert, was jedoch in beweisrechtlicher Hinsicht nach dem soeben Dargelegten nicht standhält. Die Frage, ob ein natürlicher Kausalzusammenhang zwischen der Schmerzproblematik und dem Unfall besteht, kann bei Verneinung der adäquaten Kausalität praxisgemäss offen gelassen werden (BGE 135 V 465 E. 5.1 S. 472). Weitere medizinische Abklärungen zur bestehenden Schmerzproblematik wären diesfalls nicht erforderlich. Nachdem eine Leistungspflicht des Unfallversicherers erst bei Fehlen des natürlichen und adäquaten Kausalzusammenhangs entfällt, ist die Sache demnach an die Vorinstanz zurückzuweisen, damit sie über die Beschwerde neu entscheide.

5.
Das Verfahren ist kostenpflichtig (Art. 65
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
1    Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
2    L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière.
3    Son montant est fixé en règle générale:
a  entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations.
4    Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent:
a  des prestations d'assurance sociale;
b  des discriminations à raison du sexe;
c  des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs;
d  des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24.
5    Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4.
BGG). Die Rückweisung der Sache an den Versicherungsträger oder an das vorinstanzliche Gericht zu erneuter Abklärung (mit noch offenem Ausgang) gilt für die Frage der Auferlegung der Gerichtskosten wie auch der Parteientschädigung als vollständiges Obsiegen im Sinne von Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
sowie Art. 68 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
und 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
BGG, unabhängig davon, ob sie beantragt oder ob das entsprechende Begehren im Haupt- oder im Eventualantrag gestellt wird (BGE 137 V 210 E. 7.1 S. 271 mit Hinweisen). Demgemäss sind die Gerichtskosten der Beschwerdegegnerin zu überbinden. Ferner hat diese der anwaltlich vertretenen Beschwerdeführerin eine Parteientschädigung auszurichten.

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird teilweise gutgeheissen und der Entscheid des Kantonsgerichts Basel-Landschaft vom 23. Januar 2020 aufgehoben. Die Sache wird zu neuer Entscheidung an die Vorinstanz zurückgewiesen. Im Übrigen wird die Beschwerde abgewiesen.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden der Beschwerdegegnerin auferlegt.

3.
Die Beschwerdegegnerin hat die Beschwerdeführerin für das bundesgerichtliche Verfahren mit Fr. 2800.- zu entschädigen.

4.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Kantonsgericht Basel-Landschaft und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.

Luzern, 11. August 2020
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Der Präsident: Maillard

Die Gerichtsschreiberin: Polla