Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

8C 285/2022

Urteil vom 6. Oktober 2022

I. sozialrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichter Wirthlin, Präsident,
Bundesrichter Maillard, Bundesrichterin Viscione,
Gerichtsschreiberin N. Möckli.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwältin Yolanda Schweri,
Beschwerdeführer,

gegen

IV-Stelle des Kantons Zürich,
Röntgenstrasse 17, 8005 Zürich,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Invalidenversicherung,

Beschwerde gegen das Urteil des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich vom 15. März 2022 (IV.2021.00676).

Sachverhalt:

A.
A.________ geb. 1980 ist diplomierter Ingenieur FH in Informatik. Zuletzt arbeitete er als Softwareentwickler in einem 80%-Pensum bei der B.________ AG, wobei er diese Anstellung mit Schreiben vom 12. Dezember 2017 per 31. März 2018 kündigte. Im Mai 2018 meldete er sich wegen einer seit dem 19. Januar 2018 bestehenden Arbeitsunfähigkeit aufgrund von Erschöpfung, Schlafstörungen, depressiver Stimmung, Antriebslosigkeit und Verunsicherung bei der Invalidenversicherung zum Leistungsbezug an. Die IV-Stelle des Kantons Zürich tätigte daraufhin verschiedene Abklärungen, insbesondere holte sie die von der Krankentaggeldversicherung veranlasste Beurteilung des Dr. med. C.________, Facharzt für Psychiatrie und Psychotherapie, Swiss Medical Assessment- und Business-Center (SMAB), vom 12. Juni 2018 ein und führte berufliche Massnahmen durch. Nach deren Abschluss und nach Rücksprache mit dem Regionalen Ärztlichen Dienst (RAD; Stellungnahme der Dr. med. D.________, Fachärztin für Psychiatrie und Psychotherapie, vom 11. Januar 2020) stellte die IV-Stelle dem Versicherten vorbescheidsweise in Aussicht, dass er keinen Anspruch auf eine Rente habe. Daran hielt die Verwaltung mit Verfügung vom 7. Oktober 2021 fest.

B.
Die dagegen erhobene Beschwerde wies das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich ab (Urteil vom 15. März 2022).

C.
A.________ lässt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten führen und beantragen, in Aufhebung des vorinstanzlichen Urteils resp. der Verfügung vom 7. Oktober 2021 sei ihm ab 1. Januar 2019 mindestens eine halbe Rente zuzusprechen (unter Berücksichtigung des Taggeldanspruchs vom 6. Januar bis 5. Juli 2020). Eventualiter sei die IV-Stelle zu verpflichten, nach ergänzenden medizinischen Abklärungen zur Arbeitsfähigkeit den Invaliditätsgrad neu zu bestimmen.
Die vorinstanzlichen Akten wurden eingeholt. Ein Schriftenwechsel wurde nicht durchgeführt.

Erwägungen:

1.

1.1. Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann u.a. die Verletzung von Bundesrecht gerügt werden (Art. 95 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG). Die Feststellung des Sachverhalts kann nur gerügt werden, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG beruht und wenn die Behebung des Mangels für den Ausgang des Verfahrens entscheidend sein kann (Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
BGG). Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG). Es kann die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz von Amtes wegen berichtigen oder ergänzen, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG beruht (Art. 105 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG).

1.2. Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG). Indes prüft es, unter Berücksichtigung der allgemeinen Begründungspflicht der Beschwerde (vgl. Art. 42 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG), grundsätzlich nur die geltend gemachten Rügen, sofern die rechtlichen Mängel nicht geradezu offensichtlich sind (BGE 145 V 57 E. 4.2 mit Hinweis).

1.3. Neue Tatsachen und Beweismittel dürfen vor Bundesgericht nur so weit vorgebracht werden, als erst der Entscheid der Vorinstanz dazu Anlass gibt (Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
BGG), was in der Beschwerde näher darzulegen ist (Art. 42 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG; BGE 143 I 344 E. 3).

2.

2.1. Strittig und zu prüfen ist, ob die Vorinstanz Bundesrecht verletzte, indem sie in Bestätigung der Verfügung der Beschwerdegegnerin vom 7. Oktober 2021 einen Rentenanspruch des Beschwerdeführers verneint hat.

2.2. Das kantonale Gericht hat die massgebenden Rechtsgrundlagen für die Beurteilung des Rentenanspruchs (Art. 28
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
1    L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
a  sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles;
b  il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable;
c  au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins.
1bis    Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205
2    ...206
IVG in der bis zum 31. Dezember 2021 geltenden Fassung; vgl. BGE 148 V 174 E. 4.1), zur Erwerbsunfähigkeit (Art. 7
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 7 Incapacité de gain - 1 Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
1    Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
2    Seules les conséquences de l'atteinte à la santé sont prises en compte pour juger de la présence d'une incapacité de gain. De plus, il n'y a incapacité de gain que si celle-ci n'est pas objectivement surmontable.12
ATSG) und zur Invalidität (Art. 8 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 8 Invalidité - 1 Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée.
1    Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée.
2    Les assurés mineurs sans activité lucrative sont réputés invalides s'ils présentent une atteinte à leur santé physique, mentale ou psychique qui provoquera probablement une incapacité de gain totale ou partielle.13
3    Les assurés majeurs qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont il ne peut être exigé qu'ils en exercent une sont réputés invalides si l'atteinte les empêche d'accomplir leurs travaux habituels. L'art. 7, al. 2, est applicable par analogie.14 15
ATSG i.V.m. Art. 4 Abs. 1
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 4 Invalidité - 1 L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45
1    L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45
2    L'invalidité est réputée survenue dès qu'elle est, par sa nature et sa gravité, propre à ouvrir droit aux prestations entrant en considération.46
IVG) zutreffend dargelegt. Gleiches gilt für die Ausführungen zur Beurteilung der sog. Statusfrage und zu den rechtlichen Grundlagen der bei teilerwerbstätigen Versicherten anwendbaren gemischten Methode der Invaliditätsbemessung (Art. 28a Abs. 3
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28a - 1 L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210
1    L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210
2    Le taux d'invalidité de l'assuré qui n'exerce pas d'activité lucrative, qui accomplit ses travaux habituels et dont on ne peut raisonnablement exiger qu'il entreprenne une activité lucrative est évalué, en dérogation à l'art. 16 LPGA, en fonction de son incapacité à accomplir ses travaux habituels.211
3    Lorsque l'assuré exerce une activité lucrative à temps partiel ou travaille sans être rémunéré dans l'entreprise de son conjoint, le taux d'invalidité pour cette activité est évalué selon l'art. 16 LPGA. S'il accomplit ses travaux habituels, le taux d'invalidité pour cette activité est fixé selon l'al. 2.212 Dans ce cas, les parts respectives de l'activité lucrative ou du travail dans l'entreprise du conjoint et de l'accomplissement des travaux habituels sont déterminées; le taux d'invalidité est calculé dans les deux domaines d'activité.
IVG, Art. 27
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI)
RAI Art. 27 - 1 Par travaux habituels, visés à l'art. 7, al. 2, de la loi, des assurés travaillant dans le ménage, il faut entendre l'activité usuelle dans le ménage, ainsi que les soins et l'assistance apportés aux proches.
1    Par travaux habituels, visés à l'art. 7, al. 2, de la loi, des assurés travaillant dans le ménage, il faut entendre l'activité usuelle dans le ménage, ainsi que les soins et l'assistance apportés aux proches.
2    ...170
IVV [831.201]; betreffend Personen ohne Aufgabenbereich vgl. Urteil 8C 804/2021 vom 1. Juni 2022 E. 4.3.4 mit Hinweis auf BGE 142 V 290 E. 7.3). Darauf wird verwiesen.

3.

3.1. Die Vorinstanz mass der Beurteilung des Dr. med. C.________ vom 7. Juni 2018 Beweiskraft zu. In erwerblicher Hinsicht qualifizierte sie den Beschwerdeführer als Teilerwerbstätigen (80 %) ohne Aufgabenbereich und bestimmte das hypothetisch ohne Gesundheitsschaden erzielbare Valideneinkommen anhand des zuletzt im Rahmen eines 80%igen-Pensums erzielten, aufindexierten Einkommens des Beschwerdeführers. Das Invalideneinkommen ermittelte das kantonale Gericht ausgehend von der von Dr. med. C.________ attestierten Arbeitsfähigkeit in einer angepassten Tätigkeit von 75 % und dem Total des Kompetenzniveaus 2 der LSE-Tabellenlöhne.

3.2. Der Beschwerdeführer bringt dagegen zusammengefasst vor, die Vorinstanz und die RAD-Ärztin hätten die Beurteilung des Dr. med. C.________ zu Unrecht als beweiskräftig eingestuft. Ferner sei er (der Beschwerdeführer) in aktenwidriger Beweiswürdigung als zu 80 % erwerbstätig ohne Aufgabenbereich qualifiziert worden. Betreffend das Invalideneinkommen verletze die Vorinstanz Bundesrecht, indem sie den Tabellenlohn des Kompetenzniveaus 2 berücksichtigt und keinen Abzug gewährt habe.

4.

4.1. Gegen die Einschätzung des Dr. med. C.________ wird in der Beschwerde eingewendet, dieser habe keine ausführliche Diagnostik zur Persönlichkeit vorgenommen. Dem ist die vorinstanzliche Erwägung entgegenzuhalten, die zeigt, dass sich der Gutachter mit der Persönlichkeit des Beschwerdeführers befasste und dazu festhielt, es präsentierten sich selbstunsichere Züge mit reduzierter Konfliktfähigkeit, aber auch leicht zwanghafte Züge, im Sinne einer Persönlichkeitsakzentuierung. Die Vorinstanz verwies zudem auf die weiteren Ausführungen der Fachärztin des RAD, welche aufgrund des absolvierten Studiums und der langjährigen Partnerschaft als Ausdruck der funktionellen Fähigkeiten des Beschwerdeführers begründete, dass von einer Persönlichkeitsakzentuierung und nicht einer Persönlichkeitsstörung auszugehen sei. Es kann somit festgehalten werden, dass Dr. med. C.________ die Schwere der Abweichungen hinsichtlich der Persönlichkeit einschätzte und seine Angaben durch die Ausführungen der RAD-Ärztin weiter plausibilisieret wurden. Dass die Vorinstanz diese Beurteilungen für nachvollziehbar erachtete und darauf abstellte, ist weder willkürlich noch verletzt dies den Untersuchungsgrundsatz. Denn es lässt sich auch nicht beanstanden, dass
das kantonale Gericht der Einschätzung der Psychologinnen der Klinik E.________ AG weniger Gewicht beimass, weil diese nicht von Fachärzten stammt.

4.2. Weiter bringt der Beschwerdeführer vor, die somatischen Beschwerden (insbesondere das Reizdarmsyndrom) seien nicht hinreichend berücksichtigt worden.
Dr. med. C.________ führte das Reizdarmsyndrom sowie die Kopfschmerzproblematik in der Anamnese auf und im Übrigen hielt er fest, dass keine anderen Schmerzen geschildert würden. Zudem ergibt sich aus den Akten kein Anhaltspunkt, wonach die Arbeitsfähigkeit des Beschwerdeführers aufgrund von somatischen Beschwerden nach Ablauf des Wartejahres noch beeinträchtigt gewesen wäre. Denn auch gemäss dem Bericht der Klinik E.________ AG vom 10. Dezember 2018 sei die Reizdarmproblematik ohne Auswirkungen auf die Arbeitsfähigkeit. Ebenso wenig verfängt, soweit der Beschwerdeführer wegen der Kopfschmerzen in Frage stellte, ein Pensum stabil halten zu können. Denn mit Blick auf den Bericht des Dr. med. F.________, Kopfwehzentrum G.________, vom 18. Dezember 2018 gibt es keine Hinweise auf eine dauerhafte Arbeitsunfähigkeit. Dieser legte vielmehr dar, beim Beschwerdeführer seien seit Ende September 2018 keine Kopfschmerzattacken mehr aufgetreten und es sei anzunehmen, dass die Arbeitsunfähigkeit im Januar 2019 aufgehoben werden könne. Mit der Vorinstanz ist somit festzuhalten, dass der Beschwerdeführer für die hier massgebenden Belange von Dr. med. C.________ eingehend untersucht wurde und betreffend die somatischen Beschwerden keine weiteren
Abklärungen notwendig erscheinen.

4.3. Weiter bringt der Beschwerdeführer vor, Dr. med. C.________ begründe die Arbeitsfähigkeit von 75 % in einer angepassten Tätigkeit nicht. Zudem bestünden an dieser Einschätzung aufgrund der Berichte der Klinik E.________ AG und jenen der Eingliederungsfachleute Zweifel.
Wie dem Bericht des Dr. med. C.________ zu entnehmen ist, bestehen bezüglich der angestammten Tätigkeit (als Softwareentwickler) zwischen der fachärztlichen Einschätzung der Arbeitsfähigkeit (50 %) und der Selbsteinschätzung des Beschwerdeführers (40-50 %) keine wesentlichen Diskrepanzen. Ausgehend davon ging Dr. med. C.________ alsdann in einer angepassten Tätigkeit von einer deutlich höheren Arbeitsfähigkeit von 75 % aus. Diese unterschiedlich hohe Arbeitsfähigkeit leuchtet mit Blick auf die Belastbarkeitsprofile der angestammten und angepassten Tätigkeit ein. Die zuletzt ausgeübte Arbeit als Softwareentwickler stellte gemäss den Angaben der letzten Arbeitgeberin doch hohe Anforderungen an die Konzentration/Aufmerksamkeit sowie das Auffassungsvermögen und der Beschwerdeführer hatte auch Termine einzuhalten. Demgegenüber hat gemäss dem von Dr. med. C.________ aufgestellten und von der Vorinstanz als schlüssig beurteilten Tätigkeitsprofil eine adaptierte Arbeit kognitiv einfach, regelmässig, gut vorstrukturiert sowie ohne besondere und ohne erhöhte Anforderungen an die emotionale Belastbarkeit zu sein. Hinzu kommt, dass eine Arbeitsfähigkeit von weniger als 75 % (aus juristischer Sicht) angesichts der Schwere der Befunde und
Diagnosen (Anpassungsstörung, längere depressive Reaktion; Persönlichkeitsakzentuierung) nicht plausibel erscheint (vgl. BGE 148 V 49 E. 6.2.2).
Diese Arbeitsfähigkeitseinschätzung wird auf der anderen Seite durch die Selbsteinschätzung des Beschwerdeführers und die während des Arbeitsversuchs gezeigte Leistungsfähigkeit von ca. 40 % nicht in Frage gestellt. Die Vorinstanz hielt dazu zutreffend fest, dass auch beim Arbeitsversuch festgestellt worden sei, dem Beschwerdeführer würden wiederkehrende Aufgaben wie das Testen oder das Schreiben von Softwareentwicklung entsprechen. Das von Dr. med. C.________ erhobene Belastbarkeitsprofil wurde somit insofern bestätigt. Zudem ist der Umstand, dass der Beschwerdeführer beim Arbeitsversuch lediglich eine geringere Leistungsfähigkeit präsentierte, nicht von entscheidender Bedeutung. Denn trotz der Feststellung, dass dem Beschwerdeführer einfachere Arbeiten entsprechen würden, wurden keine solchen erprobt, da der Beschwerdeführer Bedenken hatte, er wäre damit unterfordert. Entsprechend kann aus dem beim Arbeitsversuch gezeigten Potenzial hinsichtlich der medizinisch-theoretischen Arbeitsfähigkeit in einer anpassten Tätigkeit nichts abgeleitet werden.
Auch vermag die andere Einschätzung der Arbeitsfähigkeit der Klinik E.________ AG, die nicht von Fachärzten stammt, und auf verworfenen Diagnosen beruht, keine Zweifel an der Einschätzung der Arbeitsfähigkeit durch Dr. med. C.________ zu begründen.

4.4. Soweit der Beschwerdeführer schliesslich vorbringt, bei der Beurteilung des Dr. med. C.________ handle es sich weder inhaltlich noch formal um eine leitliniengerechte versicherungsmedizinische Begutachtung, ist dem entgegenzuhalten, dass im Verfahren um Zusprechung oder Verweigerung von Sozialversicherungsleistungen kein förmlicher Anspruch auf eine versicherungsexterne Begutachtung besteht (BGE 135 V 465 E. 4). Eine Begutachtung ist hier daher nicht notwendig, da nach dem Dargelegten eine zuverlässige Entscheidgrundlage besteht.

4.5. Zusammenfassend ist festzuhalten, dass die Vorinstanz kein Bundesrecht verletzte, indem sie die Beurteilung des Dr. med. C.________ als beweiskräftig qualifizierte. Die gestützt darauf erhobenen Sachverhaltsfeststellungen bezüglich der Diagnosen und der Arbeitsfähigkeit sind nicht willkürlich.

5.
Weiter ist zu prüfen, ob die vorinstanzliche Feststellung bundesrechtswidrig ist, der Beschwerdeführer wäre im Gesundheitsfall ohne Auf gabenbereich zu 80 % e rwerbstätig.

5.1. Mit der Beschwerde werden diesbezüglich neue Unterlagen eingereicht. Diese hätte der Beschwerdeführer jedoch, nachdem er schon in der Verfügung der Beschwerdegegnerin vom 7. Oktober 2021 als teilerwerbstätig eingestuft worden war, im vorinstanzlichen Verfahren einbringen können und müssen (vgl. E. 1.3 hiervor). Der vorinstanzliche Verfahrensausgang allein bildet keinen hinreichenden Anlass im Sinn von Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
BGG für die Zulässigkeit unechter Noven (statt vieler: Urteil 8C 250/2021 vom 31. März 2022 E. 1.3 mit Hinweis). Die neuen Beweismittel sind somit nicht weiter zu beachten.

5.2.

5.2.1. Die Vorinstanz zog in Erwägung, Hinweise darauf, dass die Pensumsreduktion auf 80 % im Jahr 2014 aus gesundheitlichen Gründen erfolgt wäre, fänden sich in den Unterlagen nicht. Regelmässige psychologische Behandlungen fänden erst seit Januar 2018 statt. Gemäss den behandelnden Psychologinnen hätten die Probleme erst vor ein bis zwei Jahren angefangen und sich im Dezember 2017 zugespitzt. Wegen der Clusterkopfschmerzen befinde sich der Beschwerdeführer seit dem Jahr 2016 in Behandlung. Vor diesem Hintergrund sei nicht plausibel, dass das Pensum aus gesundheitlichen Gründen reduziert worden sei. Laut IK-Auszug habe der Beschwerdeführer bei der im Jahr 2014 angetretenen neuen Stelle gleich viel verdient wie bei seiner vorherigen Arbeitgeberin mit einem 100%-Pensum. Es rechtfertige sich daher der Schluss, dass der Beschwerdeführer deshalb sein Pensum habe reduzieren können. Zudem habe der Beschwerdeführer beim Standortgespräch am 27. Juni 2018 angegeben, er sei als zu 80 % erwerbstätig zu qualifizieren.

5.2.2. Der Beschwerdeführer bringt dagegen vor, die vorinstanzlichen Schlussfolgerungen seien spekulativ und aktenwidrig. In den Akten fänden sich widersprüchliche Angaben zum Beginn der gesundheitlichen Beeinträchtigungen. Im Bericht der Klinik E.________ AG vom 12. April 2018 werde ausgeführt, dass eine erstmalige ambulante psychiatrische Behandlung im Jahr 2014 stattgefunden habe. Ferner sei dem Bericht des Kopfwehzentrums der Klinik G.________ zu entnehmen, dass die Cluster-Kopfschmerzen bereits im Jahr 2010 diagnostiziert worden seien. Zudem ergebe sich aus dem IK-Auszug gerade nicht, dass er sein Pensum aus finanziellen Überlegungen reduziert habe.

5.3. Beim Standortgespräch vom 27. Juni 2018 wurde die Statusfrage abgeklärt, wobei sich keine Hinweise zeigten, dass der Beschwerdeführer sein Pensum im Jahr 2014 aus gesundheitlichen Gründen reduziert hätte. Solches erschliesst sich auch aus dem Arbeitsvertrag und den Angaben der Arbeitgeberin nicht. Gemäss dem Nachtrag vom 2. August 2014 zum Anstellungsvertrag vom 29. April 2014 erfolgte die Pensumsreduktion per 1. August 2014 auf 80 % auf Wunsch des Beschwerdeführers, wobei nach den Angaben der ehemaligen Arbeitgeberin vom 25. Mai 2018 vor der Pensumsreduktion keine vermehrte Arbeitsunfähigkeit bestanden hatte. Vielmehr absolvierte der Beschwerdeführer die Probezeit (drei Monate ab Mai 2014) erfolgreich und war vor der Pensumsreduktion in der Lage, während mindestens zwei Monaten die Sollarbeitszeit zu leisten. Aus den Akten ergibt sich auch kein Anhaltspunkt, wonach die Kopfschmerzen oder andere gesundheitliche Beschwerden die Arbeitsfähigkeit seit der Pensumsreduktion (dauerhaft) beeinträchtigt hätten. Es trifft zwar zu, dass die Cluster-Kopfschmerzen gemäss den Akten schon im Jahr 2010 diagnostiziert wurden und eine erste psychiatrische Behandlung auch bereits im Jahr 2014 stattfand (vgl. Bericht Klinik E.________ AG vom
12. April 2018). Aus den Akten ergibt sich aber nicht, dass diese gesundheitlichen Beschwerden die Arbeitsfähigkeit (dauerhaft) beeinträchtigten. Hinsichtlich der Kopfschmerzen kann etwa auf den Bericht vom 18. Dezember 2018 des Dr. med. F.________, welcher den Beschwerdeführer seit Februar 2017 behandelt, verwiesen werden, worin dieser lediglich eine vorübergehende Arbeitsunfähigkeit ab dem 20. Februar 2018 attestierte und den Beschwerdeführer ab Januar 2019 wieder als arbeitsfähig erachtete. Ebenso wenig ist im Zusammenhang mit der ersten psychiatrischen Behandlung im Jahr 2014 eine längeranhaltende Arbeitsunfähigkeit ausgewiesen. Denn der Beschwerdeführer nahm vor Eintritt der Arbeitsunfähigkeit im Januar 2018 während mehrerer Jahre keine psychiatrische Behandlung mehr in Anspruch. Entsprechend kann auch von dieser Seite nicht erklärt werden, weshalb der Beschwerdeführer aus gesundheitlichen Gründen sein Pensum auf 80 % reduzierte bzw. über Jahre auf diesem Niveau beliess. Die vorinstanzliche Feststellung, die gesundheitlichen Beschwerden hätten sich erst Dezember 2017 zugespitzt und der Beschwerdeführer sei als zu 80 % erwerbstätig ohne Aufgabenbereich zu qualifizieren, verletzt vor diesem Hintergrund - unabhängig von
finanziellen Überlegungen - kein Bundesrecht.
Entsprechend ist nicht zu beanstanden, dass die Vorinstanz beim Valideneinkommen keine Hochrechnung auf ein 100%-Pensum vornahm (Urteil 8C 804/2021 vom 1. Juni 2022 E. 4.3.4 mit Hinweis auf BGE 142 V 290 E. 7.3).

6.
Streitig ist schliesslich das Invalideneinkommen.

6.1.

6.1.1. Die Vorinstanz erwog, der Beschwerdeführer könne kognitiv einfache, regelmässige, gut vorstrukturierte Tätigkeiten ohne Zeitdruck und ohne Anforderungen an die Belastbarkeit ausführen. Angesichts seiner Ausbildung sowie der bereits gewonnenen Berufserfahrung rechtfertige es sich, das Invalideneinkommen ausgehend vom Lohn für praktische Tätigkeiten des Kompetenzniveaus 2 von Fr. 5'649.- zu bestimmen. Einen Abzug vom Tabellenlohn lehnte das kantonale Gericht ab, da die eingeschränkte Arbeitsfähigkeit bei der medizinischen Beurteilung bereits berücksichtigt worden sei.

6.1.2. Der Beschwerdeführer ist der Auffassung, er könne höchstens noch eine anspruchslose Hilfsarbeitertätigkeit verrichten. Er verfüge ausser der nicht mehr verwertbaren IT-Ausbildung über keine weiteren besonderen Kenntnisse und Fertigkeiten. Entsprechend sei es nicht gerechtfertigt, das Kompetenzniveau 2 heranzuziehen. Ferner fordert der Beschwerdeführer einen Abzug vom Tabellenlohn in nicht definierter Höhe. Denn nebst dem von der Vorinstanz berücksichtigten Belastbarkeitsprofil sei zu beachten, dass er gemäss Dr. med. C.________ überwiegend für sich alleine arbeiten und nur wenig Abstimmungsbedarf mit Vorgesetzen/Kollegen bestehen sollte. Ferner könne er nur noch teilzeitlich arbeiten. Ebenso wirke sich lohnmindernd aus, dass er wegen der Cluster-Kopfschmerzen keine stabile Präsenz mit festen Arbeitszeiten leisten könne.

6.2. Der Beschwerdeführer verfügt über eine Ausbildung zum Geräteinformatiker und absolvierte ein Informatikstudium an der Fachhochschule. Er hat somit besondere Kenntnisse, welche er auch im Rahmen einer angepassten Tätigkeit noch nutzen kann, denn auch in der Informatikbranche existieren einfachere Einsatzbereiche. Gemäss der Arbeitgeberin des Arbeitsversuchs gäbe es im IT-Bereich - für einen studierten Informatiker langweilige - Verwendungsmöglichkeiten mit mehr wiederkehrenden Aufgaben wie das Testen oder Schreiben von Software. Anders als eine Person, die über keine Ausbildung verfügt und vor Eintritt des Gesundheitsschadens Hilfsarbeitertätigkeiten verrichtete, kann der Beschwerdeführer - wie die Vorinstanz zutreffend feststellte - im Rahmen einer angepassten Tätigkeit somit auf Kenntnisse seiner Ausbildung und die gewonnene Berufserfahrung zurückgreifen. Es ist daher nicht gerechtfertigt, beim Beschwerdeführer auf das Total des Kompetenzniveaus 1 abzustellen. Ob die Vorinstanz das Invalideneinkommen zu Recht gemäss Total des Kompetenzniveaus 2 (Fr. 5649.-) bestimmte, kann offenbleiben. Denn der Lohn für einfache Tätigkeiten (Kompetenzniveau 1) des Wirtschaftszweigs "Informationstechnologie und Informationsdienstleistungen"
(vgl. zu diesem Tabellenlohn: NOGA 2008, Allgemeine Systematik der Wirtschaftszweige, Erläuterungen, S. 174) liegt deutlich höher. Der Umstand, dass diesbezüglich hinsichtlich des Männerlohns (Fr. 9318.-) keine hinreichenden Daten vorliegen, schadet auch nicht. Denn selbst der im Vergleich dazu niedrigere Frauenlohn von Fr. 6085.- liegt noch über dem von der Vorinstanz berücksichtigten Einkommen von Fr. 5649.-. Dem kantonalen Gericht kann somit nicht vorgehalten werden, es habe das Invalideneinkommen von einem zu hohen Tabellenlohn aus bestimmt.

6.3. Betreffend den vom Beschwerdeführer geforderten Abzug vom Tabellenlohn ist festzuhalten, dass höchstens der Maximalabzug von 25 % Anspruch auf eine Invalidenrente zu begründen vermöchte. Ein solcher kommt hier offensichtlich nicht in Frage, zumal entgegen der Ansicht des Beschwerdeführers eine Einschränkung wegen der Kopfschmerzproblematik nicht nachvollziehbar ist (vgl. E. 4.2) und sich ein Teilzeitpensum von 75 % auch nicht lohnreduzierend auswirkt (vgl. LSE 2018, T18, Männer, ohne Kaderfunktion).

7.
Die Beschwerde ist nach dem Dargelegten unbegründet. Die Gerichtskosten werden dem unterliegenden Beschwerdeführer auferlegt (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.

3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.

Luzern, 6. Oktober 2022

Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Der Präsident: Wirthlin

Die Gerichtsschreiberin: Möckli