Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

{T 0/2}

8C 586/2016

Urteil vom 4. November 2016

I. sozialrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichter Maillard, Präsident,
Bundesrichter Ursprung, Wirthlin,
Gerichtsschreiberin Schüpfer.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Dr. Volker Pribnow,
Beschwerdeführer,

gegen

Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (SUVA), Fluhmattstrasse 1, 6004 Luzern,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Unfallversicherung (Invalidenrente; Kausalzusammenhang),

Beschwerde gegen den Entscheid des Versicherungsgerichts des Kantons Aargau vom 30. Juni 2016.

Sachverhalt:

A.

A.a. Der 1978 geborene A.________ war seit März 2008 als Maschinist bei der B.________ AG tätig und damit bei der Schweizerischen Unfallversicherungsanstalt, SUVA, unter anderem gegen die Folgen von Unfällen versichert. Am 12. Oktober 2011 flog ihm bei der Blechbearbeitung mit einem Hammer ein Metallsplitter ins Auge. Der Versicherte erlitt dabei eine Bulbusperforation mit Glaskörperblutung und eine Cataracta secundaria rechts. Die SUVA erbrachte Versicherungsleistungen. Das Arbeitsverhältnis wurde per 30. April 2012 aufgelöst. Da keine weitere Besserung des Gesundheitszustandes zu erwarten war, orientierte die Unfallversicherung A.________ mit Schreiben vom 2. August 2012 über den Fallabschluss. Seine bisherige Tätigkeit als Maschinist sei ihm nicht mehr möglich, hingegen seien ihm Arbeiten, die kein erhöhtes stereoskopisches Sehen erfordern, ganztägig zumutbar. Dazu gehöre auch der von ihm erlernte Beruf eines Bäckers. Die Invalidenversicherung werde berufliche Massnahmen prüfen. Nach Abschluss allfälliger Eingliederungsmassnahmen werde die Unfallversicherung prüfen, ob ihm weitere Versicherungsleistungen zustünden. Mit Verfügung vom 27. August 2012 sprach die SUVA dem Versicherten eine Integritätsentschädigung auf der Basis
einer Integritätseinbusse von 28 % zu. Die dagegen erhobene Einsprache wies die SUVA mit Entscheid vom 7. November 2012 ab. Dieser erwuchs in Rechtskraft.

A.b. Zur Klärung der Frage nach der beruflichen Zumutbarkeit liess die SUVA den Versicherten vorerst durch Prof. Dr. med. C.________, Chefarzt Ophthalmologie an der Augenklinik des Spitals D.________ (Expertise vom 16. September 2013) und durch Dr. med. E.________, Facharzt für Allgemeine Innere Medizin und Arbeitsmedizin FMH, Leiter des Instituts F.________, begutachten (Expertise vom 1. September 2014). Danach veranlasste sie eine weitere ophthalmologische Begutachtung (Dr. med. G.________, Fachärztin für Ophthalmologie FMH, Gutachten vom 22. Juli 2015) und eine interdisziplinäre, neurologisch-psychiatrische Gesamtbeurteilung durch ihre Fachärzte, Dres. med. H.________ (Neurologie FMH) und I.________ (Psychiatrie und Psychotherapie FMH), welche diese mit Datum vom 27. August 2015 erstatteten. Mit Verfügung vom 17. Dezember 2015 verneinte die Unfallversicherung einen Anspruch auf eine Invalidenrente bei einem ermittelten Invaliditätsgrad von 3 %. Mit Einspracheentscheid vom 19. Februar 2016 hielt sie daran fest.

B.
Die hiegegen erhobene Beschwerde wies das Versicherungsgericht des Kantons Aargau mit Entscheid vom 30. Juni 2016 ab.

C.
A.________ lässt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten führen und beantragen, in Aufhebung des kantonalen Entscheides sei ihm eine Invalidenrente auf der Basis einer 100%igen Erwerbsunfähigkeit ab 1. Dezember 2015 zuzusprechen. Eventualiter sei die Sache zu weiteren medizinischen Abklärungen an die Vorinstanz zurückzuweisen, die danach über seinen Rentenanspruch neu zu befinden habe.
Das Bundesgericht führt keinen Schriftenwechsel durch.

Erwägungen:

1.
Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann wegen Rechtsverletzungen gemäss Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
und 96
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour:
a  inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse;
b  application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire.
BGG erhoben werden. Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG), doch prüft es, unter Berücksichtigung der allgemeinen Rüge- und Begründungspflicht (Art. 42 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
und 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG), nur die geltend gemachten Vorbringen, falls allfällige weitere rechtliche Mängel nicht geradezu offensichtlich sind (BGE 138 I 274 E. 1.6 S. 280 mit Hinweisen).
Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
und Art. 105 Abs. 3
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG).

2.
Streitig ist der Anspruch auf Leistungen der obligatorischen Unfallversicherung, konkret einer Rente, für die Folgen des Unfalls vom 12. Oktober 2011.

3.

3.1. Das kantonale Gericht hat im angefochtenen Entscheid die Grundsätze zum für einen solchen Anspruch nebst anderem erforderlichen natürlichen und adäquaten Kausalzusammenhang zwischen dem Unfall und dem eingetretenen Schaden, insbesondere bei organisch objektiv ausgewiesenen Unfallfolgen, bei Verletzungen, welche die Anwendung der sog. Schleudertrauma-Praxis rechtfertigen und bei psychischen Fehlentwicklungen nach Unfall gemäss der sog. Psycho-Praxis (vgl. zum Ganzen: BGE 138 V 248 E. 4 S. 250 f. mit Hinweisen) zutreffend dargelegt. Darauf wird verwiesen. Gleiches gilt bezüglich der rechtlichen Grundlagen des Rentenanspruchs (Art. 18 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 18 Invalidité - 1 Si l'assuré est invalide (art. 8 LPGA50) à 10 % au moins par suite d'un accident, il a droit à une rente d'invalidité, pour autant que l'accident soit survenu avant l'âge de référence51.52
1    Si l'assuré est invalide (art. 8 LPGA50) à 10 % au moins par suite d'un accident, il a droit à une rente d'invalidité, pour autant que l'accident soit survenu avant l'âge de référence51.52
2    Le Conseil fédéral règle l'évaluation du degré de l'invalidité dans des cas spéciaux. Il peut à cette occasion déroger à l'art. 16 LPGA.
UVG), des Fallabschlusses (Art. 19 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 19 Naissance et extinction du droit - 1 Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53.
1    Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53.
2    Le droit à la rente s'éteint lorsque celle-ci est remplacée en totalité par une indemnité en capital, lorsqu'elle est rachetée ou lorsque l'assuré décède. ...54.
3    Le Conseil fédéral édicte des prescriptions détaillées sur la naissance du droit aux rentes lorsque l'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré, mais que la décision de l'assurance-invalidité quant à la réadaptation professionnelle intervient plus tard.
UVG; BGE 134 V 109 E. 4 S. 113 ff.), der Invalidität (Art. 7 f
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 7 Incapacité de gain - 1 Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
1    Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
2    Seules les conséquences de l'atteinte à la santé sont prises en compte pour juger de la présence d'une incapacité de gain. De plus, il n'y a incapacité de gain que si celle-ci n'est pas objectivement surmontable.12
. ATSG) und der Invaliditätsbemessung nach der allgemeinen Methode des Einkommensvergleichs (Art. 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré.
ATSG).

3.2. Hervorzuheben ist, dass die Adäquanz als rechtliche Eingrenzung der sich aus dem natürlichen Kausalzusammenhang ergebenden Haftung des Unfallversicherers im Bereich organisch objektiv ausgewiesener Unfallfolgen praktisch keine Rolle spielt, da sich hier die adäquate weitgehend mit der natürlichen Kausalität deckt (BGE 134 V 109 E. 2.1 S. 112; 127 V 102 E. 5b/bb S. 103). Sind die geklagten Beschwerden natürlich unfallkausal, aber nicht organisch objektiv ausgewiesen, so ist die Adäquanz besonders zu prüfen. Dabei ist vom augenfälligen Geschehensablauf auszugehen, und es sind gegebenenfalls weitere unfallbezogene Kriterien einzubeziehen (BGE 134 V 109 E. 2.1 S. 111 f.). Hat die versicherte Person beim Unfall eine Verletzung erlitten, welche die Anwendung der Schleudertrauma-Rechtsprechung rechtfertigt, so sind hierbei die durch BGE 134 V 109 E. 10 S. 126 ff. präzisierten Kriterien massgebend. Ist diese Rechtsprechung nicht anwendbar, so kommen grundsätzlich die Adäquanzkriterien zum Zuge, welche für psychische Fehlentwicklungen nach einem Unfall entwickelt wurden (BGE 115 V 133 E. 6c/aa S. 140; sog. Psycho-Praxis; BGE 138 V 248 E. 4 S. 250; 134 V 109 E. 2.1 S. 111 f.).

4.

4.1. Nach Feststellungen des kantonalen Gerichts sind die geltend gemachten Schmerzen im rechten Auge aus fachärztlicher neurologischer und ophthalmologischer Sicht nicht objektivierbar. Den Akten seien keine fachärztlichen Berichte zu entnehmen, welche diese Schlussfolgerung aus somatischer Warte in Frage stellen würden. Einzig der Arbeitsmediziner, Dr. med. E.________, erachte die geklagten Schmerzen in seinem Gutachten vom 1. September 2014 als organisch objektivierbar. Auch dieser Arzt habe indessen keine objektivierbaren Befunde genannt, auf welche die Augen- und Kopfschmerzen zurückgeführt werden könnten. Da kein organisches Korrelat bestehe, habe die Unfallversicherung zu Recht eine Prüfung der Adäquanz vorgenommen und diese verneint. Schliesslich verneinte die Vorinstanz bei einem Invaliditätsgrad von 7 % einen Anspruch auf eine Invalidenrente.

4.2. Demgegenüber vertritt der Beschwerdeführer die Auffassung, er leide weiterhin an zumindest teilweise organisch objektiv ausgewiesenen Unfallfolgen in Form von Schmerzen. Die Vorinstanz habe diesbezüglich das Gutachten des Dr. med. E.________ vom 1. September 2014 unrichtig gewürdigt. Dessen Ausführungen seien nicht widersprüchlich und es sei nicht ersichtlich, weshalb ihnen weniger Glauben geschenkt werden soll als denjenigen der Gutachter der SUVA. Selbst wenn davon ausgegangen würde, dass die Schmerzen nicht hinreichend objektivierbar wären, dürfe die Adäquanzprüfung nicht nach der sogenannten "Psychopraxis" gemäss BGE 115 V 130 vorgenommen werden, da er nicht an psychischen Unfallfolgen leide. Seine Schmerzen seien belastungsabhängig und reproduzierbar. Die Adäquanzbeurteilung müsse daher nach der allgemeinen Formel erfolgen, wonach ein Ereignis als adäquate Ursache eines Erfolges gilt, wenn es nach dem gewöhnlichen Lauf der Dinge und der allgemeinen Lebenserfahrung geeignet ist, einen Erfolg in der Art des eingetretenen herbeizuführen. Das sei vorliegend der Fall. Schliesslich sei die Vorinstanz bei der Invaliditätsbemessung von einem zu niedrigen Valideneinkommen ausgegangen und habe beim hypothetischen
Invalideneinkommen einen zu kleinen Abzug von den statistischen Werten vorgenommen.

5.

5.1. Der Gesundheitszustand des Beschwerdeführers wurde von der SUVA sorgfältig abgeklärt. Das gilt insbesondere auch bezüglich der Organizität der geltend gemachten Augen- und Kopfschmerzen. Der Versicherte wurde von zahlreichen Ophthalmologen untersucht und begutachtet. Sie alle kamen zur übereinstimmenden Überzeugung, dass sich die geklagten Schmerzen physiologisch nicht erklären lassen. Besonders ausführlich hat sich hiezu Dr. med. G.________ in ihrem Gutachten vom 22. Juli 2015 geäussert. Demnach wurde ein Akkomodationsschmerz - der allenfalls als Erklärung in Frage käme - evaluiert und ausgeschlossen. Andere Strukturen des Auges könnten keine Schmerzen verursachen. Anlässlich der gutachterlichen Untersuchung habe sich das rechte Auge auch nach 10-minütigem konzentriertem Fixieren reizlos gezeigt. Die Hornhaut sei gut befeuchtet gewesen, sodass auch eine nicht optimale Befeuchtung die Schmerzen nicht verursachen könne. Zudem könnte eine solche nicht erklären, warum nach Angabe des Versicherten die Beschwerden bei körperlicher Anstrengung auftreten würden. Zusammenfassend waren die beschriebenen Schmerzen ophthalmologisch nicht zu objektivieren. Die angegebene Lokalisation und die angegebene Schmerzanamnese passten nicht zum
morphologischen Befund. Bei dieser Sachlage vermögen auch die Ausführungen des Dr. med. E.________ nichts an der vorinstanzlichen Beurteilung zu ändern. Ophthalmologisch wurden nach dessen Gutachten vom 1. September 2014 weitere Testungen vorgenommen. Dabei liessen sich Akkomodationsschmerzen - als eine von Dr. med. E.________ in Erwägung gezogene Ursache der Beschwerden - wie dargelegt ausschliessen.
Auch eine psychiatrische Begutachtung führte zu keiner Diagnose, welche die Arbeitsfähigkeit einschränken würde. Der Arbeitsarzt führte unter anderem eine Konsistenz und Kohärenz der Schmerzangaben im Rahmen der Untersuchungen und Tests als Indiz für die Plausibilität der Angaben des Versicherten und damit für seine Beurteilung der Beschwerden als "überwiegend wahrscheinlich organisch objektivierbar" an. Dies wurde in der Folge durch Dr. med. G.________ aber stark relativiert, weil, wie dargelegt, die angegebene Lokalisation und die angegebene Schmerzanamnese nicht zum morphologischen Befund passten. Auch das im Eingliederungsverfahren der Invalidenversicherung gezeigte und im Gutachten des Dr. med. E.________ zitierte Verhalten, dass der Versicherte bei konzentrierter Arbeit alle 10 bis 15 Minuten eine Pause einlegen und infolge äusserst starker Kopfschmerzen die Arbeit abbrechen musste, damit er sich hinlegen konnte, wurde im Begutachtungsverfahren bei den Dres. med. G.________, H.________ und I.________ nicht beobachtet. So hielt Dr. med. H.________ fest, ein schmerzgeplagtes Verhalten sei während der zwei Stunden dauernden neurologischen Untersuchung nicht beobachtbar gewesen. Der Explorand habe die Schmerzintensität denn auch
durchgehend mit NSR 2/10 angegeben. Der Versicherte brauchte nach der zwei Stunden dauernden neurologischen Untersuchung lediglich eine fünfminütige Rauchpause, bevor mit der psychiatrischen Untersuchung begonnen werden konnte. Damit wurde das Hauptargument des Dr. med. E.________, dass - trotz Fehlens eines erklärenden Mechanismus der Schmerzentstehung - ein organisch objektivierbarer unfallkausaler Gesundheitsschaden vorliege, entkräftet.
Mit Blick auf die durchgeführten Untersuchungen und deren Interpretation durch Fachärzte wurde der medizinische Sachverhalt rechtsgenüglich abgeklärt. Das kantonale Gericht ist zu Recht von einem fehlenden organischen Korrelat der geltend gemachten Schmerzen ausgegangen.

5.2. Der Beschwerdeführer bringt vor, selbst wenn seine Schmerzen nicht hinreichend objektivierbar wären, führe dies nicht zu einer besonderen Adäquanzprüfung nach der sogenannten "Psycho-Praxis" gemäss BGE 115 V 130.

5.2.1. Sind die geltend gemachten Beschwerden nicht im Sinne der Rechtsprechung organisch hinreichend nachweisbar, so ist die Adäquanz eines allfälligen Kausalzusammenhangs zwischen dem Unfallereignis und diesen Beschwerden speziell zu prüfen (BGE 138 V 248 E. 4 S. 251; 134 V 109 E. 2.1 S. 112). Ergibt sich, dass die Adäquanz zu verneinen ist, kann die Frage der natürlichen Unfallkausalität offenbleiben (BGE 135 V 465 E. 5.1 S. 472).

5.2.2. Es ist nicht ersichtlich, weshalb diese langjährige bundesgerichtliche Praxis vorliegend nicht zur Anwendung kommen sollte. Im angeführten Urteil (BGE 134 V 109 E. 2.1 S. 42) wird denn auch ausdrücklich von "organisch nicht hinreichend nachweisbaren Beschwerden" und nicht von "psychischen Beschwerden" gesprochen. In BGE 138 V 248 hat das Bundesgericht beispielsweise entschieden, auch bei einem Tinnitus, der sich keiner organisch objektiv ausgewiesenen Unfallfolge zuordnen lasse, könne der adäquate Kausalzusammenhang zum Unfall, wie bei anderen organisch nicht ausgewiesenen Beschwerdebildern, nicht ohne besondere Prüfung bejaht werden. Dasselbe gilt für den hier vorliegenden Fall organisch nicht erklärbarer Schmerzen. Wie das kantonale Gericht richtig anführte, konnte die SUVA offen lassen, ob die geltend gemachten Augen- und Kopfschmerzen in einem natürlichen Kausalzusammenhang mit dem Unfall stehen. Entgegen der Darstellung in der Beschwerde sind die geklagten belastungsabhängigen Schmerzen eben gerade nicht "klarerweise physische Folgen" des Unfalles. Sie sind vielmehr medizinisch nicht objektivierbar und somit nicht nachvollziehbar. Eine besondere Adäquanzprüfung war daher angezeigt. Die von der SUVA vorgenommene und vom
kantonalen Gericht bestätigte Verneinung der Adäquanz der geltend gemachten Beschwerden in Anwendung der Kriterien von BGE 115 V 133 E. 6 S. 138 ff. wird vom Beschwerdeführer nicht bestritten, weshalb eine diesbezügliche eingehende Prüfung letztinstanzlich entfällt (E. 1 hievor).

6.
Umstritten ist weiter der Invaliditätsgrad.

6.1. Da über die frühere Arbeitgeberin des Beschwerdeführers im Januar 2015 der Konkurs eröffnet wurde, haben SUVA und Vorinstanz für die Ermittlung des Valideneinkommens zu Recht die Lohnstrukturerhebungen des Bundesamtes für Statistik (LSE) herangezogen. Der Versicherte rügt, es sei dabei fälschlicherweise von Kompetenzniveau 1 der LSE 2012 ausgegangen worden. Vielmehr würde er heute als Gesunder ein Einkommen auf der Grundlage des Kompetenzniveaus 2 erzielen. Er habe immer eine Tätigkeit ausgeübt, welche Fachkunde voraussetze. Zudem verfüge er über langjährige Berufserfahrung.
Der Beschwerdeführer hatte eine Bäckerlehre absolviert und in der Folge einige Jahre als Bäcker gearbeitet. Die Stelle verlor er wegen Handgreiflichkeiten gegenüber einem Vorgesetzten. In der Folge nahm er eine Stelle in einer Pizzeria an. Einen eigenen Betrieb konnte er nicht aufbauen, da er die Wirteprüfung nicht bestand. Schliesslich war er bei der B.________ AG als ungelernter Maschinist tätig. Er war damit während seines gesamten Erwerbslebens in einfachen Tätigkeiten körperlicher oder handwerklicher Art beschäftigt. In welchen Bereichen er sich eine erhöhte Fachkunde erworben haben soll, wird denn auch nicht ausgeführt. Zudem hätten auch seine Vorstrafen und das amtliche Verbot einer motorisierten Teilnahme am Strassenverkehr infolge "Drogensucht" nicht dazu beigetragen, ihn mit einer anforderungsreicheren Stelle zu betrauen. Da er bei der B.________ AG im Jahre 2014 Fr. 66'240.- verdient hätte, erweist sich das von der SUVA und der Vorinstanz mit Fr. 68'059.- bezifferte Valideneinkommen für das Jahr 2015 nicht als zu tief.

6.2. Schliesslich macht der Beschwerdeführer geltend, es sei ihm anstelle des von der Vorinstanz gewährten Abzuges von 5 % vom Tabellenlohn gemäss LSE ein solcher von 10 % anzurechnen.
Die Höhe des Abzuges kann nur im Hinblick auf Ermessensüberschreitung oder -missbrauch als Formen rechtsfehlerhafter Ermessensbetätigung (BGE 132 V 393 E. 3.3 S. 399) gerügt werden. Die freie gerichtliche Ermessensprüfung im Sinne der Angemessenheitskontrolle, welche unter anderem im Bereich der Bewilligung oder Verweigerung von Versicherungsleistungen nach UVG gemäss dem bis am 31. Dezember 2006 gültig gewesenen Art. 132 Abs. 1 lit. a
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré.
OG letztinstanzlich zulässig war, bleibt seit Inkrafttreten des BGG zum 1. Januar 2007 auch auf dem Gebiet der Geldleistungen der Militär- und Unfallversicherung ausgeschlossen (ULRICH MEYER/JOHANNA DORMANN, Basler Kommentar zum Bundesgerichtsgesetz, 2. Auflage Basel 2011, N. 30 zu Art. 105
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG; MARKUS SCHOTT, Basler Kommentar zum Bundesgerichtsgesetz, a.a.O., N. 26 zu Art. 97
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
BGG).
Die Vorinstanz hat dargelegt, weshalb beim Beschwerdeführer von den zulässigen Merkmalen (leidensbedingte Einschränkung, Alter, Dienstjahre, Nationalität/Aufenthaltskategorie und Beschäftigungsgrad) lediglich das Kriterium der Aufenthaltskategorie berücksichtigt werden kann. Dafür einen Abzug von 5 % zu gewähren, war materiellrechtlich nicht rechtsfehlerhaft. Die geltend gemachten Augen- und Kopfschmerzen, welche nicht in einem adäquaten Kausalzusammenhang mit dem Unfall stehen, können auch bezüglich eines leidensbedingten Abzuges nicht berücksichtigt werden. Darüber hinaus erwähnte der Beschwerdeführer gegenüber Dr. med. G.________, die frei schwebenden Teilchen in seinem rechten Auge würden ihn nicht mehr behindern. Es bleibt bei dem von der Vorinstanz auf 7 % festgelegten Invaliditätsgrad. Der Versicherte hat daher keinen Anspruch auf eine Invalidenrente. Die Beschwerde ist abzuweisen.

7.
Das Verfahren ist kostenpflichtig (Art. 65
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
1    Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
2    L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière.
3    Son montant est fixé en règle générale:
a  entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations.
4    Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent:
a  des prestations d'assurance sociale;
b  des discriminations à raison du sexe;
c  des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs;
d  des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24.
5    Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4.
BGG). Die Gerichtskosten werden dem unterliegenden Beschwerdeführer auferlegt (Art. 65 Abs. 4 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
1    Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
2    L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière.
3    Son montant est fixé en règle générale:
a  entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations.
4    Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent:
a  des prestations d'assurance sociale;
b  des discriminations à raison du sexe;
c  des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs;
d  des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24.
5    Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4.
in Verbindung mit Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.

3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Versicherungsgericht des Kantons Aargau und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.

Luzern, 4. November 2016

Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Der Präsident: Maillard

Die Gerichtsschreiberin: Schüpfer