Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

8C 208/2022

Urteil vom 3. August 2022

I. sozialrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichter Wirthlin, Präsident,
Bundesrichter Maillard, Bundesrichterin Viscione,
Gerichtsschreiberin Kopp Käch.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwältin Lotti Sigg,
Beschwerdeführerin,

gegen

IV-Stelle des Kantons
Röntgenstrasse 17, 8005 Zürich,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Invalidenversicherung (Invalidenrente),

Beschwerde gegen das Urteil des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich vom 9. Februar 2022 (IV.2020.00647).

Sachverhalt:

A.

A.a. Die 1962 geborene A.________ meldete sich am 16. Februar 2016 unter Hinweis auf Depressionen bei der Invalidenversicherung zum Leistungsbezug an. Die IV-Stelle des Kantons Zürich tätigte erwerbliche sowie medizinische Abklärungen und holte insbesondere das psychiatrisch-psychotherapeutische Gutachten des Dr. med. B.________, FMH Psychiatrie und Psychotherapie, vom 2. November 2016 ein. Nach Durchführung des Vorbescheidverfahrens verneinte sie mit Verfügung vom 13. Juli 2017 den Anspruch auf eine Invalidenrente. Die dagegen erhobene Beschwerde hiess das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich mit Urteil vom 28. November 2017 in dem Sinne gut, als es die angefochtene Verfügung wegen eines schweren Begründungsmangels aufhob und die Sache zu neuer Verfügung an die IV-Stelle zurückwies.

A.b. Die IV-Stelle holte daraufhin Verlaufsberichte der behandelnden Ärzte sowie namentlich ein bidisziplinäres (kardiologisch-psychiatrisches) Gutachten der Swiss Medical Assessment- and Business-Center (SMAB) AG St. Gallen vom 20. Januar 2020 ein. Mit Verfügung vom 24. August 2020 verneinte sie erneut einen Rentenanspruch.

B.
Dagegen liess A.________ Beschwerde erheben und die Zusprechung einer Invalidenrente beantragen. Am 26. März 2021 ersuchte sie um Sistierung des Verfahrens, damit weitere medizinische Abklärungsergebnisse nachgereicht werden könnten, was die IV-Stelle in ihrer Vernehmlassung ablehnte. Mit gerichtlicher Verfügung vom 11. Mai 2021 wurde das Sistierungsgesuch abgewiesen. Auf die dagegen erhobene Beschwerde trat das Bundesgericht mit Urteil 8C 443/2021 vom 22. Juli 2021 nicht ein. A.________ reichte im kantonalen Verfahren weitere Eingaben und namentlich zusätzliche medizinische Berichte ein. Mit Urteil vom 9. Februar 2022 wies das Sozialversicherungsgericht die gegen die Verfügung vom 24. August 2020 erhobene Beschwerde ab.

C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten lässt A.________ beantragen, es sei ihr in Aufhebung des angefochtenen Urteils eine Rente der Invalidenversicherung zuzusprechen; eventualiter sei die Sache an die Vorinstanz zurückzuweisen, damit diese weitere medizinische Abklärungen vornehme. Zudem seien die Kosten für das Gutachten der Dr. med. C.________ von der IV-Stelle zu übernehmen.
Die vorinstanzlichen Akten wurden eingeholt. Ein Schriftenwechsel wurde nicht durchgeführt.

Erwägungen:

1.

1.1. Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann eine Rechtsverletzung nach Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
. BGG gerügt werden. Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG). Dennoch prüft es - offensichtliche Fehler vorbehalten - nur die in seinem Verfahren gerügten Rechtsmängel (Art. 42 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
und 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG). Es legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG), und kann ihre Sachverhaltsfeststellung von Amtes wegen berichtigen oder ergänzen wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG beruht und wenn die Behebung des Mangels für den Verfahrensausgang entscheidend sein kann (Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
und Art. 105 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG; zum Ganzen: BGE 145 V 57 E. 4).

1.2. Die Sachverhaltsfeststellung und Beweiswürdigung der Vorinstanz ist nicht schon dann offensichtlich unrichtig (willkürlich), wenn sich Zweifel anmelden, sondern erst, wenn sie eindeutig und augenfällig unzutreffend ist. Es genügt somit nicht, dass eine andere Lösung ebenfalls in Betracht fällt, selbst wenn diese als die plausiblere erscheint. Willkür liegt insbesondere vor, wenn die Vorinstanz offensichtlich unhaltbare Schlüsse gezogen, erhebliche Beweise übersehen oder solche grundlos ausser Acht gelassen hat. Solche Mängel sind in der Beschwerde aufgrund des strengen Rügeprinzips (Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG) klar und detailliert aufzuzeigen. Auf ungenügend begründete Rügen oder bloss allgemein gehaltene appellatorische Kritik am angefochtenen Entscheid geht das Bundesgericht nicht ein (BGE 144 V 50 E. 4.2 mit Hinweisen).

1.3. Die vorinstanzlichen Feststellungen zum Gesundheitszustand und zur Arbeitsfähigkeit sind tatsächlicher Natur (BGE 132 V 393 E. 3.2; SVR 2021 IV Nr. 47 S. 151, 8C 407/2020 E. 1.2), weshalb sie das Bundesgericht seiner Urteilsfindung zugrunde zu legen hat. Gleiches gilt für die konkrete Beweiswürdigung. Dagegen betrifft die Beachtung des Untersuchungsgrundsatzes und der Beweiswürdigungsregeln vom Bundesgericht frei überprüfbare Rechtsfragen (BGE 146 V 240 E. 8.2 mit Hinweisen).

2.

2.1. Neue Tatsachen und Beweismittel dürfen vor Bundesgericht nur soweit vorgebracht werden, als erst der Entscheid der Vorinstanz dazu Anlass gibt (Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
BGG; unechte Noven), was in der Beschwerde näher darzulegen ist (Art. 42 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG; BGE 143 I 344 E. 3). Der vorinstanzliche Verfahrensausgang allein bildet noch keinen hinreichenden Anlass im Sinne von Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
BGG für die Zulässigkeit von unechten Noven, die bereits im kantonalen Verfahren ohne Weiteres hätten vorgebracht werden können (statt vieler: Urteil 8C 541/2021 vom 18. Mai 2022 E. 1.3). Echte Noven, d.h. Tatsachen und Beweismittel, die erst nach dem vorinstanzlichen Entscheid entstanden sind, sind vor Bundesgericht unzulässig (BGE 143 V 19 E. 1.2 mit Hinweisen).

2.2. Das von der Beschwerdeführerin letztinstanzlich aufgelegte Gutachten der Dr. med. C.________, FMH Psychiatrie und Psychotherapie, vom 24. Februar 2022 stammt aus der Zeit nach dem angefochtenen Gerichtsurteil und kann als echtes Novum vom Bundesgericht daher nicht berücksichtigt werden.

3.
Streitig und zu prüfen ist, ob die Vorinstanz Bundesrecht verletzte, indem sie - in Bestätigung der Verfügung vom 24. August 2020 - einen Rentenanspruch der Beschwerdeführerin verneinte.

3.1. Am 1. Januar 2022 trat das revidierte Bundesgesetz über die Invalidenversicherung (IVG; SR 831.20) in Kraft (Weiterentwicklung der IV [WEIV]; Änderung vom 19. Juni 2020, AS 2021 705, BBl 2017 2535). Die dem angefochtenen Urteil zugrunde liegende Verfügung erging vor dem 1. Januar 2022. Nach den allgemeinen Grundsätzen des intertemporalen Rechts und des zeitlich massgebenden Sachverhalts (statt vieler: BGE 144 V 210 E. 4.3.1; 129 V 354 E. 1 mit Hinweisen) sind daher die Bestimmungen des IVG und diejenigen der Verordnung über die Invalidenversicherung (IVV; SR 831.201) in der bis 31. Dezember 2021 gültig gewesenen Fassung anwendbar (BGE 148 V 174 E. 4.1).

3.2. Das kantonale Gericht legte die massgebenden Rechtsgrundlagen zur Erwerbsunfähigkeit (Art. 7
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 7 Incapacité de gain - 1 Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
1    Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
2    Seules les conséquences de l'atteinte à la santé sont prises en compte pour juger de la présence d'une incapacité de gain. De plus, il n'y a incapacité de gain que si celle-ci n'est pas objectivement surmontable.12
ATSG), zur Invalidität (Art. 8 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 8 Invalidité - 1 Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée.
1    Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée.
2    Les assurés mineurs sans activité lucrative sont réputés invalides s'ils présentent une atteinte à leur santé physique, mentale ou psychique qui provoquera probablement une incapacité de gain totale ou partielle.13
3    Les assurés majeurs qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont il ne peut être exigé qu'ils en exercent une sont réputés invalides si l'atteinte les empêche d'accomplir leurs travaux habituels. L'art. 7, al. 2, est applicable par analogie.14 15
ATSG und Art. 4 Abs. 1
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 4 Invalidité - 1 L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45
1    L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45
2    L'invalidité est réputée survenue dès qu'elle est, par sa nature et sa gravité, propre à ouvrir droit aux prestations entrant en considération.46
IVG), namentlich bei psychischen Erkrankungen (BGE 143 V 409 und 418, 141 V 281; vgl. auch BGE 145 V 361 E. 3.1), sowie zum Umfang des Rentenanspruchs (Art. 28
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
1    L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
a  sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles;
b  il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable;
c  au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins.
1bis    Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205
2    ...206
IVG) zutreffend dar. Gleiches gilt für die Ausführungen zur Beurteilung der sog. Statusfrage, zur bei teilerwerbstätigen Versicherten anwendbaren gemischten Methode der Invaliditätsbemessung (Art. 28a Abs. 3
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28a - 1 L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210
1    L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210
2    Le taux d'invalidité de l'assuré qui n'exerce pas d'activité lucrative, qui accomplit ses travaux habituels et dont on ne peut raisonnablement exiger qu'il entreprenne une activité lucrative est évalué, en dérogation à l'art. 16 LPGA, en fonction de son incapacité à accomplir ses travaux habituels.211
3    Lorsque l'assuré exerce une activité lucrative à temps partiel ou travaille sans être rémunéré dans l'entreprise de son conjoint, le taux d'invalidité pour cette activité est évalué selon l'art. 16 LPGA. S'il accomplit ses travaux habituels, le taux d'invalidité pour cette activité est fixé selon l'al. 2.212 Dans ce cas, les parts respectives de l'activité lucrative ou du travail dans l'entreprise du conjoint et de l'accomplissement des travaux habituels sont déterminées; le taux d'invalidité est calculé dans les deux domaines d'activité.
IVG) sowie zum Beweiswert und zur Beweiswürdigung medizinischer Berichte und Gutachten (BGE 143 V 124 E. 2.2.2; 134 V 231 E. 5.1; 125 V 351 E. 3, je mit Hinweisen). Darauf wird verwiesen.

4.

4.1. Die Beschwerdeführerin rügt vorab in formeller Hinsicht eine Verletzung des Anspruchs auf rechtliches Gehör, der Parteirechte sowie der Waffengleichheit, da die Vorinstanz weder dem Antrag auf einen zweiten Schriftenwechsel noch dem Sistierungsgesuch entsprochen und ihr Urteil gefällt habe, ohne das angekündigte psychiatrische Gutachten abzuwarten.

4.2. Dem kann nicht gefolgt werden. Das kantonale Gericht hielt mit Verfügung vom 21. Januar 2021 fest, es erachte die Anordnung eines weiteren Schriftenwechsels nicht als erforderlich. Den Parteien bleibe es jedoch unbenommen, sich nochmals zur Sache zu äussern und weitere sachbezogene Unterlagen einzureichen. In diesem Vorgehen liegt weder eine Verletzung des rechtlichen Gehörs noch eine andere Bundesrechtswidrigkeit, war es der Beschwerdeführerin doch möglich, sich im Rahmen weiterer Eingaben zu äussern. Den Sistierungsantrag sodann wies die Vorinstanz mit Verfügung vom 11. Mai 2021 ab. Sie legte dar, in Anbetracht der im Verwaltungsverfahren erhobenen medizinischen Unterlagen, namentlich des bidisziplinären Gutachtens der SMAB AG vom 20. Januar 2020, sei das von der Beschwerdeführerin in Auftrag gegebene medizinische Gutachten für die Beurteilung der Beschwerde aus jetziger Sicht nicht notwendig. Das Abwarten eines erst während des Beschwerdeverfahrens eingeholten Parteigutachtens erscheine denn auch vor dem Hintergrund, dass der Erlass des angefochtenen Entscheids die zeitliche Grenze der richterlichen Überprüfungsbefugnis bilde, nicht als zweckmässig. Im angefochtenen Urteil erkannte das kantonale Gericht dem eingeholten
bidisziplinären Gutachten vollen Beweiswert zu und sah keinen Anlass, nicht darauf abzustellen bzw. das in Aussicht gestellte Privatgutachten abzuwarten. Diese antizipierte Beweiswürdigung ist nicht willkürlich und es liegt darin weder eine Verletzung des Untersuchungsgrundsatzes oder der Verfahrensfairness noch ein Verstoss gegen das rechtliche Gehör (BGE 144 V 361 E. 6.5 mit Hinweisen; vgl. auch E. 6.4 hiernach). Selbst der Umstand, dass die von der Beschwerdeführerin beantragte Erweiterung der vorinstanzlichen Verfahrensinstruktion angesichts der offenbar kurz bevorstehenden Erstattung des Privatgutachtens allenfalls sinnvoll gewesen sein könnte, begründet keine Bundesrechtswidrigkeit des angefochtenen Urteils (vgl. Urteil 9C 780/2011 vom 6. Dezember 2011 E. 1.1.3).

5.
Das kantonale Gericht mass dem bidisziplinären Gutachten der SMAB AG vom 20. Januar 2020, wie in der vorstehenden Erwägung erwähnt, vollen Beweiswert zu. Gestützt darauf ging es mit der IV-Stelle infolge der psychiatrischen Diagnosen mit Auswirkung auf die Arbeitsfähigkeit sowohl in der angestammten Tätigkeit als kaufmännische Angestellte wie in einer leidensangepassten Tätigkeit von einer Arbeitsfähigkeit von 70 % spätestens seit der Begutachtung durch Dr. med. B.________ vom 13. Oktober 2016 aus. Die Vorinstanz stellte fest, die Beschwerdeführerin wäre als Gesunde - entsprechend dem vereinbarten Pensum bei der zuletzt angetretenen Arbeitsstelle - zu 80 % erwerblich und zu 20 % im Haushalt tätig. Sie ermittelte den Invaliditätsgrad daher in Anwendung der gemischten Methode. Die Einschränkung in der Erwerbstätigkeit setzte das kantonale Gericht mittels eines Prozentvergleichs entsprechend dem Grad der Arbeitsunfähigkeit auf 30 % fest. Da es im Haushaltsbereich keine Einschränkung anerkannte, ging es insgesamt - der Qualifikation entsprechend gewichtet - von einem rentenausschliessenden Invaliditätsgrad von 24 % (0.8 x 30 %) aus.

6.
In medizinischer Hinsicht bestreitet die Beschwerdeführerin, wie bereits im vorinstanzlichen Verfahren, im Wesentlichen die Beweiskraft des Gutachtens der SMAB AG vom 20. Januar 2020 und rügt eine Verletzung der Beweiswürdigungsregeln sowie des Untersuchungsgrundsatzes durch das kantonale Gericht.

6.1. Diesbezüglich ist zunächst daran zu erinnern, dass auf ein nach Art. 44
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 44 Expertise - 1 Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles:
1    Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles:
a  expertise monodisciplinaire;
b  expertise bidisciplinaire;
c  expertise pluridisciplinaire.
2    Si l'assureur doit recourir aux services d'un ou de plusieurs experts indépendants pour élucider les faits dans le cadre d'une expertise, il communique leur nom aux parties. Les parties peuvent récuser les experts pour les motifs indiqués à l'art. 36, al. 1, et présenter des contre-propositions dans un délai de dix jours.
3    Lorsqu'il communique le nom des experts, l'assureur soumet aussi aux parties les questions qu'il entend poser aux experts et leur signale qu'elles ont la possibilité de remettre par écrit des questions supplémentaires dans le même délai. L'assureur décide en dernier ressort des questions qui sont posées aux experts.
4    Si, malgré la demande de récusation, l'assureur maintient son choix du ou des experts pressentis, il en avise les parties par une décision incidente.
5    Les disciplines médicales sont déterminées à titre définitif par l'assureur pour les expertises visées à l'al. 1, let. a et b, et par le centre d'expertises pour les expertises visées à l'al. 1, let. c.
6    Sauf avis contraire de l'assuré, les entretiens entre l'assuré et l'expert font l'objet d'enregistrements sonores, lesquels sont conservés dans le dossier de l'assureur.
7    Le Conseil fédéral:
a  peut régler la nature de l'attribution du mandat à un centre d'expertises, pour les expertises visées à l'al. 1;
b  édicte des critères pour l'admission des experts médicaux et des experts en neuropsychologie, pour les expertises visées à l'al. 1;
c  crée une commission réunissant des représentants des différentes assurances sociales, des centres d'expertises, des médecins, des neuropsychologues, des milieux scientifiques, ainsi que des organisations d'aide aux patients et aux personnes en situation de handicap qui veille au contrôle de l'accréditation, du processus, et du résultat des expertises médicales. Elle émet des recommandations publiques.
ATSG eingeholtes, den Anforderungen der Rechtsprechung genügendes Gutachten externer Spezialärzte praxisgemäss abzustellen ist, sofern nicht konkrete Indizien gegen dessen Zuverlässigkeit sprechen (vgl. BGE 137 V 210 E. 1.3.4; 125 V 351 E. 3b/bb; SVR 2021 IV Nr. 16 S. 45, 9C 174/2020 E. 8.1, nicht publ. in: BGE 147 V 79, je mit Hinweisen).

6.2. Das kantonale Gericht würdigte die medizinische Aktenlage einlässlich, sorgfältig und pflichtgemäss. Es legte zutreffend dar, dass die beteiligten Experten für die Begutachtung kompetent waren, die Beschwerdeführerin persönlich untersuchten und deren Beschwerden aufnahmen. Die Einschätzung der Gutachter beruht, wie die Vorinstanz aufzeigte, auf der medizinischen Aktenlage und den veranlassten Untersuchungen; sie ist begründet und nachvollziehbar. Namentlich wurde im Gutachten zu den für die Beurteilung der Arbeitsfähigkeit bei psychischen Erkrankungen im Regelfall beachtlichen Standardindikatoren Stellung genommen und es fand eine einlässliche Auseinandersetzung mit den abweichenden Beurteilungen behandelnder Ärztinnen und Ärzte statt. Soweit die Beschwerdeführerin das Gutachten der SMAB AG unter Hinweis auf das eingeholte Privatgutachten der Dr. med. C.________ vom 24. Februar 2022 als mangelhaft rügt, kann dieses im vorliegenden Verfahren - wie in E. 2.2 hiervor dargelegt - als echtes Novum nicht berücksichtigt werden. Ihre übrige Kritik am eingeholten bidisziplinären Gutachten, namentlich bezüglich eines Brugada-Syndroms und dessen Auswirkungen sowie der im neuropsychologischen Bericht vom 1. September 2021
diagnostizierten leicht- bis mittelgradigen neurokognitiven Störung, beschränkt sich im Wesentlichen auf eine Wiederholung des bereits vorinstanzlich Vorgetragenen bzw. auf eine appellatorisch gehaltene Wiedergabe der eigenen Sichtweise. Daraus ergeben sich - wie die Vorinstanz zu Recht aufzeigte - keine konkreten Indizien gegen die Zuverlässigkeit des Gutachtens der SMAB AG, zumal die Ergebnisse der neuropsychologischen Abklärung mit der gutachterlich attestierten Arbeitsfähigkeit vereinbar sind. Ein Administrativgutachten ist denn auch nicht stets in Frage zu stellen und zum Anlass weiterer Abklärungen zu nehmen, wenn behandelnde Ärztinnen und Ärzte zu einem anderen Ergebnis gelangen; vorbehalten bleiben Fälle, in denen sich eine abweichende Beurteilung aufdrängt, weil sie wichtige Aspekte benennen, die im Rahmen der Begutachtung unerkannt oder ungewürdigt geblieben sind (vgl. statt vieler SVR 2017 IV Nr. 49 S. 148, 9C 338/2016 E. 5.5; Urteil 8C 692/2021 vom 1. Juli 2022 E. 3.3.1). Inwiefern solche Aspekte aus den vorliegend zu berücksichtigenden medizinischen Akten hervorgehen sollten, ist weder in der Beschwerde rechtsgenüglich dargetan noch ersichtlich.

6.3. Nicht gefolgt werden kann der Beschwerdeführerin auch bezüglich der formalen Einwendungen gegen das bidisziplinäre Gutachten der SMAB AG vom 20. Januar 2020. Soweit sie wiederum das Fehlen einer Konsensbesprechung rügt, ist mit der Vorinstanz festzuhalten, dass das Gutachten eingangs eine bidisziplinäre Gesamtbeurteilung beinhaltet. Ob diese anlässlich einer Besprechung, per E-Mail oder durch anderweitigen Austausch zustande kam, ist nicht relevant, hat die Vorinstanz doch zu Recht darauf hingewiesen, dass rechtsprechungsgemäss das Abstellen auf ein polydisziplinäres Gutachten nicht bereits deshalb bundesrechtswidrig wäre, weil keine Konsensdiskussion stattgefunden habe (BGE 143 V 124 E. 2.2.4; Urteil 8C 54/2021 vom 10. Juni 2021 E. 2.2). Entscheidend ist, dass das Gutachten von allen beteiligten Ärztinnen und Ärzten unterzeichnet wurde und damit ein gemeinsamer Konsens erstellt ist (vgl. Urteil 9C 1019/2012 vom 23. August 2013 E. 2.1). Entgegen der Auffassung der Beschwerdeführerin ist sodann nicht zu beanstanden, dass die bidisziplinäre Gesamtbeurteilung der SMAB AG nicht nur durch die medizinischen Fachpersonen unterzeichnet wurde, die sie untersucht hatten, sondern auch durch Mitglieder der Geschäftsleitung der
beauftragten Gutachterstelle, namentlich durch die medizinischen Verantwortlichen und einen medizinischen Supervisor (vgl. Urteil 8C 628/2014 vom 22. Dezember 2014 E. 3.2). Die Involvierung von Personen aus der Geschäftsleitung des Begutachtungsinstituts verletzt weder das Arztgeheimnis oder den Datenschutz noch beeinträchtigt sie die Unabhängigkeit der Institution bzw. der beteiligten Gutachter. Die Beschwerdeführerin stellt schliesslich unter Hinweis auf die Formulierung auf Seite 12 des Gutachtens "Folgender konsiliarisch zugezogener Facharzt hat dieses Gutachten eingesehen und ist mit den Schlussfolgerungen einverstanden" in Frage, ob der psychiatrische Gutachter Dr. med. D.________ bei der Erstellung des Gutachtens überhaupt dabei oder ob er nur Konsiliararzt gewesen sei. Damit übersieht sie, dass Dr. med. D.________ das psychiatrische Teilgutachten als zuständiger Gutachter verfasst und unterzeichnet hatte, und verkennt, dass sich die zitierte Formulierung auf sein Einverständnis zur Gesamtbeurteilung, nicht auf das psychiatrische Teilgutachten, bezieht.

6.4. Zusammenfassend ist der Vorinstanz darin beizupflichten, dass dem Gutachten der SMAB AG vom 20. Januar 2020 voller Beweiswert zukommt und es eine schlüssige Beurteilung der Arbeitsfähigkeit der Beschwerdeführerin im Lichte der massgeblichen Indikatoren nach BGE 141 V 281 erlaubt. Das kantonale Gericht überprüfte das Gutachten in diesem Sinne. Die Beschwerdeführerin bemängelt - in weitgehend appellatorischer Weise - im Wesentlichen das Ergebnis der vorinstanzlichen Beweiswürdigung und gibt die eigene Sichtweise wieder, wie die medizinischen Akten zu würdigen und welche rechtlichen Schlüsse daraus zu ziehen seien. Dies genügt nicht, um das angefochtene Urteil im Ergebnis in tatsächlicher Hinsicht als offensichtlich unrichtig oder anderweitig als bundesrechtswidrig erscheinen zu lassen. Es ist somit nicht zu beanstanden, dass die Vorinstanz unter Berücksichtigung der Leiden der Beschwerdeführerin von einer Arbeitsfähigkeit von 70 % in der angestammten Tätigkeit als kaufmännische Angestellte sowie in einer leidensangepassten Tätigkeit ausging (E. 5 hiervor). Bei dieser willkürfrei festgestellten Ausgangslage konnte und kann in antizipierter Beweiswürdigung (BGE 144 V 361 E. 6.5) auf zusätzliche Abklärungen verzichtet werden.
Weder ist darin eine Bundesrechtswidrigkeit in Gestalt einer Verletzung des Untersuchungsgrundsatzes oder der Beweiswürdigungsregeln noch eine in medizinischer Hinsicht offensichtlich unrichtige Sachverhaltsfeststellung zu erblicken.

6.5. Der Vollständigkeit halber kann darauf hingewiesen werden, dass eine allenfalls nach Erlass der Verfügung der Beschwerdegegnerin vom 24. August 2020 eingetretene andauernde gesundheitliche Verschlechterung auf dem Wege der Neuanmeldung geltend zu machen wäre (vgl. Art. 87 Abs. 2
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI)
RAI Art. 87 Motifs de révision - 1 La révision a lieu d'office:
1    La révision a lieu d'office:
a  lorsqu'en prévision de la possibilité d'une modification importante du taux d'invalidité, du degré d'impotence, ou encore du besoin de soins ou du besoin d'aide découlant de l'invalidité, un terme a été fixé au moment de l'octroi de la rente, de l'allocation pour impotent ou de la contribution d'assistance, ou
b  lorsque des organes de l'assurance ont connaissance de faits ou ordonnent des mesures qui peuvent entraîner une modification importante du taux d'invalidité, du degré d'impotence ou encore du besoin de soins ou du besoin d'aide découlant de l'invalidité.
2    Lorsqu'une demande de révision est déposée, celle-ci doit établir de façon plausible que l'invalidité, l'impotence ou l'étendue du besoin de soins ou du besoin d'aide découlant de l'invalidité de l'assuré s'est modifiée de manière à influencer ses droits.
3    Lorsque la rente, l'allocation pour impotent ou la contribution d'assistance a été refusée parce que le degré d'invalidité était insuffisant, parce qu'il n'y avait pas d'impotence ou parce que le besoin d'aide ne donnait pas droit à une contribution d'assistance, la nouvelle demande ne peut être examinée que si les conditions prévues à l'al. 2 sont remplies.
und 3
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI)
RAI Art. 87 Motifs de révision - 1 La révision a lieu d'office:
1    La révision a lieu d'office:
a  lorsqu'en prévision de la possibilité d'une modification importante du taux d'invalidité, du degré d'impotence, ou encore du besoin de soins ou du besoin d'aide découlant de l'invalidité, un terme a été fixé au moment de l'octroi de la rente, de l'allocation pour impotent ou de la contribution d'assistance, ou
b  lorsque des organes de l'assurance ont connaissance de faits ou ordonnent des mesures qui peuvent entraîner une modification importante du taux d'invalidité, du degré d'impotence ou encore du besoin de soins ou du besoin d'aide découlant de l'invalidité.
2    Lorsqu'une demande de révision est déposée, celle-ci doit établir de façon plausible que l'invalidité, l'impotence ou l'étendue du besoin de soins ou du besoin d'aide découlant de l'invalidité de l'assuré s'est modifiée de manière à influencer ses droits.
3    Lorsque la rente, l'allocation pour impotent ou la contribution d'assistance a été refusée parce que le degré d'invalidité était insuffisant, parce qu'il n'y avait pas d'impotence ou parce que le besoin d'aide ne donnait pas droit à une contribution d'assistance, la nouvelle demande ne peut être examinée que si les conditions prévues à l'al. 2 sont remplies.
IVV; BGE 130 V 64 E. 5.2.5; Urteil 8C 753/2019 vom 11. März 2020 E. 4.3).

7.
Hinsichtlich der erwerblichen Auswirkungen der gesundheitlichen Beeinträchtigung rügt die Beschwerdeführerin eine willkürliche Beweiswürdigung und Rechtsanwendung bezüglich der Beantwortung der Statusfrage sowie bezüglich der Bemessung des Invaliditätsgrades.

7.1.

7.1.1. Für die Beurteilung der strittigen Statusfrage und damit der anwendbaren Methode der Invaliditätsbemessung ist in beweismässiger Hinsicht entscheidend, in welchem Ausmass die Beschwerdeführerin ohne gesundheitliche Beeinträchtigung erwerbstätig wäre. Massgebend sind die Verhältnisse, wie sie sich bis zum Erlass der Verwaltungsverfügung entwickelt haben, wobei für die hypothetische Annahme einer im Gesundheitsfall ausgeübten (Teil-) Erwerbstätigkeit der im Sozialversicherungsrecht übliche Beweisgrad der überwiegenden Wahrscheinlichkeit erforderlich ist. Dies erfordert zwangsläufig eine hypothetische Beurteilung, die auch hypothetische Willensentscheidungen der versicherten Person zu berücksichtigen hat. Derlei ist einer direkten Beweisführung wesensgemäss nicht zugänglich und muss in aller Regel aus äusseren Indizien erschlossen werden (vgl. BGE 144 I 28 E. 2.4).

7.1.2. Die Beurteilung hypothetischer Geschehensabläufe betrifft eine Tatfrage, soweit sie auf Beweiswürdigung beruht, selbst wenn darin auch Schlussfolgerungen aus der allgemeinen Lebenserfahrung mitberücksichtigt werden. Ebenso beziehen sich Feststellungen über innere oder psychische Tatsachen auf Tatfragen, wie beispielsweise was jemand wollte oder wusste. Die auf einer Würdigung konkreter Umstände basierende Festsetzung des hypothetischen Umfanges der Erwerbstätigkeit bleibt für das Bundesgericht daher verbindlich, ausser wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung beruht (BGE 144 I 28 E. 2.4; vgl. E. 1.2 hiervor).

7.1.3. Die Vorinstanz erwog in Würdigung der Aktenlage, die Beschwerdeführerin sei unmittelbar vor ihrer Anmeldung bei der Invalidenversicherung vom 1. April 2014 bis zu ihrer Krankschreibung ab 9. September 2015 in einem Arbeitspensum von 60 % als Sachbearbeiterin Rechnungswesen/Administration tätig gewesen. In der Zeit von 1. bis 8. September 2015 habe sie zusätzlich im Stundenlohn beim Zentrum E.________ gearbeitet, wobei eine Erhöhung des Pensums auf 80 % vertraglich spätestens per 1. Dezember 2015 - nach Beendigung der Tätigkeit als Sachbearbeiterin - vereinbart worden sei. Bei dieser Faktenlage ging das kantonale Gericht davon aus, die Beschwerdeführerin wäre mittelfristig in einem Pensum von 80 % erwerbstätig. Obschon der Sohn der Beschwerdeführerin im Zeitpunkt des Erlasses der angefochtenen Verfügung vom 24. August 2020 20 Jahre alt gewesen sei, so die Vorinstanz, stehe in Anbetracht des Alters der Beschwerdeführerin von beinahe 58 Jahren sowie ihrer bisherigen Arbeitspensen nicht mit überwiegender Wahrscheinlichkeit fest, dass sie ihr Pensum noch auf 100 % erhöht hätte.

7.1.4. Die Einwendungen der Beschwerdeführerin beschränken sich im Wesentlichen darauf, erneut - in weitgehend wörtlicher Wiederholung des bereits vorinstanzlich Vorgebrachten - ihre eigene Sicht der Dinge darzulegen. Auf diese unzulässige appellatorische Kritik ist nicht näher einzugehen. Die vorinstanzliche Feststellung einer Erwerbstätigkeit von 80 % im Gesundheitsfall erscheint weder willkürlich noch sonstwie bundesrechtswidrig und ist daher für das Bundesgericht verbindlich.

7.2. Ist nach Gesagtem bei der Statusfrage von einem Anteil Erwerbstätigkeit von 80 % und einem Anteil Tätigkeit im Haushalt von 20 % auszugehen, wandte die Vorinstanz zur Ermittlung des Invaliditätsgrades zu Recht die gemischte Methode an.

7.2.1. Nicht streitig ist, dass im Haushaltsbereich keine Einschränkung besteht.

7.2.2. Den Invaliditätsgrad im Erwerbsbereich ermittelte das kantonale Gericht durch Prozentvergleich und setzte ihn auf 30 % fest. Zur Begründung führte es aus, als Valideneinkommen könne entgegen der Auffassung der Beschwerdeführerin nicht von der Tätigkeit im Zentrum E.________ ausgegangen werden, weil die Beschwerdeführerin dort nur während einer Woche gearbeitet habe und ungewiss sei, ob sie geblieben wäre. Mit der aktuellen Tätigkeit schöpfe sie ihre Restarbeitsfähigkeit sodann nicht aus, weshalb das Invalideneinkommen nicht anhand des tatsächlich erzielten Verdienstes bemessen werden könne. Da sich Validen- und Invalideneinkommen somit nicht hinreichend genau bestimmen liessen und die angestammte, zuletzt während längerer Zeit ausgeübte, oder eine lohnmässig vergleichbare Tätigkeit weiterhin zu 70 % zumutbar sei, könne die Ermittlung des Invaliditätsgrades durch Prozentvergleich erfolgen.

7.2.3. Mit den einlässlichen und überzeugenden Erwägungen des kantonalen Gerichts zur Frage des Prozentvergleichs setzt sich die Beschwerdeführerin nicht ansatzweise auseinander. Vielmehr beschränkt sie sich darauf, wiederum in weitgehend wörtlicher Wiederholung des im vorinstanzlichen Verfahren Vorgetragenen, an der Vornahme eines Einkommensvergleichs festzuhalten, bei welchem das Valideneinkommen gestützt auf die Tätigkeit im Pflegeheim und das Invalideneinkommen anhand der Lohnstrukturerhebung festzusetzen seien. Auf diese appellatorischen Einwendungen ist nicht näher einzugehen, weshalb es im Erwerbsbereich beim vorinstanzlich festgesetzten Invaliditätsgrad von 30 % bleibt.

7.3. Zusammenfassend ermittelte das kantonale Gericht in Anwendung der gemischten Methode insgesamt zu Recht einen Invaliditätsgrad von 24 % (0,8 x 30%), was zur Verneinung eines Rentenanspruchs führt.

8.
Die Beschwerdeführerin beantragt, die Kosten für das Gutachten der Dr. med. C.________ von rund 50 Stunden à Fr. 300.- zusätzlich MWST seien der Beschwerdegegnerin zu überbinden.
Unter dem Titel Parteientschädigung sind auch die notwendigen Kosten privat eingeholter Berichte bzw. Gutachten zu vergüten, soweit diese für die Entscheidfindung unerlässlich waren (Art. 45 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 45 Frais de l'instruction - 1 Les frais de l'instruction sont pris en charge par l'assureur qui a ordonné les mesures. À défaut, l'assureur rembourse les frais occasionnés par les mesures indispensables à l'appréciation du cas ou comprises dans les prestations accordées ultérieurement.
1    Les frais de l'instruction sont pris en charge par l'assureur qui a ordonné les mesures. À défaut, l'assureur rembourse les frais occasionnés par les mesures indispensables à l'appréciation du cas ou comprises dans les prestations accordées ultérieurement.
2    L'assureur indemnise les parties ainsi que les personnes tenues de fournir des renseignements si elles subissent une perte de gain ou encourent des frais.
3    Les frais peuvent être mis à la charge de la partie qui empêche ou entrave l'instruction de manière inexcusable après sommation et indication des conséquences.
4    Si l'assuré a obtenu ou a tenté d'obtenir une prestation en fournissant sciemment des indications fausses ou d'une autre manière illicite, l'assureur peut mettre à la charge de l'assuré les frais supplémentaires que lui a occasionnés le recours à des spécialistes chargés d'effectuer des observations pour lutter contre la perception indue de prestations.41
ATSG; BGE 115 V 62 E. 5c; Urteile 8C 19/2021 vom 27. April 2021 E. 8 und 9C 113/2019 vom 29. August 2019 E. 6.2). Da das letztinstanzlich aufgelegte Gutachten der Dr. med. C.________ vom 24. Februar 2022 im vorliegenden Verfahren als echtes Novum gar nicht zulässig war, ist dem Antrag nicht stattzugeben.

9.
Dem Ausgang des Verfahrens entsprechend hat die Beschwerdeführerin die Kosten für das bundesgerichtliche Verfahren zu tragen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden der Beschwerdeführerin auferlegt.

3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.

Luzern, 3. August 2022

Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Der Präsident: Wirthlin

Die Gerichtsschreiberin: Kopp Käch