S. 215 / Nr. 31 Obligationenrecht (i)

BGE 76 II 215

31. Sentenza 4 luglio 1950 della I Corte civile nella causa Cantone Ticino
contro Matasci e Balemi.

Regeste:
L'art. 58
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 58 - 1 Le propriétaire d'un bâtiment ou de tout autre ouvrage répond du dommage causé par des vices de construction ou par le défaut d'entretien.
1    Le propriétaire d'un bâtiment ou de tout autre ouvrage répond du dommage causé par des vices de construction ou par le défaut d'entretien.
2    Est réservé son recours contre les personnes responsables envers lui de ce chef.
CO non impone allo Stato, proprietario d'una strada, l'obbligo
d'insabbiarla per facilitare la circolazione invernale delle automobili. Resta
riservato un siffatto obbligo in virtù della legislazione cantonale.
Werkhaftung. Art. 58 OR verpflichtet den Staat als Eigentümer einer Strasse
nicht, diese zur Erleichterung des Autoverkehrs im Winter zu sanden;
vorbehalten bleibt das Bestehen einer solchen Pflicht auf Grund der kantonalen
Gesetzgebung.
Responsabilité du propriétaire d'ouvrages. L'art. 58
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 58 - 1 Le propriétaire d'un bâtiment ou de tout autre ouvrage répond du dommage causé par des vices de construction ou par le défaut d'entretien.
1    Le propriétaire d'un bâtiment ou de tout autre ouvrage répond du dommage causé par des vices de construction ou par le défaut d'entretien.
2    Est réservé son recours contre les personnes responsables envers lui de ce chef.
CO n'oblige pas l'Etat,
propriétaire d'une route, de répandre du sable sur la chaussée pour faciliter
la circulation automobile; demeure réservée la législation cantonale qui
imposerait à l'Etat une telle obligation.


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A. - Il 24 gennaio 1947, alle ore 13, Waldo Agliata parti da Tenero con un
autocarro della ditta Matasci e Balemi, vini all'ingrosso, per effettuare un
trasporto di vino a destinazione di Castelrotto.
Verso le 13.30, l'autocarro transitava sulla strada piana tra Contone e
Cadenazzo: 11 conducente, vedendo venire in direzione opposta un ciclista,
spostò leggermente verso destra l'autocarro che viaggiava nel mezzo del campo
stradale. L'autocarro cominciò a slittare e, uscito dal campo stradale alla
sua destra, andò giù dalla scarpata della strada per finire nel sottostante
prato ove si rovesciò su un fianco. Nessun ferimento di persone, ma tutto il
carico dell'autocarro, ossia 21 damigiane e 8 fiaschi di vino, andò distrutto
e l'autocarro subì danni importanti.
In data 23 gennaio 1948 la ditta Matasci e Balemi inoltrò alla Pretura di
Locarno una petizione, chiedendo che lo Stato del Cantone Ticino fosse
condannato a risarcire il danno, perché non aveva provveduto ad insabbiare il
tratto della strada in parola ed era quindi responsabile a sensi dell'art. 58
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 58 - 1 Le propriétaire d'un bâtiment ou de tout autre ouvrage répond du dommage causé par des vices de construction ou par le défaut d'entretien.
1    Le propriétaire d'un bâtiment ou de tout autre ouvrage répond du dommage causé par des vices de construction ou par le défaut d'entretien.
2    Est réservé son recours contre les personnes responsables envers lui de ce chef.

CO.
Con sentenza 26 luglio 1949 il Pretore di Locarno accolse la petizione e
condannò lo Stato del Cantone Ticino a versare alla ditta Matasci e Balemi la
somma di 4186 fr. a titolo di risarcimento dei danni.
Il convenuto insorse contro questo giudizio che la Camera civile del Tribunale
d'appello confermò in data 20 ottobre 1950.
B. - Lo Stato del Cantone Ticino ha interposto un ricorso per riforma al
Tribunale federale, chiedendo il rigetto della petizione di causa.
La ditta Matasci e Balemi ha proposto la conferma della sentenza 20 ottobre
1950 della seconda giurisdizione cantonale.
Considerando in diritto:
1.- Secondo la costante giurisprudenza, anche il proprietario della strada
pubblica può essere responsabile a norma dell'art. 58
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 58 - 1 Le propriétaire d'un bâtiment ou de tout autre ouvrage répond du dommage causé par des vices de construction ou par le défaut d'entretien.
1    Le propriétaire d'un bâtiment ou de tout autre ouvrage répond du dommage causé par des vices de construction ou par le défaut d'entretien.
2    Est réservé son recours contre les personnes responsables envers lui de ce chef.
CO.

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Questa giurisprudenza parte dall'idea che nel campo della responsabilità a
sensi dell'art. 41
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 41 - 1 Celui qui cause, d'une manière illicite, un dommage à autrui, soit intentionnellement, soit par négligence ou imprudence, est tenu de le réparer.
1    Celui qui cause, d'une manière illicite, un dommage à autrui, soit intentionnellement, soit par négligence ou imprudence, est tenu de le réparer.
2    Celui qui cause intentionnellement un dommage à autrui par des faits contraires aux moeurs est également tenu de le réparer.
CO la legge non distingue se l'atto illecito concerne il
diritto privato oppure il diritto pubblico, ma ravvisa l'atto illecito nella
violazione di qualsiasi norma dell'ordinamento giuridico (RU 30 II 571 lett.
b), in concordanza con la teoria che vigeva allorché il codice federale delle
obbligazioni fu emanato. Solo in seguito all'evoluzione subita dalla dottrina
dopo l'entrata in vigore di questo codice, le conseguenze della violazione di
norme di diritto pubblico dovrebbero essere disciplinate dal diritto pubblico
e giudicate dai tribunali amministrativi.
La giurisprudenza del Tribunale federale ha continuato fin qui (vedi RU 75 II
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e seg.) ad interpretare l'art. 41
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 41 - 1 Celui qui cause, d'une manière illicite, un dommage à autrui, soit intentionnellement, soit par négligence ou imprudence, est tenu de le réparer.
1    Celui qui cause, d'une manière illicite, un dommage à autrui, soit intentionnellement, soit par négligence ou imprudence, est tenu de le réparer.
2    Celui qui cause intentionnellement un dommage à autrui par des faits contraires aux moeurs est également tenu de le réparer.
CO conformemente alla teoria che vigeva
allorché il Codice federale delle obbligazioni fu emanato. Questo trattamento
civilistico delle conseguenze della violazione di norme di diritto pubblico
appare opportuno, date le lacune che in generale presentano ancora
l'ordinamento della proprietà pubblica e la giurisdizione amministrativa (cfr.
FLEINER, Institutionen des deutschen Verwaltungsrechtes, p. 357). La
responsabilità a norma dell'art. 58
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 58 - 1 Le propriétaire d'un bâtiment ou de tout autre ouvrage répond du dommage causé par des vices de construction ou par le défaut d'entretien.
1    Le propriétaire d'un bâtiment ou de tout autre ouvrage répond du dommage causé par des vices de construction ou par le défaut d'entretien.
2    Est réservé son recours contre les personnes responsables envers lui de ce chef.
CO, quantunque intrinsecamente oggettiva,
trova posto, per considerazioni storiche, come responsabilità derivante da un
quasi delitto nello stesso capo in cui è disciplinata la responsabilità
derivante da un delitto, capo che s'intitola atti illeciti».
Nell'applicazione dell'art. 58
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 58 - 1 Le propriétaire d'un bâtiment ou de tout autre ouvrage répond du dommage causé par des vices de construction ou par le défaut d'entretien.
1    Le propriétaire d'un bâtiment ou de tout autre ouvrage répond du dommage causé par des vices de construction ou par le défaut d'entretien.
2    Est réservé son recours contre les personnes responsables envers lui de ce chef.
CO non si possono tuttavia trascurare certe
differenze esistenti tra una cosa civile e una cosa pubblica, segnatamente tra
un edificio e una strada pubblica. Un edificio è un'opera che a motivo delle
sue dimensioni e qualità è facilmente visibile e controllabile senza spese
eccessive. Una strada pubblica, quale parte di una vasta rete stradale, lo è
in misura molto minore. La distinzione ha particolarmente importanza per la
responsabilità a dipendenza di difettosa manutenzione. La manutenzione delle
strade pubbliche è un'obbligazione di diritto pubblico, la cui portata

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dovrebbe essere quella stabilita dal competente legislatore in materia
stradale. In realtà, applicando. l'art. 58
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 58 - 1 Le propriétaire d'un bâtiment ou de tout autre ouvrage répond du dommage causé par des vices de construction ou par le défaut d'entretien.
1    Le propriétaire d'un bâtiment ou de tout autre ouvrage répond du dommage causé par des vices de construction ou par le défaut d'entretien.
2    Est réservé son recours contre les personnes responsables envers lui de ce chef.
CO, si controlla il modo e la
misura della manutenzione a dipendenza d'un'obbligazione di diritto pubblico.
Spetta al giudice civile di tener conto di questa situazione, mantenendo entro
limiti ragionevoli un siffatto sconfinamento nel diritto pubblico. Se in un
singolo caso la manutenzione non corrisponde ai disposti della legislazione
stradale, si deve anche ammettere naturalmente la manutenzione difettosa a
norma dell'art. 58
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 58 - 1 Le propriétaire d'un bâtiment ou de tout autre ouvrage répond du dommage causé par des vices de construction ou par le défaut d'entretien.
1    Le propriétaire d'un bâtiment ou de tout autre ouvrage répond du dommage causé par des vices de construction ou par le défaut d'entretien.
2    Est réservé son recours contre les personnes responsables envers lui de ce chef.
CO; se è invece conforme a detta legislazione, si leve
ammettere un difetto soltanto quando esigenze elementari sono state neglette.
Partendo da questi concetti, non si può riconoscere che lo Stato sia tenuto a
norma dell'art. 58
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 58 - 1 Le propriétaire d'un bâtiment ou de tout autre ouvrage répond du dommage causé par des vices de construction ou par le défaut d'entretien.
1    Le propriétaire d'un bâtiment ou de tout autre ouvrage répond du dommage causé par des vices de construction ou par le défaut d'entretien.
2    Est réservé son recours contre les personnes responsables envers lui de ce chef.
CO ad insabbiare la sua rete stradale per facilitare la
circolazione invernale delle automobili. L'insabbiatura della rete stradale
durante la stagione invernale fa parte della manutenzione stradale in senso
lato è però una prestazione speciale che per la sua natura e le sue
conseguenze finanziarie è riservata alla decisione del legislatore che
esercita la sovranità sulla rete stradale. Anzitutto, per essere veramente
efficace, l'insabbiatura non si dovrebbe limitarla a singoli luoghi o a
singole tratte particolarmente esposti alla formazione di ghiaccio, una
praticarla in modo generale: infatti, se non vi batte il sole o se la
temperatura non è altrimenti alta, anche lo strato di neve dura è pericoloso,
pur prescindendo dal fatto che la superficie scioltasi di giorno diventa
ghiaccio alla sera. Inoltre l'efficacia dell'insabbiatura del campo stradale è
garantita soltanto se certe altre condizioni sono adempiute: dev'essere fatta
sovente a seconda della temperatura che porta seco disgelo e gelo, ad
intervalli più o meno lunghi, poiché il disgelo fa precipitare la sabbia e il
gelo sopravveniente la copre di uno strato di ghiaccio; e dev'essere rinnovata
nelle curve, anche se il tempo rimane freddo, a motivo del vortice d'aria
proveniente dalle ruote dell'autoveicolo in corsa che spazza via la sabbia. Un
onere di manutenzione

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di siffatta portata non appare in ragionevole proporzione cogli interessi
della circolazione invernale degli automobilisti, tanto più che in complesso
il pericolo di slittamento sulla strada ghiacciata può essere combattuto
circolando molto lentamente, specialmente innestando le piccole velocità.
L'esigenza imposta all'automobilista di circolare a velocità minime e di
assumersi il pericolo che ciò nonostante rimane, per risparmiare allo Stato un
onere eccessivo a dipendenza d'una manutenzione che non potrebbe del resto
offrire completa sicurezza, appare imperiosa sotto l'aspetto dell'Interesse
generale. Se gli automobilisti avanzano pretese più ampie, debbono ottenerne
l'accoglimento per via legislativa nel senso che lo Stato assuma mediante la
legge sulla manutenzione stradale l'obbligo dell'insabbiatura delle strade
durante l'inverno. Dall'art. 58
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 58 - 1 Le propriétaire d'un bâtiment ou de tout autre ouvrage répond du dommage causé par des vices de construction ou par le défaut d'entretien.
1    Le propriétaire d'un bâtiment ou de tout autre ouvrage répond du dommage causé par des vices de construction ou par le défaut d'entretien.
2    Est réservé son recours contre les personnes responsables envers lui de ce chef.
CO non può essere dedotto un siffatto obbligo,
salvo in casi eccezionalissimi, in cui l'insabbiatura s'imponesse come
un'elementare necessità.
In realtà le strade vengono insabbiate durante l'inverno ad opera dei Cantoni
e dei Comuni. Come emerge dagli atti di causa, anche il Cantone Ticino procede
all'insabbiatura delle strade pubbliche in larga misura. Né la parte attrice
ha affermato, né la seconda giurisdizione cantonale ha accertato che in
concreto esiste un'obbligazione sancita dalla legislazione stradale che
imponga questa insabbiatura. Giusta la deposizione d'un suo ispettore
stradale, il Cantone Ticino spende la somma di 500 000 fr. per insabbiare le
strade pubbliche durante ogni inverno. Gli enti pubblici hanno un certo
Interesse a procedere all'insabbiatura per facilitare la circolazione
automobilistica specialmente nelle strade all'interno dell'abitato. Ma nemmeno
un siffatto Interesse può far assurgere l'insabbiatura ad obbligo giuridico in
virtù dell'art. 58
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 58 - 1 Le propriétaire d'un bâtiment ou de tout autre ouvrage répond du dommage causé par des vices de construction ou par le défaut d'entretien.
1    Le propriétaire d'un bâtiment ou de tout autre ouvrage répond du dommage causé par des vices de construction ou par le défaut d'entretien.
2    Est réservé son recours contre les personnes responsables envers lui de ce chef.
CO.
2.- Se si ammettesse in linea di massima die i Cantoni e i Comuni sarebbero
responsabili degli infortuni dovuti a deficiente insabbiatura delle strade
pubbliche, si giungerebbe ad una situazione insostenibile.
Appunto il caso concreto illustra quanto lontano

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condurrebbe l'obbligo di massima dell'ente pubblico d'insabbiare la strada
automobilistica. Il tratto di strada in parola era stato insabbiato tre giorni
prima, il che non ha però impedito il verificarsi dell'infortunio. Risulta
dalle deposizioni testimoniali che la sabbia mista (ossia la sabbia con
ghiaietta) era stata spazzata via dalle automobili che avevano percorso questo
tratto. Secondo la parte attrice e le giurisdizioni cantonali, l'insabbiatura
avrebbe dovuto esser ripetuta prima, l'intervallo di tre giorni essendo troppo
lungo. Un Cantone che, come il Ticino, ha una rete stradale di 1100 km.
variamente conformata (numerosi sono i percorsi soggetti al pericolo del gelo)
dovrebbe mettere in moto un vastissimo organismo per ripetere dappertutto,
entro brevi intervalli, l'insabbiatura. D'altra parte, se in concreto le
condizioni fossero state normali, lo strato di ghiaccio non insabbiato sarebbe
stato visibile, e il conducente avrebbe quindi potuto passare quel tratto di
strada senz'inconvenienti, procedendo a minima velocità. Sfortunatamente poco
prima dell'infortunio era sorto un leggero nevischio a motivo del vento
freddo, cosicché lo strato di ghiaccio sul tratto di strada in parola si coprì
leggermente e diventò invisible. L'autista conosceva però il pericolo di gelo
della tratta Contone-Cadenazzo e doveva quindi ritenere che esistesse del
ghiaccio sotto la neve. Anche se poteva ammettere che l'insabbiatura era stata
fatta di recente, avrebbe avuto motivo di procedere molto più prudentemente di
quanto pretende di aver fatto circolando a 20-23 km. orari. Non è certo che se
l'ultima insabbiatura fosse stata fatta più tardi, lo slittamento sarebbe
stato evitato; ma si può ritenere come certo che, procedendo in prima ad
un'andatura minima, avrebbe attenuato la violenza e ridotto probabilmente il
danno.
Il Tribunale federale pronuncia
Il ricorso per riforma è accolto. Di conseguenza è annullata la querelata
sentenza e la petizione di causa è respinta.
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 76 II 215
Date : 01 janvier 1949
Publié : 04 juillet 1950
Source : Tribunal fédéral
Statut : 76 II 215
Domaine : ATF - Droit civil
Objet : L’art. 58 CO non impone allo Stato, proprietario d’una strada, l’obbligo d’insabbiarla per...


Répertoire des lois
CO: 41 
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 41 - 1 Celui qui cause, d'une manière illicite, un dommage à autrui, soit intentionnellement, soit par négligence ou imprudence, est tenu de le réparer.
1    Celui qui cause, d'une manière illicite, un dommage à autrui, soit intentionnellement, soit par négligence ou imprudence, est tenu de le réparer.
2    Celui qui cause intentionnellement un dommage à autrui par des faits contraires aux moeurs est également tenu de le réparer.
58
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 58 - 1 Le propriétaire d'un bâtiment ou de tout autre ouvrage répond du dommage causé par des vices de construction ou par le défaut d'entretien.
1    Le propriétaire d'un bâtiment ou de tout autre ouvrage répond du dommage causé par des vices de construction ou par le défaut d'entretien.
2    Est réservé son recours contre les personnes responsables envers lui de ce chef.
Répertoire ATF
30-II-567 • 75-II-204 • 76-II-215
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
questio • droit public • automobile • voie publique • temps atmosphérique • décision • tribunal fédéral • route • acte illicite • dépens • fédéralisme • répartition des tâches • saison • à l'intérieur • entretien des routes • norme • prolongation • témoin • branche d'enseignement • directeur
... Les montrer tous