Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
6B 442/2019
Urteil vom 26. August 2019
Strafrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Denys, Präsident,
Bundesrichterin Jacquemoud-Rossari,
Bundesrichterin Jametti,
Gerichtsschreiber Traub.
Verfahrensbeteiligte
X.________,
vertreten durch
Rechtsanwalt Matthias Wasem,
Beschwerdeführer,
gegen
1. Generalstaatsanwaltschaft des Kantons Bern, Nordring 8, 3013 Bern,
2. SBB AG Schaden- und Strafrechtzentrum,
3. A.________,
Beschwerdegegnerinnen.
Gegenstand
Schwere Körperverletzung, Sachbeschädigung, Widerhandlung gegen das Waffengesetz etc.;
Willkür etc.,
Beschwerde gegen das Urteil des Obergerichts
des Kantons Bern, 2. Strafkammer,
vom 15. November 2018 (SK 18 118).
Sachverhalt:
A.
Mit Urteil vom 9. März 2017 sprach das Regionalgericht Berner Jura-Seeland X.________ schuldig: der schweren Körperverletzung zum Nachteil von A.________, der Störung des Eisenbahnverkehrs, der Gewalt und Drohung gegen Behörden und Beamte zum Nachteil von B.________, der versuchten Nötigung zum Nachteil von C.________, der Sachbeschädigung zum Nachteil der SBB AG, des mehrfachen Hausfriedensbruchs zum Nachteil der Coop AG, der Hinderung einer Amtshandlung, der Tätlichkeiten, des mehrfachen Führens eines Personenwagens ohne Berechtigung, der mehrfachen Widerhandlungen gegen das Waffengesetz und der mehrfachen Widerhandlungen gegen das Betäubungsmittelgesetz (BetmG). Das Regionalgericht verurteilte X.________ zu einer Freiheitsstrafe von 28 Monaten, zu einer Geldstrafe von zehn Tagessätzen und zu einer Busse von Fr. 600.--. Es ordnete eine ambulante therapeutische Behandlung (Art. 63
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 63 - 1 Lorsque l'auteur souffre d'un grave trouble mental, est toxico-dépendant ou qu'il souffre d'une autre addiction, le juge peut ordonner un traitement ambulatoire au lieu d'un traitement institutionnel, aux conditions suivantes: |
|
1 | Lorsque l'auteur souffre d'un grave trouble mental, est toxico-dépendant ou qu'il souffre d'une autre addiction, le juge peut ordonner un traitement ambulatoire au lieu d'un traitement institutionnel, aux conditions suivantes: |
a | l'auteur a commis un acte punissable en relation avec son état; |
b | il est à prévoir que ce traitement le détournera de nouvelles infractions en relation avec son état. |
2 | Si la peine n'est pas compatible avec le traitement, le juge peut suspendre, au profit d'un traitement ambulatoire, l'exécution d'une peine privative de liberté ferme prononcée en même temps que le traitement, l'exécution d'une peine privative de liberté devenue exécutoire à la suite de la révocation du sursis et l'exécution du solde de la peine devenu exécutoire en raison d'une décision de réintégration. Il peut ordonner une assistance de probation et imposer des règles de conduite pendant la durée du traitement. |
3 | L'autorité compétente peut ordonner que l'auteur soit momentanément soumis à un traitement institutionnel initial temporaire si cette mesure permet de passer ensuite à un traitement ambulatoire. Le traitement institutionnel ne peut excéder deux mois au total. |
4 | Le traitement ambulatoire ne peut en règle générale excéder cinq ans. Si, à l'expiration de la durée maximale, il paraît nécessaire de le poursuivre pour détourner l'auteur d'autres crimes ou délits en relation avec son trouble mental, le juge peut, à la requête de l'autorité d'exécution, le prolonger de un à cinq ans à chaque fois. |
X.________ erhob Berufung. Das Obergericht des Kantons Bern stellte das Verfahren betreffend Störung des Eisenbahnverkehrs ein. Bezüglich der im Berufungsverfahren noch strittigen Punkte erklärte es X.________ schuldig: der schweren Körperverletzung, der Gewalt und Drohung gegen Behörden und Beamte, der versuchten Nötigung, der Sachbeschädigung, des mehrfachen Führens eines Personenwagens ohne Berechtigung und der Widerhandlung gegen das Waffengesetz. Dafür sowie für weitere, bereits rechtskräftige Schuldsprüche (mehrfache Widerhandlungen gegen das BetmG, Tätlichkeiten, mehrfacher Hausfriedensbruch, Hinderung einer Amtshandlung, Widerhandlung gegen das Waffengesetz) belegte es ihn (zusätzlich zur bereits rechtskräftigen Busse von Fr. 600.--) mit einer Freiheitsstrafe von 28 Monaten und einer Geldstrafe von 10 Tagessätzen. Ausserdem erneuerte es die Anordnung einer ambulanten therapeutischen Behandlung. Weiter befand es über zivilrechtliche Folgen der schweren Körperverletzung und der Sachbeschädigung (Urteil vom 15. November 2018).
B.
X.________ führt Beschwerde in Strafsachen. Er beantragt Freisprüche von den Vorwürfen der schweren Körperverletzung, eventuell versuchten schweren Körperverletzung, der Sachbeschädigung, der Widerhandlungen gegen das Waffengesetz, der versuchten Nötigung, der Gewalt und Drohung gegen Behörden und Beamte sowie des mehrfachen Führens eines Personenwagens ohne Berechtigung. Parteikostenersatz- resp. Zivilansprüche seien, wo zugesprochen, aufzuheben. Für die rechtskräftigen Schuldsprüche sei er zu einer unbedingten Geldstrafe von 55 Tagessätzen zu verurteilen, unter Anrechnung der eintägigen Polizeihaft. Eventuell sei die Sache zu neuer Verhandlung und neuem Urteil an die Vorinstanz zurückzuweisen.
Erwägungen:
1.
Der Beschwerdeführer verlangt einen Freispruch vom Vorwurf der schweren Körperverletzung zum Nachteil von A.________.
1.1. Der schweren Körperverletzung macht sich schuldig, wer vorsätzlich einen Menschen lebensgefährlich verletzt (Art. 122 Abs. 1
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 122 - Est puni d'une peine privative de liberté d'un à dix ans quiconque, intentionnellement: |
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a | blesse une personne de façon à mettre sa vie en danger; |
b | mutile le corps d'une personne, un de ses membres ou un de ses organes importants ou rend ce membre ou cet organe impropre à sa fonction, cause à une personne une incapacité de travail, une infirmité ou une maladie mentale permanentes, ou défigure une personne d'une façon grave et permanente; |
c | fait subir à une personne toute autre atteinte grave à l'intégrité corporelle ou à la santé physique ou mentale. |
Der Beschwerdeführer macht geltend, keine der in Art. 122
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 122 - Est puni d'une peine privative de liberté d'un à dix ans quiconque, intentionnellement: |
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a | blesse une personne de façon à mettre sa vie en danger; |
b | mutile le corps d'une personne, un de ses membres ou un de ses organes importants ou rend ce membre ou cet organe impropre à sa fonction, cause à une personne une incapacité de travail, une infirmité ou une maladie mentale permanentes, ou défigure une personne d'une façon grave et permanente; |
c | fait subir à une personne toute autre atteinte grave à l'intégrité corporelle ou à la santé physique ou mentale. |
1.2. Die Vorinstanz stellt in sachverhaltlicher Hinsicht fest, dass der Beschwerdeführer am 7. März 2014 massiv auf den Körper der Privatklägerin einwirkte. Er habe ihr mindestens zwei bis drei Mal mit der Faust ins Gesicht oder an den Kopf geschlagen. Mehrmals sei die Privatklägerin zu Boden gegangen und habe sich wieder erhoben. Die Verletzungen an Hand und Schulter könnten Abwehrverletzungen oder auch bei einem der wiederholten Stürze entstanden sein. Zweifellos habe der Beschwerdeführer diese Verletzungen verursacht. Die Vorinstanz schloss nach einer ausführlichen und sorgfältigen Würdigung aller Beweise, namentlich auch der Arztzeugnisse, die rechte Hand und linke Schulter der Privatklägerin seien als Folge des Vorfalls nur noch vermindert belastbar. Die Beschwerden seien bleibend. Infolge des Schadens an der Hand könne sie ihre angestammte Tätigkeit (Reinigungs- und Räumungsarbeiten), der sie zuletzt zu 80 % nachgegangen sei, nicht mehr voll ausüben. Zudem sei sie in ihrem Alltag eingeschränkt.
Zur rechtlichen Subsumtion unter eine der Tatbestandsvarianten von Art. 122
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 122 - Est puni d'une peine privative de liberté d'un à dix ans quiconque, intentionnellement: |
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a | blesse une personne de façon à mettre sa vie en danger; |
b | mutile le corps d'une personne, un de ses membres ou un de ses organes importants ou rend ce membre ou cet organe impropre à sa fonction, cause à une personne une incapacité de travail, une infirmité ou une maladie mentale permanentes, ou défigure une personne d'une façon grave et permanente; |
c | fait subir à une personne toute autre atteinte grave à l'intégrité corporelle ou à la santé physique ou mentale. |
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 122 - Est puni d'une peine privative de liberté d'un à dix ans quiconque, intentionnellement: |
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a | blesse une personne de façon à mettre sa vie en danger; |
b | mutile le corps d'une personne, un de ses membres ou un de ses organes importants ou rend ce membre ou cet organe impropre à sa fonction, cause à une personne une incapacité de travail, une infirmité ou une maladie mentale permanentes, ou défigure une personne d'une façon grave et permanente; |
c | fait subir à une personne toute autre atteinte grave à l'intégrité corporelle ou à la santé physique ou mentale. |
1.3.
1.3.1. Bestritten sind die gesundheitlichen Folgen des Angriffs und ob diese eine bleibende Arbeitsunfähigkeit im Sinne von Art. 122 Abs. 2
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 122 - Est puni d'une peine privative de liberté d'un à dix ans quiconque, intentionnellement: |
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c | fait subir à une personne toute autre atteinte grave à l'intégrité corporelle ou à la santé physique ou mentale. |
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 122 - Est puni d'une peine privative de liberté d'un à dix ans quiconque, intentionnellement: |
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a | blesse une personne de façon à mettre sa vie en danger; |
b | mutile le corps d'une personne, un de ses membres ou un de ses organes importants ou rend ce membre ou cet organe impropre à sa fonction, cause à une personne une incapacité de travail, une infirmité ou une maladie mentale permanentes, ou défigure une personne d'une façon grave et permanente; |
c | fait subir à une personne toute autre atteinte grave à l'intégrité corporelle ou à la santé physique ou mentale. |
1.3.2. Im Zusammenhang mit der Frage nach einer bleibenden Arbeitsunfähigkeit macht der Beschwerdeführer geltend, die Privatklägerin habe an der vorinstanzlichen Hauptverhandlung im November 2018 angegeben, sie arbeite weiterhin selbständig als Raumpflegerin. Das Protokoll zeigt indes auch, dass die Privatklägerin ausgeführt hat, diese Tätigkeit wegen der Beeinträchtigung von Schulter und Hand nur während zweier Tage in der Woche ausführen zu können (vorinstanzliche Akten pag. 1428). Der Beschwerdeführer führt sodann aus, eine Arbeitsunfähigkeit von weniger als fünf Monaten könne nicht als (im Sinn von Art. 122 Abs. 3
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 122 - Est puni d'une peine privative de liberté d'un à dix ans quiconque, intentionnellement: |
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b | mutile le corps d'une personne, un de ses membres ou un de ses organes importants ou rend ce membre ou cet organe impropre à sa fonction, cause à une personne une incapacité de travail, une infirmité ou une maladie mentale permanentes, ou défigure une personne d'une façon grave et permanente; |
c | fait subir à une personne toute autre atteinte grave à l'intégrité corporelle ou à la santé physique ou mentale. |
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 122 - Est puni d'une peine privative de liberté d'un à dix ans quiconque, intentionnellement: |
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a | blesse une personne de façon à mettre sa vie en danger; |
b | mutile le corps d'une personne, un de ses membres ou un de ses organes importants ou rend ce membre ou cet organe impropre à sa fonction, cause à une personne une incapacité de travail, une infirmité ou une maladie mentale permanentes, ou défigure une personne d'une façon grave et permanente; |
c | fait subir à une personne toute autre atteinte grave à l'intégrité corporelle ou à la santé physique ou mentale. |
eine bleibende Einschränkung des Leistungsvermögens (Art. 122 Abs. 2
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 122 - Est puni d'une peine privative de liberté d'un à dix ans quiconque, intentionnellement: |
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a | blesse une personne de façon à mettre sa vie en danger; |
b | mutile le corps d'une personne, un de ses membres ou un de ses organes importants ou rend ce membre ou cet organe impropre à sa fonction, cause à une personne une incapacité de travail, une infirmité ou une maladie mentale permanentes, ou défigure une personne d'une façon grave et permanente; |
c | fait subir à une personne toute autre atteinte grave à l'intégrité corporelle ou à la santé physique ou mentale. |
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 122 - Est puni d'une peine privative de liberté d'un à dix ans quiconque, intentionnellement: |
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a | blesse une personne de façon à mettre sa vie en danger; |
b | mutile le corps d'une personne, un de ses membres ou un de ses organes importants ou rend ce membre ou cet organe impropre à sa fonction, cause à une personne une incapacité de travail, une infirmité ou une maladie mentale permanentes, ou défigure une personne d'une façon grave et permanente; |
c | fait subir à une personne toute autre atteinte grave à l'intégrité corporelle ou à la santé physique ou mentale. |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |
1.3.3. Die Frage nach einem Wechsel in einen Beruf, der besser auf die körperliche Beeinträchtigung Rücksicht nimmt und in welchem deswegen die Leistungsfähigkeit nicht oder weniger stark eingeschränkt ist (vgl. Art. 6
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SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 6 Incapacité de travail - Est réputée incapacité de travail toute perte, totale ou partielle, de l'aptitude de l'assuré à accomplir dans sa profession ou son domaine d'activité le travail qui peut raisonnablement être exigé de lui, si cette perte résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique.9 En cas d'incapacité de travail de longue durée, l'activité qui peut être exigée de lui peut aussi relever d'une autre profession ou d'un autre domaine d'activité. |
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 122 - Est puni d'une peine privative de liberté d'un à dix ans quiconque, intentionnellement: |
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a | blesse une personne de façon à mettre sa vie en danger; |
b | mutile le corps d'une personne, un de ses membres ou un de ses organes importants ou rend ce membre ou cet organe impropre à sa fonction, cause à une personne une incapacité de travail, une infirmité ou une maladie mentale permanentes, ou défigure une personne d'une façon grave et permanente; |
c | fait subir à une personne toute autre atteinte grave à l'intégrité corporelle ou à la santé physique ou mentale. |
[Erwerbsunfähigkeit von 30 %]).
Als "andere schwere Schädigung des Körpers oder der (...) Gesundheit" im Sinne von Art. 122 Abs. 3
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 122 - Est puni d'une peine privative de liberté d'un à dix ans quiconque, intentionnellement: |
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a | blesse une personne de façon à mettre sa vie en danger; |
b | mutile le corps d'une personne, un de ses membres ou un de ses organes importants ou rend ce membre ou cet organe impropre à sa fonction, cause à une personne une incapacité de travail, une infirmité ou une maladie mentale permanentes, ou défigure une personne d'une façon grave et permanente; |
c | fait subir à une personne toute autre atteinte grave à l'intégrité corporelle ou à la santé physique ou mentale. |
Was den subjektiven Tatbestand angeht, kann der Beschwerdeführer aus dem Umstand, dass der Angriff in erster Linie auf den Kopf gerichtet war, die bleibenden Schädigungen aber an Hand und Schulter eintraten, nichts für sich ableiten. Diese Folgen sind vom Eventualvorsatz gleichermassen erfasst, zumal es in der Natur der Sache liegt, dass eine Person, welcher mit der Faust ins Gesicht geschlagen wird, stürzt und sich dabei Folgeverletzungen zuzieht. Im Übrigen stellt der Beschwerdeführer den subjektiven Tatbestand (angefochtenes Urteil S. 25) zu Recht nicht infrage.
1.4. Damit bleibt es in diesem Fall auch beim vorinstanzlichen Erkenntnis betreffend die Zivilansprüche.
2.
Was die Verurteilung wegen versuchter Nötigung zum Nachteil von C.________ angeht, rügt der Beschwerdeführer eine willkürliche Feststellung des Sachverhalts sowie eine bundesrechtswidrige Anwendung des Nötigungstatbestands (Art. 181
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 181 - Quiconque, en usant de violence envers une personne ou en la menaçant d'un dommage sérieux, ou en l'entravant de quelque autre manière dans sa liberté d'action, l'oblige à faire, à ne pas faire ou à laisser faire un acte est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2.1. Der Beschwerdeführer macht geltend, es gebe keine Beweise, dass er sich C.________ mit Absicht in den Weg gestellt habe, um sie am Verlassen des Zuges zu hindern. Sein Verhalten entspreche auch nicht einer "anderen Beschränkung der Handlungsfreiheit". Diese Tatbestandsvariante sei ohnehin nur restriktiv anzuwenden, da das geduldete Mass der Beeinflussung ebenso klar überschritten werden müsse wie beim Einsatz von Gewalt oder Drohung. Nicht jeder noch so geringfügige Druck auf die Entscheidungsfreiheit des andern genüge, um eine andere Beschränkung der Handlungsfreiheit zu bejahen (vgl. BGE 119 IV 301 E. 2a S. 305). Es sei nicht ersichtlich, weshalb er derjenige hätte sein sollen, der von der Stelle weicht. Zudem habe er sich auch nicht gewehrt, als C.________ ihn, wie vorinstanzlich festgestellt, "mit ein wenig Druck beiseiteschob". Auch sei sie offensichtlich nicht in ihrer Willensfreiheit, den Zug zu verlassen, beeinträchtigt gewesen. An Ort und Stelle zu verweilen, sei nicht rechtswidrig und begründe keine versuchte Nötigung.
2.2. Die Vorinstanz schloss, der Beschwerdeführer habe C.________ nach einem Wortwechsel zunächst daran gehindert, aus dem Zug zu steigen, indem er bei der Ausgangstür vor sie hinstand. Nach mehreren vergeblichen Aufforderungen, sie aussteigen zu lassen, habe sie ihn zur Seite geschoben, worauf sie habe aussteigen können. Das hindernde Verhalten des Beschwerdeführers habe damit zwar nur kurz gedauert. Wäre es erfolgreich gewesen, so hätte C.________ aber mindestens bis zur nächsten Station mitfahren, dort aussteigen und mit einem entgegenkommenden Zug wieder zurückfahren müssen. Weiter habe sich der Beschwerdeführer in der Weise vor ihr aufgebaut, dass sie nur unter physischer Einwirkung auf den Täter tatsächlich aussteigen konnte.
2.3. Die Vorinstanz hat nach Würdigung des Handlungsablaufs u.a. festgestellt, der Beschwerdeführer habe beabsichtigt, sein Gegenüber daran zu hindern, am gewählten Ort auszusteigen (angefochtenes Urteil S. 29 E. 16.2). Der Beschwerdeführer zieht dies in Zweifel, ohne zu begründen, weshalb die vorinstanzliche Feststellung offensichtlich unrichtig sei (vgl. Art. 105 Abs. 2
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
1bis | Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15 |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
2.4. Art. 181
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 181 - Quiconque, en usant de violence envers une personne ou en la menaçant d'un dommage sérieux, ou en l'entravant de quelque autre manière dans sa liberté d'action, l'oblige à faire, à ne pas faire ou à laisser faire un acte est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 22 - 1 Le juge peut atténuer la peine si l'exécution d'un crime ou d'un délit n'est pas poursuivie jusqu'à son terme ou que le résultat nécessaire à la consommation de l'infraction ne se produit pas ou ne pouvait pas se produire. |
|
1 | Le juge peut atténuer la peine si l'exécution d'un crime ou d'un délit n'est pas poursuivie jusqu'à son terme ou que le résultat nécessaire à la consommation de l'infraction ne se produit pas ou ne pouvait pas se produire. |
2 | L'auteur n'est pas punissable si, par grave défaut d'intelligence, il ne s'est pas rendu compte que la consommation de l'infraction était absolument impossible en raison de la nature de l'objet visé ou du moyen utilisé. |
Konstellationen unterscheiden sich vom vorliegenden Fall nur hinsichtlich ihrer kollektiven Auswirkungen. Ob die in der Generalklausel von Art. 181
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 181 - Quiconque, en usant de violence envers une personne ou en la menaçant d'un dommage sérieux, ou en l'entravant de quelque autre manière dans sa liberté d'action, l'oblige à faire, à ne pas faire ou à laisser faire un acte est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
3.
Weiter verlangt der Beschwerdeführer, vom Vorwurf der Sachbeschädigung zum Nachteil der SBB AG sowie der Widerhandlungen gegen das Waffengesetz freigesprochen zu werden. Er bestreitet die Täterschaft und rügt Willkür in der Sachverhaltsfeststellung und eine Verletzung der Unschuldsvermutung (Art. 10 Abs. 3
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SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 10 Présomption d'innocence et appréciation des preuves - 1 Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force. |
|
1 | Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force. |
2 | Le tribunal apprécie librement les preuves recueillies selon l'intime conviction qu'il retire de l'ensemble de la procédure. |
3 | Lorsque subsistent des doutes insurmontables quant aux éléments factuels justifiant une condamnation, le tribunal se fonde sur l'état de fait le plus favorable au prévenu. |
3.1. Der Beschwerdeführer rügt, der vorinstanzliche Schluss, er habe am 31. Mai 2014 in Busswil mit einer Gas-Druckluftpistole auf einen vorbeifahrenden Schnellzug geschossen und dabei an vier Waggons fünf Scheiben beschädigt, stütze sich nicht auf objektive Beweise wie Film- oder Fotoaufnahmen und/oder Tonaufnahmen. Es stehe fest, dass die Gas-Druckluftpistole zum Zeitpunkt des mutmasslichen Vorfalls in der Obhut Dritter gewesen sei. Eine entsprechende Tatwaffe sei weder am Tatort oder in dessen Umgebung noch bei ihm sichergestellt worden. Es seien denn auch nur zwei Metallkügelchen gefunden worden, die von einer solchen Pistole stammen könnten. Der Zeuge D.________ habe keinen Schuss gehört, sondern (als Lokomotivführer eines anderen, zur fraglichen Zeit im Bahnhof Busswil stehenden Zuges) aus dem Führerstand der Lokomotive im Rückspiegel eine auf den vorbeifahrenden Regio-Express zielende Person gesehen. Er habe aber nicht sagen können, ob die angeblich gesehene Person wirklich geschossen oder nur einen Rückstoss der Waffe simuliert habe. Weitere Belastungszeugen gebe es nicht.
3.2. Die Vorinstanz führt im Zusammenhang mit den gerügten Punkten aus, es stehe fest, dass sich der Beschwerdeführer zum Tatzeitpunkt (unmittelbar nach der versuchten Nötigung [oben E. 2]) in der Nähe des Bahnhofs Busswil aufhielt. Sie würdigt die Beweise eingehend (angefochtenes Urteil S. 32 ff.) und geht insbesondere davon aus, dass Signalement und Kleidung des Beschwerdeführers signifikant mit den Beobachtungen des Zeugen übereinstimmten. Der Zeuge hat die Tathandlung unmittelbar wahrgenommen. Seine Schilderungen (die beschriebene Person habe mit einer Pistole auf den vorbeifahrenden Zug gezielt) sind spezifisch; dass der Zeuge keinen Schuss gehört hat, erweckt keine Zweifel am vorinstanzlichen Schluss, die These einer Dritttäterschaft sei rein hypothetisch und zu vernachlässigen. Zum Umstand, dass der Beschwerdeführer seine CO2-Pistole nach Angaben eines Waffenhändlers vor dem Tattag zur Reparatur abgegeben und sie erst weit später wieder abgeholt hat, erwägt die Vorinstanz, vor dem Hintergrund der erdrückenden Beweislage erscheine die Angabe des Beschwerdeführers, er verfüge über keine andere Waffe, als reine Schutzbehauptung (angefochtenes Urteil S. 35). Dieser Schluss ist genausowenig unhaltbar wie die vorinstanzliche
Erwägung, der Beschwerdeführer habe zwischen der Schussabgabe und dem Eintreffen der Polizei genügend Zeit gehabt, sich der Tatwaffe zu entledigen.
3.3. Damit bleibt es in diesem Fall auch beim vorinstanzlich zugesprochenen Schadenersatz.
4.
4.1. Ebenfalls willkürliche Sachverhaltsfeststellung und eine Verletzung der Unschuldsvermutung rügt der Beschwerdeführer bezüglich der Verurteilung wegen Gewalt und Drohung gegen Behörden und Beamte (Art. 285
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SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 285 - 1. Quiconque, en usant de violence ou de menace, empêche une autorité, un membre d'une autorité ou un fonctionnaire de faire un acte entrant dans ses fonctions, les contraint à faire un tel acte ou se livre à des voies de fait sur eux pendant qu'ils y procèdent, est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus. Dans les cas de peu de gravité, le juge peut prononcer une peine pécuniaire.416 |
|
1 | Quiconque, en usant de violence ou de menace, empêche une autorité, un membre d'une autorité ou un fonctionnaire de faire un acte entrant dans ses fonctions, les contraint à faire un tel acte ou se livre à des voies de fait sur eux pendant qu'ils y procèdent, est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus. Dans les cas de peu de gravité, le juge peut prononcer une peine pécuniaire.416 |
2 | Si l'infraction est commise par une foule ameutée, tous ceux qui prennent part à l'attroupement sont punis d'une peine privative de liberté de trois ans au plus. Dans les cas de peu de gravité, le juge peut prononcer une peine pécuniaire. |
4.2. Der vorinstanzlichen Verurteilung liegt der Tatvorwurf zugrunde, der Beschwerdeführer habe, nachdem er im Rahmen einer ärztlichen Untersuchung im Spital Aarberg eine Spritze erhalten hatte, am Boden liegend mit seinem linken Fuss eine Kickbewegung gegen den linken Oberschenkel des Kantonspolizisten B.________ geführt, als dieser ihm die Gründe der soeben angeordneten fürsorgerischen Unterbringung und der bevorstehenden Verbringung in ein Psychiatriezentrum erklären wollte.
Der äussere Tatablauf ist im Wesentlichen unbestritten, was den Fusstritt betrifft. Bestritten sind die Absichtlichkeit des Tritts sowie eine Aussprechung von Drohungen (angefochtenes Urteil S. 41). Die Vorinstanz erläutert anhand der Vorgeschichte der angeklagten Handlung und ihres konkreten Ablaufs eingehend, weshalb sie eine unbeabsichtigte Streckbewegung des Beins infolge medikamenteninduzierter Muskelkontraktion für äusserst unwahrscheinlich hält, dies auch unter Berücksichtigung der eingereichten medizinischen Unterlagen zum betreffenden Medikament und dessen Nebenwirkungen. Die Vorbringen des Beschwerdeführers lassen diese Feststellungen nicht als willkürlich erscheinen. Die angefochtene Verurteilung beruht auf dem Schluss, dass die Hypothese einer nicht steuerbaren, auf medikamenteninduzierter Muskelkontraktion beruhenden Streckbewegung die angeklagte willentliche Kickbewegung per se nicht massgeblich in Zweifel zu ziehen vermag. Die vom Beschwerdeführer aufgeworfenen Fragen der Verwertbarkeit von Zeugenaussagen sind daher nicht zu erörtern. Nicht einzugehen ist auch auf die in der Beschwerde angesprochene Frage, ob verbale Drohungen ausgesprochen worden sind. Eine solche Handlung war nicht angeklagt; es erfolgte denn
auch keine entsprechende Verurteilung.
5.
5.1. Wiederum willkürliche Sachverhaltsfeststellung und eine Verletzung der Unschuldsvermutung rügt der Beschwerdeführer, was den Schuldspruch wegen mehrfachen Führens eines Personenwagens ohne Berechtigung (entzogener Führerausweis) angeht (Art. 95 Abs. 1 lit. b
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SR 741.01 Loi fédérale du 19 décembre 1958 sur la circulation routière (LCR) LCR Art. 95 - 1 Est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire quiconque: |
|
1 | Est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire quiconque: |
a | conduit un véhicule automobile sans être titulaire du permis de conduire requis; |
b | conduit un véhicule automobile alors que le permis d'élève conducteur ou le permis de conduire lui a été refusé, retiré ou qu'il lui a été interdit d'en faire usage; |
c | conduit un véhicule automobile alors que son permis de conduire à l'essai est caduc; |
d | effectue une course d'apprentissage sans être titulaire d'un permis d'élève conducteur ou sans être accompagné conformément aux prescriptions; |
e | met un véhicule automobile à la disposition d'un conducteur dont il sait ou devrait savoir s'il avait prêté toute l'attention commandée par les circonstances qu'il n'est pas titulaire du permis requis. |
3 | Est puni de l'amende quiconque: |
a | n'observe pas les restrictions et les autres conditions auxquelles est soumis son permis de conduire; |
b | assume la tâche d'accompagner l'élève lors d'une course d'apprentissage sans remplir les conditions exigées; |
c | donne des leçons de conduite à titre professionnel sans être titulaire d'un permis de moniteur. |
4 | Est puni de l'amende quiconque: |
a | conduit un cycle alors que la conduite lui en a été interdite; |
b | conduit un véhicule à traction animale alors que la conduite lui en a été interdite. |
5.2. Die Vorinstanz erwägt, unbestritten sei, dass der Beschwerdeführer im massgebenden Zeitraum nicht über einen Führerschein verfügte und dass das fragliche Fahrzeug längere Zeit vor seinem Domizil stand. Bestritten sei, dass der Beschwerdeführer es gelenkt habe. In der Beweiswürdigung schliesst sich die Vorinstanz zunächst den erstinstanzlichen Ausführungen an und stellt auf die Aussagen der Zeugin ab. Danach könne diese nicht Auto fahren; es sei stets der Beschwerdeführer gewesen, der das Fahrzeug gelenkt habe, wenn sie zusammen unterwegs gewesen seien. In der Folge befasst sich die Vorinstanz mit den zwischen Beschwerdeführer und Zeugin ausgetauschten SMS. Die Zeugin habe ihn aufgefordert, das Auto zurückzubringen, ansonsten sie es als gestohlen melden müsse. Der Beschwerdeführer habe sie daraufhin angewiesen, ihm den Schlüssel per Post zukommen zu lassen. Die nachgeschobene Erklärung, er habe für die Überführung des Fahrzeugs einen Kollegen aufbieten wollen, erscheine vor diesem Hintergrund als reine Schutzbehauptung.
Die Einwendungen des Beschwerdeführers gegen diese Erwägungen gehen nicht über eine appellatorische Kritik an der vorinstanzlichen Beweiswürdigung und Sachverhaltsfeststellung hinaus. Darauf kann nicht eingetreten werden.
6.
6.1. Im Eventualstandpunkt beantragt der Beschwerdeführer, das vorinstanzliche Urteil sei in den angefochtenen Punkten (vgl. oben E. 1-5) und bezüglich der entsprechenden Sanktionen sowie Kosten- und Entschädigungsfolgen aufzuheben. Die Sache sei jeweils für die gebotenen weiteren Beweiserhebungen und zu neuer Entscheidung an die Vorinstanz zurückzuweisen. Er begründet die Eventualbegehren mit Verletzungen der richterlichen Fragepflicht und des Unmittelbarkeitsprinzips. In allen Punkten habe eine eindeutige "Aussage gegen Aussage"-Situation vorgelegen. Dennoch habe es die Vorinstanz jeweils unterlassen, die entsprechenden Zeugen unmittelbar anzuhören. Dies verletze Art. 343 Abs. 3
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SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 343 Administration des preuves - 1 Le tribunal procède à l'administration de nouvelles preuves ou complète les preuves administrées de manière insuffisante. |
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1 | Le tribunal procède à l'administration de nouvelles preuves ou complète les preuves administrées de manière insuffisante. |
2 | Le tribunal réitère l'administration des preuves qui, lors de la procédure préliminaire, n'ont pas été administrées en bonne et due forme. |
3 | Il réitère l'administration des preuves qui, lors de la procédure préliminaire, ont été administrées en bonne et due forme lorsque la connaissance directe du moyen de preuve apparaît nécessaire au prononcé du jugement. |
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SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 405 Procédure orale - 1 Les dispositions sur les débats de première instance s'appliquent par analogie aux débats d'appel. |
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1 | Les dispositions sur les débats de première instance s'appliquent par analogie aux débats d'appel. |
2 | La direction de la procédure cite à comparaître aux débats d'appel le prévenu ou la partie plaignante qui a déclaré l'appel ou l'appel joint. Dans les cas simples, elle peut, à leur demande, les dispenser de participer aux débats et les autoriser à déposer par écrit leurs conclusions motivées. |
3 | Elle cite le ministère public à comparaître aux débats: |
a | dans les cas visés à l'art. 337, al. 3 et 4; |
b | s'il a déclaré l'appel ou l'appel joint. |
4 | Si le ministère public n'est pas cité à comparaître, il peut déposer par écrit ses conclusions ainsi que la motivation à l'appui de celles-ci ou comparaître en personne. |
6.2. Das Rechtsmittelverfahren beruht auf den Beweisen, die im Vorverfahren und im erstinstanzlichen Hauptverfahren erhoben worden sind (Art. 389 Abs. 1
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SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 389 Compléments de preuves - 1 La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
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1 | La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
2 | L'administration des preuves du tribunal de première instance n'est répétée que si: |
a | les dispositions en matière de preuves ont été enfreintes; |
b | l'administration des preuves était incomplète; |
c | les pièces relatives à l'administration des preuves ne semblent pas fiables. |
3 | L'autorité de recours administre, d'office ou à la demande d'une partie, les preuves complémentaires nécessaires au traitement du recours. |
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SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 405 Procédure orale - 1 Les dispositions sur les débats de première instance s'appliquent par analogie aux débats d'appel. |
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1 | Les dispositions sur les débats de première instance s'appliquent par analogie aux débats d'appel. |
2 | La direction de la procédure cite à comparaître aux débats d'appel le prévenu ou la partie plaignante qui a déclaré l'appel ou l'appel joint. Dans les cas simples, elle peut, à leur demande, les dispenser de participer aux débats et les autoriser à déposer par écrit leurs conclusions motivées. |
3 | Elle cite le ministère public à comparaître aux débats: |
a | dans les cas visés à l'art. 337, al. 3 et 4; |
b | s'il a déclaré l'appel ou l'appel joint. |
4 | Si le ministère public n'est pas cité à comparaître, il peut déposer par écrit ses conclusions ainsi que la motivation à l'appui de celles-ci ou comparaître en personne. |
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SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 343 Administration des preuves - 1 Le tribunal procède à l'administration de nouvelles preuves ou complète les preuves administrées de manière insuffisante. |
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1 | Le tribunal procède à l'administration de nouvelles preuves ou complète les preuves administrées de manière insuffisante. |
2 | Le tribunal réitère l'administration des preuves qui, lors de la procédure préliminaire, n'ont pas été administrées en bonne et due forme. |
3 | Il réitère l'administration des preuves qui, lors de la procédure préliminaire, ont été administrées en bonne et due forme lorsque la connaissance directe du moyen de preuve apparaît nécessaire au prononcé du jugement. |
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SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 343 Administration des preuves - 1 Le tribunal procède à l'administration de nouvelles preuves ou complète les preuves administrées de manière insuffisante. |
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1 | Le tribunal procède à l'administration de nouvelles preuves ou complète les preuves administrées de manière insuffisante. |
2 | Le tribunal réitère l'administration des preuves qui, lors de la procédure préliminaire, n'ont pas été administrées en bonne et due forme. |
3 | Il réitère l'administration des preuves qui, lors de la procédure préliminaire, ont été administrées en bonne et due forme lorsque la connaissance directe du moyen de preuve apparaît nécessaire au prononcé du jugement. |
Beweismittel darstellt (Aussage gegen Aussage). Alleine der Inhalt der Aussage ( was gesagt wird), lässt eine erneute Beweisabnahme indes nicht notwendig erscheinen. Massgebend ist, ob das Urteil in entscheidender Weise vom Aussageverhalten ( wieetwas gesagt wird) abhängt. Das Gericht verfügt bei der Frage, ob eine erneute Beweisabnahme erforderlich ist, über einen Ermessensspielraum (BGE 143 IV 288 E. 1.4.1 S. 290; 140 IV 196 E. 4.4.1 f. S. 199 f.; Urteil 6B 422/2017 vom 12. Dezember 2017 E. 4.3.1).
6.3.
6.3.1. Was die Verurteilung wegen schwerer Körperverletzung angeht (oben E. 1), macht der Beschwerdeführer geltend, die Vorinstanz sei davon ausgegangen, umstritten seien u.a. der Tatablauf, die Intensität der Verletzungen der Privatklägerin sowie die Frage, ob die Verletzungen dem Handeln des Beschwerdeführers zuzurechnen seien. Objektive Beweismittel hierzu lägen aber keine vor. Die Verletzungen könnten auch anderweitig entstanden sein, zumal zwischen dem angeblichen Vorfall und ihrer ärztlichen Dokumentation Zeit vergangen sei. Ein Zeuge habe keine Angaben zum Sachverhalt machen wollen, eine Zeugin habe widersprüchlich ausgesagt. In einer "Aussage gegen Aussage"-Konstellation müssten Zeugen im Berufungsverfahren zwingend angehört werden. Dies sei nicht geschehen, was Bundesrecht verletze.
Eine "Aussage gegen Aussage"-Konstellation im Sinne der dargelegten Rechtsprechung liegt vor, wenn die Aussage das einzige direkte Beweismittel darstellt. Das ist hier nicht der Fall; die Vorinstanz würdigt die Aussagen vor allem einer weiteren Zeugin durchaus (angefochtenes Urteil S. 18 f.). Ob die Beweissituation, wie der Beschwerdeführer meint, im Ergebnis dennoch auf eine "Aussage gegen Aussage"-Konstellation hinausläuft, kann offenbleiben. Ohnehin verlangt der Beschwerdeführer eine neue Befragung der beiden Drittzeugen und nicht des Opfers. Zudem müsste selbst bei Bejahung einer "Aussage gegen Aussage"-Situation die Beweisabnahme im Berufungsverfahren nur wiederholt werden, sofern es auf den persönlichen Eindruck ankommt, d.h. unmittelbare Kenntnis für die Urteilsfällung notwendig ist (dazu auch Urteil 6B 145/2018 vom 21. März 2019 E. 2.3). Vorliegend ist aber nicht ersichtlich, dass das Aussageverhalten etwa im Hinblick auf eine Beurteilung der Glaubwürdigkeit von aussagenden Personen eine massgebliche Rolle spielen könnte. Soweit sich die vorinstanzliche Sachverhaltsfeststellung auf Aussagen von Dritten und des Opfers stützt, bezieht sie sich nicht auf beobachtbare Merkmale des Aussageverhaltens (vgl. angefochtenes Urteil
S. 18 f. und S. 22). Vielmehr beruht sie auf einer inhaltlichen Würdigung. Dies allein aber lässt eine erneute Beweisabnahme nicht notwendig erscheinen. Jedenfalls hat die Vorinstanz das ihr diesbezüglich zustehende Ermessen (oben E. 6.2) nicht bundesrechtswidrig gehandhabt.
6.3.2. Hinsichtlich der Verurteilung wegen versuchter Nötigung (oben E. 2) moniert der Beschwerdeführer, zur strittigen Frage, ob er versucht habe, C.________ am Verlassen des Zuges zu hindern, lägen nur Aussagen der Betroffenen aus dem Vorverfahren und der erstinstanzlichen Hauptverhandlung vor. Darauf habe die Vorinstanz abgestellt. Weitere Beweise seien nicht vorhanden. Es liege eine reine "Aussage gegen Aussage"-Situation vor. Daher hätte C.________ vor Vorinstanz direkt zur Sache befragt werden müssen. Es komme darauf an, dass das Gericht die Aussagen und ihre Urheberin unmittelbar erlebe und wahrnehme. Mangels anderer Beweise genüge es nicht, lediglich auf protokollierte Aussagen abzustellen.
Auch hier ist die vorinstanzliche Würdigung der Aussagen der Betroffenen eine inhaltliche (vgl. angefochtenes Urteil S. 27 f.) : Ihre Schilderungen seien "im Kern konstant, widerspruchsfrei und nachvollziehbar". Inhaltlicher Natur sind auch die "Realitätskennzeichen", auf die die Vorinstanz zur Beurteilung der Glaubhaftigkeit der Aussagen zurückgegriffen hat (Detailreichtum, Wiedergabe von Gedankengängen etc.). Wiederum kommt es daher nicht entscheidend auf den persönlichen Eindruck an. Eine erneute Befragung im Berufungsverfahren war entbehrlich.
6.3.3. Entsprechendes bringt der Beschwerdeführer gegen seine Verurteilung wegen Sachbeschädigung und Widerhandlung gegen das Waffengesetz (E. 3) vor. Zur Beurteilung der strittigen Tatfrage, ob die festgestellten Schäden an den Bahnwaggons durch ihn verursacht worden seien, lägen keine objektiven Beweismittel vor, auch keine anderen Zeugenaussagen als diejenigen des Lokomotivführers eines anderen Zuges. Weder dieser noch die Zeugin des vorangehenden Vorfalls (Nötigungsversuch; oben E. 2 und 6.3.2) seien im Berufungsverfahren unmittelbar zur Sache befragt worden. Es genüge nicht, bloss auf Protokolliertes abzustellen.
Es ist nicht ersichtlich, weshalb eine erneute Befragung des Lokomotivführers vor Berufungsgericht erforderlich sein sollte. Der Beweiswert der Aussage ergibt sich wiederum ausschliesslich aus ihrem Inhalt und nicht aus der Art ihrer Darstellung. Im Gegensatz zur Zeugin im Fall der versuchten Nötigung wurde der Lokomotivführer im Fall der Sachbeschädigung zwar nur im Vorverfahren und nicht auch im erstinstanzlichen Verfahren einvernommen. Dies schadet aber nicht, weil die Beweisaufnahme im Vorverfahren weder unvollständig noch ordnungswidrig war (Art. 343 Abs. 1
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SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 343 Administration des preuves - 1 Le tribunal procède à l'administration de nouvelles preuves ou complète les preuves administrées de manière insuffisante. |
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1 | Le tribunal procède à l'administration de nouvelles preuves ou complète les preuves administrées de manière insuffisante. |
2 | Le tribunal réitère l'administration des preuves qui, lors de la procédure préliminaire, n'ont pas été administrées en bonne et due forme. |
3 | Il réitère l'administration des preuves qui, lors de la procédure préliminaire, ont été administrées en bonne et due forme lorsque la connaissance directe du moyen de preuve apparaît nécessaire au prononcé du jugement. |
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SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 343 Administration des preuves - 1 Le tribunal procède à l'administration de nouvelles preuves ou complète les preuves administrées de manière insuffisante. |
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1 | Le tribunal procède à l'administration de nouvelles preuves ou complète les preuves administrées de manière insuffisante. |
2 | Le tribunal réitère l'administration des preuves qui, lors de la procédure préliminaire, n'ont pas été administrées en bonne et due forme. |
3 | Il réitère l'administration des preuves qui, lors de la procédure préliminaire, ont été administrées en bonne et due forme lorsque la connaissance directe du moyen de preuve apparaît nécessaire au prononcé du jugement. |
6.3.4. Mit entsprechender Begründung macht der Beschwerdeführer sodann eine Bundesrechtswidrigkeit der Verurteilung wegen Gewalt und Drohung gegen Behörden und Beamte (vgl. oben E. 4) geltend. Sachverhaltsmässig sei umstritten, ob der Beschwerdeführer absichtlich gegen das Bein des Kantonspolizisten getreten habe. In Ermangelung anderer belastender Momente (Unverwertbarkeit der schriftlichen Berichte der anderen anwesenden Polizisten) laufe die Beweislage letztlich auch hier wieder auf eine "Aussage gegen Aussage"-Konstellation hinaus. Dieses Vorbringen ist gegenstandslos, weil sich der vorinstanzliche Schuldspruch nicht massgeblich auf die Aussage des betroffenen Polizeibeamten stützt, zumal der äussere Tathergang ja nicht umstritten war. Vielmehr hat die Vorinstanz aufgrund der Gesamtsituation ausgeschlossen, dass die gezielte Kickbewegung auf eine medikamenteninduzierte Muskelkontraktion zurückzuführen sein könnte (vgl. oben E. 4.2; angefochtenes Urteil S. 42).
6.3.5. Schliesslich beanstandet der Beschwerdeführer mit Ausführungen, die den vorherigen sinngemäss entsprechen, die Rechtmässigkeit der Verurteilung wegen Führens eines Personenwagens ohne Berechtigung (vgl. oben E. 5). Auch hier verlangt er eine Rückweisung an die Vorinstanz zur Zeugenbefragung und neuen Entscheidung. Strittig sei, ob der Beschwerdeführer das Fahrzeug gelenkt habe. Mangels anderer Beweismittel sei eine reine "Aussage gegen Aussage"-Situation gegeben. Er bestreite die belastenden Aussagen der Zeugin. Diese verfolge im Übrigen ein Eigeninteresse, weil sie sich selbst entlaste, indem sie ihn belaste (vgl. E. 5.1).
Dem ist entgegenzuhalten, dass die kombinierte Betrachtung verschiedener Indizien (SMS-Verlauf, Verhalten des Beschwerdeführers, Standort des Fahrzeugs) mit ausschlaggebend für die vorinstanzlichen Feststellungen gewesen sind (angefochtenes Urteil S. 44 f. E. 34). Eine reine "Aussage gegen Aussage"-Situation ist nicht gegeben.
7.
Die Beschwerde ist abzuweisen, soweit darauf eingetreten werden kann. Bei diesem Verfahrensausgang werden die bundesgerichtlichen Kosten dem Beschwerdeführer auferlegt (Art. 66 Abs. 1
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit auf sie einzutreten ist.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 3'000.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Obergericht des Kantons Bern, 2. Strafkammer, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 26. August 2019
Im Namen der Strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Denys
Der Gerichtsschreiber: Traub