Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

{T 0/2}

9C 34/2017

Arrêt du 20 avril 2017

IIe Cour de droit social

Composition
Mmes et M. les Juges fédéraux Pfiffner, Présidente, Meyer et Moser-Szeless.
Greffière : Mme Hurni.

Participants à la procédure
A.________,
représentée par Me Véronique Aeby, avocate,
recourante,

contre

Office de l'assurance-invalidité du canton de Fribourg,
Route du Mont-Carmel 5, 1762 Givisiez,
intimé.

Objet
Assurance-invalidité,

recours contre le jugement du Tribunal cantonal du canton de Fribourg, Cour des assurances sociales, du 15 novembre 2016.

Faits :

A.

A.a. A.________ travaillait comme caissière. Elle a requis des prestations de l'assurance-invalidité le 30 mai 2003 en indiquant souffrir d'atteintes rhumatologiques et être incapable de travailler depuis le 18 septembre 2002.
Par décision du 24 juin 2005, l'office AI a octroyé à l'assurée une rente entière dès le 1 er août 2003. L'administration s'est fondée en particulier sur les rapports d'expertise de la doctoresse B.________, spécialiste en rhumatologie, du 17 février 2004 et du docteur C.________, spécialiste en psychiatrie et psychothérapie, du 4 mai 2004. Comme diagnostics principaux, les médecins avaient retenu des douleurs diffuses dans un contexte de fibromyalgie, un trouble douloureux associé à des facteurs psychologiques, ainsi qu'un trouble de la personnalité non spécifié avec une personnalité psychosomatique à traits abandonniques et histrioniques (rapport du 4 mai 2004); l'incapacité de travail était totale dès le mois d'août 2002.
Au terme de procédures de révision entreprises d'office, l'office AI a confirmé le maintien de la rente entière par communications des 22 février 2007 et 2 décembre 2009.

A.b. Le 20 août 2013, l'administration a informé A.________ qu'elle souhaitait faire réaliser une expertise bidisciplinaire. Dans son rapport du 2 novembre 2013, le docteur D.________, spécialiste en rhumatologie et médecine interne, a indiqué comme diagnostics avec effet sur la capacité de travail un syndrome d'hypersomnie et un syndrome poly-insertionnel douloureux récurrent et conclu que l'intéressée avait une capacité de travail entière sur le plan rhumatologique dans son ancienne activité de caissière ou toute autre activité adaptée. Dans son rapport du 15 mai 2014, le docteur E.________, spécialiste en psychiatrie et psychothérapie, a retenu que l'expertisée présentait un trouble douloureux associé à des facteurs psychologiques et une affection médicale générale chronique, ainsi qu'une personnalité infantile et histrionique, sub-décompensée, sans impact sur la capacité de travail. Il a néanmoins conclu à une capacité de travail de 70 %, compte tenu des limitations objectives dont avait fait état la doctoresse B.________, sans diminution de rendement, et ce au plus tard dès le 1 er janvier 2014.
Compte tenu du résultat de ces expertises et en application des dispositions finales de la modification de la LAI du 18 mars 2011 (6 ème révision de l'AI), l'administration a supprimé la rente d'invalidité entière octroyée à l'assurée avec effet au 1 er mars 2015 (décision du 19 janvier 2015). Par décision du même jour, elle a alloué à A.________ une prestation de conseil et de suivi.

B.
Le 19 février 2015, l'assurée a formé recours à l'encontre de cette décision devant le Tribunal cantonal du canton de Fribourg, Cour des assurances sociales. Par courrier du 2 avril 2015, elle a produit un rapport établi le 12 mars 2015 par le docteur F.________, spécialiste en neurologie, qui avait diagnostiqué une sclérose en plaques. Dans ses observations du 7 septembre 2015, elle a requis la mise en oeuvre d'une expertise et produit en outre un rapport daté du 12 mai 2015 de la doctoresse G.________, spécialiste en psychiatrie et psychothérapie, indiquant un état dépressif épisodique lié à la sclérose en plaques et relevant que l'évolution négative de l'état de santé de sa patiente depuis 2005 était certainement aussi due à cette maladie. Dans un rapport reçu par le tribunal le 12 juillet 2016, la doctoresse H.________, spécialiste en médecine interne générale, attestait également l'évolution défavorable de l'état de santé de sa patiente; elle concluait à une incapacité de travail de 100 %.
Par jugement du 15 novembre 2016, le tribunal cantonal a rejeté le recours.

C.
A.________ interjette un recours en matière de droit public. Elle demande l'annulation du jugement du 15 novembre 2016 et conclut principalement à l'octroi d'une rente entière d'invalidité, subsidiairement au renvoi de la cause à l'office AI pour instruction complémentaire et nouvelle décision.
L'office AI conclut au rejet du recours, alors que l'Office fédéral des assurances sociales a renoncé à se déterminer.

Considérant en droit :

1.
Le recours en matière de droit public peut être formé pour violation du droit, tel qu'il est délimité par les art. 95
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz
BGG Art. 95 Schweizerisches Recht - Mit der Beschwerde kann die Verletzung gerügt werden von:
a  Bundesrecht;
b  Völkerrecht;
c  kantonalen verfassungsmässigen Rechten;
d  kantonalen Bestimmungen über die politische Stimmberechtigung der Bürger und Bürgerinnen und über Volkswahlen und -abstimmungen;
e  interkantonalem Recht.
et 96
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz
BGG Art. 96 Ausländisches Recht - Mit der Beschwerde kann gerügt werden:
a  ausländisches Recht sei nicht angewendet worden, wie es das schweizerische internationale Privatrecht vorschreibt;
b  das nach dem schweizerischen internationalen Privatrecht massgebende ausländische Recht sei nicht richtig angewendet worden, sofern der Entscheid keine vermögensrechtliche Sache betrifft.
LTF. Le Tribunal fédéral applique le droit d'office (art. 106 al. 1
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz
BGG Art. 106 Rechtsanwendung - 1 Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an.
1    Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an.
2    Es prüft die Verletzung von Grundrechten und von kantonalem und interkantonalem Recht nur insofern, als eine solche Rüge in der Beschwerde vorgebracht und begründet worden ist.
LTF), sans être limité par les arguments du recourant ou par la motivation de l'autorité précédente. Il n'examine en principe que les griefs invoqués, compte tenu de l'exigence de motivation prévue à l'art. 42 al. 2
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz
BGG Art. 42 Rechtsschriften - 1 Rechtsschriften sind in einer Amtssprache abzufassen und haben die Begehren, deren Begründung mit Angabe der Beweismittel und die Unterschrift zu enthalten.
1    Rechtsschriften sind in einer Amtssprache abzufassen und haben die Begehren, deren Begründung mit Angabe der Beweismittel und die Unterschrift zu enthalten.
2    In der Begründung ist in gedrängter Form darzulegen, inwiefern der angefochtene Akt Recht verletzt. Ist eine Beschwerde nur unter der Voraussetzung zulässig, dass sich eine Rechtsfrage von grundsätzlicher Bedeutung stellt oder aus anderen Gründen ein besonders bedeutender Fall vorliegt, so ist auszuführen, warum die jeweilige Voraussetzung erfüllt ist. 14 15
3    Die Urkunden, auf die sich die Partei als Beweismittel beruft, sind beizulegen, soweit die Partei sie in Händen hat; richtet sich die Rechtsschrift gegen einen Entscheid, so ist auch dieser beizulegen.
4    Bei elektronischer Einreichung muss die Rechtsschrift von der Partei oder ihrem Vertreter beziehungsweise ihrer Vertreterin mit einer qualifizierten elektronischen Signatur gemäss Bundesgesetz vom 18. März 201616 über die elektronische Signatur versehen werden. Das Bundesgericht bestimmt in einem Reglement:
a  das Format der Rechtsschrift und ihrer Beilagen;
b  die Art und Weise der Übermittlung;
c  die Voraussetzungen, unter denen bei technischen Problemen die Nachreichung von Dokumenten auf Papier verlangt werden kann.17
5    Fehlen die Unterschrift der Partei oder ihrer Vertretung, deren Vollmacht oder die vorgeschriebenen Beilagen oder ist die Vertretung nicht zugelassen, so wird eine angemessene Frist zur Behebung des Mangels angesetzt mit der Androhung, dass die Rechtsschrift sonst unbeachtet bleibt.
6    Unleserliche, ungebührliche, unverständliche, übermässig weitschweifige oder nicht in einer Amtssprache verfasste Rechtsschriften können in gleicher Weise zur Änderung zurückgewiesen werden.
7    Rechtsschriften, die auf querulatorischer oder rechtsmissbräuchlicher Prozessführung beruhen, sind unzulässig.
LTF, et ne peut aller au-delà des conclusions des parties (art. 107 al. 1
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz
BGG Art. 107 Entscheid - 1 Das Bundesgericht darf nicht über die Begehren der Parteien hinausgehen.
1    Das Bundesgericht darf nicht über die Begehren der Parteien hinausgehen.
2    Heisst das Bundesgericht die Beschwerde gut, so entscheidet es in der Sache selbst oder weist diese zu neuer Beurteilung an die Vorinstanz zurück. Es kann die Sache auch an die Behörde zurückweisen, die als erste Instanz entschieden hat.
3    Erachtet das Bundesgericht eine Beschwerde auf dem Gebiet der internationalen Rechtshilfe in Strafsachen oder der internationalen Amtshilfe in Steuersachen als unzulässig, so fällt es den Nichteintretensentscheid innert 15 Tagen seit Abschluss eines allfälligen Schriftenwechsels. Auf dem Gebiet der internationalen Rechtshilfe in Strafsachen ist es nicht an diese Frist gebunden, wenn das Auslieferungsverfahren eine Person betrifft, gegen deren Asylgesuch noch kein rechtskräftiger Endentscheid vorliegt.96
4    Über Beschwerden gegen Entscheide des Bundespatentgerichts über die Erteilung einer Lizenz nach Artikel 40d des Patentgesetzes vom 25. Juni 195497 entscheidet das Bundesgericht innerhalb eines Monats nach Anhebung der Beschwerde.98
LTF). Il fonde son raisonnement sur les faits retenus par la juridiction de première instance (art. 105 al. 1
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz
BGG Art. 105 Massgebender Sachverhalt - 1 Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat.
1    Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat.
2    Es kann die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz von Amtes wegen berichtigen oder ergänzen, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Artikel 95 beruht.
3    Richtet sich die Beschwerde gegen einen Entscheid über die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung, so ist das Bundesgericht nicht an die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz gebunden.95
LTF) sauf s'ils ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz
BGG Art. 95 Schweizerisches Recht - Mit der Beschwerde kann die Verletzung gerügt werden von:
a  Bundesrecht;
b  Völkerrecht;
c  kantonalen verfassungsmässigen Rechten;
d  kantonalen Bestimmungen über die politische Stimmberechtigung der Bürger und Bürgerinnen und über Volkswahlen und -abstimmungen;
e  interkantonalem Recht.
LTF (art. 105 al. 2
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz
BGG Art. 105 Massgebender Sachverhalt - 1 Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat.
1    Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat.
2    Es kann die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz von Amtes wegen berichtigen oder ergänzen, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Artikel 95 beruht.
3    Richtet sich die Beschwerde gegen einen Entscheid über die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung, so ist das Bundesgericht nicht an die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz gebunden.95
LTF). Le recourant qui entend s'écarter des faits constatés doit expliquer de manière circonstanciée en quoi les conditions de l'art. 105 al. 2
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz
BGG Art. 105 Massgebender Sachverhalt - 1 Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat.
1    Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat.
2    Es kann die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz von Amtes wegen berichtigen oder ergänzen, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Artikel 95 beruht.
3    Richtet sich die Beschwerde gegen einen Entscheid über die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung, so ist das Bundesgericht nicht an die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz gebunden.95
LTF sont réalisées (cf. art. 97 al. 1
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz
BGG Art. 97 Unrichtige Feststellung des Sachverhalts - 1 Die Feststellung des Sachverhalts kann nur gerügt werden, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Artikel 95 beruht und wenn die Behebung des Mangels für den Ausgang des Verfahrens entscheidend sein kann.
1    Die Feststellung des Sachverhalts kann nur gerügt werden, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Artikel 95 beruht und wenn die Behebung des Mangels für den Ausgang des Verfahrens entscheidend sein kann.
2    Richtet sich die Beschwerde gegen einen Entscheid über die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung, so kann jede unrichtige oder unvollständige Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gerügt werden.86
LTF).

2.
Le litige a trait à la suppression de la rente entière allouée à la recourante par décision du 24 juin 2005, en application des dispositions finales de la modification de la LAI du 18 mars 2011 entrée en vigueur le 1 er janvier 2012 (6 ème révision de l'AI, premier volet, RO 2011 5659, FF 2010 1647). Il porte plus particulièrement sur la question de savoir si l'état de santé de cette dernière entraînait une incapacité de travail et de gain au sens de l'art. 7
SR 830.1 Bundesgesetz vom 6. Oktober 2000 über den Allgemeinen Teil des Sozialversicherungsrechts (ATSG)
ATSG Art. 7 Erwerbsunfähigkeit - 1 Erwerbsunfähigkeit ist der durch Beeinträchtigung der körperlichen, geistigen oder psychischen Gesundheit verursachte und nach zumutbarer Behandlung und Eingliederung verbleibende ganze oder teilweise Verlust der Erwerbsmöglichkeiten auf dem in Betracht kommenden ausgeglichenen Arbeitsmarkt.
1    Erwerbsunfähigkeit ist der durch Beeinträchtigung der körperlichen, geistigen oder psychischen Gesundheit verursachte und nach zumutbarer Behandlung und Eingliederung verbleibende ganze oder teilweise Verlust der Erwerbsmöglichkeiten auf dem in Betracht kommenden ausgeglichenen Arbeitsmarkt.
2    Für die Beurteilung des Vorliegens einer Erwerbsunfähigkeit sind ausschliesslich die Folgen der gesundheitlichen Beeinträchtigung zu berücksichtigen. Eine Erwerbsunfähigkeit liegt zudem nur vor, wenn sie aus objektiver Sicht nicht überwindbar ist.11
LPGA au moment de la décision de suppression.

Le jugement attaqué expose de manière complète les dispositions légales et les principes jurisprudentiels nécessaires à la solution du litige, de telle sorte qu'il suffit d'y renvoyer. On rappellera en particulier qu'en application de la let. a al. 1 des dispositions finales de la 6 ème révision de l'AI, les rentes octroyées en raison d'un syndrome sans pathogénèse ni étiologie claires et sans constat de déficit organique seront réexaminées dans un délai de trois ans à compter de l'entrée en vigueur de la révision; si les conditions visées à l'art. 7
SR 830.1 Bundesgesetz vom 6. Oktober 2000 über den Allgemeinen Teil des Sozialversicherungsrechts (ATSG)
ATSG Art. 7 Erwerbsunfähigkeit - 1 Erwerbsunfähigkeit ist der durch Beeinträchtigung der körperlichen, geistigen oder psychischen Gesundheit verursachte und nach zumutbarer Behandlung und Eingliederung verbleibende ganze oder teilweise Verlust der Erwerbsmöglichkeiten auf dem in Betracht kommenden ausgeglichenen Arbeitsmarkt.
1    Erwerbsunfähigkeit ist der durch Beeinträchtigung der körperlichen, geistigen oder psychischen Gesundheit verursachte und nach zumutbarer Behandlung und Eingliederung verbleibende ganze oder teilweise Verlust der Erwerbsmöglichkeiten auf dem in Betracht kommenden ausgeglichenen Arbeitsmarkt.
2    Für die Beurteilung des Vorliegens einer Erwerbsunfähigkeit sind ausschliesslich die Folgen der gesundheitlichen Beeinträchtigung zu berücksichtigen. Eine Erwerbsunfähigkeit liegt zudem nur vor, wenn sie aus objektiver Sicht nicht überwindbar ist.11
LPGA ne sont pas remplies, la rente sera réduite ou supprimée même si les conditions de l'art. 17 al. 1
SR 830.1 Bundesgesetz vom 6. Oktober 2000 über den Allgemeinen Teil des Sozialversicherungsrechts (ATSG)
ATSG Art. 17 Revision der Invalidenrente und anderer Dauerleistungen - 1 Die Invalidenrente wird von Amtes wegen oder auf Gesuch hin für die Zukunft erhöht, herabgesetzt oder aufgehoben, wenn der Invaliditätsgrad einer Rentenbezügerin oder eines Rentenbezügers sich:
1    Die Invalidenrente wird von Amtes wegen oder auf Gesuch hin für die Zukunft erhöht, herabgesetzt oder aufgehoben, wenn der Invaliditätsgrad einer Rentenbezügerin oder eines Rentenbezügers sich:
a  um mindestens fünf Prozentpunkte ändert; oder
b  auf 100 Prozent erhöht.17
2    Auch jede andere formell rechtskräftig zugesprochene Dauerleistung wird von Amtes wegen oder auf Gesuch hin erhöht, herabgesetzt oder aufgehoben, wenn sich der ihr zu Grunde liegende Sachverhalt nachträglich erheblich verändert hat.
LPGA ne sont pas remplies.

3. La juridiction cantonale a constaté que la rente initialement accordée à la recourante en 2005 l'avait été seulement en raison d'un trouble somatoforme douloureux et d'autres troubles psychiques assimilés à celui-ci par la jurisprudence, à savoir des syndromes sans pathogénèse ni étiologie claires et sans constat de déficit organique. Elle a retenu que l'état de santé de l'assurée ne s'était pas dégradé depuis lors, ce qu'indiquaient les experts D.________ et E.________ dans leurs rapports respectifs. Le premier faisait en effet état d'une capacité de travail de 100 % dans l'activité habituelle, sans limitation du point de vue rhumatologique; le second attestait une capacité médico-théorique minimale de 70 % dans toute activité adaptée, compte tenu d'un trouble douloureux associé à la fois à des facteurs psychologiques et une affection médicale générale. La recourante avait certes produit un rapport du docteur F._________ posant le diagnostic de sclérose en plaques; celui-ci était toutefois daté du 12 mars 2015, et était donc postérieur à la décision administrative litigieuse; ses incidences sur la capacité de travail de la recourante devaient être examinées dans le cadre d'une nouvelle demande. L'autorité cantonale a enfin
examiné le trouble somatoforme douloureux diagnostiqué chez l'assurée au regard de la nouvelle jurisprudence du Tribunal fédéral en la matière (ATF 141 V 281). Elle a conclu que l'expertise du docteur E.________ permettait une appréciation du cas à la lumière des indicateurs définis par cette jurisprudence et démontrait de manière convaincante que le trouble dont souffrait la recourante n'avait pas un caractère invalidant. La suppression de la rente était dès lors justifiée.

4.
La recourante reproche à la juridiction cantonale de n'avoir pas tenu compte du diagnostic de sclérose en plaques en violation du principe de la libre appréciation des preuves. Selon elle, si le diagnostic avait certes été posé postérieurement à la décision administrative attaquée, il permettait toutefois une meilleure compréhension de l'état de fait pertinent et devait être pris en compte. L'apparition de la maladie était en effet antérieure à la décision litigieuse et affaiblissait fortement la valeur probante des expertises réalisées dans le cadre de la révision, qui se fondaient sur une anamnèse incomplète et une vision faussée de l'état de santé effectif de la recourante.

5.

5.1. On ne peut suivre la recourante dans la mesure où elle fonde son argumentation sur le rapport de la doctoresse H.________ établi le 15 décembre 2016 - soit postérieurement au jugement cantonal -, qu'elle a produit à l'appui de son recours au Tribunal fédéral. De tels moyens de preuve nouveaux (vrais nova) sont en effet d'emblée inadmissibles (art. 99 al. 1
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz
BGG Art. 99 - 1 Neue Tatsachen und Beweismittel dürfen nur so weit vorgebracht werden, als erst der Entscheid der Vorinstanz dazu Anlass gibt.
1    Neue Tatsachen und Beweismittel dürfen nur so weit vorgebracht werden, als erst der Entscheid der Vorinstanz dazu Anlass gibt.
2    Neue Begehren sind unzulässig.
LTF). Au demeurant, la recourante, qui explique seulement avoir souvent déménagé et changé de médecins, ne démontre pas qu'elle aurait objectivement été empêchée de produire un tel document en instance cantonale (cf. arrêt 9C 151/2016 du 27 janvier 2017 consid. 6.2).
Le diagnostic de la sclérose en plaque a toutefois également été évoqué dans les rapports des docteurs F.________, G.________ et H.________ que la recourante a déposés au cours de l'instance cantonale. La question se pose dès lors de savoir si la juridiction cantonale devait tenir compte du contenu de ces évaluations dans son appréciation des preuves, ou si elle les a écartées à juste titre en considérant que les conséquences du nouveau diagnostic posé par ces médecins devaient faire l'objet d'une nouvelle demande auprès de l'office intimé.

5.2. Selon une jurisprudence constante, le juge des assurances sociales apprécie la légalité des décisions attaquées d'après l'état de fait existant au moment où la décision litigieuse a été rendue (ATF 121 V 365 consid. 1b p. 366 et les références). Les faits qui sont survenus postérieurement et ont modifié cette situation doivent en règle générale faire l'objet d'une nouvelle décision administrative (ATF 117 V 293 consid. 4). Le juge doit cependant prendre en compte les faits survenus postérieurement dans la mesure où ils sont étroitement liés à l'objet du litige et de nature à influencer l'appréciation au moment où la décision attaquée a été rendue. En particulier, même s'il a été rendu postérieurement à la date déterminante, un rapport médical doit être pris en considération s'il a trait à la situation antérieure à cette date (cf. ATF 99 V 98 consid. 4 p. 102; arrêts 9C 25/2012 du 25 avril 2012 consid. 2.1; 9C 931/2008 du 8 mai 2009 consid. 4.3).

5.3. En l'espèce, selon les constatations de la juridiction cantonale, qui ne sont pas remises en cause par les parties (consid. 1 supra), le diagnostic de sclérose en plaques a été posé pour la première fois par le docteur F.________ dans un rapport du 12 mars 2015, qui se réfère à un examen du 29 janvier 2015, et il est donc postérieur à la décision litigieuse, datée du 19 janvier 2015. Compte tenu des lésions mises en évidence par le docteur F.________ au moyen d'une IRM cervicale (lésions médullaires et occipitales), il ne fait toutefois aucun doute que la recourante était déjà atteinte d'une sclérose en plaques lorsque l'office intimé s'est prononcé, dix jours avant l'examen médical. On ne saurait suivre l'office intimé à ce sujet, lorsqu'il affirme en instance cantonale que, compte tenu des nombreux examens radiologiques pratiqués sans mentionner la sclérose en plaques, celle-ci doit être apparue quelques mois seulement avant la pose du diagnostic; le docteur F.________ n'a pu confirmer cette suspicion qu'après avoir pratiqué des IRM cervicales et cérébrales, que n'avaient pas fait réaliser les experts ou médecins traitants jusqu'alors.
Ceci ne signifie pas encore que la sclérose en plaques avait une influence sur la capacité de travail de la recourante au moment de la décision litigieuse. Le docteur F.________ ne se prononce en effet pas sur la question. Pour sa part, la doctoresse G.________ a expliqué que l'évolution négative de l'état de santé de sa patiente depuis 2005 était certainement aussi due à la sclérose en plaques et qu'elle concluait à une incapacité de travail de 100 % (rapport du 12 mai 2015); elle se prononçait toutefois en qualité de psychiatre et son avis ne suffit pas à distinguer de manière définitive les effets de la sclérose en plaques de ceux du syndrome somatoforme douloureux jusqu'alors diagnostiqué, dont l'expert E.________ a considéré qu'il n'avait pas un caractère invalidant. Enfin, la doctoresse H.________ a exposé de nouveaux symptômes affectant la recourante dans un rapport parvenu au tribunal le 12 juillet 2016; ceux-ci semblent toutefois être apparus à partir du mois de février 2016 et leur cause était encore incertaine.
En l'état du dossier, il n'était toutefois pas possible d'exclure que la sclérose en plaques ait pu être à l'origine, ou à tout le moins interagir avec les troubles musculaires, la fatigue et les douleurs dont se plaignait la recourante et qui avaient fait l'objet des expertises des docteurs D.________ et E.________. La doctrine médicale retient en effet que la sclérose en plaques est une affection démyélinisante inflammatoire chronique qui peut engendrer à la fois des troubles neurologiques, cognitifs et émotionnels et que les changements neuro-comportementaux sont fréquemment sous-diagnostiqués (cf. S. SIMIONI /J.-M. ANNONI/ M. GESCHWIND/ P. VUILLEUMIER /M. SCHLUEP, Modifications neurocomportementales secondaires à la sclérose en plaques, in Revue médicale suisse 2009/5 p. 951-954). En conséquence, même si cette maladie n'était pas à l'origine de l'octroi initial de la rente en 2005, elle a pu affecter l'état de santé de la recourante au moment où l'administration a décidé la suppression des prestations. Dans cette mesure, les experts qui se sont prononcés sans connaître ce diagnostic n'ont pas pu évaluer les plaintes et la capacité de travail de l'assurée de manière complète, voire exacte. L'appréciation des preuves effectuées
par la cour cantonale repose ainsi sur des constatations médicales incomplètes. Le réexamen de la rente fondé sur la let. a al. 1 des dispositions finales de la 6 ème révision de l'AI suppose de tenir compte de la situation telle qu'elle prévaut au moment de la décision administrative, soit d'éventuelles nouvelles atteintes présentées par l'assuré et limitant sa capacité de travail (ATF 139 V 547 consid. 10.1.1 et 10.1.2 p. 568 s.). Or comme le docteur F.________ a attesté que la recourante souffrait d'une sclérose en plaques, dont on doit admettre qu'elle est apparue au plus tard au moment de la décision attaquée, et que la doctoresse G.________ a fait état d'une aggravation de l'état de santé de sa patiente, vraisemblablement en lien avec la sclérose en plaques, la suppression de la rente octroyée à l'assurée n'est donc à ce stade pas justifiée.

5.4. Compte tenu de ce qui précède, il convient de renvoyer la cause à l'office intimé pour qu'il procède à une instruction complémentaire sur le plan médical afin de déterminer si la sclérose en plaques a pu avoir une incidence sur la capacité de travail de la recourante au moment de la suppression de la rente.

Au vu de ce résultat, il n'est pas nécessaire d'examiner plus avant les autres griefs de la recourante en relation avec la valeur probante de l'expertise du docteur E.________ et l'appréciation des preuves de la juridiction cantonale.

6.
Vu l'issue du litige, l'office intimé supporte les frais de la procédure. La recourante a droit à une indemnité de dépens à la charge de l'administration pour la procédure fédérale (art. 68 al. 1
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz
BGG Art. 68 Parteientschädigung - 1 Das Bundesgericht bestimmt im Urteil, ob und in welchem Mass die Kosten der obsiegenden Partei von der unterliegenden zu ersetzen sind.
1    Das Bundesgericht bestimmt im Urteil, ob und in welchem Mass die Kosten der obsiegenden Partei von der unterliegenden zu ersetzen sind.
2    Die unterliegende Partei wird in der Regel verpflichtet, der obsiegenden Partei nach Massgabe des Tarifs des Bundesgerichts alle durch den Rechtsstreit verursachten notwendigen Kosten zu ersetzen.
3    Bund, Kantonen und Gemeinden sowie mit öffentlich-rechtlichen Aufgaben betrauten Organisationen wird in der Regel keine Parteientschädigung zugesprochen, wenn sie in ihrem amtlichen Wirkungskreis obsiegen.
4    Artikel 66 Absätze 3 und 5 ist sinngemäss anwendbar.
5    Der Entscheid der Vorinstanz über die Parteientschädigung wird vom Bundesgericht je nach Ausgang des Verfahrens bestätigt, aufgehoben oder geändert. Dabei kann das Gericht die Entschädigung nach Massgabe des anwendbaren eidgenössischen oder kantonalen Tarifs selbst festsetzen oder die Festsetzung der Vorinstanz übertragen.
LTF).

Par ces motifs, le Tribunal fédéral prononce :

1.
Le recours est partiellement admis. Le jugement du Tribunal cantonal du canton de Fribourg, Cour des assurances sociales, du 15 novembre 2016 et la décision de l'Office AI du canton de Fribourg du 19 janvier 2015 sont annulés. La cause est renvoyée à l'office intimé pour complément d'instruction au sens des considérants et nouvelle décision. Le recours est rejeté pour le surplus.

2.
Les frais judiciaires, arrêtés à 800 fr., sont mis à la charge de l'intimé.

3.
L'intimé versera à la recourante la somme de 2'800 fr. à titre de dépens pour la procédure devant le Tribunal fédéral.

4.
La cause est renvoyée au Tribunal cantonal du canton de Fribourg, Cour des assurances sociales pour nouvelle décision sur les frais et les dépens de la procédure antérieure.

5.
Le présent arrêt est communiqué aux parties, au Tribunal cantonal du canton de Fribourg, Cour des assurances sociales, et à l'Office fédéral des assurances sociales.

Lucerne, le 20 avril 2017

Au nom de la IIe Cour de droit social
du Tribunal fédéral suisse

La Présidente : Pfiffner

La Greffière : Hurni
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 9C_34/2017
Date : 20. April 2017
Publié : 08. Mai 2017
Source : Bundesgericht
Statut : Unpubliziert
Domaine : Invalidenversicherung
Objet : Assurance-invalidité


Répertoire des lois
LPGA: 7 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 7 Incapacité de gain - 1 Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
1    Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
2    Seules les conséquences de l'atteinte à la santé sont prises en compte pour juger de la présence d'une incapacité de gain. De plus, il n'y a incapacité de gain que si celle-ci n'est pas objectivement surmontable.12
17
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
1    La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
a  subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou
b  atteint 100 %.19
2    De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement.
LTF: 42 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
68 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
95 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
96 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour:
a  inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse;
b  application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire.
97 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
99 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
105 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
106 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
107
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 107 Arrêt - 1 Le Tribunal fédéral ne peut aller au-delà des conclusions des parties.
1    Le Tribunal fédéral ne peut aller au-delà des conclusions des parties.
2    Si le Tribunal fédéral admet le recours, il statue lui-même sur le fond ou renvoie l'affaire à l'autorité précédente pour qu'elle prenne une nouvelle décision. Il peut également renvoyer l'affaire à l'autorité qui a statué en première instance.
3    Si le Tribunal fédéral considère qu'un recours en matière d'entraide pénale internationale ou d'assistance administrative internationale en matière fiscale est irrecevable, il rend une décision de non-entrée en matière dans les quinze jours qui suivent la fin d'un éventuel échange d'écritures. Dans le domaine de l'entraide pénale internationale, le Tribunal fédéral n'est pas lié par ce délai lorsque la procédure d'extradition concerne une personne dont la demande d'asile n'a pas encore fait l'objet d'une décision finale entrée en force.100
4    Le Tribunal fédéral statue sur tout recours contre une décision du Tribunal fédéral des brevets portant sur l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets101 dans le mois qui suit le dépôt du recours.102
Répertoire ATF
117-V-287 • 121-V-362 • 139-V-547 • 141-V-281 • 99-V-98
Weitere Urteile ab 2000
9C_151/2016 • 9C_25/2012 • 9C_34/2017 • 9C_931/2008
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
sclérose en plaques • tribunal fédéral • tribunal cantonal • assurance sociale • incapacité de travail • office ai • rente entière • appréciation des preuves • vue • examinateur • mois • violation du droit • recours en matière de droit public • jour déterminant • nouvelle demande • incident • entrée en vigueur • médecine interne • droit social • neurologie • office fédéral des assurances sociales • trouble somatoforme douloureux • d'office • tennis • chronique • décision • bénéfice • calcul • libre appréciation des preuves • communication • membre d'une communauté religieuse • ue • effet • fribourg • forme et contenu • diagnostic • ai • notion • suppression de la prestation d'assurance • rapport médical • frais judiciaires • frais de la procédure • directive • rapport entre • révision • annulabilité • information • nouvelles • condition • décision de renvoi • première instance • doctrine • doute • mention • examen radiologique • autorité cantonale • rente d'invalidité • objet du litige • plaignant • moyen de preuve • participation à la procédure • fibromyalgie
... Ne pas tout montrer
AS
AS 2011/5659
FF
2010/1647