Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

6B 1408/2016

Urteil vom 20. Februar 2018

Strafrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichter Denys, Präsident,
Bundesrichter Rüedi, Bundesrichterin Jametti,
Gerichtsschreiber Attinger.

Verfahrensbeteiligte
X.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Christian Zuberbühler,
Beschwerdeführer,

gegen

1. Generalstaatsanwaltschaft des Kantons Bern,
2. A.________,
Beschwerdegegnerinnen.

Gegenstand
Sexuelle Nötigung, stationäre therapeutische Massnahme, Willkür,

Beschwerde gegen das Urteil des Obergerichts des Kantons Bern, Strafabteilung, 1. Strafkammer, vom 23. August 2016 (SK 15 118).

Sachverhalt:

A.
Das Regionalgericht Oberland sprach X.________ am 26. Januar 2015 der mehrfachen sexuellen Nötigung, der mehrfachen sexuellen Handlungen mit Kindern sowie der mehrfachen Pornografie schuldig. Vom Vorwurf der Begehung dieser Delikte in weiteren Fällen sprach es ihn frei. Es bestrafte ihn mit einer Freiheitsstrafe von 23 Monaten und mit einer Geldstrafe von 20 Tagessätzen zu Fr. 30.--. Die Untersuchungs- und die Sicherheitshaft von 545 Tagen rechnete das Regionalgericht X.________ auf die Freiheitsstrafe an. Überdies ordnete es eine Massnahme für junge Erwachsene gemäss Art. 61
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 61 - 1 Si l'auteur avait moins de 25 ans au moment de l'infraction et qu'il souffre de graves troubles du développement de la personnalité, le juge peut ordonner son placement dans un établissement pour jeunes adultes aux conditions suivantes:
1    Si l'auteur avait moins de 25 ans au moment de l'infraction et qu'il souffre de graves troubles du développement de la personnalité, le juge peut ordonner son placement dans un établissement pour jeunes adultes aux conditions suivantes:
a  l'auteur a commis un crime ou un délit en relation avec ces troubles;
b  il est à prévoir que cette mesure le détournera de nouvelles infractions en relation avec ces troubles.
2    Les établissements pour jeunes adultes doivent être séparés des autres établissements prévus par le présent code.
3    Le placement doit favoriser l'aptitude de l'auteur à vivre de façon responsable et sans commettre d'infractions. Il doit notamment lui permettre d'acquérir une formation ou une formation continue56.
4    La privation de liberté entraînée par l'exécution de la mesure ne peut excéder quatre ans. En cas de réintégration à la suite de la libération conditionnelle, elle ne peut excéder six ans au total. La mesure doit être levée au plus tard lorsque l'auteur atteint l'âge de 30 ans.
5    Si l'auteur est également condamné pour un acte qu'il a accompli avant l'âge de 18 ans, il peut exécuter la mesure dans un établissement pour mineurs.
StGB an. Der Vollzug der Massnahme habe der Freiheitsstrafe vorauszugehen. Schliesslich verurteilte ihn das Gericht zur Bezahlung einer Genugtuung von je Fr. 4'000.-- an A.________ und eine weitere Zivilklägerin.

B.
Gegen dieses Urteil erhoben sowohl X.________ als auch die Generalstaatsanwaltschaft des Kantons Bern Berufung. Das Obergericht des Kantons Bern bestätigte am 23. August 2016 die erstinstanzlichen Schuld- und Freisprüche, soweit sie nicht - mangels Beanstandung in den beiden Berufungen - bereits in Rechtskraft erwachsen waren. Hinsichtlich eines einzigen eingeklagten Sachverhalts gelangte das Obergericht im Gegensatz zum Regionalgericht zu einer (weiteren) Verurteilung wegen sexueller Handlungen mit einem Kind. Es bestrafte X.________ mit einer Freiheitsstrafe von 34 Monaten und einer Geldstrafe von 20 Tagessätzen zu Fr. 30.--. Untersuchungs- und Sicherheitshaft von insgesamt 545 Tagen wurden auf die Freiheitsstrafe angerechnet. Das Obergericht ordnete zudem eine Massnahme für junge Erwachsene gemäss Art. 61
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 61 - 1 Si l'auteur avait moins de 25 ans au moment de l'infraction et qu'il souffre de graves troubles du développement de la personnalité, le juge peut ordonner son placement dans un établissement pour jeunes adultes aux conditions suivantes:
1    Si l'auteur avait moins de 25 ans au moment de l'infraction et qu'il souffre de graves troubles du développement de la personnalité, le juge peut ordonner son placement dans un établissement pour jeunes adultes aux conditions suivantes:
a  l'auteur a commis un crime ou un délit en relation avec ces troubles;
b  il est à prévoir que cette mesure le détournera de nouvelles infractions en relation avec ces troubles.
2    Les établissements pour jeunes adultes doivent être séparés des autres établissements prévus par le présent code.
3    Le placement doit favoriser l'aptitude de l'auteur à vivre de façon responsable et sans commettre d'infractions. Il doit notamment lui permettre d'acquérir une formation ou une formation continue56.
4    La privation de liberté entraînée par l'exécution de la mesure ne peut excéder quatre ans. En cas de réintégration à la suite de la libération conditionnelle, elle ne peut excéder six ans au total. La mesure doit être levée au plus tard lorsque l'auteur atteint l'âge de 30 ans.
5    Si l'auteur est également condamné pour un acte qu'il a accompli avant l'âge de 18 ans, il peut exécuter la mesure dans un établissement pour mineurs.
StGB in Verbindung mit einer stationären therapeutischen Massnahme nach Art. 59
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 59 - 1 Lorsque l'auteur souffre d'un grave trouble mental, le juge peut ordonner un traitement institutionnel aux conditions suivantes:
1    Lorsque l'auteur souffre d'un grave trouble mental, le juge peut ordonner un traitement institutionnel aux conditions suivantes:
a  l'auteur a commis un crime ou un délit en relation avec ce trouble;
b  il est à prévoir que cette mesure le détournera de nouvelles infractions en relation avec ce trouble.
2    Le traitement institutionnel s'effectue dans un établissement psychiatrique approprié ou dans un établissement d'exécution des mesures.
3    Le traitement s'effectue dans un établissement fermé tant qu'il y a lieu de craindre que l'auteur ne s'enfuie ou ne commette de nouvelles infractions. Il peut aussi être effectué dans un établissement pénitentiaire au sens de l'art. 76, al. 2, dans la mesure où le traitement thérapeutique nécessaire est assuré par du personnel qualifié.55
4    La privation de liberté entraînée par le traitement institutionnel ne peut en règle générale excéder cinq ans. Si les conditions d'une libération conditionnelle ne sont pas réunies après cinq ans et qu'il est à prévoir que le maintien de la mesure détournera l'auteur de nouveaux crimes ou de nouveaux délits en relation avec son trouble mental, le juge peut, à la requête de l'autorité d'exécution, ordonner la prolongation de la mesure de cinq ans au plus à chaque fois.
StGB an, zu deren Gunsten es den Vollzug der Freiheitsstrafe aufschob. Im Zivilpunkt bestätigte es das regionalgerichtliche Urteil.
Soweit letztinstanzlich von Bedeutung, geht das Obergericht im Wesentlichen von folgendem Sachverhalt aus: X.________ hatte sowohl persönlich als auch auf elektronischem Wege Kontakt mit A.________ (Jg. 1994). Ungefähr ab 27. Juli 2013 setzte er sie mittels Chatnachrichten auf Facebook zunehmend unter grossen Druck, indem er im Chat sowohl unter seinem Namen wie auch (über einen sog. fake-account) als "Y.________" agierte. Dabei ging A.________ davon aus, dass es sich bei "Y.________" tatsächlich um eine Freundin von X.________ handelte. Dieser verfolgte das Ziel, A.________ dazu zu bewegen, ihren damaligen Freund zu verlassen. A.________ schenkte den im Vorfeld ausgesprochenen Drohungen Glauben, weswegen sie der Forderung nachkam und die Beziehung zu ihrem Freund beendete. Am Abend des 2. Augusts 2013 entschied sie sich jedoch aus freien Stücken, X.________ zu Hause aufzusuchen. Dort kam es in der Nacht vorab zu Zungenküssen, was A.________ zunächst ablehnte, schliesslich aber aus Angst vor den ihr angedrohten "Konsequenzen" zuliess. Danach verlangte X.________ von ihr Oralverkehr, was sie wiederum ablehnte. Daraufhin stellte X.________ A.________ erneut "Konsequenzen" in Aussicht und erklärte ihr, sie wisse ja, dass er den
Frauen beim Sex gerne die Luft wegnehme. Konkret versetzte er A.________ in Angst, indem er ihr "zum Test" einen Plastiksack über den Kopf zog und ihr damit die Luftzufuhr unterbrach. Als sie zu zappeln begann, nahm er den Sack weg. Er sagte ihr, er sei "spitz" und kriege was er wolle, das wisse sie ja. Sie müsse ihn oral befriedigen, es sei denn, sie wolle Schmerzen. Er setzte sich rittlings auf A.________, welche auf dem Rücken lag. Durch das vorangegangene Luftwegnehmen und die Drohungen stand A.________ derart unter psychischem Druck, dass sie schliesslich - durch X.________ auch körperlich fixiert - den von diesem geforderten Oralverkehr vollzog. Nach seinem Orgasmus erklärte er ihr, sie sei jetzt sein Eigentum, sie solle ihn lieben und alles machen, was er verlange, wenn sie wolle, dass niemandem etwas passiere. A.________ schlief die Nacht bei X.________. Am andern Morgen machte er ihr Frühstück und liess sie gehen mit der Auflage, am Abend wiederzukommen, sonst werde sie bestraft.

C.
Mit Beschwerde in Strafsachen beantragt X.________, das angefochtene Urteil sei dahingehend abzuändern, als er vom Vorwurf der sexuellen Nötigung zum Nachteil von A.________ freizusprechen und zu einer acht Monate nicht übersteigenden Freiheitsstrafe zu verurteilen sei. Von einer stationären Massnahme sei abzusehen, eventuell sei eine ambulante Massnahme anzuordnen. Für die erstandene Überhaft von 305 Tagen sei er angemessen zu entschädigen. Schliesslich sei die Zivilklage von A.________ abzuweisen. Eventuell sei die Angelegenheit zu neuer Entscheidung an das Obergericht zurückzuweisen. X.________ ersucht zudem um Gewährung der unentgeltlichen Rechtspflege.

Erwägungen:

1.
Der Beschwerdeführer wendet sich gegen den Vorwurf der sexuellen Nötigung zum Nachteil der Beschwerdegegnerin 2. Er rügt die vorinstanzliche Sachverhaltsfeststellung als willkürlich und beanstandet die Abweisung seines Antrags auf Befragung der Beschwerdegegnerin 2 durch die Vorinstanz. Überdies macht er eine Verletzung von Bundesrecht geltend, indem die Vorinstanz das Nötigungsmittel des "Unter-psychischen-Druck-Setzens" zu Unrecht bejahe.

1.1. Die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz kann vor Bundesgericht nur gerügt werden, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG beruht und wenn die Behebung des Mangels für den Ausgang des Verfahrens entscheidend sein kann (Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
BGG). Offensichtlich unrichtig ist die Sachverhaltsfeststellung, wenn sie willkürlich ist (BGE 141 IV 249 E. 1.3.1 S. 253 mit Hinweis). Willkür bei der Beweiswürdigung liegt vor, wenn der angefochtene Entscheid schlechterdings unhaltbar ist, mit der tatsächlichen Situation in klarem Widerspruch steht oder auf einem offenkundigen Versehen beruht (BGE 141 IV 369 E. 6.3 S. 375 mit Hinweisen). Willkür ist nicht gegeben, wenn eine andere Würdigung der Beweise auch möglich oder gar einleuchtender wäre (BGE 140 III 16 E. 2.1 S. 18 mit Hinweisen). Die Willkürrüge muss in der Beschwerde explizit vorgebracht und substanziiert begründet werden (Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG). Auf eine rein appellatorische Kritik am angefochtenen Urteil tritt das Bundesgericht nicht ein (BGE 142 III 364 E. 2.4 S. 368).

1.2. Die Vorinstanz beurteilt die Aussagen der Beschwerdegegnerin 2 anlässlich ihrer Einvernahmen durch die Polizei (am 4. und am 5. August 2013) und die Staatsanwaltschaft (am 15. April 2014) sowie im Rahmen der erstinstanzlichen Hauptverhandlung als im Kerngeschehen grundsätzlich konstant, gleichbleibend und überzeugend. Sie stellt - unter anderen Beweismitteln - auch vollumfänglich darauf ab.
Zu ihrer Einschätzung eines glaubhaften und widerspruchsfreien Aussageverhaltens gelangt die Vorinstanz durch eine eingehende Auswertung der Angaben in den verschiedenen Verfahrensstadien. Das Tatgeschehen werde (zunächst in freier Erzählung) stets ausführlich und detailliert geschildert. Insbesondere die mannigfachen Drohungen des Beschwerdeführers würden bildlich dargelegt und wörtlich wiedergegeben. Die von ihm gebrauchten Redewendungen seien zum Teil derart originell (zum Beispiel: "Irgend ein Vögelchen hat mir gesagt, dass du zu viel über mich weisst"), dass sie nach Auffassung der Vorinstanz von der noch relativ jungen und unsicheren Beschwerdegegnerin 2 kaum erfunden worden sein können. Dasselbe gelte auch für den "Test" des Luftabstellens, den der Beschwerdeführer laut Schilderung der Beschwerdegegnerin 2 an ihr praktiziert hat. Nach der im angefochtenen Entscheid einlässlich begründeten Auffassung der Vorinstanz mindert die "- nota bene einzige - Ungenauigkeit" (das Überstülpen eines Plastiksacks über den Kopf fand in der ersten polizeilichen Einvernahme noch keine Erwähnung) die Glaubhaftigkeit der Aussagen der Beschwerdegegnerin 2 nicht. Ihre Sachverhaltsdarstellung, wonach der Beschwerdeführer habe testen wollen, wie
lange sie die Luft anhalten könne, sei im Kerngehalt stets unverändert geblieben. Überdies sei nirgends auszumachen, dass sie den Beschwerdeführer übermässig belastet oder schlecht gemacht hätte. Vielmehr habe sie ihn anlässlich der Einvernahme durch die Staatsanwaltschaft als eigentlich liebe, lustige und verständnisvolle Person bezeichnet. Als Realitätskriterium wertet die Vorinstanz sodann, dass die Beschwerdegegnerin 2 ihre eigene Reaktion und ihre Empfindungen differenziert geschildert habe. So habe sie ausgeführt, sie sei mit gemischten Gefühlen zum Beschwerdeführer gegangen. Einerseits habe sie sich gefreut, ihn zu sehen, andererseits sei ihr nicht wohl gewesen und sie habe auch Angst gehabt. Die Vorinstanz weist auch darauf hin, dass die Beschwerdegegnerin 2 gemäss den Protokollen zu verschiedenen Befragungen bei der Schilderung des Kerngeschehens von Emotionen überwältigt worden sei. Schliesslich habe sie auch freimütig Umstände geäussert, welche geeignet wären, an der Glaubhaftigkeit ihrer Aussagen Zweifel aufkommen zu lassen. Beispielsweise habe sie bereits in der ersten polizeilichen Einvernahme angegeben, am Morgen nach dem zur Anzeige gebrachten Vorfall noch beim Beschwerdeführer gefrühstückt zu haben.

1.3.

1.3.1. Der Beschwerdeführer vergleicht zunächst eine Aussage der Beschwerdegegnerin 2 in der polizeilichen Einvernahme vom 5. August 2013 mit einer Passage aus dem Protokoll der Konfrontationseinvernahme durch die Staatsanwaltschaft vom 15. April 2014. Erstere wurde von der Polizei folgendermassen protokolliert: "Er sagte mir, dass er nun etwas ausprobieren wolle. Ich fragte was. Er sagte, ich wüsste ja, dass er beim Sex den Frauen gerne die Luft wegnehmen würde. Also mit seiner Hand die Atemwege an Nase und Mund blockieren würde. Er würde eine Hand über Nase und Mund halten oder mit einer Hand am Hals würgen. Ich schaute ihn an und sagte, dass ich nicht will, dass er das an mir teste. Er sagte [Übertragung aus dem Schweizerdeutschen], 'du musst keine Angst haben, es passiert nichts. Du musst einfach zappeln, wenn du keine Luft mehr hast.' Er nahm einen Plastiksack [...]. Er legte mir den Sack über den Kopf bis über den Mund und zog den Sack zu. Als ich keine Luft mehr kriegte, fing ich an zu zappeln. Er nahm den Sack sogleich weg. Er sagte, er mache das einfach so zum abschätzen wie lange ich ohne Luft sein könne. Er wolle wissen, wie lange er bei mir die Luftzufuhr während dem Sex unterbrechen könne."
Gegenüber der Staatsanwaltschaft führte die Beschwerdegegnerin 2 wörtlich aus (S. 6 des Konfrontationsprotokolls) : "Was waren das für Drohungen?" - "Die eine war, dass er mir den Mund zuhalten und mir so die Luft abstellen würde. Er sagte, mit jedem Nein von mir gäbe es 3 oder 4 Sekunden weniger Luft für mich [...]". "Hat X.________ das gemacht oder Ihnen damit gedroht?" - "Nein er hat es nicht gemacht, nur gedroht".
Der Beschwerdeführer erblickt in den zitierten Aussagen insofern einen Widerspruch, als in der polizeilichen Einvernahme vom 5. August 2013 von einer Drohung (noch) "keine Rede" gewesen sei. Vielmehr habe die Beschwerdegegnerin 2 dort angegeben, der Beschwerdeführer habe ihr gesagt, sie müsse keine Angst haben, es werde nichts passieren. Dem Einwand kann nicht gefolgt werden. Zum einen wurde eine Drohung im Sinne der letztzitierten Passage von der Beschwerdegegnerin 2 bereits anlässlich der ersten Einvernahme durch die Polizei am 4. August 2013 wie auch im Rahmen der erstinstanzlichen Hauptverhandlung geschildert. Selbst im Protokoll zur polizeilichen Einvernahme vom 5. August 2013, auf welches sich der Beschwerdeführer beruft, findet sich für den Zeitraum vor dem 2. August 2013 die Wiedergabe eines vom Beschwerdeführer angedrohten "Spiels" (sic) : "Er würde mir Fragen stellen. Nachdem er 6 Mal angelogen worden sei, würde es 30 Sekunden weniger Luft geben." Ganz abgesehen davon wird das Blockieren der Atemwege als solches von einer betroffenen Person zweifellos als äusserst bedrohlich empfunden, woran die Bezeichnung des Vorgangs als (wie auch immer gearteter) "Test" und die Versicherung, es werde schon nichts passieren, wenig
ändert. Aufgrund der gesamten Aktenlage kann sich im Übrigen die Aussage gegenüber der Staatsanwaltschaft, wonach der Beschwerdeführer "es nicht gemacht, nur gedroht" habe, einzig auf die unmittelbar davor beschriebene stetige Verkürzung der Luftzufuhr beziehen (vgl. hiezu auch nachfolgende E. 1.5.2). Die erwähnten Vorbringen des Beschwerdeführers sind jedenfalls nicht geeignet, die Glaubhaftigkeit der angeführten Aussagen und die darauf abstellende Beweiswürdigung der Vorinstanz in Zweifel zu ziehen.

1.3.2. Dasselbe gilt mit Bezug auf den vom Beschwerdeführer erhobenen Einwand, die Beschwerdegegnerin 2 habe am 5. August 2013 gegenüber der Polizei angegeben, zu keinem Zeitpunkt etwas gesagt zu haben. Erst vor der Staatsanwaltschaft und bei der Befragung durch das erstinstanzliche Gericht habe sie ausgesagt, sich verbal gewehrt zu haben. Dieser Widerspruch in einer zentralen Frage, welcher auch im Rahmen der rechtlichen Würdigung eine entscheidende Rolle spiele, dürfe nicht einfach "beweiswürdigend unter den Teppich gekehrt" werden. Der Vorwurf ist indes aktenwidrig. Die zitierte Äusserung der Beschwerdegegnerin 2, wonach sie "zu keinem Zeitpunkt" etwas gesagt habe (S. 14 des polizeilichen Protokolls), bezieht sich offenkundig nur auf die von ihr auf der vorangehenden Seite geschilderte Phase des Tatgeschehens. Demgegenüber lässt sich an anderer Stelle desselben Protokolls (S. 11) wie auch demjenigen zur Einvernahme vom 4. August 2013 die Aussage entnehmen, sie habe dem Beschwerdeführer gesagt, dass sie keinen Oralverkehr wolle. Das vorinstanzliche Abstellen auf diese in sämtlichen Befragungen konstant gebliebene Darstellung belegt keine Willkür.

1.3.3. Mit Bezug auf die Beweiskraft der Angaben seiner Eltern und seiner Schwester, das Nachtatverhalten der Beschwerdegegnerin 2 sowie deren Aussage, wonach sie seine (auch von "Y.________" ausgesprochenen) Drohungen ernst genommen habe, beschränkt sich der Beschwerdeführer darauf, seine eigene Würdigung der Beweislage auszubreiten. Er zeigt nicht auf, inwieweit die vorinstanzliche Beweiswürdigung schlechterdings unhaltbar ist und sich ein anderes Beweisergebnis aufgrund seiner Vorbringen geradezu aufdrängt (vgl. E. 1.1 hievor). Für die Rüge einer willkürlichen Beweiswürdigung genügt es nicht, wenn der Beschwerdeführer zum Beweisergebnis wie in einem appellatorischen Verfahren frei plädiert und den verbindlichen Sachverhalt (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG) einzig mit seiner eigenen Darstellung bestreitet. Er verkennt, dass das Bundesgericht keine Appellationsinstanz ist, die eine freie Prüfung in tatsächlicher Hinsicht vornimmt. Auf die den Begründungsanforderungen gemäss Art. 42 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
und Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG nicht genügenden Willkürrügen ist nicht einzutreten.

1.4.

1.4.1. Der in Art. 389 Abs. 1
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 389 Compléments de preuves - 1 La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance.
1    La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance.
2    L'administration des preuves du tribunal de première instance n'est répétée que si:
a  les dispositions en matière de preuves ont été enfreintes;
b  l'administration des preuves était incomplète;
c  les pièces relatives à l'administration des preuves ne semblent pas fiables.
3    L'autorité de recours administre, d'office ou à la demande d'une partie, les preuves complémentaires nécessaires au traitement du recours.
StPO statuierte Grundsatz, wonach das Rechtsmittelverfahren auf den Beweisen beruht, die im Vorverfahren und im erstinstanzlichen Hauptverfahren erhoben worden sind, gelangt nur zur Anwendung, soweit die Beweise, auf welche die Rechtsmittelinstanz ihren Entscheid stützen will, prozesskonform erhoben worden sind. Erweisen sich Beweiserhebungen als rechtsfehlerhaft (lit. a), unvollständig (lit. b) oder unzuverlässig (lit. c) im Sinne von Art. 389 Abs. 2
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 389 Compléments de preuves - 1 La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance.
1    La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance.
2    L'administration des preuves du tribunal de première instance n'est répétée que si:
a  les dispositions en matière de preuves ont été enfreintes;
b  l'administration des preuves était incomplète;
c  les pièces relatives à l'administration des preuves ne semblent pas fiables.
3    L'autorité de recours administre, d'office ou à la demande d'une partie, les preuves complémentaires nécessaires au traitement du recours.
StPO, sind sie von der Rechtsmittelinstanz erneut vorzunehmen. Eine unmittelbare Beweisabnahme hat im mündlichen Berufungsverfahren gemäss Art. 343 Abs. 3
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 343 Administration des preuves - 1 Le tribunal procède à l'administration de nouvelles preuves ou complète les preuves administrées de manière insuffisante.
1    Le tribunal procède à l'administration de nouvelles preuves ou complète les preuves administrées de manière insuffisante.
2    Le tribunal réitère l'administration des preuves qui, lors de la procédure préliminaire, n'ont pas été administrées en bonne et due forme.
3    Il réitère l'administration des preuves qui, lors de la procédure préliminaire, ont été administrées en bonne et due forme lorsque la connaissance directe du moyen de preuve apparaît nécessaire au prononcé du jugement.
in Verbindung mit Art. 405 Abs. 1
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 405 Procédure orale - 1 Les dispositions sur les débats de première instance s'appliquent par analogie aux débats d'appel.
1    Les dispositions sur les débats de première instance s'appliquent par analogie aux débats d'appel.
2    La direction de la procédure cite à comparaître aux débats d'appel le prévenu ou la partie plaignante qui a déclaré l'appel ou l'appel joint. Dans les cas simples, elle peut, à leur demande, les dispenser de participer aux débats et les autoriser à déposer par écrit leurs conclusions motivées.
3    Elle cite le ministère public à comparaître aux débats:
a  dans les cas visés à l'art. 337, al. 3 et 4;
b  s'il a déclaré l'appel ou l'appel joint.
4    Si le ministère public n'est pas cité à comparaître, il peut déposer par écrit ses conclusions ainsi que la motivation à l'appui de celles-ci ou comparaître en personne.
StPO auch zu erfolgen, wenn die unmittelbare Kenntnis des Beweismittels für die Urteilsfällung notwendig erscheint. Eine unmittelbare Beweisabnahme ist notwendig, wenn sie den Ausgang des Verfahrens beeinflussen kann, insbesondere wenn die Kraft des Beweismittels in entscheidender Weise vom Eindruck abhängt, der bei seiner Präsentation entsteht. Dies ist beispielsweise der Fall, wenn es in besonderem Masse auf den unmittelbaren Eindruck einer Zeugenaussage ankommt, so etwa, wenn Aussage gegen Aussage steht. Das Gericht verfügt bei der Frage, ob eine erneute
Beweisabnahme erforderlich ist, über einen Ermessensspielraum (BGE 143 IV 288 E. 1.4.1 S. 290; 140 IV 196 E. 4.4.1 und 4.4.2 S. 199 f.; Urteil 6B 422/2017 vom 12. Dezember 2017 E. 4.3.1 mit Hinweisen).

1.4.2. Der vorinstanzliche Verzicht, die im Vorverfahren und im erstinstanzlichen Hauptverfahren nicht weniger als vier Mal einvernommene Beschwerdegegnerin 2 im Berufungsverfahren erneut zu befragen, verletzt Art. 343 Abs. 3
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 343 Administration des preuves - 1 Le tribunal procède à l'administration de nouvelles preuves ou complète les preuves administrées de manière insuffisante.
1    Le tribunal procède à l'administration de nouvelles preuves ou complète les preuves administrées de manière insuffisante.
2    Le tribunal réitère l'administration des preuves qui, lors de la procédure préliminaire, n'ont pas été administrées en bonne et due forme.
3    Il réitère l'administration des preuves qui, lors de la procédure préliminaire, ont été administrées en bonne et due forme lorsque la connaissance directe du moyen de preuve apparaît nécessaire au prononcé du jugement.
StPO nicht. Es liegt insofern keine blosse Aussage-gegen-Aussage-Konstellation vor, als der Vorinstanz auch ein aufschlussreicher Berichtsrapport der Kantonspolizei Bern vom 6. August 2013 (sowie sichergestellte Chat-Protokolle) zur Verfügung standen. Dem polizeilichen Bericht und den späteren Aussagen des Beschwerdeführers lässt sich entnehmen, dass dieser beim Eintreffen der Polizeibeamten seinen Laptop und sein Mobiltelefon aus dem Fenster in den Garten geworfen und - ebenfalls durch ein offenes Fenster - zu flüchten versucht hat. Gegenüber den ihn festnehmenden Polizisten machte er eine Panikattacke geltend und erklärte, dass er sofort alles sagen wolle; er habe "dumme Sachen" geschrieben, aber niemanden vergewaltigt. Diese Reaktion erfolgte zu einem Zeitpunkt, in dem der Beschwerdeführer eigentlich noch gar nicht wissen konnte, welche strafrechtlichen Vorwürfe gegen ihn erhoben worden waren. Die Vorinstanz wertet dies als (weiteres) gewichtiges Indiz dafür, dass sich der von der Beschwerdeführerin 2
geschilderte Vorfall tatsächlich zugetragen hat und der Beschwerdeführer wusste, dass er sich über deren Willen hinweggesetzt hatte. Ein deutliches Lügensignal erblickt die Vorinstanz sodann in einem Schreiben vom 17. Oktober 2013, welches der Beschwerdeführer über zwei Monate nach der polizeilichen Einvernahme aus der Untersuchungshaft an die Staatsanwaltschaft richtete. Darin führte er aus, die Beschwerdegegnerin 2 habe ihn am Morgen nach dem - ihm zufolge einvernehmlichen - Oralverkehr vergeblich darum gebeten, für sie Drogen aufzubewahren. Die Vorinstanz wertet dies als nachgeschobene Unterstellung, welche durch nichts belegt sei und sich auch nicht logisch in die zunächst präsentierte Version der Ereignisse einbetten lasse. Damit versuche der Beschwerdeführer, die Glaubwürdigkeit der Beschwerdegegnerin 2 zu untergraben und ihr ein mögliches Motiv für die von ihm geltend gemachte Falschaussage anzulasten. Schliesslich unterzieht die Vorinstanz das Verhalten des Beschwerdeführers bei all seinen Befragungen einer eingehenden Prüfung und gelangt in umfassender Würdigung zum - willkürfreien - Schluss, dass auf seine Aussagen mangels Glaubhaftigkeit nicht abgestellt werden könne.
Bei Beantwortung der Frage, ob zuvor prozesskonform erfolgte Beweiserhebungen im Berufungsverfahren nach der dargelegten Rechtsprechung zu wiederholen seien, darf denn auch nicht ausgeblendet werden, wenn sich - wie hier - die beiden einander widersprechenden Aussagen nach der gesamten Aktenlage hinsichtlich Glaubhaftigkeit keineswegs gleichwertig gegenüberstehen. Die Vorinstanz hat jedenfalls das ihr zustehende Ermessen nicht verletzt, als sie in Würdigung auch der übrigen Beweise darauf verzichtete, die bereits mehrfach einvernommene Beschwerdegegnerin 2 im Berufungsverfahren ein weiteres Mal zu befragen.

1.5.

1.5.1. Eine sexuelle Nötigung gemäss Art. 189 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 189 - 1 Celui qui, notamment en usant de menace ou de violence envers une personne, en exerçant sur elle des pressions d'ordre psychique ou en la mettant hors d'état de résister l'aura contrainte à subir un acte analogue à l'acte sexuel ou un autre acte d'ordre sexuel, sera puni d'une peine privative de liberté de dix ans au plus ou d'une peine pécuniaire278.
1    Celui qui, notamment en usant de menace ou de violence envers une personne, en exerçant sur elle des pressions d'ordre psychique ou en la mettant hors d'état de résister l'aura contrainte à subir un acte analogue à l'acte sexuel ou un autre acte d'ordre sexuel, sera puni d'une peine privative de liberté de dix ans au plus ou d'une peine pécuniaire278.
2    ...279
3    Si l'auteur a agi avec cruauté, notamment s'il a fait usage d'une arme dangereuse ou d'un autre objet dangereux, la peine sera la peine privative de liberté280 de trois ans au moins.281
StGB begeht, wer eine Person zur Duldung einer beischlafsähnlichen oder einer anderen sexuellen Handlung nötigt, namentlich indem er sie bedroht, Gewalt anwendet, sie unter psychischen Druck setzt oder zum Widerstand unfähig macht. Die Vorschrift bezweckt den Schutz der sexuellen Selbstbestimmung. Das Individuum soll sich im Bereich des Geschlechtslebens unabhängig von äusseren Zwängen oder Abhängigkeiten frei entfalten und entschliessen können. Der Tatbestand setzt voraus, dass der Täter das Opfer durch eine Nötigungshandlung dazu bringt, eine sexuelle Handlung zu erdulden oder vorzunehmen. Dabei werden alle erheblichen Nötigungsmittel erfasst, auch solche ohne unmittelbaren Bezug zu physischer Gewalt. Geschützt wird mithin auch dasjenige Opfer, das in eine ausweglose Situation gerät, in der es ihm nicht zuzumuten ist, sich dem Vorhaben des Täters zu widersetzen, auch wenn dieser keine Gewalt anwendet (BGE 131 IV 167 E. 3 S. 169 f.)
Dass sich die Ausweglosigkeit der Situation auch ergeben kann, ohne dass der Täter eigentliche Gewalt anwendet, zeigt namentlich die Tatbestandsvariante des Unter-Druck-Setzens. Der psychische Druck, aufgrund dessen es zu einer beischlafsähnlichen oder einer anderen sexuellen Handlung kommt, muss mit Blick auf die gewaltdeliktische Natur von Art. 189
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 189 - 1 Celui qui, notamment en usant de menace ou de violence envers une personne, en exerçant sur elle des pressions d'ordre psychique ou en la mettant hors d'état de résister l'aura contrainte à subir un acte analogue à l'acte sexuel ou un autre acte d'ordre sexuel, sera puni d'une peine privative de liberté de dix ans au plus ou d'une peine pécuniaire278.
1    Celui qui, notamment en usant de menace ou de violence envers une personne, en exerçant sur elle des pressions d'ordre psychique ou en la mettant hors d'état de résister l'aura contrainte à subir un acte analogue à l'acte sexuel ou un autre acte d'ordre sexuel, sera puni d'une peine privative de liberté de dix ans au plus ou d'une peine pécuniaire278.
2    ...279
3    Si l'auteur a agi avec cruauté, notamment s'il a fait usage d'une arme dangereuse ou d'un autre objet dangereux, la peine sera la peine privative de liberté280 de trois ans au moins.281
StGB von besonderer Intensität sein. Zwar wird nicht verlangt, dass er zur Widerstandsunfähigkeit des Opfers führt. Die Einwirkung auf dasselbe muss aber immerhin erheblich sein und eine der Gewaltanwendung oder Bedrohung vergleichbare Intensität erreichen. Dies ist der Fall, wenn vom Opfer unter den gegebenen Umständen und in Anbetracht seiner persönlichen Verhältnisse verständlicherweise kein Widerstand erwartet werden kann bzw. ihm ein solcher nicht zuzumuten ist. Ob die tatsächlichen Verhältnisse die tatbeständlichen Anforderungen eines Nötigungsmittels erfüllen, lässt sich erst aufgrund einer umfassenden Würdigung der konkreten Umstände entscheiden. Die Auslegung von Art. 189
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 189 - 1 Celui qui, notamment en usant de menace ou de violence envers une personne, en exerçant sur elle des pressions d'ordre psychique ou en la mettant hors d'état de résister l'aura contrainte à subir un acte analogue à l'acte sexuel ou un autre acte d'ordre sexuel, sera puni d'une peine privative de liberté de dix ans au plus ou d'une peine pécuniaire278.
1    Celui qui, notamment en usant de menace ou de violence envers une personne, en exerçant sur elle des pressions d'ordre psychique ou en la mettant hors d'état de résister l'aura contrainte à subir un acte analogue à l'acte sexuel ou un autre acte d'ordre sexuel, sera puni d'une peine privative de liberté de dix ans au plus ou d'une peine pécuniaire278.
2    ...279
3    Si l'auteur a agi avec cruauté, notamment s'il a fait usage d'une arme dangereuse ou d'un autre objet dangereux, la peine sera la peine privative de liberté280 de trois ans au moins.281
StGB hat sich insoweit insbesondere an der Frage der zumutbaren Selbstschutzmöglichkeiten des Opfers zu orientieren (BGE 131 IV 167 E. 3.1 S. 170 f.; 128 IV 106 E. 3a/bb und 3b S. 111 und 113; Urteile 6B 95/
2015 vom 25. Januar 2016 E. 5.1 und 6B 1149/2014 vom 16. Juli 2015 E. 5.1.3, je mit Hinweisen).

1.5.2. Nach dem massgebenden (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG), eingangs angeführten Sachverhalt (lit. B hievor) drohte der Beschwerdeführer der Beschwerdegegnerin 2 in der Nacht vom 2. auf den 3. August 2013 mit "Konsequenzen" und "Schmerzen", wenn sie ihn nicht oral befriedige. Zusätzlich sind indessen die massiven, im Vorfeld des Treffens in verschiedenen Chatnachrichten erfolgten Drohungen zu berücksichtigen. Wie die Vorinstanz zutreffend feststellt, hatten auch diese bzw. ihre Nachwirkung Anteil am Zusammenspiel der verschiedenen Nötigungsmittel. Bei den in der Anklageschrift (S. 8 f.) im Einzelnen angeführten Chatnachrichten geht es u.a. um Drohungen, die Gewalttätigkeiten gegen die Beschwerdegegnerin 2 selber und ihr nahestehende Personen befürchten liessen. Angesichts ihrer gewaltdeliktischen Natur waren sie geeignet, bei der Beschwerdegegnerin 2 einen erheblichen psychischen Druck zu erzeugen. Entgegen der Auffassung des Beschwerdeführers spielt nur eine untergeordnete Rolle, dass die von einem fake-account unter dem Pseudonym "Y.________" abgesetzten Nachrichten bereits "einige Tage bis einige Stunden" vor dem hier zu beurteilenden Vorfall bei der Beschwerdegegnerin 2 eingingen und er nach der vorinstanzlichen
Sachverhaltsfeststellung nur habe erreichen wollen, dass sie mit ihrem damaligen Freund "Schluss" mache. Entscheidend ist, dass die Chatnachrichten - unabhängig von der ursprünglich damit verfolgten Absicht - in ihrer tiefgreifenden Bedrohlichkeit am Tatabend weiterhin nachhallten. Der Beschwerdeführer war sich dieses Effektes bewusst, verstärkte ihn durch verschiedentliche Anspielungen (er kriege was er wolle, das wisse sie ja) und machte ihn sich schliesslich auch zunutze. Indem er im Zusammenhang mit vorerst nicht näher konkretisierten "Konsequenzen" erklärte, die Beschwerdegegnerin 2 wisse ja, dass er den Frauen beim Sex gerne die Luft wegnehme, stellte er einen Bezug her zur Chatnachricht vom 30. Juli 2013, in welcher "Y.________" der Beschwerdegegnerin 2 sein "Lieblingsspiel" erläutert hatte: "5 x lügen und man ist tot. Er nimmt dir jedes Mal, wenn du lügst, 30 Sekunden länger die Luft weg... und 5 x lügen sind 3 Minuten" (S. 9 der Anklageschrift). Spätestens mit dieser Andeutung waren die in der vorangegangenen Woche durch perfides Doppelspiel im Chat aufgebaute Drohkulisse und der damit verbundene psychische Druck für die Beschwerdegegnerin 2 wieder allgegenwärtig.
Vor diesem Hintergrund erfuhr ihre Bedrängnis unmittelbar darauf eine weitere Steigerung, indem ihr der Beschwerdeführer den bereits mehrfach erwähnten Plastiksack über den Kopf stülpte und am Hals zuzog, angeblich um zu testen, wie lange sie die Luft anhalten könne. Schliesslich setzte er sich rittlings über sie und fixierte sie körperlich. Durch das Zusammenwirken der unablässig verstärkten Zwangsmittel derart eingeschüchtert und in die Enge getrieben, sah die Beschwerdegegnerin 2 letztlich keinen andern Ausweg, als sich dem Ansinnen des Beschwerdeführers zu beugen und ihn gegen ihren klar geäusserten Willen oral zu befriedigen. Hat die Beschwerdegegnerin 2 aber aus der puren Angst heraus gehandelt, die auf Gewalttätigkeiten hinzielenden Drohungen (namentlich Würgen und längerdauerndes Luftabstellen) würden unvermittelt wahrgemacht, hat sie unter dem Eindruck der Ausweglosigkeit ihrer Situation kapituliert. Hinsichtlich der Zumutbarkeit von Selbstschutzmassnahmen kann ihr nicht vorgeworfen werden, sie hätte einfach das Zimmer des Beschwerdeführers verlassen und sich dessen Angehörigen anvertrauen können, welche sich im Tatzeitpunkt ebenfalls in der Wohnung aufhielten. Wie das kantonale Gericht zutreffend feststellt, befand sich
die Beschwerdegegnerin 2 im unmittelbaren Machtbereich des Beschwerdeführers und wagte - gefangen in der von diesem stetig zugespitzten Zwangssituation - eben keinen Ausbruch, zumal sie in der entscheidenden Phase vom über ihr sitzenden Beschwerdeführer gewaltsam fixiert wurde. Mit Blick auf die Tragweite der angedrohten Übel erscheint das Nachgeben unter den vorliegenden Umständen als nachvollziehbar. Dass die eingeschüchterte und völlig verunsicherte Beschwerdegegnerin 2 nach dem abgenötigten Oralverkehr bis am Morgen beim Beschwerdeführer verblieb, mit ihm frühstückte und sich erst am Abend einer Freundin anvertraute, unterstreicht, wie nachhaltig die raffiniert geschaffene und ständig verschärfte Zwangslage wirkte.
Der Schuldspruch wegen sexueller Nötigung im Sinne von Art. 189 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 189 - 1 Celui qui, notamment en usant de menace ou de violence envers une personne, en exerçant sur elle des pressions d'ordre psychique ou en la mettant hors d'état de résister l'aura contrainte à subir un acte analogue à l'acte sexuel ou un autre acte d'ordre sexuel, sera puni d'une peine privative de liberté de dix ans au plus ou d'une peine pécuniaire278.
1    Celui qui, notamment en usant de menace ou de violence envers une personne, en exerçant sur elle des pressions d'ordre psychique ou en la mettant hors d'état de résister l'aura contrainte à subir un acte analogue à l'acte sexuel ou un autre acte d'ordre sexuel, sera puni d'une peine privative de liberté de dix ans au plus ou d'une peine pécuniaire278.
2    ...279
3    Si l'auteur a agi avec cruauté, notamment s'il a fait usage d'une arme dangereuse ou d'un autre objet dangereux, la peine sera la peine privative de liberté280 de trois ans au moins.281
StGB verletzt nach dem Gesagten kein Bundesrecht.

1.6. Da es beim angefochtenen Schuldspruch bleibt, sind die Rechtsbegehren betreffend Höhe der Freiheitsstrafe, Entschädigung wegen Überhaft und Abweisung der Zivilklage gegenstandslos, stützen sie sich doch ausschliesslich auf den beantragten Freispruch.

2.
Der Beschwerdeführer rügt, die von der Vorinstanz angeordnete stationäre Massnahme sei unverhältnismässig. Dabei übt er inhaltliche Kritik an den Gutachten der Psychiaterin Dr. med. B.________ vom Forensisch-Psychiatrischen Dienst (FPD) der Universität Bern, welche dem vorinstanzlichen Entscheid zugrundeliegen. Im Übrigen sei die Begutachtung in Verletzung der Ausstandsvorschriften zustandegekommen.

2.1.

2.1.1. Den letztgenannten Einwand erhebt der Beschwerdeführer unter Hinweis auf ein von ihm an seinen Rechtsvertreter gerichtetes E-Mail vom 15. Juni 2016. Darin fasste er ein Gespräch mit der Gutachterin vom 7. Juni 2016 zusammen. Sie habe ihm gegenüber geäussert, ob er und sein Anwalt wirklich denken würden, dass er freikomme, und dass er, wenn er weiter auf seiner Unschuld bestehe, ein "100-Jahre-Massnahmekandidat" wäre. Von der Vorinstanz darum ersucht, nahm Dr. med. B.________ mit Schreiben vom 23. Juni 2016 dahingehend Stellung, als das fragliche Gespräch ihrer Erinnerung nach anders verlaufen sei, als vom Beschwerdeführer geschildert. Sie müsse sich bei der Begutachtung auf den im erstinstanzlichen Urteil festgestellten Sachverhalt abstützen. Im Rahmen der Exploration müsse erfragt werden, ob der Beschwerdeführer seit der letzten Begutachtung ein Verständnis dafür entwickelt habe, welche Faktoren zu seiner Delinquenz beigetragen hätten und wie er diese Faktoren in Zukunft beeinflussen könne. Sollte der Beschwerdeführer zwischenzeitlich ein fundiertes Tatverständnis gewonnen haben, so sei dies als prognostisch günstig zu beurteilen. Im Begutachtungsgespräch sei es auch darum gegangen, dem Beschwerdeführer diesen Umstand
deutlich zu machen, was offensichtlich zu Missverständnissen geführt habe.

2.1.2. Wie die Vorinstanz zu Recht erkennt, steht der genaue Wortlaut des seinerzeitigen Gesprächs nicht fest. Er lässt sich denn auch nicht mehr eruieren. Aus diesem Grunde braucht auf die weiteren Ausführungen des Beschwerdeführers, welche allesamt auf seiner unbewiesenen und nicht beweisbaren Darlegung beruhen, nicht näher eingegangen zu werden. Die Vorinstanz stellt zutreffend fest, dass im Rahmen der Begutachtung vom angeklagten Sachverhalt bzw. von den mit erstinstanzlichem Urteil erfolgten Schuldsprüchen auszugehen ist. Wäre bereits darin eine Befangenheit der Gutachterin zu erblicken, wäre die Erstellung psychiatrischer Gutachten faktisch unmöglich, müssen solche doch stets zu einem Zeitpunkt vorliegen, in dem noch kein rechtskräftiges Urteil ergangen ist. Der Auffassung der Vorinstanz ist beizupflichten, wonach Dr. med. B.________ bei der Begutachtung von der nicht zu beanstandenden Arbeitshypothese eines Schuldspruchs ausgegangen ist, daneben aber durchaus in ihre Erwägungen und Schlussfolgerungen miteinbezogen hat, dass der Beschwerdeführer vom hievor beurteilten Tatvorwurf freigesprochen werden könnte. Ebenso zutreffend ist die vorinstanzliche Überlegung, ein psychiatrisch zu begutachtender Beschuldigter müsse über den
Grund der Exploration und die Faktoren, welche die Massnahmeempfehlung beeinflussen, aufgeklärt werden. Dazu gehört auch die Orientierung über die Auswirkungen eines Geständnisses auf die gutachterliche Empfehlung. Ausser der Darlegung des Beschwerdeführers, auf welche, wie erwähnt, nicht abgestellt werden kann, gibt es keinerlei Anhaltspunkte, wonach Dr. med. B.________ im Rahmen der Begutachtung und der Aufklärung darüber den Boden der beschriebenen reinen Arbeitshypothese verlassen hätte. Der geltend gemachte Vorwurf der Befangenheit im Sinne von Art. 183 Abs. 3
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 183 Qualités requises de l'expert - 1 Seule peut être désignée comme expert une personne physique qui, dans le domaine concerné, possède les connaissances et les compétences nécessaires.
1    Seule peut être désignée comme expert une personne physique qui, dans le domaine concerné, possède les connaissances et les compétences nécessaires.
2    La Confédération et les cantons peuvent avoir recours à des experts permanents ou à des experts officiels dans certains domaines.
3    Les motifs de récusation énoncés à l'art. 56 sont applicables aux experts.
in Verbindung mit Art. 56 lit. f
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 56 Motifs de récusation - Toute personne exerçant une fonction au sein d'une autorité pénale est tenue de se récuser:
a  lorsqu'elle a un intérêt personnel dans l'affaire;
b  lorsqu'elle a agi à un autre titre dans la même cause, en particulier comme membre d'une autorité, conseil juridique d'une partie, expert ou témoin;
c  lorsqu'elle est mariée, vit sous le régime du partenariat enregistré ou mène de fait une vie de couple avec une partie, avec son conseil juridique ou avec une personne qui a agi dans la même cause en tant que membre de l'autorité inférieure;
d  lorsqu'elle est parente ou alliée avec une partie, en ligne directe ou jusqu'au troisième degré en ligne collatérale;
e  lorsqu'elle est parente ou alliée en ligne directe ou jusqu'au deuxième degré en ligne collatérale avec le conseil juridique d'une partie ou d'une personne qui a agi dans la même cause en tant que membre de l'autorité inférieure;
f  lorsque d'autres motifs, notamment un rapport d'amitié étroit ou d'inimitié avec une partie ou son conseil juridique, sont de nature à la rendre suspecte de prévention.
StPO und die sich darauf stützende Forderung nach einer Zweitbegutachtung sind unbegründet.

2.2.

2.2.1. Eine Massnahme ist anzuordnen, wenn eine Strafe allein nicht geeignet ist, der Gefahr weiterer Straftaten des Täters zu begegnen, ein Behandlungsbedürfnis des Täters besteht oder die öffentliche Sicherheit dies erfordert und die Voraussetzungen der Art. 59
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 59 - 1 Lorsque l'auteur souffre d'un grave trouble mental, le juge peut ordonner un traitement institutionnel aux conditions suivantes:
1    Lorsque l'auteur souffre d'un grave trouble mental, le juge peut ordonner un traitement institutionnel aux conditions suivantes:
a  l'auteur a commis un crime ou un délit en relation avec ce trouble;
b  il est à prévoir que cette mesure le détournera de nouvelles infractions en relation avec ce trouble.
2    Le traitement institutionnel s'effectue dans un établissement psychiatrique approprié ou dans un établissement d'exécution des mesures.
3    Le traitement s'effectue dans un établissement fermé tant qu'il y a lieu de craindre que l'auteur ne s'enfuie ou ne commette de nouvelles infractions. Il peut aussi être effectué dans un établissement pénitentiaire au sens de l'art. 76, al. 2, dans la mesure où le traitement thérapeutique nécessaire est assuré par du personnel qualifié.55
4    La privation de liberté entraînée par le traitement institutionnel ne peut en règle générale excéder cinq ans. Si les conditions d'une libération conditionnelle ne sont pas réunies après cinq ans et qu'il est à prévoir que le maintien de la mesure détournera l'auteur de nouveaux crimes ou de nouveaux délits en relation avec son trouble mental, le juge peut, à la requête de l'autorité d'exécution, ordonner la prolongation de la mesure de cinq ans au plus à chaque fois.
-61
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 61 - 1 Si l'auteur avait moins de 25 ans au moment de l'infraction et qu'il souffre de graves troubles du développement de la personnalité, le juge peut ordonner son placement dans un établissement pour jeunes adultes aux conditions suivantes:
1    Si l'auteur avait moins de 25 ans au moment de l'infraction et qu'il souffre de graves troubles du développement de la personnalité, le juge peut ordonner son placement dans un établissement pour jeunes adultes aux conditions suivantes:
a  l'auteur a commis un crime ou un délit en relation avec ces troubles;
b  il est à prévoir que cette mesure le détournera de nouvelles infractions en relation avec ces troubles.
2    Les établissements pour jeunes adultes doivent être séparés des autres établissements prévus par le présent code.
3    Le placement doit favoriser l'aptitude de l'auteur à vivre de façon responsable et sans commettre d'infractions. Il doit notamment lui permettre d'acquérir une formation ou une formation continue56.
4    La privation de liberté entraînée par l'exécution de la mesure ne peut excéder quatre ans. En cas de réintégration à la suite de la libération conditionnelle, elle ne peut excéder six ans au total. La mesure doit être levée au plus tard lorsque l'auteur atteint l'âge de 30 ans.
5    Si l'auteur est également condamné pour un acte qu'il a accompli avant l'âge de 18 ans, il peut exécuter la mesure dans un établissement pour mineurs.
, 63
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 63 - 1 Lorsque l'auteur souffre d'un grave trouble mental, est toxico-dépendant ou qu'il souffre d'une autre addiction, le juge peut ordonner un traitement ambulatoire au lieu d'un traitement institutionnel, aux conditions suivantes:
1    Lorsque l'auteur souffre d'un grave trouble mental, est toxico-dépendant ou qu'il souffre d'une autre addiction, le juge peut ordonner un traitement ambulatoire au lieu d'un traitement institutionnel, aux conditions suivantes:
a  l'auteur a commis un acte punissable en relation avec son état;
b  il est à prévoir que ce traitement le détournera de nouvelles infractions en relation avec son état.
2    Si la peine n'est pas compatible avec le traitement, le juge peut suspendre, au profit d'un traitement ambulatoire, l'exécution d'une peine privative de liberté ferme prononcée en même temps que le traitement, l'exécution d'une peine privative de liberté devenue exécutoire à la suite de la révocation du sursis et l'exécution du solde de la peine devenu exécutoire en raison d'une décision de réintégration. Il peut ordonner une assistance de probation et imposer des règles de conduite pendant la durée du traitement.
3    L'autorité compétente peut ordonner que l'auteur soit momentanément soumis à un traitement institutionnel initial temporaire si cette mesure permet de passer ensuite à un traitement ambulatoire. Le traitement institutionnel ne peut excéder deux mois au total.
4    Le traitement ambulatoire ne peut en règle générale excéder cinq ans. Si, à l'expiration de la durée maximale, il paraît nécessaire de le poursuivre pour détourner l'auteur d'autres crimes ou délits en relation avec son trouble mental, le juge peut, à la requête de l'autorité d'exécution, le prolonger de un à cinq ans à chaque fois.
oder 64 StGB erfüllt sind (Art. 56 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 56 - 1 Une mesure doit être ordonnée:
1    Une mesure doit être ordonnée:
a  si une peine seule ne peut écarter le danger que l'auteur commette d'autres infractions;
b  si l'auteur a besoin d'un traitement ou que la sécurité publique l'exige, et
c  si les conditions prévues aux art. 59 à 61, 63 ou 64 sont remplies.
2    Le prononcé d'une mesure suppose que l'atteinte aux droits de la personnalité qui en résulte pour l'auteur ne soit pas disproportionnée au regard de la vraisemblance qu'il commette de nouvelles infractions et de leur gravité.
3    Pour ordonner une des mesures prévues aux art. 59 à 61, 63 et 64 ou en cas de changement de sanction au sens de l'art. 65, le juge se fonde sur une expertise. Celle-ci se détermine:
a  sur la nécessité et les chances de succès d'un traitement;
b  sur la vraisemblance que l'auteur commette d'autres infractions et sur la nature de celles-ci;
c  sur les possibilités de faire exécuter la mesure.
4    Si l'auteur a commis une infraction au sens de l'art. 64, al. 1, l'expertise doit être réalisée par un expert qui n'a pas traité l'auteur ni ne s'en est occupé d'une quelconque manière.
4bis    Si l'internement à vie au sens de l'art. 64, al. 1bis, est envisagé, le juge prend sa décision en se fondant sur les expertises réalisées par au moins deux experts indépendants l'un de l'autre et expérimentés qui n'ont pas traité l'auteur ni ne s'en sont occupés d'une quelconque manière.53
5    En règle générale, le juge n'ordonne une mesure que si un établissement approprié est à disposition.
6    Une mesure dont les conditions ne sont plus remplies doit être levée.
StGB). Die Anordnung setzt voraus, dass der mit ihr verbundene Eingriff in die Persönlichkeitsrechte des Täters im Hinblick auf die Wahrscheinlichkeit und Schwere weiterer Straftaten nicht unverhältnismässig ist (Art. 56 Abs. 2
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 56 - 1 Une mesure doit être ordonnée:
1    Une mesure doit être ordonnée:
a  si une peine seule ne peut écarter le danger que l'auteur commette d'autres infractions;
b  si l'auteur a besoin d'un traitement ou que la sécurité publique l'exige, et
c  si les conditions prévues aux art. 59 à 61, 63 ou 64 sont remplies.
2    Le prononcé d'une mesure suppose que l'atteinte aux droits de la personnalité qui en résulte pour l'auteur ne soit pas disproportionnée au regard de la vraisemblance qu'il commette de nouvelles infractions et de leur gravité.
3    Pour ordonner une des mesures prévues aux art. 59 à 61, 63 et 64 ou en cas de changement de sanction au sens de l'art. 65, le juge se fonde sur une expertise. Celle-ci se détermine:
a  sur la nécessité et les chances de succès d'un traitement;
b  sur la vraisemblance que l'auteur commette d'autres infractions et sur la nature de celles-ci;
c  sur les possibilités de faire exécuter la mesure.
4    Si l'auteur a commis une infraction au sens de l'art. 64, al. 1, l'expertise doit être réalisée par un expert qui n'a pas traité l'auteur ni ne s'en est occupé d'une quelconque manière.
4bis    Si l'internement à vie au sens de l'art. 64, al. 1bis, est envisagé, le juge prend sa décision en se fondant sur les expertises réalisées par au moins deux experts indépendants l'un de l'autre et expérimentés qui n'ont pas traité l'auteur ni ne s'en sont occupés d'une quelconque manière.53
5    En règle générale, le juge n'ordonne une mesure que si un établissement approprié est à disposition.
6    Une mesure dont les conditions ne sont plus remplies doit être levée.
StGB). Das Gericht stützt sich bei seinem Entscheid auf eine sachverständige Begutachtung (Art. 56 Abs. 3
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 56 - 1 Une mesure doit être ordonnée:
1    Une mesure doit être ordonnée:
a  si une peine seule ne peut écarter le danger que l'auteur commette d'autres infractions;
b  si l'auteur a besoin d'un traitement ou que la sécurité publique l'exige, et
c  si les conditions prévues aux art. 59 à 61, 63 ou 64 sont remplies.
2    Le prononcé d'une mesure suppose que l'atteinte aux droits de la personnalité qui en résulte pour l'auteur ne soit pas disproportionnée au regard de la vraisemblance qu'il commette de nouvelles infractions et de leur gravité.
3    Pour ordonner une des mesures prévues aux art. 59 à 61, 63 et 64 ou en cas de changement de sanction au sens de l'art. 65, le juge se fonde sur une expertise. Celle-ci se détermine:
a  sur la nécessité et les chances de succès d'un traitement;
b  sur la vraisemblance que l'auteur commette d'autres infractions et sur la nature de celles-ci;
c  sur les possibilités de faire exécuter la mesure.
4    Si l'auteur a commis une infraction au sens de l'art. 64, al. 1, l'expertise doit être réalisée par un expert qui n'a pas traité l'auteur ni ne s'en est occupé d'une quelconque manière.
4bis    Si l'internement à vie au sens de l'art. 64, al. 1bis, est envisagé, le juge prend sa décision en se fondant sur les expertises réalisées par au moins deux experts indépendants l'un de l'autre et expérimentés qui n'ont pas traité l'auteur ni ne s'en sont occupés d'une quelconque manière.53
5    En règle générale, le juge n'ordonne une mesure que si un établissement approprié est à disposition.
6    Une mesure dont les conditions ne sont plus remplies doit être levée.
StGB). Sind mehrere Massnahmen notwendig, so kann das Gericht diese zusammen anordnen (Art. 56a Abs. 2
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 56a - 1 Si plusieurs mesures s'avèrent appropriées, mais qu'une seule est nécessaire, le juge ordonne celle qui porte à l'auteur les atteintes les moins graves.
1    Si plusieurs mesures s'avèrent appropriées, mais qu'une seule est nécessaire, le juge ordonne celle qui porte à l'auteur les atteintes les moins graves.
2    Si plusieurs mesures s'avèrent nécessaires, le juge peut les ordonner conjointement.
StGB).
Ist der Täter psychisch schwer gestört, so kann das Gericht gemäss Art. 59 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 59 - 1 Lorsque l'auteur souffre d'un grave trouble mental, le juge peut ordonner un traitement institutionnel aux conditions suivantes:
1    Lorsque l'auteur souffre d'un grave trouble mental, le juge peut ordonner un traitement institutionnel aux conditions suivantes:
a  l'auteur a commis un crime ou un délit en relation avec ce trouble;
b  il est à prévoir que cette mesure le détournera de nouvelles infractions en relation avec ce trouble.
2    Le traitement institutionnel s'effectue dans un établissement psychiatrique approprié ou dans un établissement d'exécution des mesures.
3    Le traitement s'effectue dans un établissement fermé tant qu'il y a lieu de craindre que l'auteur ne s'enfuie ou ne commette de nouvelles infractions. Il peut aussi être effectué dans un établissement pénitentiaire au sens de l'art. 76, al. 2, dans la mesure où le traitement thérapeutique nécessaire est assuré par du personnel qualifié.55
4    La privation de liberté entraînée par le traitement institutionnel ne peut en règle générale excéder cinq ans. Si les conditions d'une libération conditionnelle ne sont pas réunies après cinq ans et qu'il est à prévoir que le maintien de la mesure détournera l'auteur de nouveaux crimes ou de nouveaux délits en relation avec son trouble mental, le juge peut, à la requête de l'autorité d'exécution, ordonner la prolongation de la mesure de cinq ans au plus à chaque fois.
StGB eine stationäre Behandlung anordnen, wenn der Täter ein Verbrechen oder Vergehen begangen hat, das mit seiner psychischen Störung im Zusammenhang steht und zu erwarten ist, dadurch lasse sich der Gefahr weiterer mit seiner psychischen Störung in Zusammenhang stehender Taten begegnen. War der Täter zur Zeit der Tat noch nicht 25 Jahre alt und ist er in seiner Persönlichkeitsentwicklung erheblich gestört, so kann ihn das Gericht in eine Einrichtung für junge Erwachsene einweisen, wenn er ein Verbrechen oder Vergehen begangen hat, das mit der Störung seiner Persönlichkeitsentwicklung in Zusammenhang steht und zu erwarten ist, dadurch lasse sich der Gefahr weiterer mit der Störung seiner Persönlichkeitsentwicklung in Zusammenhang stehender Taten begegnen (Art. 61 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 61 - 1 Si l'auteur avait moins de 25 ans au moment de l'infraction et qu'il souffre de graves troubles du développement de la personnalité, le juge peut ordonner son placement dans un établissement pour jeunes adultes aux conditions suivantes:
1    Si l'auteur avait moins de 25 ans au moment de l'infraction et qu'il souffre de graves troubles du développement de la personnalité, le juge peut ordonner son placement dans un établissement pour jeunes adultes aux conditions suivantes:
a  l'auteur a commis un crime ou un délit en relation avec ces troubles;
b  il est à prévoir que cette mesure le détournera de nouvelles infractions en relation avec ces troubles.
2    Les établissements pour jeunes adultes doivent être séparés des autres établissements prévus par le présent code.
3    Le placement doit favoriser l'aptitude de l'auteur à vivre de façon responsable et sans commettre d'infractions. Il doit notamment lui permettre d'acquérir une formation ou une formation continue56.
4    La privation de liberté entraînée par l'exécution de la mesure ne peut excéder quatre ans. En cas de réintégration à la suite de la libération conditionnelle, elle ne peut excéder six ans au total. La mesure doit être levée au plus tard lorsque l'auteur atteint l'âge de 30 ans.
5    Si l'auteur est également condamné pour un acte qu'il a accompli avant l'âge de 18 ans, il peut exécuter la mesure dans un établissement pour mineurs.
StGB). Nach Art. 61 Abs. 3
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 61 - 1 Si l'auteur avait moins de 25 ans au moment de l'infraction et qu'il souffre de graves troubles du développement de la personnalité, le juge peut ordonner son placement dans un établissement pour jeunes adultes aux conditions suivantes:
1    Si l'auteur avait moins de 25 ans au moment de l'infraction et qu'il souffre de graves troubles du développement de la personnalité, le juge peut ordonner son placement dans un établissement pour jeunes adultes aux conditions suivantes:
a  l'auteur a commis un crime ou un délit en relation avec ces troubles;
b  il est à prévoir que cette mesure le détournera de nouvelles infractions en relation avec ces troubles.
2    Les établissements pour jeunes adultes doivent être séparés des autres établissements prévus par le présent code.
3    Le placement doit favoriser l'aptitude de l'auteur à vivre de façon responsable et sans commettre d'infractions. Il doit notamment lui permettre d'acquérir une formation ou une formation continue56.
4    La privation de liberté entraînée par l'exécution de la mesure ne peut excéder quatre ans. En cas de réintégration à la suite de la libération conditionnelle, elle ne peut excéder six ans au total. La mesure doit être levée au plus tard lorsque l'auteur atteint l'âge de 30 ans.
5    Si l'auteur est également condamné pour un acte qu'il a accompli avant l'âge de 18 ans, il peut exécuter la mesure dans un établissement pour mineurs.
StGB sollen dem Täter die Fähigkeiten vermittelt werden, selbstverantwortlich und straffrei zu leben; insbesondere ist seine berufliche Aus- und Weiterbildung zu fördern.

2.2.2. Die Vorinstanz erachtet das vorliegende, von Dr. med. B.________ verfasste Gutachtenkonglomerat als schlüssig (Expertise vom 23. März 2012, Ergänzungsgutachten vom 4. Februar 2014 sowie obergerichtliches Ergänzungsgutachten vom 19. Juli 2016; Angaben der Gutachterin anlässlich der erstinstanzlichen Hauptverhandlung vom 23. Januar 2015). Namentlich macht sich die Vorinstanz die Schlussfolgerung der Gutachterin zu eigen, wonach insbesondere auch mit Blick auf die festgestellte Progredienz (hievor beurteilte sexuelle Nötigung zum Nachteil der Beschwerdegegnerin 2) eine therapeutische Massnahme indiziert sei, um der hohen Rückfallgefahr angemessen zu begegnen. Beim Beschwerdeführer, der an einer Störung der Sexualpräferenz im Sinne eines Sadomasochismus sowie an einer narzisstischen Persönlichkeitsstörung leide, sei weder eine ausreichende Störungseinsicht noch eine echte Therapiebereitschaft vorhanden (so habe er denn auch die freiwillige ambulante Therapie wegen atmosphärischer Probleme abgebrochen). Seit 2010 seien sadomasochistische Phantasien und Handlungen dokumentiert, weshalb davon auszugehen sei, dass der Sadomasochismus ein integraler Bestandteil der sexuellen Ausrichtung des Beschwerdeführers geworden sei. Weil es
mit zunehmendem Alter überdies zu einer weiteren Ausgestaltung gekommen sei (tatsächliche Umsetzung der Phantasien an einem realen Gegenüber), könne nicht erwartet werden, dass die gravierende Problematik künftig von selbst verschwinde. Auch wenn es der Beschwerdeführer selber nicht wahrhaben wolle, bestehe nach wie vor ein unverändert hohes Rückfallrisiko zufolge einer schwer behandelbaren Kombination von Störungen.
Die Frage nach der Art der Massnahme beantwortet die Vorinstanz anhand der von Dr. med. B.________ empfohlenen Rahmenanforderungen. Weil der Beschwerdeführer zum einen eine engmaschige hochqualifizierte Betreuung durch einen Therapeuten benötige, der Erfahrung in der Behandlung von Sadisten und persönlichkeitsgestörten Straftätern besitze, sei die Unterbringung in einer Anstalt erforderlich, welche eine stationäre therapeutische Massnahme im Sinne von Art. 59
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 59 - 1 Lorsque l'auteur souffre d'un grave trouble mental, le juge peut ordonner un traitement institutionnel aux conditions suivantes:
1    Lorsque l'auteur souffre d'un grave trouble mental, le juge peut ordonner un traitement institutionnel aux conditions suivantes:
a  l'auteur a commis un crime ou un délit en relation avec ce trouble;
b  il est à prévoir que cette mesure le détournera de nouvelles infractions en relation avec ce trouble.
2    Le traitement institutionnel s'effectue dans un établissement psychiatrique approprié ou dans un établissement d'exécution des mesures.
3    Le traitement s'effectue dans un établissement fermé tant qu'il y a lieu de craindre que l'auteur ne s'enfuie ou ne commette de nouvelles infractions. Il peut aussi être effectué dans un établissement pénitentiaire au sens de l'art. 76, al. 2, dans la mesure où le traitement thérapeutique nécessaire est assuré par du personnel qualifié.55
4    La privation de liberté entraînée par le traitement institutionnel ne peut en règle générale excéder cinq ans. Si les conditions d'une libération conditionnelle ne sont pas réunies après cinq ans et qu'il est à prévoir que le maintien de la mesure détournera l'auteur de nouveaux crimes ou de nouveaux délits en relation avec son trouble mental, le juge peut, à la requête de l'autorité d'exécution, ordonner la prolongation de la mesure de cinq ans au plus à chaque fois.
StGB durchführen könne. Ebenso wichtig sei zum andern die soziale Stabilisation durch Erlernen eines Berufes und das soziale Lernen in der Gruppe, weshalb die Vorinstanz eine Massnahme für junge Erwachsene nach Art. 61
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 61 - 1 Si l'auteur avait moins de 25 ans au moment de l'infraction et qu'il souffre de graves troubles du développement de la personnalité, le juge peut ordonner son placement dans un établissement pour jeunes adultes aux conditions suivantes:
1    Si l'auteur avait moins de 25 ans au moment de l'infraction et qu'il souffre de graves troubles du développement de la personnalité, le juge peut ordonner son placement dans un établissement pour jeunes adultes aux conditions suivantes:
a  l'auteur a commis un crime ou un délit en relation avec ces troubles;
b  il est à prévoir que cette mesure le détournera de nouvelles infractions en relation avec ces troubles.
2    Les établissements pour jeunes adultes doivent être séparés des autres établissements prévus par le présent code.
3    Le placement doit favoriser l'aptitude de l'auteur à vivre de façon responsable et sans commettre d'infractions. Il doit notamment lui permettre d'acquérir une formation ou une formation continue56.
4    La privation de liberté entraînée par l'exécution de la mesure ne peut excéder quatre ans. En cas de réintégration à la suite de la libération conditionnelle, elle ne peut excéder six ans au total. La mesure doit être levée au plus tard lorsque l'auteur atteint l'âge de 30 ans.
5    Si l'auteur est également condamné pour un acte qu'il a accompli avant l'âge de 18 ans, il peut exécuter la mesure dans un établissement pour mineurs.
StGB in Kombination mit einer Massnahme nach Art. 59
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 59 - 1 Lorsque l'auteur souffre d'un grave trouble mental, le juge peut ordonner un traitement institutionnel aux conditions suivantes:
1    Lorsque l'auteur souffre d'un grave trouble mental, le juge peut ordonner un traitement institutionnel aux conditions suivantes:
a  l'auteur a commis un crime ou un délit en relation avec ce trouble;
b  il est à prévoir que cette mesure le détournera de nouvelles infractions en relation avec ce trouble.
2    Le traitement institutionnel s'effectue dans un établissement psychiatrique approprié ou dans un établissement d'exécution des mesures.
3    Le traitement s'effectue dans un établissement fermé tant qu'il y a lieu de craindre que l'auteur ne s'enfuie ou ne commette de nouvelles infractions. Il peut aussi être effectué dans un établissement pénitentiaire au sens de l'art. 76, al. 2, dans la mesure où le traitement thérapeutique nécessaire est assuré par du personnel qualifié.55
4    La privation de liberté entraînée par le traitement institutionnel ne peut en règle générale excéder cinq ans. Si les conditions d'une libération conditionnelle ne sont pas réunies après cinq ans et qu'il est à prévoir que le maintien de la mesure détournera l'auteur de nouveaux crimes ou de nouveaux délits en relation avec son trouble mental, le juge peut, à la requête de l'autorité d'exécution, ordonner la prolongation de la mesure de cinq ans au plus à chaque fois.
StGB als verhältnismässig und zielführend beurteilt, wobei sich das Vollzugsregime nach Art. 61
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 61 - 1 Si l'auteur avait moins de 25 ans au moment de l'infraction et qu'il souffre de graves troubles du développement de la personnalité, le juge peut ordonner son placement dans un établissement pour jeunes adultes aux conditions suivantes:
1    Si l'auteur avait moins de 25 ans au moment de l'infraction et qu'il souffre de graves troubles du développement de la personnalité, le juge peut ordonner son placement dans un établissement pour jeunes adultes aux conditions suivantes:
a  l'auteur a commis un crime ou un délit en relation avec ces troubles;
b  il est à prévoir que cette mesure le détournera de nouvelles infractions en relation avec ces troubles.
2    Les établissements pour jeunes adultes doivent être séparés des autres établissements prévus par le présent code.
3    Le placement doit favoriser l'aptitude de l'auteur à vivre de façon responsable et sans commettre d'infractions. Il doit notamment lui permettre d'acquérir une formation ou une formation continue56.
4    La privation de liberté entraînée par l'exécution de la mesure ne peut excéder quatre ans. En cas de réintégration à la suite de la libération conditionnelle, elle ne peut excéder six ans au total. La mesure doit être levée au plus tard lorsque l'auteur atteint l'âge de 30 ans.
5    Si l'auteur est également condamné pour un acte qu'il a accompli avant l'âge de 18 ans, il peut exécuter la mesure dans un établissement pour mineurs.
StGB zu richten habe.

2.2.3. Der Beschwerdeführer wendet ein, Dr. med. B.________s Expertisen seien nicht lege artis erstellt worden, weil der Gutachterin das nötige Verständnis dafür abgehe, wie die mit unzähligen sog. Emoticons relativierte Chat-Kommunikation unter Jugendlichen zu würdigen sei. Sie messe den im Internet oder per SMS geäusserten "Drohungen", sexuellen Vorlieben und Täuschungen (mittels fake-account) zu viel Bedeutung bei und habe gemäss ihrer eigenen Angaben vor dem erstinstanzlichen Gericht die vom Beschwerdeführer im Rahmen der Online-Kommunikation gemachten Aussagen "1:1 für bare Münze genommen". Dem Einwand kann nicht gefolgt werden. Dr. med. B.________ erklärte anlässlich der erstinstanzlichen Hauptverhandlung, Emoticons seien grundsätzlich eine Auslegungshilfe für den Wortlaut. Sie habe sich indessen auf Letzteren abgestützt. Für sie habe eine entscheidende Rolle gespielt, was geschrieben worden sei. Ganz abgesehen davon, dass der Beschwerdeführer selber nicht behauptet, die in der Anklageschrift angeführten, im Chat gegenüber seinen Opfern ausgestossenen massiven Drohungen seien in irgendeiner Weise relativiert worden, stützte die Gutachterin ihre Expertisen auch auf ihr gegenüber geschilderte sadistische Sexualphantasien
("Fesseln, Peitschen, mit spitzen Nadeln Stechen, seinen Penis einer Frau möglichst tief in den Mund Reinstecken, so dass ihre Augen tränen, die Vorstellung, dass die Frau ein Halsband trage und er dieses zuschnüre beim Oralsex") sowie - für den Fall einer Verurteilung in diesem Punkt - auf die Handlungen des Beschwerdeführers bei der sexuellen Nötigung der Beschwerdegegnerin 2. Anders als der Beschwerdeführer offenbar annimmt, ist überdies Dr. med. B.________ zuzutrauen, dass sie strafrechtlich allenfalls relevante elektronische Nachrichten von solchen zu unterscheiden vermag, in denen "'die heutige Jugend' in sexueller Hinsicht [bloss] eine unverblümte und direkte Sprache spricht" (S. 13 der Beschwerdeschrift).
Eine ähnliche Verharmlosung ist im Einwand des Beschwerdeführers gegen die fundierte Diagnosestellung Dr. med. B.________s zu erblicken, wenn er die bescheinigte Störung der Sexualpräferenz im Sinne eines Sadomasochismus und narzisstische Persönlichkeitsstörung in Zweifel zieht und die Frage aufwirft, ob nicht vielmehr von einem altersbedingten Ausprobieren und Grenzenausloten gesprochen werden müsse, "beeinflusst durch die 'Teenagerzeit' sowie die virtuelle Umgebung". Auch im Übrigen setzt der Beschwerdeführer der vorinstanzlichen Beweiswürdigung in rein appellatorischer Art und Weise seine eigene Sicht der Dinge entgegen, worauf das Bundesgericht praxisgemäss nicht eintritt (E. 1.1 hievor in fine). Sein Eventualbegehren, bloss eine ambulante Massnahme anzuordnen, begründet der Beschwerdeführer mit der damit verbundenen grösseren Selbstständigkeit und dem Umstand, dass eine stationäre Massnahme die (nicht näher konkretisierten) bis anhin gemachten Fortschritte und Erfolge erheblich gefährden würde. Angesichts des willkürfrei festgestellten unverändert hohen Rückfallrisikos zufolge einer schwer behandelbaren Kombination von Störungen müssen indessen diese Aspekte zurücktreten.

3.
Die Beschwerde ist abzuweisen. Bei diesem Ausgang des Verfahrens trägt der Beschwerdeführer die Gerichtskosten (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG). Das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege ist zufolge Aussichtslosigkeit der Rechtsbegehren abzuweisen (Art. 64 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens.
1    Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens.
2    Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires.
3    La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies.
4    Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire.
und 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens.
1    Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens.
2    Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires.
3    La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies.
4    Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire.
BGG). Der finanziellen Lage des Beschwerdeführers ist durch die Erhebung reduzierter Gerichtskosten Rechnung zu tragen (Art. 65 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
1    Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
2    L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière.
3    Son montant est fixé en règle générale:
a  entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations.
4    Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent:
a  des prestations d'assurance sociale;
b  des discriminations à raison du sexe;
c  des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs;
d  des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24.
5    Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4.
, Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.

2.
Das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege wird abgewiesen.

3.
Die Gerichtskosten von Fr. 1'200.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.

4.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Obergericht des Kantons Bern, Strafabteilung, 1. Strafkammer, schriftlich mitgeteilt.

Lausanne, 20. Februar 2018

Im Namen der Strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Der Präsident: Denys

Der Gerichtsschreiber: Attinger
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 6B_1408/2016
Date : 20 février 2018
Publié : 14 mars 2018
Source : Tribunal fédéral
Statut : Non publié
Domaine : Infractions
Objet : Sexuelle Nötigung, stationäre therapeutische Massnahme, Willkür


Répertoire des lois
CP: 56 
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 56 - 1 Une mesure doit être ordonnée:
1    Une mesure doit être ordonnée:
a  si une peine seule ne peut écarter le danger que l'auteur commette d'autres infractions;
b  si l'auteur a besoin d'un traitement ou que la sécurité publique l'exige, et
c  si les conditions prévues aux art. 59 à 61, 63 ou 64 sont remplies.
2    Le prononcé d'une mesure suppose que l'atteinte aux droits de la personnalité qui en résulte pour l'auteur ne soit pas disproportionnée au regard de la vraisemblance qu'il commette de nouvelles infractions et de leur gravité.
3    Pour ordonner une des mesures prévues aux art. 59 à 61, 63 et 64 ou en cas de changement de sanction au sens de l'art. 65, le juge se fonde sur une expertise. Celle-ci se détermine:
a  sur la nécessité et les chances de succès d'un traitement;
b  sur la vraisemblance que l'auteur commette d'autres infractions et sur la nature de celles-ci;
c  sur les possibilités de faire exécuter la mesure.
4    Si l'auteur a commis une infraction au sens de l'art. 64, al. 1, l'expertise doit être réalisée par un expert qui n'a pas traité l'auteur ni ne s'en est occupé d'une quelconque manière.
4bis    Si l'internement à vie au sens de l'art. 64, al. 1bis, est envisagé, le juge prend sa décision en se fondant sur les expertises réalisées par au moins deux experts indépendants l'un de l'autre et expérimentés qui n'ont pas traité l'auteur ni ne s'en sont occupés d'une quelconque manière.53
5    En règle générale, le juge n'ordonne une mesure que si un établissement approprié est à disposition.
6    Une mesure dont les conditions ne sont plus remplies doit être levée.
56a 
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 56a - 1 Si plusieurs mesures s'avèrent appropriées, mais qu'une seule est nécessaire, le juge ordonne celle qui porte à l'auteur les atteintes les moins graves.
1    Si plusieurs mesures s'avèrent appropriées, mais qu'une seule est nécessaire, le juge ordonne celle qui porte à l'auteur les atteintes les moins graves.
2    Si plusieurs mesures s'avèrent nécessaires, le juge peut les ordonner conjointement.
59 
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 59 - 1 Lorsque l'auteur souffre d'un grave trouble mental, le juge peut ordonner un traitement institutionnel aux conditions suivantes:
1    Lorsque l'auteur souffre d'un grave trouble mental, le juge peut ordonner un traitement institutionnel aux conditions suivantes:
a  l'auteur a commis un crime ou un délit en relation avec ce trouble;
b  il est à prévoir que cette mesure le détournera de nouvelles infractions en relation avec ce trouble.
2    Le traitement institutionnel s'effectue dans un établissement psychiatrique approprié ou dans un établissement d'exécution des mesures.
3    Le traitement s'effectue dans un établissement fermé tant qu'il y a lieu de craindre que l'auteur ne s'enfuie ou ne commette de nouvelles infractions. Il peut aussi être effectué dans un établissement pénitentiaire au sens de l'art. 76, al. 2, dans la mesure où le traitement thérapeutique nécessaire est assuré par du personnel qualifié.55
4    La privation de liberté entraînée par le traitement institutionnel ne peut en règle générale excéder cinq ans. Si les conditions d'une libération conditionnelle ne sont pas réunies après cinq ans et qu'il est à prévoir que le maintien de la mesure détournera l'auteur de nouveaux crimes ou de nouveaux délits en relation avec son trouble mental, le juge peut, à la requête de l'autorité d'exécution, ordonner la prolongation de la mesure de cinq ans au plus à chaque fois.
61 
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 61 - 1 Si l'auteur avait moins de 25 ans au moment de l'infraction et qu'il souffre de graves troubles du développement de la personnalité, le juge peut ordonner son placement dans un établissement pour jeunes adultes aux conditions suivantes:
1    Si l'auteur avait moins de 25 ans au moment de l'infraction et qu'il souffre de graves troubles du développement de la personnalité, le juge peut ordonner son placement dans un établissement pour jeunes adultes aux conditions suivantes:
a  l'auteur a commis un crime ou un délit en relation avec ces troubles;
b  il est à prévoir que cette mesure le détournera de nouvelles infractions en relation avec ces troubles.
2    Les établissements pour jeunes adultes doivent être séparés des autres établissements prévus par le présent code.
3    Le placement doit favoriser l'aptitude de l'auteur à vivre de façon responsable et sans commettre d'infractions. Il doit notamment lui permettre d'acquérir une formation ou une formation continue56.
4    La privation de liberté entraînée par l'exécution de la mesure ne peut excéder quatre ans. En cas de réintégration à la suite de la libération conditionnelle, elle ne peut excéder six ans au total. La mesure doit être levée au plus tard lorsque l'auteur atteint l'âge de 30 ans.
5    Si l'auteur est également condamné pour un acte qu'il a accompli avant l'âge de 18 ans, il peut exécuter la mesure dans un établissement pour mineurs.
63 
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 63 - 1 Lorsque l'auteur souffre d'un grave trouble mental, est toxico-dépendant ou qu'il souffre d'une autre addiction, le juge peut ordonner un traitement ambulatoire au lieu d'un traitement institutionnel, aux conditions suivantes:
1    Lorsque l'auteur souffre d'un grave trouble mental, est toxico-dépendant ou qu'il souffre d'une autre addiction, le juge peut ordonner un traitement ambulatoire au lieu d'un traitement institutionnel, aux conditions suivantes:
a  l'auteur a commis un acte punissable en relation avec son état;
b  il est à prévoir que ce traitement le détournera de nouvelles infractions en relation avec son état.
2    Si la peine n'est pas compatible avec le traitement, le juge peut suspendre, au profit d'un traitement ambulatoire, l'exécution d'une peine privative de liberté ferme prononcée en même temps que le traitement, l'exécution d'une peine privative de liberté devenue exécutoire à la suite de la révocation du sursis et l'exécution du solde de la peine devenu exécutoire en raison d'une décision de réintégration. Il peut ordonner une assistance de probation et imposer des règles de conduite pendant la durée du traitement.
3    L'autorité compétente peut ordonner que l'auteur soit momentanément soumis à un traitement institutionnel initial temporaire si cette mesure permet de passer ensuite à un traitement ambulatoire. Le traitement institutionnel ne peut excéder deux mois au total.
4    Le traitement ambulatoire ne peut en règle générale excéder cinq ans. Si, à l'expiration de la durée maximale, il paraît nécessaire de le poursuivre pour détourner l'auteur d'autres crimes ou délits en relation avec son trouble mental, le juge peut, à la requête de l'autorité d'exécution, le prolonger de un à cinq ans à chaque fois.
189
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 189 - 1 Celui qui, notamment en usant de menace ou de violence envers une personne, en exerçant sur elle des pressions d'ordre psychique ou en la mettant hors d'état de résister l'aura contrainte à subir un acte analogue à l'acte sexuel ou un autre acte d'ordre sexuel, sera puni d'une peine privative de liberté de dix ans au plus ou d'une peine pécuniaire278.
1    Celui qui, notamment en usant de menace ou de violence envers une personne, en exerçant sur elle des pressions d'ordre psychique ou en la mettant hors d'état de résister l'aura contrainte à subir un acte analogue à l'acte sexuel ou un autre acte d'ordre sexuel, sera puni d'une peine privative de liberté de dix ans au plus ou d'une peine pécuniaire278.
2    ...279
3    Si l'auteur a agi avec cruauté, notamment s'il a fait usage d'une arme dangereuse ou d'un autre objet dangereux, la peine sera la peine privative de liberté280 de trois ans au moins.281
CPP: 56 
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 56 Motifs de récusation - Toute personne exerçant une fonction au sein d'une autorité pénale est tenue de se récuser:
a  lorsqu'elle a un intérêt personnel dans l'affaire;
b  lorsqu'elle a agi à un autre titre dans la même cause, en particulier comme membre d'une autorité, conseil juridique d'une partie, expert ou témoin;
c  lorsqu'elle est mariée, vit sous le régime du partenariat enregistré ou mène de fait une vie de couple avec une partie, avec son conseil juridique ou avec une personne qui a agi dans la même cause en tant que membre de l'autorité inférieure;
d  lorsqu'elle est parente ou alliée avec une partie, en ligne directe ou jusqu'au troisième degré en ligne collatérale;
e  lorsqu'elle est parente ou alliée en ligne directe ou jusqu'au deuxième degré en ligne collatérale avec le conseil juridique d'une partie ou d'une personne qui a agi dans la même cause en tant que membre de l'autorité inférieure;
f  lorsque d'autres motifs, notamment un rapport d'amitié étroit ou d'inimitié avec une partie ou son conseil juridique, sont de nature à la rendre suspecte de prévention.
183 
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 183 Qualités requises de l'expert - 1 Seule peut être désignée comme expert une personne physique qui, dans le domaine concerné, possède les connaissances et les compétences nécessaires.
1    Seule peut être désignée comme expert une personne physique qui, dans le domaine concerné, possède les connaissances et les compétences nécessaires.
2    La Confédération et les cantons peuvent avoir recours à des experts permanents ou à des experts officiels dans certains domaines.
3    Les motifs de récusation énoncés à l'art. 56 sont applicables aux experts.
343 
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 343 Administration des preuves - 1 Le tribunal procède à l'administration de nouvelles preuves ou complète les preuves administrées de manière insuffisante.
1    Le tribunal procède à l'administration de nouvelles preuves ou complète les preuves administrées de manière insuffisante.
2    Le tribunal réitère l'administration des preuves qui, lors de la procédure préliminaire, n'ont pas été administrées en bonne et due forme.
3    Il réitère l'administration des preuves qui, lors de la procédure préliminaire, ont été administrées en bonne et due forme lorsque la connaissance directe du moyen de preuve apparaît nécessaire au prononcé du jugement.
389 
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 389 Compléments de preuves - 1 La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance.
1    La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance.
2    L'administration des preuves du tribunal de première instance n'est répétée que si:
a  les dispositions en matière de preuves ont été enfreintes;
b  l'administration des preuves était incomplète;
c  les pièces relatives à l'administration des preuves ne semblent pas fiables.
3    L'autorité de recours administre, d'office ou à la demande d'une partie, les preuves complémentaires nécessaires au traitement du recours.
405
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 405 Procédure orale - 1 Les dispositions sur les débats de première instance s'appliquent par analogie aux débats d'appel.
1    Les dispositions sur les débats de première instance s'appliquent par analogie aux débats d'appel.
2    La direction de la procédure cite à comparaître aux débats d'appel le prévenu ou la partie plaignante qui a déclaré l'appel ou l'appel joint. Dans les cas simples, elle peut, à leur demande, les dispenser de participer aux débats et les autoriser à déposer par écrit leurs conclusions motivées.
3    Elle cite le ministère public à comparaître aux débats:
a  dans les cas visés à l'art. 337, al. 3 et 4;
b  s'il a déclaré l'appel ou l'appel joint.
4    Si le ministère public n'est pas cité à comparaître, il peut déposer par écrit ses conclusions ainsi que la motivation à l'appui de celles-ci ou comparaître en personne.
LTF: 42 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
64 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens.
1    Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens.
2    Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires.
3    La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies.
4    Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire.
65 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
1    Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
2    L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière.
3    Son montant est fixé en règle générale:
a  entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations.
4    Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent:
a  des prestations d'assurance sociale;
b  des discriminations à raison du sexe;
c  des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs;
d  des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24.
5    Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4.
66 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
95 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
97 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
105 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
106
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
Répertoire ATF
128-IV-106 • 131-IV-167 • 140-III-16 • 140-IV-196 • 141-IV-249 • 141-IV-369 • 142-III-364 • 143-IV-288
Weitere Urteile ab 2000
6B_1149/2014 • 6B_1408/2016 • 6B_422/2017
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
autorité inférieure • air • état de fait • pression • contrainte sexuelle • peine privative de liberté • question • tribunal fédéral • victime • conscience • constatation des faits • peintre • acte d'ordre sexuel • mois • volonté • jour • jeune adulte • nuit • condamnation • mesure thérapeutique institutionnelle
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