Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
6B 884/2020
Urteil vom 19. November 2020
Strafrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Denys, Präsident,
Bundesrichterinnen van de Graaf, Koch
Gerichtsschreiberin Schär
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Harald Gattlen,
Beschwerdeführer,
gegen
1. Staatsanwaltschaft des Kantons Wallis,
Zentrales Amt,
2. B.________ AG bzw. C.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Walter Frei,
3. D.________ AG bzw. E.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Georges Schmid-Favre,
Beschwerdegegnerinnen.
Gegenstand
Einstellungsverfügung (fahrlässige Tötung),
Beschwerde gegen die Verfügung des Kantonsgerichts des Kantons Wallis, Strafkammer, vom 16. Juni 2020
(P3 20 54).
Sachverhalt:
A.
Der bei der B.________ AG angestellte F.________ verunglückte am Nachmittag des 1. September 2015 bei seiner beruflichen Tätigkeit als Bohrspezialist am Steuer eines Bohrfahrzeugs tödlich, nachdem das Gefährt beim Befahren einer steilen Rampe in einem Steinbruch der D.________ AG nach hinten gekippt und eine Felswand hinuntergestürzt war. Die Staatsanwaltschaft eröffnete ein Strafverfahren wegen fahrlässiger Tötung gegen Unbekannt.
Am 13. April 2016 stellte die Staatsanwaltschaft das Strafverfahren ein.
A.________, der Sohn von F.________, erhob Beschwerde gegen die Verfahrenseinstellung. Das Kantonsgericht Wallis wies die Beschwerde am 7. August 2017 ab.
Das Bundesgericht hiess die von A.________ gegen den Entscheid des Kantonsgerichts erhobene Beschwerde am 9. Mai 2018 gut, hob den angefochtenen Entscheid auf und wies die Sache an die Vorinstanz zur Neuregelung der Kosten- und Entschädigungsfolgen sowie an die Staatsanwaltschaft des Kantons Wallis zur Fortführung der Strafuntersuchung zurück (Verfahren 6B 1016/2017).
B.
In der Folge nahm die Staatsanwaltschaft verschiedene neue Beweismittel ab. Sie stellte des Verfahren am 21. Februar 2020 erneut ein.
C.
Mit Verfügung vom 16. Juni 2020 wies das Kantonsgericht Wallis die Beschwerde von A.________ gegen die Einstellungsverfügung ab.
D.
A.________ führt Beschwerde in Strafsachen und beantragt, die Verfügung des Kantonsgerichts vom 16. Juni 2020 sei aufzuheben und es sei die Fortführung des Strafverfahrens bzw. die Vornahme der erforderlichen Untersuchungshandlungen anzuordnen. Eventualiter sei der angefochtene Entscheid aufzuheben und die Sache an die Staatsanwaltschaft zur Neubeurteilung im Sinne der Erwägungen zurückzuweisen.
Erwägungen:
1.
1.1. Zur Beschwerde in Strafsachen ist nach Art. 81 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 81 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque: |
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1 | A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et |
b | a un intérêt juridique à l'annulation ou à la modification de la décision attaquée, soit en particulier: |
b1 | l'accusé, |
b2 | le représentant légal de l'accusé, |
b3 | le ministère public, sauf pour les décisions relatives à la mise en détention provisoire ou pour des motifs de sûreté, à la prolongation de la détention ou à sa levée, |
b4 | ... |
b5 | la partie plaignante, si la décision attaquée peut avoir des effets sur le jugement de ses prétentions civiles, |
b6 | le plaignant, pour autant que la contestation porte sur le droit de porter plainte, |
b7 | le Ministère public de la Confédération et les autorités administratives participant à la poursuite et au jugement des affaires pénales administratives selon la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif56. |
2 | Une autorité fédérale a qualité pour recourir si le droit fédéral prévoit que la décision doit lui être communiquée.57 |
3 | La qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 78, al. 2, let. b, appartient également à la Chancellerie fédérale, aux départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, aux unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions. |
Die Privatklägerschaft ist zur Beschwerde in Strafsachen nur berechtigt, wenn der angefochtene Entscheid sich auf die Beurteilung ihrer Zivilansprüche auswirken kann (Art. 81 Abs. 1 lit. b Ziff. 5
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 81 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque: |
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1 | A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et |
b | a un intérêt juridique à l'annulation ou à la modification de la décision attaquée, soit en particulier: |
b1 | l'accusé, |
b2 | le représentant légal de l'accusé, |
b3 | le ministère public, sauf pour les décisions relatives à la mise en détention provisoire ou pour des motifs de sûreté, à la prolongation de la détention ou à sa levée, |
b4 | ... |
b5 | la partie plaignante, si la décision attaquée peut avoir des effets sur le jugement de ses prétentions civiles, |
b6 | le plaignant, pour autant que la contestation porte sur le droit de porter plainte, |
b7 | le Ministère public de la Confédération et les autorités administratives participant à la poursuite et au jugement des affaires pénales administratives selon la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif56. |
2 | Une autorité fédérale a qualité pour recourir si le droit fédéral prévoit que la décision doit lui être communiquée.57 |
3 | La qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 78, al. 2, let. b, appartient également à la Chancellerie fédérale, aux départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, aux unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions. |
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat CO Art. 41 - 1 Celui qui cause, d'une manière illicite, un dommage à autrui, soit intentionnellement, soit par négligence ou imprudence, est tenu de le réparer. |
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1 | Celui qui cause, d'une manière illicite, un dommage à autrui, soit intentionnellement, soit par négligence ou imprudence, est tenu de le réparer. |
2 | Celui qui cause intentionnellement un dommage à autrui par des faits contraires aux moeurs est également tenu de le réparer. |
Als Privatklägerschaft gilt die geschädigte Person, die ausdrücklich erklärt, sich am Strafverfahren als Straf- oder Zivilklägerin zu beteiligen (Art. 118 Abs. 1
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 118 Définition et conditions - 1 On entend par partie plaignante le lésé qui déclare expressément vouloir participer à la procédure pénale comme demandeur au pénal ou au civil. |
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1 | On entend par partie plaignante le lésé qui déclare expressément vouloir participer à la procédure pénale comme demandeur au pénal ou au civil. |
2 | Une plainte pénale équivaut à une telle déclaration. |
3 | La déclaration doit être faite devant une autorité de poursuite pénale avant la clôture de la procédure préliminaire. |
4 | Si le lésé n'a pas fait spontanément de déclaration, le ministère public attire son attention dès l'ouverture de la procédure préliminaire sur son droit d'en faire une. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 115 - 1 On entend par lésé toute personne dont les droits ont été touchés directement par une infraction. |
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1 | On entend par lésé toute personne dont les droits ont été touchés directement par une infraction. |
2 | Sont toujours considérées comme des lésés les personnes qui ont qualité pour déposer plainte pénale. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 116 Définition - 1 On entend par victime le lésé qui, du fait d'une infraction, a subi une atteinte directe à son intégrité physique, psychique ou sexuelle. |
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1 | On entend par victime le lésé qui, du fait d'une infraction, a subi une atteinte directe à son intégrité physique, psychique ou sexuelle. |
2 | On entend par proches de la victime son conjoint, ses enfants, ses père et mère et les autres personnes ayant avec elle des liens analogues. |
SR 312.5 Loi fédérale du 23 mars 2007 sur l'aide aux victimes d'infractions (Loi sur l'aide aux victimes, LAVI) - Loi sur l'aide aux victimes LAVI Art. 1 Principes - 1 Toute personne qui a subi, du fait d'une infraction, une atteinte directe à son intégrité physique, psychique ou sexuelle (victime) a droit au soutien prévu par la présente loi (aide aux victimes). |
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1 | Toute personne qui a subi, du fait d'une infraction, une atteinte directe à son intégrité physique, psychique ou sexuelle (victime) a droit au soutien prévu par la présente loi (aide aux victimes). |
2 | Ont également droit à l'aide aux victimes, le conjoint, les enfants et les père et mère de la victime ainsi que les autres personnes unies à elle par des liens analogues (proches). |
3 | Le droit à l'aide aux victimes existe, que l'auteur de l'infraction: |
a | ait été découvert ou non; |
b | ait eu un comportement fautif ou non; |
c | ait agi intentionnellement ou par négligence. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 117 Statut - 1 La victime jouit de droits particuliers, notamment: |
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1 | La victime jouit de droits particuliers, notamment: |
a | le droit à la protection de la personnalité (art. 70, al. 1, let. a, 74, al. 4, et 152, al. 1); |
b | le droit de se faire accompagner par une personne de confiance (art. 70, al. 2, et 152, al. 2); |
c | le droit à des mesures de protection (art. 152 à 154); |
d | le droit de refuser de témoigner (art. 169, al. 4); |
e | le droit à l'information (art. 305 et 330, al. 3); |
f | le droit à une composition particulière du tribunal (art. 335, al. 4); |
g | le droit de recevoir gratuitement du tribunal ou du ministère public le jugement ou l'ordonnance pénale dans l'affaire où elle est victime, sauf renonciation explicite. |
2 | Lorsque la victime est âgée de moins de 18 ans, des dispositions spéciales visant à protéger sa personnalité s'appliquent de surcroît, notamment celles qui: |
a | restreignent les possibilités de confrontation avec le prévenu (art. 154, al. 4); |
b | soumettent la victime à des mesures de protection particulières lors des auditions (art. 154, al. 2 à 4); |
c | permettent le classement de la procédure (art. 319, al. 2). |
3 | Lorsque les proches de la victime se portent parties civiles contre les prévenus, ils jouissent des mêmes droits que la victime. |
1.2. Der Beschwerdeführer macht geltend, der Ausgang des Verfahrens könne sich auf seine Zivilansprüche auswirken. Er sei als Sohn des Verstorbenen ein "indirektes" Opfer der begangenen Straftat und gedenke Schadenersatz- und Genugtuungsansprüche geltend zu machen. Die Beschwerdelegitimation ist damit hinreichend dargetan. Auf die Beschwerde ist einzutreten.
2.
Der Beschwerdeführer macht geltend, die Verfahrenseinstellung bzw. deren Bestätigung durch die Vorinstanz sei bundesrechtswidrig. Er rügt eine Verletzung von Art. 6
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 6 Maxime de l'instruction - 1 Les autorités pénales recherchent d'office tous les faits pertinents pour la qualification de l'acte et le jugement du prévenu. |
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1 | Les autorités pénales recherchent d'office tous les faits pertinents pour la qualification de l'acte et le jugement du prévenu. |
2 | Elles instruisent avec un soin égal les circonstances qui peuvent être à la charge et à la décharge du prévenu. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 7 Caractère impératif de la poursuite - 1 Les autorités pénales sont tenues, dans les limites de leurs compétences, d'ouvrir et de conduire une procédure lorsqu'elles ont connaissance d'infractions ou d'indices permettant de présumer l'existence d'infractions. |
|
1 | Les autorités pénales sont tenues, dans les limites de leurs compétences, d'ouvrir et de conduire une procédure lorsqu'elles ont connaissance d'infractions ou d'indices permettant de présumer l'existence d'infractions. |
2 | Les cantons peuvent prévoir: |
a | d'exclure ou de limiter la responsabilité pénale des membres de leurs autorités législatives et judiciaires ainsi que de leur gouvernement pour des propos tenus devant le Parlement cantonal; |
b | de subordonner à l'autorisation d'une autorité non judiciaire l'ouverture d'une poursuite pénale contre des membres de leurs autorités exécutives ou judiciaires, pour des crimes ou des délits commis dans l'exercice de leurs fonctions. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 318 Clôture - 1 Lorsqu'il estime que l'instruction est complète, le ministère public rend une ordonnance pénale ou informe par écrit les parties dont le domicile est connu de la clôture prochaine de l'instruction et leur indique s'il entend rendre une ordonnance de mise en accusation ou une ordonnance de classement. En même temps, il fixe aux parties un délai pour présenter leurs réquisitions de preuves. |
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1 | Lorsqu'il estime que l'instruction est complète, le ministère public rend une ordonnance pénale ou informe par écrit les parties dont le domicile est connu de la clôture prochaine de l'instruction et leur indique s'il entend rendre une ordonnance de mise en accusation ou une ordonnance de classement. En même temps, il fixe aux parties un délai pour présenter leurs réquisitions de preuves. |
1bis | Il indique par écrit aux personnes lésées dont le domicile est connu et qui n'ont pas encore été informées de leurs droits qu'il entend rendre une ordonnance pénale, une ordonnance de mise en accusation ou une ordonnance de classement; il leur fixe un délai pour se constituer parties plaignantes et pour présenter leurs réquisitions de preuves.239 |
2 | Le ministère public ne peut écarter une réquisition de preuves que si celle-ci exige l'administration de preuves sur des faits non pertinents, notoires, connus de l'autorité pénale ou déjà suffisamment prouvés en droit. Il rend sa décision par écrit et la motive brièvement. Les réquisitions de preuves écartées peuvent être réitérées dans le cadre des débats. |
3 | Les informations visées aux al. 1 et 1bis et les décisions rendues en vertu de l'al. 2 ne sont pas sujettes à recours.240 |
2.1. Gemäss Art. 7
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 7 Caractère impératif de la poursuite - 1 Les autorités pénales sont tenues, dans les limites de leurs compétences, d'ouvrir et de conduire une procédure lorsqu'elles ont connaissance d'infractions ou d'indices permettant de présumer l'existence d'infractions. |
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1 | Les autorités pénales sont tenues, dans les limites de leurs compétences, d'ouvrir et de conduire une procédure lorsqu'elles ont connaissance d'infractions ou d'indices permettant de présumer l'existence d'infractions. |
2 | Les cantons peuvent prévoir: |
a | d'exclure ou de limiter la responsabilité pénale des membres de leurs autorités législatives et judiciaires ainsi que de leur gouvernement pour des propos tenus devant le Parlement cantonal; |
b | de subordonner à l'autorisation d'une autorité non judiciaire l'ouverture d'une poursuite pénale contre des membres de leurs autorités exécutives ou judiciaires, pour des crimes ou des délits commis dans l'exercice de leurs fonctions. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 308 Définition et but de l'instruction - 1 Le ministère public établit durant l'instruction l'état de fait et l'appréciation juridique du cas de telle sorte qu'il puisse mettre un terme à la procédure préliminaire. |
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1 | Le ministère public établit durant l'instruction l'état de fait et l'appréciation juridique du cas de telle sorte qu'il puisse mettre un terme à la procédure préliminaire. |
2 | S'il faut s'attendre à une mise en accusation ou à une ordonnance pénale, il établit la situation personnelle du prévenu. |
3 | Dans le cas d'une mise en accusation, l'instruction doit fournir au tribunal les éléments essentiels lui permettant de juger la culpabilité du prévenu et de fixer la peine. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 6 Maxime de l'instruction - 1 Les autorités pénales recherchent d'office tous les faits pertinents pour la qualification de l'acte et le jugement du prévenu. |
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1 | Les autorités pénales recherchent d'office tous les faits pertinents pour la qualification de l'acte et le jugement du prévenu. |
2 | Elles instruisent avec un soin égal les circonstances qui peuvent être à la charge et à la décharge du prévenu. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 318 Clôture - 1 Lorsqu'il estime que l'instruction est complète, le ministère public rend une ordonnance pénale ou informe par écrit les parties dont le domicile est connu de la clôture prochaine de l'instruction et leur indique s'il entend rendre une ordonnance de mise en accusation ou une ordonnance de classement. En même temps, il fixe aux parties un délai pour présenter leurs réquisitions de preuves. |
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1 | Lorsqu'il estime que l'instruction est complète, le ministère public rend une ordonnance pénale ou informe par écrit les parties dont le domicile est connu de la clôture prochaine de l'instruction et leur indique s'il entend rendre une ordonnance de mise en accusation ou une ordonnance de classement. En même temps, il fixe aux parties un délai pour présenter leurs réquisitions de preuves. |
1bis | Il indique par écrit aux personnes lésées dont le domicile est connu et qui n'ont pas encore été informées de leurs droits qu'il entend rendre une ordonnance pénale, une ordonnance de mise en accusation ou une ordonnance de classement; il leur fixe un délai pour se constituer parties plaignantes et pour présenter leurs réquisitions de preuves.239 |
2 | Le ministère public ne peut écarter une réquisition de preuves que si celle-ci exige l'administration de preuves sur des faits non pertinents, notoires, connus de l'autorité pénale ou déjà suffisamment prouvés en droit. Il rend sa décision par écrit et la motive brièvement. Les réquisitions de preuves écartées peuvent être réitérées dans le cadre des débats. |
3 | Les informations visées aux al. 1 et 1bis et les décisions rendues en vertu de l'al. 2 ne sont pas sujettes à recours.240 |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 319 Motifs de classement - 1 Le ministère public ordonne le classement de tout ou partie de la procédure: |
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1 | Le ministère public ordonne le classement de tout ou partie de la procédure: |
a | lorsqu'aucun soupçon justifiant une mise en accusation n'est établi; |
b | lorsque les éléments constitutifs d'une infraction ne sont pas réunis; |
c | lorsque des faits justificatifs empêchent de retenir une infraction contre le prévenu; |
d | lorsqu'il est établi que certaines conditions à l'ouverture de l'action pénale ne peuvent pas être remplies ou que des empêchements de procéder sont apparus; |
e | lorsqu'on peut renoncer à toute poursuite ou à toute sanction en vertu de dispositions légales. |
2 | À titre exceptionnel, le ministère public peut également classer la procédure aux conditions suivantes: |
a | l'intérêt d'une victime qui était âgée de moins de 18 ans à la date de commission de l'infraction l'exige impérieusement et le classement l'emporte manifestement sur l'intérêt de l'État à la poursuite pénale; |
b | la victime ou, si elle n'est pas capable de discernement, son représentant légal a consenti au classement. |
kommt, Anklage zu erheben, wenn eine Verurteilung wahrscheinlicher erscheint als ein Freispruch. Ist ein Freispruch genauso wahrscheinlich wie eine Verurteilung, drängt sich in der Regel, insbesondere bei schweren Delikten, eine Anklageerhebung auf. Bei zweifelhafter Beweis- oder Rechtslage hat nicht die Staatsanwaltschaft über die Stichhaltigkeit des strafrechtlichen Vorwurfs zu entscheiden, sondern das zur materiellen Beurteilung zuständige Gericht. Der Grundsatz, dass im Zweifel nicht eingestellt werden darf, ist auch bei der Überprüfung von Einstellungsverfügungen zu beachten (BGE 143 IV 241 E. 2.2.1 S. 243 mit Hinweisen).
Die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz kann vor Bundesgericht nur gerügt werden, wenn sie offensichtlich unrichtig bzw. willkürlich im Sinne von Art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
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1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
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1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
Die Willkürrüge muss in der Beschwerde anhand des angefochtenen Entscheids explizit vorgebracht und substanziiert begründet werden (Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
2.2. Wer fahrlässig den Tod eines Menschen verursacht, wird mit Freiheitsstrafe bis zu drei Jahren oder Geldstrafe bestraft (Art. 117
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 117 - Quiconque, par négligence, cause la mort d'une personne est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 12 - 1 Sauf disposition expresse et contraire de la loi, est seul punissable l'auteur d'un crime ou d'un délit qui agit intentionnellement. |
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1 | Sauf disposition expresse et contraire de la loi, est seul punissable l'auteur d'un crime ou d'un délit qui agit intentionnellement. |
2 | Agit intentionnellement quiconque commet un crime ou un délit avec conscience et volonté. L'auteur agit déjà intentionnellement lorsqu'il tient pour possible la réalisation de l'infraction et l'accepte au cas où celle-ci se produirait. |
3 | Agit par négligence quiconque, par une imprévoyance coupable, commet un crime ou un délit sans se rendre compte des conséquences de son acte ou sans en tenir compte. L'imprévoyance est coupable quand l'auteur n'a pas usé des précautions commandées par les circonstances et par sa situation personnelle. |
Die Straftat kann auch durch pflichtwidriges Unterlassen (Art. 11
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 11 - 1 Un crime ou un délit peut aussi être commis par le fait d'un comportement passif contraire à une obligation d'agir. |
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1 | Un crime ou un délit peut aussi être commis par le fait d'un comportement passif contraire à une obligation d'agir. |
2 | Reste passif en violation d'une obligation d'agir quiconque14 n'empêche pas la mise en danger ou la lésion d'un bien juridique protégé par la loi pénale bien qu'il y soit tenu à raison de sa situation juridique, notamment en vertu: |
a | de la loi; |
b | d'un contrat; |
c | d'une communauté de risques librement consentie; |
d | de la création d'un risque. |
3 | Quiconque reste passif en violation d'une obligation d'agir n'est punissable à raison de l'infraction considérée que si, compte tenu des circonstances, il encourt le même reproche que s'il avait commis cette infraction par un comportement actif. |
4 | Le juge peut atténuer la peine. |
Die Pflichten zum Schutz der Arbeitnehmer am Arbeitsplatz bzw. zur Unfallverhütung ergeben sich u.a. aus Art. 328 Abs. 2
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat CO Art. 328 - 1 L'employeur protège et respecte, dans les rapports de travail, la personnalité du travailleur; il manifeste les égards voulus pour sa santé et veille au maintien de la moralité. En particulier, il veille à ce que les travailleurs ne soient pas harcelés sexuellement et qu'ils ne soient pas, le cas échéant, désavantagés en raison de tels actes.124 |
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1 | L'employeur protège et respecte, dans les rapports de travail, la personnalité du travailleur; il manifeste les égards voulus pour sa santé et veille au maintien de la moralité. En particulier, il veille à ce que les travailleurs ne soient pas harcelés sexuellement et qu'ils ne soient pas, le cas échéant, désavantagés en raison de tels actes.124 |
2 | Il prend, pour protéger la vie, la santé et l'intégrité personnelle du travailleur, les mesures commandées par l'expérience, applicables en l'état de la technique, et adaptées aux conditions de l'exploitation ou du ménage, dans la mesure où les rapports de travail et la nature du travail permettent équitablement de l'exiger de lui.125 |
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 82 Règles générales - 1 L'employeur est tenu de prendre, pour prévenir les accidents et maladies professionnels, toutes les mesures dont l'expérience a démontré la nécessité, que l'état de la technique permet d'appliquer et qui sont adaptées aux conditions données. |
|
1 | L'employeur est tenu de prendre, pour prévenir les accidents et maladies professionnels, toutes les mesures dont l'expérience a démontré la nécessité, que l'état de la technique permet d'appliquer et qui sont adaptées aux conditions données. |
2 | L'employeur doit faire collaborer les travailleurs aux mesures de prévention des accidents et maladies professionnels. |
3 | Les travailleurs sont tenus de seconder l'employeur dans l'application des prescriptions sur la prévention des accidents et maladies professionnels. Ils doivent en particulier utiliser les équipements individuels de protection et employer correctement les dispositifs de sécurité et s'abstenir de les enlever ou de les modifier sans autorisation de l'employeur. |
SR 832.30 Ordonnance du 19 décembre 1983 sur la prévention des accidents et des maladies professionnelles (Ordonnance sur la prévention des accidents, OPA) - Ordonnance sur la prévention des accident OPA Art. 6 Information et instruction des travailleurs - 1 L'employeur veille à ce que tous les travailleurs occupés dans son entreprise, y compris ceux provenant d'une entreprise tierce, soient informés de manière suffisante et appropriée des risques auxquels ils sont exposés dans l'exercice de leur activité et instruits des mesures de sécurité au travail. Cette information et cette instruction doivent être dispensées lors de l'entrée en service ainsi qu'à chaque modification importante des conditions de travail; elles doivent être répétées si nécessaire.16 |
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1 | L'employeur veille à ce que tous les travailleurs occupés dans son entreprise, y compris ceux provenant d'une entreprise tierce, soient informés de manière suffisante et appropriée des risques auxquels ils sont exposés dans l'exercice de leur activité et instruits des mesures de sécurité au travail. Cette information et cette instruction doivent être dispensées lors de l'entrée en service ainsi qu'à chaque modification importante des conditions de travail; elles doivent être répétées si nécessaire.16 |
2 | Les travailleurs doivent être renseignés sur les tâches et les fonctions des spécialistes de la sécurité au travail occupés dans l'entreprise. |
3 | L'employeur veille à ce que les travailleurs observent les mesures relatives à la sécurité au travail. |
4 | L'information et l'instruction doivent se dérouler pendant les heures de travail et ne peuvent être mises à la charge des travailleurs. |
2.3.
2.3.1. Die Vorinstanz gibt zunächst die Aussagen von C.________ und G.________ (Angestellter der D.________ AG) anlässlich der zusätzlichen Einvernahme vom 5. November 2019 wieder. G.________ habe sowohl anlässlich der polizeilichen Einvernahme vom Unfalltag als auch an jener durch die Staatsanwaltschaft vom 5. November 2019 im Wesentlichen ausgesagt, er wisse nicht, warum F.________ am 1. September 2015 den Materialkorb am Bohrgerät befestigt habe. An der Bohrlafette habe es keinen Haken oder eine Vorrichtung gegeben, woran der Korb hätte angehängt werden können. Unebenheiten des Untergrundes hätte F.________ nur durch das Anheben des Bohrarmes oder durch das Absenken des Hecks der Maschine korrigieren können.
C.________ habe anlässlich der Einvernahme vom 5. November 2019, wie bereits bei der Einvernahme vom 2. September 2015, zu Protokoll gegeben, es sei nicht der Fall, dass Transporte innerhalb des Steinbruchs von der B.________ AG ausgeführt würden. Sie hätten keine Hebe- und Transportgeräte zur Verfügung. Die Transporte würden "bauseits", also in diesem Fall durch die D.________ AG, ausgeführt. Es werde bei der B.________ AG nicht toleriert, dass ein Bohrgerät als Hebegerät verwendet werde, denn ein Bohrgerät verfüge nicht über die dafür notwendigen Vorrichtungen wie beispielsweise Ösen und die Hebefunktionen. Im Jahr 2014 habe F.________ ein psychisches Tief gehabt. Er sei wiederholt offensichtlich angetrunken zur Arbeit erschienen. Der Vorfall sei ernst genommen worden und F.________ sei unverzüglich freigestellt worden. Man habe mit der Familie zusammen eine Lösung gesucht, den Hausarzt involviert, sowohl eine mündliche wie auch eine schriftliche Abmahnung seien erfolgt und F.________ sei nach Wiederantritt der Arbeit betriebsintern überwacht worden. Es sei zu keinen Vorfällen mehr gekommen.
Weiter erwägt die Vorinstanz, man habe von der B.________ AG verschiedene Unterlagen einverlangt. Es handle sich dabei um die Auftragsbestätigung über den Mietkauf des Tamrock Bohrgeräts, womit eine Einweisung und Schulung von vier Tagen verbunden gewesen sei. Weiter habe das Herstellerunternehmen mit Schreiben vom 20. November 2019 bestätigt, dass das Bohrgerät in den Jahren 2004 bis 2015 regelmässig auf der Baustelle oder ausnahmsweise auch im Werkhof in U.________ im Beisein von F.________ gewartet worden sei. Im Zuge der Servicearbeiten sei F.________ jeweils nützliches Wissen über die Technik der Maschine vermittelt worden. Weiter habe man dabei auch Bedienerfragen beantwortet und die sicherheitsrelevanten Bedienungspunkte aufgefrischt. Aus den beigelegten Rechnungen ergebe sich, dass die Bohrmaschine mindestens halbjährlich gewartet worden sei. Fotos des Aushangbretts der B.________ AG zeigten die Ermahnung bezüglich Alkohol am Arbeitsplatz und die Androhung einer fristlosen Kündigung im Missachtungsfall. Die schriftliche Abmahnung von F.________ wegen des Alkoholkonsums vom 27. Oktober 2014 sei ebenso eingereicht worden wie ein Arztzeugnis und eine Bestätigung der Kaderangehörigen der B.________ AG vom 12. Dezember 2019,
wonach F.________ nach der schriftlichen Abmahnung nie mehr alkoholisiert an der Arbeitsstelle angetroffen worden sei.
2.3.2. Die Vorinstanz gelangt zum Schluss, weder seitens des Arbeitgebers noch seitens der Betreiberin des Steinbruchs könnten Sorgfaltspflichtverletzungen oder ein konkludentes Dulden der Verletzung von Sicherheitsvorschriften erkannt werden. Die Schulung und Einführung von F.________ in die Bedienung der neuen Bohrmaschine im Jahr 2004 habe korrekt stattgefunden und sein Wissen bezüglich der Sicherheitsvorschriften auf der Baustelle, das Wissen über die Technik der Maschine und die sicherheitsrelevanten Bedienungspunkte seien regelmässig aufgefrischt worden. Es sei fraglos, dass mit der Bohrmaschine keine Lasten transportiert werden durften, habe diese doch nicht über die dafür notwendigen Vorrichtungen verfügt. Der Materialtransport sei stets von der D.________ AG ausgeführt worden. Für C.________ habe in keiner Weise der Anlass zur Annahme bestanden, dass F.________ nach zehn Jahren auf dem Tamrock Bohrgerät damit plötzlich eine Last von 280 kg transportieren würde. Bezüglich der permanenten Hinweise des Beschwerdeführers auf die mangelnde Verwendung einer Seilwinde zur Sicherung auf der steilen Rampe gehe aus den Einvernahmen hervor, dass das Tamrock Bohrgerät dafür nicht vorgesehen gewesen sei und demzufolge nicht über eine
entsprechende Vorrichtung verfügt habe. Im Falle einer zu grossen Steigung wäre er durch ein von einem Helikopter hochgeflogenes Lawinenbohrgerät ersetzt worden. Eine Winde wäre auf dieser Strecke für das Tamrock Bohrgerät nicht zur Anwendung gekommen. Der Auftrag von F.________ für den 1. September 2015 habe sich im Abladen des Bohrfahrzeugs und in dessen Instandstellung erschöpft. Er habe keinen Auftrag gehabt, das Bohrfahrzeug auf die Rampe zu fahren, geschweige denn, damit Material zu transportieren. Am folgenden Tag wäre die Baustelle gemäss den übereinstimmenden Aussagen von C.________ und G.________ besichtigt worden, um das weitere Vorgehen der Arbeiten zu konkretisieren. Ob an diesem folgenden Tag festgestellt worden wäre, dass die Rampe zu steil gewesen sei, werde immer im Bereich von Mutmassungen bleiben. F.________ indessen hätte aufgrund der Messgeräte im Bohrfahrzeug bei der Fahrt, die er ohne entsprechenden Auftrag ausgeführt und bei der er unzulässigerweise einen Materialkorb transportiert habe und zudem stark alkoholisiert gewesen sei, sehen müssen, dass die Rampe zu steil war. Bei dieser Verkettung aussergewöhnlicher Umstände, mit denen die Verantwortlichen auf der Baustelle und der Arbeitgeber schlechthin nicht
hätten rechnen können und müssen, sei eine Pflichtverletzung von ihrer Seite klar zu verneinen.
Bezüglich der vom Beschwerdeführer gestellten Beweisanträge erwägt die Vorinstanz, die Staatsanwaltschaft habe diese in nachvollziehbarer Weise abgelehnt. Der Fragenkatalog habe Tatsachen betroffen, die bereits hinreichend abgeklärt worden seien, wie etwa die Frage nach dem Gebrauch einer Winde auf der Unfallstrecke, dem Neigungswinkel derselben, der betrieblichen Fortbildungen der Bohrmaschinisten, dem Trinkverhalten von F.________, dessen Alkoholkonsum am 1. September 2015, Unfällen im Steinbruch im Zusammenhang mit Bohrmaschinen in den vergangenen Jahren sowie der Veränderung des Schwerpunkts der Bohrmaschine durch das Anhängen des Materialkorbs. Dasselbe gelte bezüglich der beantragten Einholung eines Gutachtens, insbesondere, da die Notwendigkeit eines solchen nie in konkreter Weise begründet worden sei. Das Verfahren sei somit zu Recht eingestellt worden.
2.4. Der Beschwerdeführer führt im Wesentlichen aus, die Staatsanwaltschaft habe das Verfahren nach der Rückweisung durch das Bundesgericht monatelang liegengelassen. Nach Eingang der einverlangten Unterlagen, wobei es sich immerhin um 143 Seiten Akten gehandelt habe, habe die Staatsanwaltschaft gleichentags die Parteimitteilung erlassen, worin sie den Abschluss des Verfahrens und die erneute Verfahrenseinstellung angekündigt habe. Diese Vorgehensweise sei störend und die Staatsanwaltschaft habe die bundesgerichtliche Anordnung, wonach weitere Abklärungen erforderlich seien, missachtet. Sie habe die notwendigen Untersuchungshandlungen bis heute nicht vorgenommen. So habe sie nicht etwa unabhängige Zeugen, sondern einzig die mutmasslich möglichen Beschuldigten einvernommen. Zudem habe die Staatsanwaltschaft C.________ und G.________ fälschlicherweise als Zeugen anstatt als Beschuldigte oder Auskunftspersonen einvernommen und entsprechend auch nicht korrekt belehrt.
2.5.
2.5.1. Bezüglich der zumindest impliziten Rüge der Verfahrensverschleppung ist festzuhalten, dass es insbesondere zwischen dem 25. Oktober 2018 und dem 6. September 2019 zu einem längeren Stillstand des Verfahrens kam. Weshalb das Verfahren während dieser Zeit nicht vorangetrieben wurde, wobei der Vertreter des Beschwerdeführers bei der Staatsanwaltschaft mehrmals um Auskunft bezüglich des weiteren Vorgehens ersucht, jedoch keine Antwort erhalten hat, bleibt im Dunkeln. Die Verfahrensverzögerung muss zumindest als stossend bezeichnet werden. Indessen zeitigt sie vorliegend keine Auswirkungen auf den Ausgang des Verfahrens und lässt auch nicht darauf schliessen, dass die Staatsanwaltschaft die notwendigen Untersuchungshandlungen unterlassen hätte. Gleiches gilt für den Umstand, dass nach Eingang der angeforderten Unterlagen umgehend die Einstellung des Strafverfahrens in Aussicht gestellt wurde. Auch daraus kann nicht geschlossen werden, dass das Strafverfahren nicht mit der erforderlichen Ernsthaftigkeit geführt wurde, wie der Beschwerdeführer dies zumindest impliziert. Zwar handelte es sich bei den eingereichten Unterlagen um einen Stapel von Dokumenten. Mehrheitlich bestanden diese aber aus Reparaturbelegen und Rechnungen, deren
Sichtung keinen grossen Aufwand erforderte.
2.5.2. Soweit der Beschwerdeführer geltend macht C.________ und G.________ seien fälschlicherweise als Zeugen einvernommen worden, kann ihm nicht gefolgt werden. Sowohl aus der Vorladung vom 6. September 2019 als auch aus den Einvernahmeprotokollen vom 5. November 2019 geht hervor, dass C.________ und G.________ als Auskunftspersonen einvernommen und entsprechend belehrt wurden. Die Kritik des Beschwerdeführers stösst ins Leere.
2.5.3. Das Bundesgericht bemängelte im Urteil 6B 1016/2017 vom 9. Mai 2018 insbesondere, dass die Verantwortlichkeiten bei den Einsätzen im Steinbruch der D.________ AG, die Häufigkeit der Schulungen von F.________ und der Umgang mit dessen Alkoholproblem nicht hinreichend geklärt wurden. Wie sich aus den nachfolgenden Erwägungen ergibt, ist die Staatsanwaltschaft der Aufforderung des Bundesgerichts bezüglich weiterer Abklärungen zwischenzeitlich nachgekommen.
Die Staatsanwaltschaft hat in der Einstellungsverfügung vom 21. Februar 2020 sowohl die Zuständigkeiten zwischen den Beschwerdegegnerinnen verdeutlicht als auch offene Fragen im Hinblick auf die Schulung und Weiterbildung von F.________ geklärt. Gemäss den Feststellungen der Vorinstanz wurde die B.________ AG von der D.________ AG als Bohrspezialistin beigezogen. Die B.________ AG führte die Arbeiten im Steinbruch der D.________ AG selbständig aus. Die D.________ AG bzw. deren Angestellte verfügten grundsätzlich über kein spezifisches Fachwissen bezüglich der Arbeit mit dem Bohrgerät. Vielmehr waren es die B.________ AG und deren Angestellter F.________, die über das erforderliche Fachwissen verfügten. Dabei ist anzumerken, dass es sich bei F.________ um einen ausgebildeten Bohrspezialisten mit langjähriger Arbeitserfahrung auf dem verwendeten Bohrgerät handelte. Was die Ausbildung von F.________ angeht, so kann der Einstellungsverfügung respektive der angefochtenen Verfügung entnommen werden, dass dieser zum Zeitpunkt der Anschaffung des Bohrgeräts eingehend geschult und sein Wissen über das Tamrock Bohrgerät im Rahmen der mehrmals jährlich stattfindenden Reparatur- und Revisionsarbeiten durch die Herstellerfirma aufgefrischt
wurde. Dies wird sowohl durch die Aussagen von C.________ als auch durch die eingereichten Belege gestützt. Schliesslich kann festgehalten werden, dass mit dem Neigungsmesser im Bohrgerät sichergestellt war, dass F.________ eine Möglichkeit hatte, den Neigungswinkel zu kontrollieren und das Kippen des Bohrgeräts zu verhindern. Somit liegen grundsätzlich umfassende Informationen zu den Verantwortlichkeiten und zur Schulung von F.________ vor.
Aus den Einvernahmen vom 5. November 2019 ergab sich ein neuer Aspekt, dem vorliegend eine zentrale Bedeutung zukommt. So haben die neuerlichen Befragungen ergeben, dass die F.________ am Unfalltag zugewiesene Arbeit lediglich darin bestand, das Bohrgerät abzuladen und es instand zu stellen. Für den Folgetag wäre eine Besichtigung des Einsatzortes geplant gewesen. Weshalb F.________ am fraglichen Tag mit dem Bohrgerät die Rampe hinauffuhr und zudem einen Materialkorb angehängt hatte, bleibt im Dunkeln und wird sich durch weitere Beweiserhebungen und Befragungen kaum klären lassen. Unter diesen Umständen konnte aber weder die Betreiberin des Steinbruchs noch die Arbeitgeberin das Verhalten von F.________ antizipieren und gegebenenfalls einschreiten. Die Vorinstanz geht daher zu Recht davon aus, dass ihnen kein strafrechtlicher Vorwurf gemacht werden kann. Somit ist nicht von Relevanz, dass die Rampe wohl bereits in der Vergangenheit (ohne Winde) befahren wurde, denn vorliegend geht es einzig um die Frage, ob es möglich war, das konkrete Unfallgeschehen vom 1. September 2015 zu verhindern. Das Argument, derselbe Unfall hätte sich bereits zu einem früheren Zeitpunkt ereignen können, verfängt daher nicht und ist rein spekulativ. Auch
erübrigen sich weitere Untersuchungen zu alternativen Unfallursachen sowie ein Gutachten zur Beschaffenheit des Untergrundes.
Der Vollständigkeit halber ist abschliessend auf den Einwand des Beschwerdeführers einzugehen, wonach nicht hinreichend geklärt worden sei, wer über das Alkoholproblem seines Vaters Bescheid wusste und ob die Arbeitgeberin ihrer arbeitsvertraglichen Fürsorgepflicht nachgekommen ist. Soweit der Beschwerdeführer geltend macht, einzelnen Angestellte im Steinbruch hätte die Alkoholisierung seines Vaters am Unfalltag auffallen müssen, handelt es sich um Mutmassungen. Gleiches gilt, soweit der Beschwerdeführer angibt, es hätten weitere Zeugen befragt werden müssen und dabei ausführt, wie diese mutmasslich aussagen würden. Auch hierbei handelt es sich um Spekulation. Die Kritik ist damit nicht geeignet, eine Bundesrechtsverletzung aufzuzeigen. Der vorinstanzlichen Verfügung kann entnommen werden, dass die Arbeitgeberin vom Alkoholproblem Kenntnis hatte. Aus den Aussagen von C.________ ergibt sich zudem, dass von Seiten der Arbeitgeberin verschiedene Massnahmen ergriffen wruden. So wurde F.________ abgemahnt und freigestellt. Zudem wurde auch seine Familie involviert. Anscheinend haben diese Massnahmen jedoch nur bedingt zu einer Verbesserung der Situation geführt. Als weitere Massnahme wäre der Arbeitgeberin nebst weiteren Auflagen und
einer Kündigung wenig Handlungsspielraum verblieben. Dabei ist zu berücksichtigen, dass die Arbeitgeberin in einem schwierigen Spannungsverhältnis stand und versuchte, F.________ vor Unfällen zu schützen und gleichzeitig ihren Fürsorgepflichten gegenüber dem langjährigen, kurz vor der Pensionierung stehenden Mitarbeiter nachzukommen.
Alles in allem kann der Vorinstanz nicht vorgeworfen werden, sie gehe willkürlich von einer klaren Sachlage aus oder habe die Verfahrenseinstellung zu Unrecht geschützt. Vielmehr ist unter den gegebenen Umständen nicht ersichtlich, was sich aus weiteren Beweiserhebungen für den vorliegenden Fall ergeben könnte und es muss davon ausgegangen werden, dass es sich um einen äusserst tragischen, von der Arbeitgeberin aber nicht zu vertretenden Arbeitsunfall gehandelt hat, der auf die Alkoholisierung und die Missachtung von Weisungen und Sicherheitsbestimmungen durch den Arbeitnehmer zurückzuführen ist.
3.
Die Beschwerde ist abzuweisen, soweit darauf eingetreten werden kann. Die Gerichtskosten sind dem unterliegenden Beschwerdeführer aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 3'000.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Kantonsgericht des Kantons Wallis, Strafkammer, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 19. November 2020
Im Namen der Strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Denys
Die Gerichtsschreiberin: Schär