Tribunal administratif fédéral
Tribunale amministrativo federale
Tribunal administrativ federal
Abteilung V
E-1235/2012
Urteil vom 15. Mai 2013
Besetzung Richter Walter Stöckli (Vorsitz),Richter Thomas Wespi, Richterin Muriel Beck Kadima;
Gerichtsschreiber Tobias Grasdorf.
A._______,geboren (...),Sri Lanka,
vertreten durch Evelyn Stokar, Freiplatzaktion Basel,
Parteien
Asyl und Integration,
Beschwerdeführer,
gegen
Bundesamt für Migration (BFM),Quellenweg 6, 3003 Bern,
Vorinstanz.
Asyl und Wegweisung;
Gegenstand
Verfügung des BFM vom 31. Januar 2012 / N (...).
Sachverhalt:
A.
Der Beschwerdeführer, ein Staatsangehöriger Sri Lankas tamilischer Ethnie mit letztem Wohnsitz im (...), verliess sein Heimatland nach eigenen Angaben (...) 2011 und gelangte (...) 2011 von Italien her kommend in die Schweiz, wo er am gleichen Tag um Asyl nachsuchte.
B.
Am (...) 2011 wurde er zu seiner Person befragt (Protokoll: BFM-Akte A6) und am (...) zu seinen Asylgründen angehört (Protokoll: BFM-Akte A13). Dabei machte er im Wesentlichen geltend, er sei Ende 2007 (in der Befragung zur Person) oder Anfang 2008 (in der Anhörung) einmal von der sri-lankischen Armee an einer Strassensperre kontrolliert worden, wobei seine Identitätskarte eingezogen worden sei. Er habe sie am nächsten Tag in einem Camp abholen können. Anschliessend sei er während acht oder zwölf Monaten (je nach Aussage) regelmässig zur Unterschrift gegangen. Als er aufgefordert worden sei, in Zukunft ohne Begleitung seiner Eltern zur Unterschrift zu erscheinen, habe er Angst bekommen, habe seine Tätigkeit als (...) aufgegeben und sei nicht mehr zur Unterschrift gegangen. Danach sei er nur noch selten zu Hause gewesen. Am (...) 2011, als er wieder einmal zu Hause gewesen sei, sei er von der Armee verhaftet worden. Er sei nach Colombo gebracht worden und dort während fünf Tagen festgehalten und befragt worden. Nachdem er freigelassen worden sei, habe er seine Ausreise organisiert. Als Grund für die Verhaftung (...) 2011 und für seine seither andauernde Gefährdung nannte der Beschwerdeführer einerseits den Umstand, dass er als (...) im Jahre 2008 Unterschriften habe leisten müssen, und andererseits, dass sein Bruder als Mitglied der Liberation Tigers of Tamil Eelam (LTTE) von der sri-lankischen Armee gefangen gehalten werde.
C.
Mit Verfügung vom 31. Januar 2012 - eröffnet am 3. Februar 2012 - stellte das BFM fest, der Beschwerdeführer erfülle die Flüchtlingseigenschaft nicht, und lehnte sein Asylgesuch ab. Gleichzeitig wies das Bundesamt ihn aus der Schweiz weg und beauftragte den zuständigen Kanton mit dem Vollzug der Wegweisung.
D.
Mit Eingabe vom 5. März 2012 erhob der Beschwerdeführer beim Bundesverwaltungsgericht Beschwerde und beantragte, die Verfügung sei aufzuheben und ihm sei Asyl zu gewähren. Eventualiter sei die Unzulässigkeit oder die Unzumutbarkeit des Wegweisungsvollzugs festzustellen und ihm die vorläufige Aufnahme zu gewähren. In prozessualer Hinsicht ersuchte er um Gewährung der unentgeltlichen Prozessführung und Verzicht auf Erhebung eines Kostenvorschusses.
E.
Am 16. März 2012 gewährte das Bundesverwaltungsgericht die unentgeltliche Prozessführung und verzichtete auf die Erhebung eines Kostenvorschusses. Das Gericht forderte den Beschwerdeführer auf, Präzisierungen betreffend seinen Bruder anzubringen und verschiedene Dokumente einzureichen, welcher Aufforderung der Beschwerdeführer mit Eingabe vom 17. April 2012 nachkam.
F.
Am 18. Mai 2012 lud das Bundesverwaltungsgericht das BFM zur Vernehmlassung ein. Das Bundesamt liess sich mit Eingabe vom 8. Juni 2012 vernehmen. Der Beschwerdeführer replizierte am 2. Juli 2012 und reichte am 13. Juli 2012 ein zusätzliches Beweismittel ein.
Das Bundesverwaltungsgericht zieht in Erwägung:
1.
1.1 Gemäss Art. 31

SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF) LTAF Art. 31 Principe - Le Tribunal administratif fédéral connaît des recours contre les décisions au sens de l'art. 5 de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)20. |

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 5 - 1 Sont considérées comme décisions les mesures prises par les autorités dans des cas d'espèce, fondées sur le droit public fédéral et ayant pour objet: |
|
1 | Sont considérées comme décisions les mesures prises par les autorités dans des cas d'espèce, fondées sur le droit public fédéral et ayant pour objet: |
a | de créer, de modifier ou d'annuler des droits ou des obligations; |
b | de constater l'existence, l'inexistence ou l'étendue de droits ou d'obligations; |
c | de rejeter ou de déclarer irrecevables des demandes tendant à créer, modifier, annuler ou constater des droits ou obligations. |
2 | Sont aussi considérées comme des décisions les mesures en matière d'exécution (art. 41, al. 1, let. a et b), les décisions incidentes (art. 45 et 46), les décisions sur opposition (art. 30, al. 2, let. b, et 74), les décisions sur recours (art. 61), les décisions prises en matière de révision (art. 68) et d'interprétation (art. 69).25 |
3 | Lorsqu'une autorité rejette ou invoque des prétentions à faire valoir par voie d'action, sa déclaration n'est pas considérée comme décision. |

SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF) LTAF Art. 33 Autorités précédentes - Le recours est recevable contre les décisions: |

SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF) LTAF Art. 32 Exceptions - 1 Le recours est irrecevable contre: |

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 105 Recours contre les décisions du SEM - Le recours contre les décisions du SEM est régi par la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral370. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 83 Exceptions - Le recours est irrecevable contre: |
|
a | les décisions concernant la sûreté intérieure ou extérieure du pays, la neutralité, la protection diplomatique et les autres affaires relevant des relations extérieures, à moins que le droit international ne confère un droit à ce que la cause soit59 jugée par un tribunal; |
b | les décisions relatives à la naturalisation ordinaire; |
c | les décisions en matière de droit des étrangers qui concernent: |
c1 | l'entrée en Suisse, |
c2 | une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit, |
c3 | l'admission provisoire, |
c4 | l'expulsion fondée sur l'art. 121, al. 2, de la Constitution ou le renvoi, |
c5 | les dérogations aux conditions d'admission, |
c6 | la prolongation d'une autorisation frontalière, le déplacement de la résidence dans un autre canton, le changement d'emploi du titulaire d'une autorisation frontalière et la délivrance de documents de voyage aux étrangers sans pièces de légitimation; |
d | les décisions en matière d'asile qui ont été rendues: |
d1 | par le Tribunal administratif fédéral, sauf celles qui concernent des personnes visées par une demande d'extradition déposée par l'État dont ces personnes cherchent à se protéger, |
d2 | par une autorité cantonale précédente et dont l'objet porte sur une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit; |
e | les décisions relatives au refus d'autoriser la poursuite pénale de membres d'autorités ou du personnel de la Confédération; |
f | les décisions en matière de marchés publics: |
fbis | les décisions du Tribunal administratif fédéral concernant les décisions visées à l'art. 32i de la loi fédérale du 20 mars 2009 sur le transport de voyageurs66; |
f1 | si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe; sont réservés les recours concernant des marchés du Tribunal administratif fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal fédéral des brevets, du Ministère public de la Confédération et des autorités judiciaires supérieures des cantons, ou |
f2 | si la valeur estimée du marché à adjuger est inférieure à la valeur seuil déterminante visée à l'art. 52, al. 1, et fixée à l'annexe 4, ch. 2, de la loi fédérale du 21 juin 2019 sur les marchés publics64; |
g | les décisions en matière de rapports de travail de droit public qui concernent une contestation non pécuniaire, sauf si elles touchent à la question de l'égalité des sexes; |
h | les décisions en matière d'entraide administrative internationale, à l'exception de l'assistance administrative en matière fiscale; |
i | les décisions en matière de service militaire, de service civil ou de service de protection civile; |
j | les décisions en matière d'approvisionnement économique du pays qui sont prises en cas de pénurie grave; |
k | les décisions en matière de subventions auxquelles la législation ne donne pas droit; |
l | les décisions en matière de perception de droits de douane fondée sur le classement tarifaire ou le poids des marchandises; |
m | les décisions sur l'octroi d'un sursis de paiement ou sur la remise de contributions; en dérogation à ce principe, le recours contre les décisions sur la remise de l'impôt fédéral direct ou de l'impôt cantonal ou communal sur le revenu et sur le bénéfice est recevable, lorsqu'une question juridique de principe se pose ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs; |
n | les décisions en matière d'énergie nucléaire qui concernent: |
n1 | l'exigence d'un permis d'exécution ou la modification d'une autorisation ou d'une décision, |
n2 | l'approbation d'un plan de provision pour les coûts d'évacuation encourus avant la désaffection d'une installation nucléaire, |
n3 | les permis d'exécution; |
o | les décisions en matière de circulation routière qui concernent la réception par type de véhicules; |
p | les décisions du Tribunal administratif fédéral en matière de télécommunications, de radio et de télévision et en matière postale qui concernent:71 |
p1 | une concession ayant fait l'objet d'un appel d'offres public, |
p2 | un litige découlant de l'art. 11a de la loi du 30 avril 1997 sur les télécommunications72; |
p3 | un litige au sens de l'art. 8 de la loi du 17 décembre 2010 sur la poste74; |
q | les décisions en matière de médecine de transplantation qui concernent: |
q1 | l'inscription sur la liste d'attente, |
q2 | l'attribution d'organes; |
r | les décisions en matière d'assurance-maladie qui ont été rendues par le Tribunal administratif fédéral sur la base de l'art. 3475 de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)76; |
s | les décisions en matière d'agriculture qui concernent: |
s1 | ... |
s2 | la délimitation de zones dans le cadre du cadastre de production; |
t | les décisions sur le résultat d'examens ou d'autres évaluations des capacités, notamment en matière de scolarité obligatoire, de formation ultérieure ou d'exercice d'une profession; |
u | les décisions relatives aux offres publiques d'acquisition (art. 125 à 141 de la loi du 19 juin 2015 sur l'infrastructure des marchés financiers80); |
v | les décisions du Tribunal administratif fédéral en cas de divergences d'opinion entre des autorités en matière d'entraide judiciaire ou d'assistance administrative au niveau national; |
w | les décisions en matière de droit de l'électricité qui concernent l'approbation des plans des installations électriques à courant fort et à courant faible et l'expropriation de droits nécessaires à la construction ou à l'exploitation de telles installations, si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe. |
x | les décisions en matière d'octroi de contributions de solidarité au sens de la loi fédérale du 30 septembre 2016 sur les mesures de coercition à des fins d'assistance et les placements extrafamiliaux antérieurs à 198184, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs; |
y | les décisions prises par le Tribunal administratif fédéral dans des procédures amiables visant à éviter une imposition non conforme à une convention internationale applicable dans le domaine fiscal; |
z | les décisions citées à l'art. 71c, al. 1, let. b, de la loi du 30 septembre 2016 sur l'énergie87 concernant les autorisations de construire et les autorisations relevant de la compétence des cantons destinées aux installations éoliennes d'intérêt national qui y sont nécessairement liées, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe. |
1.2 Das Verfahren vor dem Bundesverwaltungsgericht richtet sich nach dem VwVG, soweit das VGG nichts anderes bestimmt (Art. 37

SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF) LTAF Art. 37 Principe - La procédure devant le Tribunal administratif fédéral est régie par la PA59, pour autant que la présente loi n'en dispose pas autrement. |
1.3 Die Beschwerde ist frist- und formgerecht eingereicht. Der Beschwerdeführer hat am Verfahren vor der Vorinstanz teilgenommen, ist durch die angefochtene Verfügung besonders berührt und hat ein schutzwürdiges Interesse an deren Aufhebung beziehungsweise Änderung. Er ist daher zur Einreichung der Beschwerde legitimiert (Art. 105

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 105 Recours contre les décisions du SEM - Le recours contre les décisions du SEM est régi par la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral370. |

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 108 Délais de recours - 1 Dans la procédure accélérée, le délai de recours, qui commence à courir dès la notification de la décision, est de sept jours ouvrables pour les décisions prises en vertu de l'art. 31a, al. 4, et de cinq jours pour les décisions incidentes. |

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 48 - 1 A qualité pour recourir quiconque: |
|
1 | A qualité pour recourir quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité inférieure ou a été privé de la possibilité de le faire; |
b | est spécialement atteint par la décision attaquée, et |
c | a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification. |
2 | A également qualité pour recourir toute personne, organisation ou autorité qu'une autre loi fédérale autorise à recourir. |

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 52 - 1 Le mémoire de recours indique les conclusions, motifs et moyens de preuve et porte la signature du recourant ou de son mandataire; celui-ci y joint l'expédition de la décision attaquée et les pièces invoquées comme moyens de preuve, lorsqu'elles se trouvent en ses mains. |
|
1 | Le mémoire de recours indique les conclusions, motifs et moyens de preuve et porte la signature du recourant ou de son mandataire; celui-ci y joint l'expédition de la décision attaquée et les pièces invoquées comme moyens de preuve, lorsqu'elles se trouvent en ses mains. |
2 | Si le recours ne satisfait pas à ces exigences, ou si les conclusions ou les motifs du recourant n'ont pas la clarté nécessaire, sans que le recours soit manifestement irrecevable, l'autorité de recours impartit au recourant un court délai supplémentaire pour régulariser le recours. |
3 | Elle avise en même temps le recourant que si le délai n'est pas utilisé, elle statuera sur la base du dossier ou si les conclusions, les motifs ou la signature manquent, elle déclarera le recours irrecevable. |
2.
Mit Beschwerde kann die Verletzung von Bundesrecht, die unrichtige oder unvollständige Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts und die Unangemessenheit gerügt werden (Art. 106 Abs. 1

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 106 Motifs de recours - 1 Les motifs de recours sont les suivants: |
3.
3.1 Das BFM führte in der angefochtenen Verfügung aus, die Aussagen des Beschwerdeführers zu seiner angeblichen Verfolgung in Sri Lanka seien unglaubhaft. So habe er unterschiedliche Ausführungen dazu gemacht, wie oft er während der Haft in Colombo befragt worden sei, wo er sich aufgehalten habe, seit er nicht mehr zur Unterschrift gegangen sei, und wie er sich in Colombo einen Pass habe ausstellen lassen. Seine Angaben dazu, wann er seine Identitätskarte habe ausstellen lassen, könnten zudem nicht stimmen. Aufgrund der Unglaubhaftigkeit der Vorbringen müsse deren Asylrelevanz nicht geprüft werden.
3.2 In der Beschwerdeschrift wiederholt der Beschwerdeführer seine Vorbringen aus dem erstinstanzlichen Verfahren. Neu bringt er zudem - sowohl unter dem Aspekt der Flüchtlingseigenschaft als auch unter demjenigen der Zulässigkeit des Wegweisungsvollzugs - vor, dass er bei einer Rückkehr in sein Heimatland auch als abgewiesener Asylsuchender bedroht wäre.
Bezüglich der Glaubhaftigkeit seiner Aussagen bringt er vor, er sei während der Haft in Colombo nur einmal formell mit Protokollierung befragt worden, aber unzählige Male geschlagen und dabei gefragt worden, ob er den LTTE angehöre. Bezüglich seines Aufenthaltsortes nachdem er seine Arbeit als (...) aufgegeben habe, führte er aus, in der Befragung zur Person habe er mit: "Seit dann war ich immer zu Hause", gemeint, er sei nicht mehr zur Arbeit und ins Camp gegangen, nicht jedoch, er habe zu Hause gewohnt. In Tat und Wahrheit habe er sich seither versteckt gehalten. Bezüglich der Ausstellung des Passes habe er immer das Gleiche ausgesagt, und dieser Punkt sei nicht wesentlich. Zur Identitätskarte habe er sich missverständlich erklärt. Unter der Formulierung "eine neue Identitätskarte ausstellen" stelle er sich etwas anderes vor, als bloss eine bestehende Identitätskarte erneuern zu lassen. Seine Identitätskarte sei nass geworden, weshalb er sich einen Ersatz habe machen lassen. Die Identitätskarten-Nummer sei aber die gleiche geblieben. Das habe er auch schon in der Anhörung gesagt, als er mit dem Widerspruch konfrontiert worden sei.
4.
Gemäss Art. 2 Abs. 1

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 2 Asile - 1 La Suisse accorde l'asile aux réfugiés sur demande, conformément aux dispositions de la présente loi. |

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 3 Définition du terme de réfugié - 1 Sont des réfugiés les personnes qui, dans leur État d'origine ou dans le pays de leur dernière résidence, sont exposées à de sérieux préjudices ou craignent à juste titre de l'être en raison de leur race, de leur religion, de leur nationalité, de leur appartenance à un groupe social déterminé ou de leurs opinions politiques. |
Wer um Asyl nachsucht, muss die Flüchtlingseigenschaft nachweisen oder zumindest glaubhaft machen. Die Flüchtlingseigenschaft ist glaubhaft gemacht, wenn die Behörde ihr Vorhandensein mit überwiegender Wahrscheinlichkeit für gegeben hält (Art. 7

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 7 Preuve de la qualité de réfugié - 1 Quiconque demande l'asile (requérant) doit prouver ou du moins rendre vraisemblable qu'il est un réfugié. |

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 7 Preuve de la qualité de réfugié - 1 Quiconque demande l'asile (requérant) doit prouver ou du moins rendre vraisemblable qu'il est un réfugié. |
4.1 Das Bundesverwaltungsgericht beurteilt die Anhaltung des Beschwerdeführers Ende 2007 oder Anfang 2008 durch die sri-lankische Armee an einer Strassensperre und die daran anschliessende Verpflichtung zur Unterschriftenleistung als glaubhaft. Diese Umstände sind jedoch für sich allein betrachtet nicht asylrelevant, da sie zum Zeitpunkt der Ausreise (...) 2011 bereits drei Jahre zurücklagen und der Beschwerdeführer sie nie als Grund für seine Ausreise nannte.
4.2 Genauer zu prüfen ist jedoch das Vorbringen des Beschwerdeführers, er sei, nachdem er nicht mehr zur Unterschrift gegangen sei, während dreier Jahre bis (...) 2011 von den Sicherheitskräften gesucht worden und habe meist versteckt bei Verwandten in seinem Dorf gelebt.
In der Anhörung gab der Beschwerdeführer nur in sehr allgemeiner Art und Weise an, die sri-lankischen Behörden hätten ihn bis 2011 gesucht. Auf die Frage, wie häufig sie ihn gesucht hätten, antwortete er: "Einmal im Monat und dann auch ca. sechs Monate nicht mehr und dann wieder einmal im Monat" (A13 S. 7). Seine Aussagen sind äusserst vage und er macht keinerlei substantiierende Angaben, sondern reagiert lediglich mit kurzen Sätzen auf die Fragen. Bezüglich seines Aufenthaltes in dieser Zeit äussert er sich zudem widersprüchlich. Namentlich hatte er in der Befragung zur Person angegeben, seit Januar 2010 (Rückkehr seines Bruders nach London) sei er "immer zu Hause" gewesen (A6 S. 8). Der diesbezügliche Erklärungsversuch des Beschwerdeführers in der Beschwerdeschrift, er habe damit lediglich gemeint, er sei nicht mehr zur Unterschrift gegangen und habe nicht mehr gearbeitet, vermag nicht zu überzeugen. Seine Aussage an der Anhörung, er sei bei seiner Verhaftung nur vier Tage bei seinen Eltern gewesen und jemand habe ihn verraten, ist sehr vage; insbesondere konkretisiert er nicht, wer ihn verraten haben könnte. Schliesslich wurde seine Identitätskarte am 21. April 2009 ausgestellt, mithin in der Zeit, als er sich angeblich versteckt hielt, was darauf hindeutet, dass er in dieser Zeit nicht in Furcht vor den staatlichen Behörden lebte und diese ihn nicht gezielt suchten. Auch einen Pass habe er sich in dieser Periode - im Jahr 2010 (A6 S. 6) beziehungsweise unmittelbar vor seiner Ausreise (A13 F30) - in Colombo ausstellen lassen.
Insgesamt konnte der Beschwerdeführer damit nicht glaubhaft machen, dass er von 2008 bis zu seiner (angeblichen) Verhaftung 2011 von den sri-lankischen Behörden gezielt gesucht wurde.
4.3 Zu prüfen ist sodann die Frage, ob der Beschwerdeführer glaubhaft machen kann, dass er (...) 2011 von der sri-lankischen Armee festgenommen, nach Colombo gebracht, befragt, gefoltert und nach fünf Tagen wieder freigelassen wurde. Der Beschwerdeführer macht eine Reflexverfolgung geltend, da sein Bruder B._______ bei den LTTE gewesen sei und immer noch in einem Camp festgehalten werde. Er bringt mehrmals vor, seine Verhaftung (...) 2011 hänge wohl auch mit der Mitgliedschaft seines Bruders bei den LTTE zusammen.
4.3.1 Glaubhaft ist die Aussage des Beschwerdeführers, dass sein Bruder B._______ im Jahr 2002 Mitglied der LTTE geworden ist und seit Ende des Krieges in einem Lager der Regierung festgehalten wird. Diese Aussage des Beschwerdeführers ist durch verschiedene Dokumente belegt (zwei Haftbefehle, datiert vom (...) 2010, und eine E-Mail des Internationalen Komitees vom Roten Kreuz in Sri Lanka).
4.3.2 Die Aussagen des Beschwerdeführers zu seiner angeblichen Verhaftung und der anschliessenden Ausreise aus Sri Lanka im Jahr 2011 erscheinen jedoch insgesamt als konstruiert. Seine diesbezüglichen Aussagen fallen vage, unsubstantiiert und teilweise unplausibel beziehungsweise widersprüchlich aus:
Erstens äussert sich der Beschwerdeführer nur unsubstantiiert über seine Verhaftung und die Gefangenhaltung durch die sri-lankische Armee. Seine diesbezüglichen Aussagen sind sehr kurz und enthalten keine Einzelheiten, obwohl er mehrmals ausdrücklich aufgefordert wurde, die Ereignisse detailliert zu schildern (A13 S. 8). Einzig zu seiner ersten Befragung in Gefangenschaft äussert er sich nach mehrmaliger Aufforderung ausführlicher (A13 S. 9). Diese Ausführungen können aber den generellen Eindruck, seine Aussagen seien konstruiert und beruhten nicht auf eigenen Erlebnissen, nicht aufwiegen. Zudem gab der Beschwerdeführer in der Befragung zur Person an, er sei in Colombo jeden Tag mehrmals von verschiedenen Männern befragt worden (A6 S. 9), während er in der Anhörung aussagte, er sei lediglich einmal befragt worden und kurz vor der Entlassung hätten sie noch einmal mit ihm gesprochen (A13 S. 9 f.). Diesen Widerspruch vermag auch die Angabe in der Beschwerdeschrift, er sei nur einmal formell unter Aufnahme eines Protokolls befragt worden, aber "unzählige Male" geschlagen und gefragt worden, ob er den LTTE angehöre, nicht zu erklären, zumal er in der Anhörung auch auf ausdrücklich Nachfrage nur eine Befragung erwähnte, gleichzeitig jedoch das zusätzliche Gespräch kurz vor der Entlassung erwähnte. Unter diesen Umständen wäre zu erwarten gewesen, dass er bei dieser Gelegenheit auch weitere niederschwelligere Befragungen erwähnt hätte, zumal diese angeblich mit körperlichen Misshandlungen verbunden waren.
Zweitens reichte der Beschwerdeführer im erstinstanzlichen Verfahren die Kopie einer Identitätskarte ein, verwickelt sich diesbezüglich jedoch in verschiedene Widersprüche. Zuerst macht er geltend, diese sei (...) 2011 ausgestellt worden (A13 F11). Dann bringt er vor, sie sei bei seiner Entlassung aus der Haft im (...) 2011 von der Armee einbehalten worden (A13 F104). Auf Frage hin bestätigt er, es handle sich dabei um die gleiche Identitätskarte, die er im Jahr 2008 der sri-lankischen Armee habe abgeben müssen (A13 F123). Darauf aufmerksam gemacht, dass die Karte das Ausstellungsdatum 21. April 2009 trage, sagt er, er habe die Karte zu einem ihm unbekannten Zeitpunkt beim Dorfvorsteher erneuern lassen (A13 F125 ff.), und führt in der Beschwerdeschrift aus, dies sei für ihn nicht das Gleiche; die neue Identitätskarte sei ein Ersatz für seine alte, welche nass geworden sei, trage aber die gleiche Nummer. Schliesslich verstrickt er sich in der Anhörung in einen weiteren Widerspruch, wenn er angibt, die Karte sei von Personen in Zivilkleidern zu ihm nach Hause gebracht worden und die Personen hätten gefragt, wo sich diese Person befinde, wobei er sich dabei offensichtlich auf die Zeit nach seiner Entlassung (...) 2011 bezieht (A13 F128 ff.).
Drittens ist seine Schilderung, wie er seine Ausreise organisiert habe, nicht plausibel. Er gibt an, nach seiner Freilassung und "nicht mehr als zwei Tage" (A13 F30) vor seiner Ausreise einen echten Pass beantragt und diesen auch erhalten zu haben. Der Schlepper habe ihm dann jedoch mitgeteilt, damit könne er nicht sofort ausreisen, und habe ihm mit Hilfe des echten Passes einen gefälschten Pass erstellen lassen, mit dem er dann ausgereist sei. Grundsätzlich ist bereits schwer nachvollziehbar, dass der Beschwerdeführer kurz nach seiner Freilassung das Risiko eingegangen sein soll, bei den Behörden einen offiziellen Pass zu beantragen, und dies bevor er sich sicher gewesen sein konnte, dass er damit auch wirklich schnell ausreisen werden kann. Gemäss Angaben der offiziellen Website des "Department of Immigration and Emigration Sri Lanka" ist es zwar möglich, innert eines Tages einen sri-lankischen Reisepass zu erhalten. Der Beschwerdeführer hätte also, wenn man seinen Angaben folgt, am zweitletzten Tag seiner Anwesenheit in Sri Lanka einen Pass beantragt, welcher ihm am gleichen oder folgenden Tag ausgestellt worden wäre, hätte sich am nächsten Tag durch seinen Schlepper mittels des echten Passes einen gefälschten Pass machen lassen und wäre am darauffolgenden Tag damit ausgereist. Das erscheint vom zeitlichen Ablauf her höchst unwahrscheinlich. Zudem sind für die Erstellung eines Passes gemäss der Website des "Department of Immigration and Emigration Sri Lanka" ein Geburtsschein und eine gültige Identitätskarte erforderlich. Der Beschwerdeführer sagte jedoch aus, seine Identitätskarte sei von der sri-lankischen Armee bei seiner Entlassung einbehalten worden. Bezüglich des Geburtsscheins, der für eine Passausstellung ebenfalls notwendig ist, verstrickt sich der Beschwerdeführer ebenfalls in Widersprüche. Zuerst sagte er auf eine Frage hin aus, der Schlepper habe ihm nichts von seinen Eltern übergeben, später jedoch, sein Geburtsschein sei aus seinem Dorf dem Schlepper geschickt worden. Auffällig ist zudem, dass der Geburtsschein bereits am (...) 2011 ausgestellt wurde, das heisst, vor der Verhaftung des Beschwerdeführers. In der Befragung zur Person hatte er zudem angegeben, sein Pass sei bereits im Jahr 2010 ausgestellt worden. Diese Umstände deuten darauf hin, dass der Beschwerdeführer (...) 2011 sein Heimatland nicht, wie geltend gemacht, überstürzt verliess, sondern die Ausreise langfristig geplant hatte.
4.4 Schliesslich konnte der Beschwerdeführer nicht glaubhaft darlegen, wieso die sri-lankischen Sicherheitskräfte bei einer Rückkehr ein Interesse an ihm haben sollten. Allein aus dem Umstand, dass einer seiner Brüder bei den LTTE war und immer noch von der Armee festgehalten wird, kann keine Gefährdung für den Beschwerdeführer im Sinne der im Urteil BVGE 2011/24 E. 8 aufgeführten Risikogruppe "Rückkehrer aus der Schweiz, denen nahe Kontakte zu den LTTE unterstellt werden" abgeleitet werden. Dies gilt auch unter Berücksichtigung, dass der Beschwerdeführer als (...) arbeitete, (...), und er im Jahr 2008 während einer gewissen Zeit regelmässig seine Unterschrift leisten musste (siehe oben E. 5.2).
An dieser Feststellung ändert auch sein Vorbringen nichts, ein weiterer Bruder sei bereits einer Reflexverfolgung ausgesetzt gewesen: Sein Bruder C._______, der in London studiert habe, sei im Jahr 2011, nachdem er den Bruder B._______ in der Haft besucht habe, selber verhaftet und während fast einer Woche festgehalten und gefoltert worden. Daraufhin sei er nach London zurückgekehrt und habe dort Asyl erhalten. Dies belege die Gefahr einer Reflexverfolgung auch für ihn.
Zum Beleg der Verhaftung des Bruder C._______ reichte der Beschwerdeführer ein Affidavit dieses Bruders ein. Darin legt dieser dar, er habe während eines Besuches in Sri Lanka Probleme mit den sri-lankischen Sicherheitsdiensten gehabt ("I endure problems with the Srilankan Security Forces"), weil er seinen Bruder besucht habe, der für die LTTE gekämpft habe. Er sei verhaftet, gefangen gehalten und gefoltert worden und nach Bezahlung eines Bestechungsgeldes freigelassen worden. Der Text des Affidavits verweist auf "the documents related to my arrest and detention now shown and marked as Exhibit «SR6»". Diese Beweismittel reichte der Beschwerdeführer jedoch vor Bundesverwaltungsgericht nicht ein. Das Affidavit führt weiter aus, er, C._______, habe anschliessend in Grossbritannien Asyl erhalten. Auch das Beweismittel «SR8», das als "determination of the Immigration Judge" bezeichnet ist, und eventuell Aufschluss über die Gründe für die Asylgewährung geben würde, hat der Beschwerdeführer nicht eingereicht. Weitere Ausführungen zu seiner Verhaftung oder zu den Gründen für seine Asylgewährung macht der Bruder im Affidavit nicht.
Bei einem Affidavit handelt es sich um eine freiwillige Erklärung, in der eine Person unter Eid ihre Aussagen schriftlich festhält und deren Richtigkeit bestätigt. Ein dazu berechtigte öffentliche Urkundsperson bestätigt, dass die genannte Person diese Aussagen gemacht hat und die aufgeführten Beweismittel vorgelegt hat, nicht jedoch die inhaltliche Richtigkeit der Aussagen und der Beweismittel. Das Gericht würdigt damit auch solche Beweise frei (vgl. Art. 19

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 19 - Sont en outre applicables par analogie à la procédure probatoire les art. 37, 39 à 41 et 43 à 61 de la procédure civile fédérale49; les sanctions pénales prévues par ladite loi envers les parties ou les tierces personnes défaillantes sont remplacées par celles qui sont mentionnées à l'art. 60 de la présente loi. |

SR 273 Loi fédérale du 4 décembre 1947 de procédure civile fédérale PCF Art. 40 - Le juge apprécie les preuves selon sa libre conviction. Il prend en considération l'attitude des parties au cours du procès, par exemple le défaut d'obtempérer à une convocation personnelle, le refus de répondre à une question du juge ou de produire des moyens de preuve requis. |
Entsprechend kann vorliegend zwar davon ausgegangen werden, dass der Bruder des Beschwerdeführers diese Aussagen gemacht hat, doch kann das Affidavit nicht ohne Weiteres als Beleg für die Richtigkeit der Aussagen dienen. Das gleiche gilt für die im Affidavit erwähnten Beweismittel, die dem Gericht nicht vorliegen. Damit ist zwar glaubhaft gemacht, dass der Bruder C._______ des Beschwerdeführers in Grossbritannien als Flüchtling anerkannt wurde und Asyl erhielt. Die Gründe dafür sind jedoch unklar und die knappen Aussagen des Bruders zu seiner angeblichen Festnahme in Sri Lanka genügen angesichts der vorstehenden Erwägungen nicht, um eine Reflexverfolgung gegen den Beschwerdeführer glaubhaft zu machen.
4.5 Der allgemeinen Behauptung in der Beschwerde (S. 7 und 13) und der Replik (S. 2), von einem europäischen Land abgewiesene Asylbewerber tamilischer Ethnie seien - sowohl im Sinne eines (objektiven) Nachfluchtgrundes, als auch im Sinne der Unzulässigkeit des Wegweisungsvollzugs - generell gefährdet, bei ihrer Rückkehr verfolgt (nämlich verhaftet und gefoltert) zu werden, ist nicht zu folgen. Nach Kenntnis des Gerichts handelt es sich bei den bislang registrierten Übergriffen der sri-lankischen Sicherheitsorgane gegenüber tamilischen Rückkehrern (vgl. die zusammenfassende und auf eine Vielzahl von Quellen hinweisende Antwort der Informationsstelle der kanadischen Immigrations- und Flüchtlingsbehörde [Research Directorate, Immigration and Refugee Board of Canada] vom 12. Februar 2013; http://www.ecoi.net : "Sri Lanka: Treatment of Tamil returnees to Sri Lanka ...", letztmals besucht am 13. Mai 2013) nicht um ein allgemeines Phänomen, sondern um Einzelfälle, bei welchen über die Motive der verfolgenden Sicherheitsorgane kaum etwas bekannt ist und die nicht eine Verfolgung aller Rückkehrer wahrscheinlich erscheinen lassen. Angesichts des fehlenden Risikoprofils des Beschwerdeführers ist in Weiterführung der Praxis gemäss BVGE 2011/24 E. 10.4.2 (und der dort zitierten Praxis des Europäischen Gerichtshofs für Menschenrechte [EGMR]) die Wahrscheinlichkeit einer menschenrechtswidrigen Behandlung des Beschwerdeführers aus einem in Art. 3

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 3 Définition du terme de réfugié - 1 Sont des réfugiés les personnes qui, dans leur État d'origine ou dans le pays de leur dernière résidence, sont exposées à de sérieux préjudices ou craignent à juste titre de l'être en raison de leur race, de leur religion, de leur nationalité, de leur appartenance à un groupe social déterminé ou de leurs opinions politiques. |
4.6 Im Rahmen einer Gesamtwürdigung aller Aussagen des Beschwerdeführers und der eingereichten Beweismittel kommt das Gericht zum Schluss, dass es dem Beschwerdeführer nicht gelungen ist, eine asylrelevante Verfolgung in seinem Heimatland glaubhaft zu machen. Insgesamt sprechen wesentliche und überwiegende Umstände gegen die vorgebrachte Sachverhaltsdarstellung, so vor allem der Umstand, dass der Beschwerdeführer während der Zeit, in der er angeblich verfolgt wurde, in der Lage war, sowohl eine Identitätskarte als auch einen Reisepass zu beantragen und zu erhalten. Dies führt, zusammen mit den über weite Strecken unsubstantiierten Aussagen des Beschwerdeführers und der Unglaubhaftigkeit der geltend gemachten Umstände der Ausreise, dazu, dass das Gericht die Vorbringen des Beschwerdeführers und damit dessen aktuelle Verfolgungsfurcht nicht für überwiegend wahr hält. Daran kann auch seine Behauptung nichts ändern, er sei aufgrund der Abweisung seines Asylgesuchs in der Schweiz bei einer Rückkehr nach Sri Lanka bedroht, da er nie Mitglied der LTTE war und nicht glaubhaft machen konnte, einer Mitgliedschaft oder zumindest einer Nähe zur LTTE verdächtigt zu werden.
Dem Beschwerdeführer ist es damit nicht gelungen eine aktuelle asylrelevante Verfolgungsgefahr glaubhaft zu machen. Das BFM hat sein Asylgesuch zu Recht abgewiesen.
5.
5.1 Lehnt das Bundesamt das Asylgesuch ab oder tritt es darauf nicht ein, so verfügt es in der Regel die Wegweisung aus der Schweiz und ordnet den Vollzug an; es berücksichtigt dabei den Grundsatz der Einheit der Familie (Art. 44 Abs. 1

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 44 Renvoi et admission provisoire - Lorsqu'il rejette la demande d'asile ou qu'il refuse d'entrer en matière, le SEM prononce, en règle générale, le renvoi de Suisse et en ordonne l'exécution; il tient compte du principe de l'unité de la famille. Pour le surplus, la décision d'exécuter le renvoi est régie par les art. 83 et 84 LEI132. |
5.2 Der Beschwerdeführer verfügt weder über eine ausländerrechtliche Aufenthaltsbewilligung noch über einen Anspruch auf Erteilung einer solchen (vgl. BVGE 2011/24 E. 10.1 m.w.H.). Die Wegweisung wurde demnach zu Recht angeordnet.
6.
Ist der Vollzug der Wegweisung unzulässig, unzumutbar oder unmöglich, so regelt das Bundesamt das Anwesenheitsverhältnis nach den gesetzlichen Bestimmungen über die vorläufige Aufnahme von Ausländern (Art. 44 Abs. 2

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 44 Renvoi et admission provisoire - Lorsqu'il rejette la demande d'asile ou qu'il refuse d'entrer en matière, le SEM prononce, en règle générale, le renvoi de Suisse et en ordonne l'exécution; il tient compte du principe de l'unité de la famille. Pour le surplus, la décision d'exécuter le renvoi est régie par les art. 83 et 84 LEI132. |

SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 83 Décision d'admission provisoire - 1 Le SEM décide d'admettre provisoirement l'étranger si l'exécution du renvoi n'est pas possible, n'est pas licite ou ne peut être raisonnablement exigée.254 |
6.1 Der Vollzug ist nicht zulässig, wenn völkerrechtliche Verpflichtungen der Schweiz einer Weiterreise der Ausländerin oder des Ausländers in den Heimat-, Herkunfts- oder einen Drittstaat entgegenstehen (Art. 83 Abs. 3

SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 83 Décision d'admission provisoire - 1 Le SEM décide d'admettre provisoirement l'étranger si l'exécution du renvoi n'est pas possible, n'est pas licite ou ne peut être raisonnablement exigée.254 |
So darf keine Person in irgendeiner Form zur Ausreise in ein Land gezwungen werden, in dem ihr Leib, ihr Leben oder ihre Freiheit aus einem Grund nach Art. 3 Abs. 1

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 3 Définition du terme de réfugié - 1 Sont des réfugiés les personnes qui, dans leur État d'origine ou dans le pays de leur dernière résidence, sont exposées à de sérieux préjudices ou craignent à juste titre de l'être en raison de leur race, de leur religion, de leur nationalité, de leur appartenance à un groupe social déterminé ou de leurs opinions politiques. |

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 5 Interdiction du refoulement - 1 Nul ne peut être contraint, de quelque manière que ce soit, à se rendre dans un pays où sa vie, son intégrité corporelle ou sa liberté seraient menacées pour l'un des motifs mentionnés à l'art. 3, al. 1, ou encore d'où il risquerait d'être astreint à se rendre dans un tel pays. |

IR 0.142.30 Convention du 28 juillet 1951 relative au statut des réfugiés (avec annexe) Conv.-Réfugiés Art. 33 Défense d'expulsion et de refoulement - 1. Aucun des Etats Contractants n'expulsera ou ne refoulera, de quelque manière que ce soit, un réfugié sur les frontières des territoires où sa vie ou sa liberté serait menacée en raison de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques. |
|
1 | Aucun des Etats Contractants n'expulsera ou ne refoulera, de quelque manière que ce soit, un réfugié sur les frontières des territoires où sa vie ou sa liberté serait menacée en raison de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques. |
2 | Le bénéfice de la présente disposition ne pourra toutefois être invoqué par un réfugié qu'il y aura des raisons sérieuses de considérer comme un danger pour la sécurité du pays où il se trouve ou qui, ayant été l'objet d'une condamnation définitive pour un crime ou délit particulièrement grave, constitue une menace pour la communauté dudit pays. |
Gemäss Art. 25 Abs. 3

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 25 Protection contre l'expulsion, l'extradition et le refoulement - 1 Les Suisses et les Suissesses ne peuvent être expulsés du pays; ils ne peuvent être remis à une autorité étrangère que s'ils y consentent. |

IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 3 Interdiction de la torture - Nul ne peut être soumis à la torture ni à des peines ou traitements inhumains ou dégradants. |
6.1.1 Die Vorinstanz wies in ihrer angefochtenen Verfügung zutreffend darauf hin, dass das Prinzip des flüchtlingsrechtlichen Non-Refoulements nur Personen schützt, die die Flüchtlingseigenschaft erfüllen. Da es dem Beschwerdeführer nicht gelungen ist, eine asylrechtlich erhebliche Gefährdung nachzuweisen oder glaubhaft zu machen, kann der in Art. 5

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 5 Interdiction du refoulement - 1 Nul ne peut être contraint, de quelque manière que ce soit, à se rendre dans un pays où sa vie, son intégrité corporelle ou sa liberté seraient menacées pour l'un des motifs mentionnés à l'art. 3, al. 1, ou encore d'où il risquerait d'être astreint à se rendre dans un tel pays. |

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 5 Interdiction du refoulement - 1 Nul ne peut être contraint, de quelque manière que ce soit, à se rendre dans un pays où sa vie, son intégrité corporelle ou sa liberté seraient menacées pour l'un des motifs mentionnés à l'art. 3, al. 1, ou encore d'où il risquerait d'être astreint à se rendre dans un tel pays. |
6.1.2 Sodann ergeben sich weder aus den Aussagen des Beschwerdeführers noch aus den Akten Anhaltspunkte dafür, dass er für den Fall einer Ausschaffung in den Heimatstaat dort mit beachtlicher Wahrscheinlichkeit einer nach Art. 3

IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 3 Interdiction de la torture - Nul ne peut être soumis à la torture ni à des peines ou traitements inhumains ou dégradants. |
6.2 Gemäss Art. 83 Abs. 4

SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 83 Décision d'admission provisoire - 1 Le SEM décide d'admettre provisoirement l'étranger si l'exécution du renvoi n'est pas possible, n'est pas licite ou ne peut être raisonnablement exigée.254 |

SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 83 Décision d'admission provisoire - 1 Le SEM décide d'admettre provisoirement l'étranger si l'exécution du renvoi n'est pas possible, n'est pas licite ou ne peut être raisonnablement exigée.254 |
6.2.1 Das Bundesverwaltungsgericht hat (in den E. 12 und 13 des Urteils BVGE 2011/24) erkannt, dass sich die Menschenrechts- und Sicherheitslage in Sri Lanka wesentlich verbessert hat. Allerdings präsentiert sich die Lage nicht in allen Landesteilen gleich. Es muss unterschieden werden zwischen der Ostprovinz, in die der Wegweisungsvollzug grundsätzlich zumutbar ist, und zwei verschiedenen Gebieten innerhalb der Nordprovinz, in die der Wegweisungsvollzug nicht oder nur unter bestimmten Voraussetzungen zumutbar ist. Die Rückkehr in alle anderen Landesteile, insbesondere in den Grossraum Colombo, ist grundsätzlich zumutbar.
6.2.2 Das BFM stellte in der angefochtenen Verfügung fest, der Beschwerdeführer stamme aus D._______, sei jung und gesund und im Heimatland bereits berufstätig gewesen, verfüge (...) über ein familiäres Netz, bestehend aus seinen Eltern, Geschwistern und weiteren Verwandten, auf welches er sich bei einer Rückkehr stützen könne, weshalb der Vollzug unter Berücksichtigung der individuellen Voraussetzungen zumutbar sei.
Dies entspricht insoweit der Praxis des Bundesverwaltungsgerichts, als bei Asylsuchenden aus der Nordprovinz (mit Ausnahme des Vanni-Gebiets) die Zumutbarkeit des Wegweisungsvollzugs bejaht wird, wenn begünstigende Faktoren (Existenz eines tragfähigen Beziehungsnetzes, Sicherung des Existenzminimums, gesicherte Wohnsituation) vorliegen (vgl. BVGE 2011/24 E. 13.2.1.2). Beim Beschwerdeführer handelt es sich um einen jungen Mann, der - soweit den Akten zu entnehmen ist - keine gesundheitlichen Beschwerden hat, während Jahren (...) berufstätig gewesen ist und in seinem Heimatort auch über die engsten Familienangehörigen hinaus, bei denen er wohnen kann, ein familiäres Beziehungsnetz vorfinden wird. Der Beschwerdeführer hält dem in der Beschwerdeschrift entgegen, er wäre, da der zu Hause lebende Bruder gelähmt und ein anderer im Gefängnis sei, das einzige gesunde männliche Familienmitglied. Trotz dieses Einwandes erscheint angesichts der recht zahlreichen Verwandtschaft, der übrigen begünstigenden Faktoren sowie des Umstandes, dass der in Grossbritannien als Flüchtling anerkannte Bruder C._______ die Familie finanziell unterstützen kann, eine Rückkehr insgesamt als zumutbar.
6.2.3 Nach dem Gesagten erweist sich der Vollzug der Wegweisung auch als zumutbar.
6.3 Schliesslich obliegt es dem Beschwerdeführer, sich bei der zuständigen Vertretung des Heimatstaates die für eine Rückkehr notwendigen Reisedokumente zu beschaffen (vgl. Art. 8 Abs. 4

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 8 Obligation de collaborer - 1 Le requérant est tenu de collaborer à la constatation des faits. Il doit en particulier: |

SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 83 Décision d'admission provisoire - 1 Le SEM décide d'admettre provisoirement l'étranger si l'exécution du renvoi n'est pas possible, n'est pas licite ou ne peut être raisonnablement exigée.254 |
6.4 Zusammenfassend hat die Vorinstanz den Wegweisungsvollzug zu Recht als zulässig, zumutbar und möglich erachtet. Nach dem Gesagten fällt eine Anordnung der vorläufigen Aufnahme ausser Betracht (Art. 83 Abs. 1

SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 83 Décision d'admission provisoire - 1 Le SEM décide d'admettre provisoirement l'étranger si l'exécution du renvoi n'est pas possible, n'est pas licite ou ne peut être raisonnablement exigée.254 |

SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 83 Décision d'admission provisoire - 1 Le SEM décide d'admettre provisoirement l'étranger si l'exécution du renvoi n'est pas possible, n'est pas licite ou ne peut être raisonnablement exigée.254 |
7.
Aus diesen Erwägungen ergibt sich, dass die angefochtene Verfügung Bundesrecht nicht verletzt, den rechtserheblichen Sachverhalt richtig und vollständig feststellt und angemessen ist (Art. 106

SR 142.31 Loi du 26 juin 1998 sur l'asile (LAsi) LAsi Art. 106 Motifs de recours - 1 Les motifs de recours sont les suivants: |
8.
Bei diesem Ausgang des Verfahrens sind die Kosten grundsätzlich dem Beschwerdeführer aufzuerlegen (Art. 63 Abs. 1

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 63 - 1 En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis. |
|
1 | En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis. |
2 | Aucun frais de procédure n'est mis à la charge des autorités inférieures, ni des autorités fédérales recourantes et déboutées; si l'autorité recourante qui succombe n'est pas une autorité fédérale, les frais de procédure sont mis à sa charge dans la mesure où le litige porte sur des intérêts pécuniaires de collectivités ou d'établissements autonomes. |
3 | Des frais de procédure ne peuvent être mis à la charge de la partie qui a gain de cause que si elle les a occasionnés en violant des règles de procédure. |
4 | L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur perçoit du recourant une avance de frais équivalant aux frais de procédure présumés. Elle lui impartit pour le versement de cette créance un délai raisonnable en l'avertissant qu'à défaut de paiement elle n'entrera pas en matière. Si des motifs particuliers le justifient, elle peut renoncer à percevoir la totalité ou une partie de l'avance de frais.101 |
4bis | L'émolument d'arrêté est calculé en fonction de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la manière de procéder des parties et de leur situation financière. Son montant est fixé: |
a | entre 100 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 100 et 50 000 francs dans les autres contestations.102 |
5 | Le Conseil fédéral établit un tarif des émoluments.103 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral104 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales105 sont réservés.106 |

SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 63 - 1 En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis. |
|
1 | En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis. |
2 | Aucun frais de procédure n'est mis à la charge des autorités inférieures, ni des autorités fédérales recourantes et déboutées; si l'autorité recourante qui succombe n'est pas une autorité fédérale, les frais de procédure sont mis à sa charge dans la mesure où le litige porte sur des intérêts pécuniaires de collectivités ou d'établissements autonomes. |
3 | Des frais de procédure ne peuvent être mis à la charge de la partie qui a gain de cause que si elle les a occasionnés en violant des règles de procédure. |
4 | L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur perçoit du recourant une avance de frais équivalant aux frais de procédure présumés. Elle lui impartit pour le versement de cette créance un délai raisonnable en l'avertissant qu'à défaut de paiement elle n'entrera pas en matière. Si des motifs particuliers le justifient, elle peut renoncer à percevoir la totalité ou une partie de l'avance de frais.101 |
4bis | L'émolument d'arrêté est calculé en fonction de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la manière de procéder des parties et de leur situation financière. Son montant est fixé: |
a | entre 100 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 100 et 50 000 francs dans les autres contestations.102 |
5 | Le Conseil fédéral établit un tarif des émoluments.103 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral104 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales105 sont réservés.106 |
(Dispositiv nächste Seite)
Demnach erkennt das Bundesverwaltungsgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Es werden keine Verfahrenskosten erhoben.
3.
Dieses Urteil geht an den Beschwerdeführer, das BFM und die zuständige kantonale Behörde.
Der vorsitzende Richter: Der Gerichtsschreiber:
Walter Stöckli Tobias Grasdorf
Versand: