Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
6B 871/2019
Urteil vom 14. November 2019
Strafrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Denys, Präsident,
Bundesrichterin Jametti,
nebenamtliche Bundesrichterin Griesser,
Gerichtsschreiber Traub.
Verfahrensbeteiligte
A.B.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Markus Härdi,
Beschwerdeführer,
gegen
Oberstaatsanwaltschaft des Kantons Aargau,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Veruntreuung; Willkür,
Beschwerde gegen das Urteil des Obergerichts
des Kantons Aargau, Strafgericht, 2. Kammer,
vom 18. Juni 2019 (SST.2019.20).
Sachverhalt:
A.
Mit Strafbefehl vom 24. April 2017 sprach die Staatsanwaltschaft Lenzburg-Aarau A.B.________ der Veruntreuung schuldig und verurteilte ihn zu einer bedingten Geldstrafe von 30 Tagessätzen zu Fr. 70.-- und zu einer Busse von Fr. 500.--. Die Staatsanwaltschaft ging davon aus, A.B.________ habe im Februar 2014 als Inhaber der Einzelunternehmung Garage B.________ mit der D.________ GmbH von C.D.________ einen Untermietvertrag für eine Werkstatt abgeschlossen. C.D.________ habe in der Folge zahlreiche Gegenstände in die Liegenschaft verbracht. Da C.D.________ den vereinbarten Mietzins nicht bezahlt habe und es zu Unstimmigkeiten zwischen den Parteien gekommen sei, habe A.B.________ C.D.________ ab Juni 2014 den Zutritt in die Garage verwehrt. Im Februar 2016 habe A.B.________ das gesamte Inventar der Garage B.________ einschliesslich der Gegenstände, die der D.________ GmbH resp. C.D.________ gehörten, für insgesamt Fr. 25'000.-- an E.________ verkauft. Dadurch habe sich A.B.________ unrechtmässig bereichert.
Gegen den Strafbefehl erhob A.B.________ Einsprache. Die Staatsanwaltschaft erklärte den Strafbefehl zur Anklageschrift und überwies die Akten zur Beurteilung an das Bezirksgericht Lenzburg.
B.
Mit Urteil vom 3. Juli 2018 erkannte die Präsidentin des Bezirksgerichts Lenzburg A.B.________ schuldig der Veruntreuung gemäss Art. 138 Ziff. 1 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 138 - 1. Quiconque, pour se procurer ou procurer à un tiers un enrichissement illégitime, s'approprie une chose mobilière appartenant à autrui et qui lui a été confiée, |
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1 | Quiconque, pour se procurer ou procurer à un tiers un enrichissement illégitime, s'approprie une chose mobilière appartenant à autrui et qui lui a été confiée, |
2 | Si l'auteur agit en qualité de membre d'une autorité, de fonctionnaire, de tuteur, de curateur, de gérant de fortunes ou dans l'exercice d'une profession, d'une industrie ou d'un commerce auquel les pouvoirs publics l'ont autorisé, il est puni d'une peine privative de liberté de dix ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
Gegen das Urteil vom 3. Juli 2018 erhob A.B.________ Berufung an das Obergericht des Kantons Aargau. Er beantragte, er sei vom Vorwurf der Veruntreuung freizusprechen. Das Obergericht bestätigte mit Urteil vom 18. Juni 2019 das erstinstanzliche Urteil vollumfänglich.
C.
Mit Beschwerde in Strafsachen beantragt A.B.________, der Entscheid des Obergerichts vom 18. Juni 2019 sei aufzuheben und er sei vom Vorwurf der Veruntreuung freizusprechen. Eventuell sei die Angelegenheit zur richtigen Sachverhaltsfeststellung und Neubeurteilung an die Vorinstanz zurückzuweisen.
Erwägungen:
1.
1.1. Der Beschwerdeführer rügt, die Vorinstanz habe den Sachverhalt offensichtlich falsch und somit willkürlich festgestellt und habe so Bundesrecht verletzt, nämlich Art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 8 Égalité - 1 Tous les êtres humains sont égaux devant la loi. |
|
1 | Tous les êtres humains sont égaux devant la loi. |
2 | Nul ne doit subir de discrimination du fait notamment de son origine, de sa race, de son sexe, de son âge, de sa langue, de sa situation sociale, de son mode de vie, de ses convictions religieuses, philosophiques ou politiques ni du fait d'une déficience corporelle, mentale ou psychique. |
3 | L'homme et la femme sont égaux en droit. La loi pourvoit à l'égalité de droit et de fait, en particulier dans les domaines de la famille, de la formation et du travail. L'homme et la femme ont droit à un salaire égal pour un travail de valeur égale. |
4 | La loi prévoit des mesures en vue d'éliminer les inégalités qui frappent les personnes handicapées. |
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
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1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
freizusprechen. Die Vorinstanz befasse sich nicht mit der Glaubwürdigkeit von C.D.________; sie berücksichtige nicht, dass er die Miete für die Mitbenutzung der Garage nicht bezahlt habe, finanzielle Schwierigkeiten gehabt habe und bereits früher in diverse Rechtsstreitigkeiten verwickelt gewesen sei. Es sei willkürlich, einzig auf Aussagen abzustellen, die den Beschwerdeführer belasteten. Selbst wenn C.D.________ Kaufbelege oder Steigerungsbestätigungen über die betreffenden Gegenstände habe vorlegen können, so sei nicht erstellt, dass er diese Gegenstände tatsächlich in die Werkstatt eingebracht habe. Die Prüfung der Eigentumsverhältnisse sei erst dann massgebend, wenn der Nachweis erbracht sei, dass C.D.________ diese Gegenstände tatsächlich eingebracht habe. Dieser Nachweis sei nicht erbracht, weshalb nach dem Grundsatz "in dubio pro reo" ein Freispruch hätte ergehen müssen.
1.2. Die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz kann nur gerügt werden, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
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1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
143 V 19 E. 2.2 S. 23).
Der in Art. 10 Abs. 1
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 10 Présomption d'innocence et appréciation des preuves - 1 Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force. |
|
1 | Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force. |
2 | Le tribunal apprécie librement les preuves recueillies selon l'intime conviction qu'il retire de l'ensemble de la procédure. |
3 | Lorsque subsistent des doutes insurmontables quant aux éléments factuels justifiant une condamnation, le tribunal se fonde sur l'état de fait le plus favorable au prévenu. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 32 Procédure pénale - 1 Toute personne est présumée innocente jusqu'à ce qu'elle fasse l'objet d'une condamnation entrée en force. |
|
1 | Toute personne est présumée innocente jusqu'à ce qu'elle fasse l'objet d'une condamnation entrée en force. |
2 | Toute personne accusée a le droit d'être informée, dans les plus brefs délais et de manière détaillée, des accusations portées contre elle. Elle doit être mise en état de faire valoir les droits de la défense. |
3 | Toute personne condamnée a le droit de faire examiner le jugement par une juridiction supérieure. Les cas où le Tribunal fédéral statue en instance unique sont réservés. |
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
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1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
1.3. Die Vorinstanz hält fest, es sei erstellt, dass C.D.________ diverse Gegenstände in die Werkstatt des Beschwerdeführers eingebracht hat (angefochtenes Urteil, S. 8 E. 4.4). Ebenso sei unbestritten, dass der Beschwerdeführer am 29. Februar 2016 die in der Anklage aufgeführten Gegenstände an E.________ verkauft hat. Anschliessend prüft die Vorinstanz, ob C.D.________ zum Zeitpunkt des Verkaufs Eigentümer der fünf noch Gegenstand des Berufungsverfahrens bildenden Gegenstände (Kleinteilereiniger F.________, Sandstrahlkabine G.________, Ladentheke mit Glasauslage, Design-Büro-Tisch und Hängeregisterschrank H.________) war und der Beschwerdeführer somit einem Dritten gehörende Gegenstände verkauft hat (angefochtenes Urteil, S. 8 ff. E. 5 ff.).
In Bezug auf den "Kleinteilereiniger F.________" hält die Vorinstanz fest, der Beschwerdeführer habe unbestrittenermassen denjenigen Kleinteilereiniger verkauft, welcher in den Untersuchungsakten (act. 118) abgebildet sei. Dabei handle es sich um einen "Reinigungstisch I.________". Zudem habe der Beschwerdeführer auf einem handschriftlich angefertigten Inventar eine "Teilreinigungsmaschine (F.________) " selbst vermerkt. Es könnten somit keine Zweifel daran bestehen, dass der Beschwerdeführer am 29. Februar 2016 einen "Reinigungstisch I.________" verkauft habe. Sodann sei erstellt, dass C.D.________ am 24. Januar 2013 ein Gerät mit der Bezeichnung "Kleinteilereiniger F.________/I.________" auf der Auktionsplattform Ricardo ersteigert hat. Dies sei durch eine E-Mail von "Kundendienst@ricardo.ch" belegt. Der Einwand des Beschwerdeführers, C.D.________ könnte die "Teilreinigungsmaschine" zwar ersteigert, aber nicht abgeholt oder aber bei sich behalten und nicht in die Garage eingebracht haben, sei lebensfremd. Angesichts der Tatsache, dass C.D.________ nachweislich ein Gerät ersteigert hat, dessen Marke und Typenbezeichnung mit dem vom Beschwerdeführer verkauften Gerät übereinstimmen, während keine Anhaltspunkte oder Belege für das
behauptete Eigentumsrecht des Beschwerdeführers vorliegen, könnten keine rechtserheblichen Zweifel daran bestehen, dass es sich beim vom Beschwerdeführer veräusserten "Kleinteilereiniger F.________" um das von C.D.________ gekaufte Gerät handle.
Analoge Überlegungen macht die Vorinstanz in Bezug auf die Sandstrahlkabine G.________ (hier sei die Aussage von C.D.________, er habe diesen Gegenstand erworben, durch eine Kaufquittung belegt), die Ladentheke mit Glasauslage (hier sei der Kauf des Gegenstandes durch C.D.________ durch eine Bestätigungs-E-Mail von "ricardo.ch" belegt) sowie in Bezug auf den Design Büro-Tisch und den Hängeregisterschrank H.________ (hier ergebe sich aus der Liste der Auktionstitel, dass C.D.________ den Bürotisch der Marke "K.________" und den Hängeregisterschrank der Marke "H.________" auf "ricardo.ch" ersteigert hat).
Zusammenfassend stellt die Vorinstanz fest, aufgrund der Übereinstimmung der nachweislich von C.D.________ käuflich erworbenen Gegenstände mit den vom Beschwerdeführer an E.________ verkauften könne kein Zweifel daran bestehen, dass sich diese fünf Gegenstände zum Zeitpunkt des vom Beschwerdeführer getätigten Verkaufs im Eigentum von C.D.________ befanden (angefochtenes Urteil, S. 12 E. 10).
1.4.
1.4.1. Mit der ausführlichen und sorgfältigen Begründung der Vorinstanz setzt sich der Beschwerdeführer in seiner Beschwerdeschrift kaum auseinander. Was der Beschwerdeführer gegen die vorinstanzliche Sachverhaltsfeststellung zum Kerngeschehen vorbringt, erschöpft sich überwiegend in einer unzulässigen appellatorischen Kritik, auf die das Bundesgericht nicht eintritt (vgl. BGE 144 V 50 E. 4.2 S. 53). Er zeigt nicht auf, inwieweit die von ihm beanstandeten Sachverhaltsfeststellungen im angefochtenen Entscheid unhaltbar sein sollen. Er beschränkt sich überwiegend darauf zu behaupten, der Sachverhalt sei nicht erstellt, ohne auf die Begründung der Vorinstanz einzugehen.
1.4.2. Die Vorinstanz legt schlüssig dar, weshalb sie zur Überzeugung gelangt, dass die Sachdarstellung von C.D.________ glaubhafter ist als diejenige des Beschwerdeführers. Entgegen der Darstellung des Beschwerdeführers stellt die Vorinstanz nicht ungeprüft auf die Aussagen von C.D.________ ab. Vielmehr berücksichtigt sie weitere Beweismittel, so insbesondere E-Mails des Kundendienstes von "ricardo.ch" sowie Kaufbelege, welche die Aussagen von C.D.________ untermauern. Es trifft auch nicht zu, dass die Vorinstanz vom Beschwerdeführer den Nachweis für sein Eigentum an den von ihm verkauften Gegenständen verlangt hätte und - da er einen solchen nicht habe erbringen können - ihn in Verletzung der Beweisregeln schuldig gesprochen hätte. Vielmehr berücksichtigt die Vorinstanz in willkürfreier Beweiswürdigung, dass C.D.________ - im Gegensatz zum Beschwerdeführer - die von ihm behaupteten Käufe der betreffenden Gegenstände mit Urkunden belegen konnte. Keine Willkür ist darin zu erblicken, dass die Vorinstanz bei der Beweiswürdigung nicht berücksichtigt, dass C.D.________ finanzielle Schwierigkeiten und diverse Rechtsstreitigkeiten gehabt hat und haben soll. Selbst wenn dies zuträfe, vermöchte es nichts an der Glaubhaftigkeit der
Aussagen von C.D.________ zu ändern, sind doch diese im Kerngeschehen widerspruchsfrei und durch die von ihm eingereichten Urkunden belegt.
Die Vorinstanz gelangt in willkürfreier Beweiswürdigung zum Schluss, dass der Beschwerdeführer im Eigentum von C.D.________ stehende Gegenstände an E.________ verkauft hat. Sie begründet nachvollziehbar, weshalb für sie feststeht, dass C.D.________ diese Gegenstände zuvor käuflich erworben hat. Sie zeigt auch auf, dass diese Gegenstände in ihren Merkmalen (Name, Marke, Typbezeichnung) mit denjenigen Gegenständen übereinstimmen, welche der Beschwerdeführer verkauft hat. Die Vorinstanz legt somit schlüssig dar, weshalb sie es als erstellt erachtet, dass es sich bei den vom Beschwerdeführer an E.________ verkauften fünf Gegenständen um diejenigen handelt, welche C.D.________ in die Garage des Beschwerdeführers eingebracht hat. Zu Recht wertet sie den Einwand des Beschwerdeführers als lebensfremd, C.D.________ könnte die Gegenstände zwar gekauft haben, aber nicht abgeholt oder bei sich behalten und nicht in die Garage eingebracht haben. Die Vorinstanz hält dazu fest, dass die von C.D.________ nachweislich erworbenen fünf Gegenstände mit den vom Beschwerdeführer verkauften in einem Ausmass übereinstimmen, dass kein vernünftiger Zweifel daran verbleibt, dass die Gegenstände identisch sind. Diese Schlussfolgerung der Vorinstanz ist
nachvollziehbar und plausibel.
Die Willkürrügen des Beschwerdeführers erweisen sich als unbehelflich.
2.
Die Beschwerde ist abzuweisen, soweit darauf einzutreten ist. Bei diesem Ausgang des Verfahrens trägt der Beschwerdeführer die Kosten (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 3'000.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Obergericht des Kantons Aargau, Strafgericht, 2. Kammer, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 14. November 2019
Im Namen der Strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Denys
Der Gerichtsschreiber: Traub