Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
6B 307/2023
Sentenza del 13 luglio 2023
I Corte di diritto penale
Composizione
Giudici federali Jacquemoud-Rossari, Presidente,
Denys, Muschietti, van de Graaf, Hurni,
Cancelliere Gadoni.
Partecipanti al procedimento
A.________,
patrocinato dall'avv. Luca Maria Guidicelli,
ricorrente,
contro
1. Ministero pubblico del Cantone Ticino, Palazzo di giustizia, via Pretorio 16, 6901 Lugano,
2. B.________,
patrocinato dall'avv. Giorgio Brenni,
3. C.________,
patrocinato dall'avv. Maria Galliani,
opponenti.
Oggetto
Omicidio intenzionale; appropriazione indebita, lesioni personali gravi; espulsione; amministrazione delle prove,
ricorso in materia penale contro la sentenza emanata
il 29 novembre 2022 della Corte di appello e di revisione penale del Cantone Ticino (incarto n. 17.2021.350, 17.2022.35).
Fatti:
A.
Con sentenza del 1° ottobre 2021 la Corte delle assise criminali ha dichiarato A.________, cittadino tedesco nato nel 1989, autore colpevole di omicidio intenzionale, per avere, il 9 aprile 2019, a X.________, presso la camera n. 501 dell'hotel D.________, tra le ore 02:30 e le ore 06:00, ucciso intenzionalmente E.________, nata nel 1997. Gli è stato addebitato di avere preso la vittima per il collo, sia cingendolo con un asciugamano, sia a mani nude, stringendolo con estrema forza al punto da cagionarle la frattura della cartilagine cricoidea e infine un'asfissia meccanica da strangolamento.
A.________ è inoltre stato riconosciuto autore colpevole di appropriazione semplice (art. 137
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 137 - 1. Quiconque, pour se procurer ou procurer à un tiers un enrichissement illégitime, s'approprie une chose mobilière appartenant à autrui est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire, en tant que les conditions prévues aux art. 138 à 140 ne sont pas réalisées. |
|
1 | Quiconque, pour se procurer ou procurer à un tiers un enrichissement illégitime, s'approprie une chose mobilière appartenant à autrui est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire, en tant que les conditions prévues aux art. 138 à 140 ne sont pas réalisées. |
2 | Si l'auteur a trouvé la chose ou si celle-ci est tombée en son pouvoir indépendamment de sa volonté, |
L'imputato è pure stato dichiarato autore colpevole di lesioni gravi, per avere, il 18 febbraio 2018, a Y.________, presso il bar F.________, attorno alle 02:25 circa, in correità con G.________, nel corso di una serata trascorsa in tale bar, recandosi nei bagni degli uomini, segnatamente nella toilette occupata da B.________, ripetutamente colpito quest'ultimo con calci e pugni, cagionandogli la frattura del pavimento orbitale dell'occhio sinistro, la frattura del setto nasale, diverse ferite lacero contuse sulla fronte, sulla guancia sinistra e al labbro, nonché lo sviluppo di una malattia psichica (disturbo d'ansia e disturbo depressivo).
La Corte delle assise criminali ha altresì riconosciuto A.________ autore colpevole di contravvenzione alla LAINF (RS 832.20), di falsità in documenti e di contravvenzione alla LStup (RS 812.121). La condanna per questi reati non è stata impugnata e non è oggetto di contestazione.
A.________ è stato condannato alla pena detentiva di 18 anni, da dedursi la carcerazione preventiva sofferta, e alla multa di fr. 1'000.--. Nei suoi confronti è inoltre stata ordinata l'espulsione dal territorio svizzero per un periodo di 12 anni.
B.
Con sentenza del 29 novembre 2022, la Corte di appello e di revisione penale (CARP) ha parzialmente accolto un appello dell'imputato e un appello incidentale del Procuratore pubblico contro il giudizio di primo grado. La Corte cantonale ha confermato la condanna per omicidio intenzionale e quella per lesioni gravi, riconoscendolo autore colpevole di appropriazione indebita (art. 138
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 138 - 1. Quiconque, pour se procurer ou procurer à un tiers un enrichissement illégitime, s'approprie une chose mobilière appartenant à autrui et qui lui a été confiée, |
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1 | Quiconque, pour se procurer ou procurer à un tiers un enrichissement illégitime, s'approprie une chose mobilière appartenant à autrui et qui lui a été confiée, |
2 | Si l'auteur agit en qualité de membre d'une autorité, de fonctionnaire, de tuteur, de curateur, de gérant de fortunes ou dans l'exercice d'une profession, d'une industrie ou d'un commerce auquel les pouvoirs publics l'ont autorisé, il est puni d'une peine privative de liberté de dix ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
C.
A.________ impugna questa sentenza con un ricorso in materia penale del 3 marzo 2023 al Tribunale federale, chiedendo in via principale di dichiararlo autore colpevole di omicidio colposo e di proscioglierlo dalle imputazioni di appropriazione indebita e di lesioni gravi. Postula in particolare che la pena detentiva sia ridotta a 2 anni e che la durata dell'espulsione dal territorio svizzero sia limitata a un anno. In via subordinata, postula di essere riconosciuto colpevole di "omicidio per negligenza in stato di scemata responsabilità" e di essere prosciolto dalle accuse di appropriazione indebita e di lesioni gravi, con la condanna a una pena detentiva di 7 anni e la durata dell'espulsione dal territorio svizzero ridotta a 7 anni. Il ricorrente formula ulteriori domande alternative e chiede di essere posto al beneficio dell'assistenza giudiziaria con gratuito patrocinio.
Non è stato ordinato uno scambio di scritti, ma è stato richiamato l'incarto cantonale.
Diritto:
1.
La decisione impugnata, di carattere finale (art. 90
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 78 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière pénale. |
|
1 | Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière pénale. |
2 | Sont également sujettes au recours en matière pénale: |
a | les décisions sur les prétentions civiles qui doivent être jugées en même temps que la cause pénale; |
b | les décisions sur l'exécution de peines et de mesures. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 80 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance ou par la Cour des plaintes et la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral.49 |
|
1 | Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance ou par la Cour des plaintes et la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral.49 |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours. Sont exceptés les cas dans lesquels le code de procédure pénale du 5 octobre 2007 (CPP)50 prévoit un tribunal des mesures de contrainte ou un autre tribunal comme instance cantonale unique.51 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 81 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque: |
|
1 | A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et |
b | a un intérêt juridique à l'annulation ou à la modification de la décision attaquée, soit en particulier: |
b1 | l'accusé, |
b2 | le représentant légal de l'accusé, |
b3 | le ministère public, sauf pour les décisions relatives à la mise en détention provisoire ou pour des motifs de sûreté, à la prolongation de la détention ou à sa levée, |
b4 | ... |
b5 | la partie plaignante, si la décision attaquée peut avoir des effets sur le jugement de ses prétentions civiles, |
b6 | le plaignant, pour autant que la contestation porte sur le droit de porter plainte, |
b7 | le Ministère public de la Confédération et les autorités administratives participant à la poursuite et au jugement des affaires pénales administratives selon la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif56. |
2 | Une autorité fédérale a qualité pour recourir si le droit fédéral prévoit que la décision doit lui être communiquée.57 |
3 | La qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 78, al. 2, let. b, appartient également à la Chancellerie fédérale, aux départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, aux unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
|
1 | Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
2 | Le délai de recours est de dix jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
b | les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale; |
c | les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93. |
d | les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95. |
3 | Le délai de recours est de cinq jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change; |
b | les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales. |
4 | Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national. |
5 | En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
6 | ...96 |
7 | Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps. |
2.
2.1. Conformemente a quanto stabilito dagli art. 95 e
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
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1 | Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
2 | Le délai de recours est de dix jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
b | les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale; |
c | les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93. |
d | les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95. |
3 | Le délai de recours est de cinq jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change; |
b | les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales. |
4 | Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national. |
5 | En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
6 | ...96 |
7 | Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
In quest'ottica, argomentazioni vaghe o meramente appellatorie e semplici rinvii agli atti cantonali non sono ammissibili (DTF 143 IV 122 consid. 3.3; 142 III 364 consid. 2.4). Per motivare l'arbitrio, non basta criticare semplicemente la decisione impugnata contrapponendole una versione propria, ma occorre dimostrare per quale motivo l'accertamento dei fatti o la valutazione delle prove sono manifestamente insostenibili, si trovano in chiaro contrasto con la fattispecie, si fondano su una svista manifesta o contraddicono in modo urtante il sentimento della giustizia e dell'equità (DTF 148 IV 356 consid. 2.1; 145 IV 154 consid. 1.1; 143 IV 241 consid. 2.3.1; 129 I 173 consid. 3.1, 8 consid. 2.1).
2.2. Nella fattispecie, il ricorrente critica essenzialmente l'accertamento dei fatti e la valutazione delle prove da parte della Corte cantonale. Nella misura in cui si limita però ad esporre delle sue diverse interpretazioni dei fatti, senza sostanziare l'arbitrarietà del giudizio impugnato, il gravame denota carattere appellatorio e deve pertanto essere dichiarato inammissibile. Spettava infatti al ricorrente confrontarsi puntualmente con gli specifici accertamenti contenuti nella sentenza della CARP, spiegando con una motivazione conforme alle esposte esigenze perché essi sarebbero manifestamente insostenibili o in chiaro contrasto con determinati atti. In particolare, l'esposto dello svolgimento dei fatti nella parte "in fatto" (ricorso da pag. 8 a pag. 14) non è per sua natura idoneo a correggere o a precisare gli accertamenti contenuti nella sentenza impugnata, dei quali non è sostanziata l'arbitrarietà (cfr. sentenza 6B 43/2022 del 13 gennaio 2023 consid. 2.2 e rinvii). Quanto al principio "in dubio pro reo", nella misura in cui è richiamato dal ricorrente con riferimento alla valutazione delle prove, esso non assume nell'ambito della procedura dinanzi al Tribunale federale una portata travalicante quella del divieto
dell'arbitrio (DTF 145 IV 154 consid. 1.1; 144 IV 345 consid. 2.2.3.3 e rinvii).
3.
3.1. Il ricorrente ribadisce la sua tesi difensiva, secondo cui il decesso della vittima sarebbe riconducibile ad un atto sessuale in cui è stata consensualmente praticata un'asfissia erotica, che è tuttavia finita male. Rimprovera alla Corte cantonale di non avere tenuto conto del fatto ch'egli era manifestamente ubriaco al momento del rientro in albergo, alle 02:30, ciò che risulterebbe dalle dichiarazioni dei testimoni che hanno visto la coppia ad Z.________. Adduce che la precedente istanza non avrebbe considerato che il tasso alcolemico sarebbe ancora stato dell'1,47 per mille alle ore 10:00 del 9 aprile 2019, sicché nelle ore precedenti esso sarà stato certamente molto elevato. Il ricorrente sostiene che la vittima avrebbe sopportato meglio di lui l'alcool, per cui sarebbe arbitrario comparare due persone con il medesimo tasso alcolemico (cfr. ricorso, punti n. 3.19-3.24).
3.2. Con queste argomentazioni, il ricorrente non si confronta in modo specifico con gli accertamenti e le valutazioni contenute nei considerandi della sentenza impugnata e non li sostanzia d'arbitrio con una motivazione conforme alle esigenze dell'art. 106 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
altresì che la Corte cantonale ha rilevato che il suo tasso alcolemico era lungi dal determinare anche solo una minima limitazione della sua capacità di valutare correttamente la realtà e di agire di conseguenza (cfr. sentenza impugnata, pag. 119).
4.
4.1. Il ricorrente sostiene che la Corte cantonale non avrebbe indicato l'ora del decesso della vittima. Critica inoltre il fatto che i giudici cantonali si siano fondati sulle dichiarazioni dei coniugi H.________, che occupavano la camera contigua n. 502 e che hanno sentito dei passi pesanti partire dalla sua camera (n. 501) e rientrare poco dopo. Il ricorrente sostiene inoltre di non avere avuto alcun interesse ad appropriarsi della carta di debito della vittima. Adduce che, siccome la CARP non lo ha di principio ritenuto credibile, essa avrebbe dovuto accertare che la carta era finita nella plafoniera della lampada dell'ascensore dell'albergo senza che sia possibile dare una spiegazione ragionevole e ricostruire i fatti (cfr. ricorso, punti n. 3.25-3.30).
4.2. La Corte cantonale ha accertato che il decesso della vittima è avvenuto tra le 02:30 e le 06:00. Il ricorrente non si confronta specificatamente con questo accertamento e non lo censura quindi d'arbitrio con una motivazione conforme alle esigenze dell'art. 106 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
Quanto al fatto che i vicini di camera abbiano udito la porta della camera n. 501 aprirsi, dei passi pesanti allontanarsi e poi rientrare, è stata unicamente la Corte di primo grado a mettere in relazione questa circostanza con l'occultamento della carta di debito della vittima nell'ascensore dell'hotel. La CARP non ha per contro condiviso la conclusione dei primi giudici ed ha accertato che il ricorrente ha nascosto la carta di debito nella plafoniera dell'ascensore all'alba, quando vi è entrato per scendere alla ricezione dell'albergo a chiedere aiuto. Contrariamente a quanto sembra ritenere il ricorrente, la Corte cantonale non ha quindi dato un peso decisivo al fatto che i coniugi H.________ abbiano udito dei passi pesanti partire dalla camera vicina e farvi rientro. Egli non si confronta puntualmente con le articolate argomentazioni della CARP riguardo alle circostanze dell'occultamento e del ritrovamento della carta di debito, che l'hanno portata a negare la credibilità della versione del ricorrente, peraltro da lui modificata nel corso del procedimento penale. Egli si limita nuovamente ad esporre in modo appellatorio una sua diversa opinione, senza sostanziare d'arbitrio la valutazione della Corte cantonale.
5.
5.1. Dal punto n. 3.31 al punto n. 3.42 del ricorso (da pag. 21 a pag. 24), il ricorrente si limita a sminuire genericamente l'intensità del litigio tra lui e la vittima dopo il rientro in albergo. Sostiene che le pareti divisorie delle camere non sarebbero state particolarmente insonorizzate e che, ciononostante, i vicini di camera (coniugi H.________) non avrebbero udito rumori importanti, né si sarebbero preoccupati più di tanto per quanto stava accadendo nella camera n. 501. Adduce che si sarebbe trattato di un semplice battibecco, non di un alterco verbale violento.
5.2. Le argomentazioni ricorsuali non adempiono gli esposti requisiti di motivazione. Il ricorrente espone in modo appellatorio una sua versione dei fatti, senza confrontarsi specificatamente con i considerandi del giudizio impugnato, spiegando con una motivazione puntuale per quali ragioni gli accertamenti e le valutazioni della CARP sarebbero in chiaro contrasto con determinati atti e manifestamente insostenibili. Egli si limita a minimizzare il litigio, omettendo altresì di considerare le dichiarazioni del portiere di notte, che concordano sostanzialmente con quelle dei vicini di camera. Le critiche generiche sollevate dal ricorrente al riguardo non permettono di ritenere arbitrario l'accertamento della Corte cantonale, secondo cui tra la coppia è avvenuta una discussione concitata di una certa intensità durata almeno un'ora. Né il ricorrente censura d'arbitrio l'accertamento della CARP secondo cui egli non aveva saputo indicare all'autorità inquirente quale fosse il tema della controversia. In modo sostenibile, la Corte cantonale ha quindi ricondotto tale incapacità al fatto ch'egli stava mentendo. Nel seguito del giudizio, la CARP ha spiegato che l'oggetto del litigio verteva in realtà su questioni di denaro e sul
comportamento menzognero del ricorrente nei confronti della vittima. La precedente istanza ha altresì esposto nel dettaglio i motivi per cui non ha ritenuto credibile la versione del ricorrente circa l'esistenza di un lungo e focoso rapporto sessuale dopo il litigio, rilevando come tale versione fosse pure smentita dai riscontri oggettivi sullo stato della camera e sui loro corpi. Non censurati d'arbitrio con una motivazione conforme alle esigenze dell'art. 106 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
5.3. Il ricorso è parimenti inammissibile laddove il ricorrente adduce che esisterebbe un "buco temporale" tra le 03:30 e le 05:30-06:00 la cui unica spiegazione logica potrebbe essere soltanto quella ch'egli e la vittima si sarebbero addormentati, complici l'ubriachezza e il fatto ch'essi erano svegli dal giorno precedente (ricorso, punto n. 3.64 seg.). Si tratta di una semplice allegazione che non considera gli accertamenti della CARP, non censurati d'arbitrio e vincolanti per il Tribunale federale (cfr. art. 105 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
6.
6.1. Il ricorrente rimprovera ai giudici cantonali di avere accertato in modo arbitrario che la coppia non aveva mai praticato l'asfissia erotica (cfr. ricorso, punti 3.43-3.47). In realtà, la sentenza dell'ultima istanza cantonale, unico oggetto dell'impugnativa dinanzi al Tribunale federale (art. 80 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 80 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance ou par la Cour des plaintes et la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral.49 |
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1 | Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance ou par la Cour des plaintes et la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral.49 |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours. Sont exceptés les cas dans lesquels le code de procédure pénale du 5 octobre 2007 (CPP)50 prévoit un tribunal des mesures de contrainte ou un autre tribunal comme instance cantonale unique.51 |
in modo appellatorio che la coppia avrebbe già praticato in precedenza tale tipologia di rapporto sessuale.
6.2. Laddove il ricorrente sostiene che i periti giudiziari non potrebbero escludere in maniera apodittica una simile pratica, egli non si confronta con i referti peritali riportati nel giudizio impugnato. La CARP ha infatti rilevato che la perizia giudiziaria della prof. dott. I.________ e della dott. J.________ ha escluso che il decesso della vittima sia avvenuto nel contesto di un'asfissia erotica, siccome la forza applicata dal ricorrente sul collo della vittima (che ha provocato la rottura della cartilagine carotidea) superava ampiamente quella necessaria a una stimolazione erotica ed era improbabile ch'egli non si sia reso conto di stare applicando una simile forza e non abbia percepito gli effetti della forte pressione applicata (che ha comportato gli importanti segni di insufficienza respiratoria manifestati dalla vittima prima di morire). Il ricorrente non si esprime al riguardo e, nuovamente, non sostanzia arbitrio alcuno. Il gravame è parimenti inammissibile, laddove il ricorrente ribadisce genericamente tale tesi nel seguito del suo allegato (ricorso, punti n. 3.85 segg.). Ove richiama in particolare il referto della dott. K.________, che aveva eseguito l'autopsia e che non aveva di massima escluso l'ipotesi di un
decesso intervenuto durante un atto sessuale con asfissia erotica, il ricorrente omette di considerare che la Corte cantonale si è fondata essenzialmente sul referto peritale della prof. dott. I.________ e della dott. J.________, che ha ritenuto convincente. Queste perite hanno in particolare spiegato in modo articolato per quali ragioni determinate opinioni espresse dalla patologa non erano condivisibili ed hanno escluso l'ipotesi di un decesso provocato da asfissia erotica. Sarebbe semmai spettato al ricorrente spiegare puntualmente per quali motivi i giudici cantonali si sarebbero fondati in modo manifestamente insostenibile sulle risultanze della perizia giudiziaria I.________/J.________.
6.3. Il ricorrente adduce che dagli atti non risulterebbero tracce di una colluttazione tra lui e la vittima. Sostiene che, siccome l'autopsia ha stabilito che lo strangolamento è avvenuto in posizione davanti alla vittima, quest'ultima avrebbe potuto difendersi strenuamente, per esempio graffiandolo in profondità. A suo dire, il fatto che ciò non è avvenuto dimostrerebbe il consenso della vittima ad essere strangolata e proverebbe quindi che il decesso sarebbe avvenuto nel corso di una pratica sessuale con asfissia erotica (cfr. ricorso, punti n. 3.88 segg.).
Con questa argomentazione, il ricorrente espone semplicemente una sua ipotesi alternativa, scostandosi dai fatti accertati, senza tuttavia censurarli d'arbitrio. Come visto, la Corte cantonale ha concluso, sulla base di una valutazione approfondita dei referti peritali, che la forza applicata dal ricorrente sul collo della vittima era decisamente maggiore rispetto a quanto sarebbe occorso nel caso di un'asfissia erotica. Ha altresì rilevato che il decesso non è stato immediato, ma è stato preceduto da evidenti segni di sofferenza della vittima, quali una dispnea e una cianosi, di intensità tale che il ricorrente non poteva non avvedersene. Il ricorrente omette altresì di considerare che la CARP ha accertato ch'egli aveva un fisico possente, costruito in anni di allenamenti con contestuale assunzione di prodotti dopanti, mentre la vittima era di costituzione minuta e non aveva alcuna possibilità di difendersi. Nemmeno questi accertamenti sono censurati d'arbitrio.
7.
7.1. Il ricorrente sostiene che la Corte cantonale avrebbe accertato in modo arbitrario che, tra l'8 e il 9 aprile 2019, la vittima aveva le mestruazioni. Adduce che il sangue sui tamponi assorbenti rinvenuti nel cestino del bagno non sarebbe riconducibile alle mestruazioni bensì alla "pillola del giorno dopo", che la vittima avrebbe assunto nei giorni precedenti. A suo dire, il fatto che non si sarebbe trovato sangue della vittima sul letto non dimostrerebbe l'inesistenza di un rapporto sessuale, bensì che le perdite di sangue sarebbero cessate prima delle ore 02:30 del 9 aprile 2019 (cfr. ricorso dal punto n. 3.48 al punto n. 3.58).
7.2. Con queste argomentazioni di carattere appellatorio, il ricorrente si limita ad esporre una sua diversa interpretazione dei fatti, senza sostanziarli di arbitrio. Disattende di avere lui stesso riconosciuto che la vittima aveva le mestruazioni. La modifica di queste dichiarazioni, prospettando ora ipotetici effetti di una "pillola del giorno dopo", non contribuisce a confortare la sua credibilità, che la CARP ha già ritenuto essere "pari a zero". Peraltro, contrariamente alla censura ricorsuale, la Corte cantonale non ha accertato l'assenza di tracce di sangue sul letto, bensì la scarsità di tali tracce, la quale era incompatibile con la versione del ricorrente che ha riferito di un lungo e movimentato rapporto sessuale, avvenuto nel periodo iniziale delle mestruazioni.
8.
8.1. Il ricorrente sostiene che la Corte cantonale sarebbe incorsa nell'arbitrio, siccome non si sarebbe espressa sulla questione evocata dal perito psichiatrico, il quale aveva prospettato una possibile scemata responsabilità del ricorrente nel caso in cui questi avesse agito nel contesto di un violento litigio. Adduce che, poiché la CARP ha effettivamente accertato un forte litigio, essa non avrebbe potuto scostarsi dalla perizia giudiziaria senza indicarne i motivi (cfr. ricorso pag. 27, n. 3.59-3.63).
8.2. Il ricorrente disattende tuttavia che, su richiesta della presidente della CARP, il perito psichiatrico ha completato il suo referto con il complemento peritale del 6 ottobre 2022, in cui ha attestato la completa imputabilità anche per il caso in cui il complesso dei fatti fosse quello accertato dai giudici cantonali. Contrariamente all'opinione del ricorrente, la Corte cantonale non si è quindi scostata dalla perizia giudiziaria, sicché la censura d'arbitrio cade nel vuoto.
9.
9.1. Dal punto n. 3.66 al punto n. 3.76 del ricorso (pag. 28-30), il ricorrente critica l'accertamento secondo cui sulle dita e sulle unghie della vittima non sono state trovate tracce di secrezioni vaginali. Opera poi una serie di deduzioni basandosi sulla temperatura corporea della vittima per concludere che l'orario del decesso dovrebbe essere situato tra le ore 05:00 e le ore 06:00 del 9 aprile 2019, ciò che, a suo dire, dimostrerebbe ch'egli avrebbe detto la verità dichiarando di avere tentato di rianimare la vittima e precipitandosi subito dopo alla ricezione dell'albergo per chiedere aiuto.
9.2. Anche sollevando queste censure, il ricorrente non si confronta tuttavia puntualmente con i considerandi del giudizio impugnato e non sostanzia quindi arbitrio alcuno. Fondandosi sulla perizia giudiziaria della prof. dott. I.________ e della dott. J.________, la Corte cantonale ha spiegato per quali ragioni, non essendo stati applicati tutti i metodi d'indagine per accertare l'ora del decesso, il solo criterio della temperatura rettale non permetteva di per sé di determinarla in modo più preciso all'interno della forchetta temporale 02:30-06:00 (cfr. sentenza impugnata, consid. 32, pag. 94 seg.). Sarebbe spettato al ricorrente confrontarsi con tali considerandi e spiegare in che consiste l'arbitrio. Quanto al fatto che gli esami scientifici non hanno riscontrato la presenza di tracce di secrezioni vaginali sulle dita e sulle unghie della vittima, la Corte cantonale ha rilevato che i prelievi erano stati eseguiti immediatamente dopo i fatti e che l'Istituto di medicina legale di Zurigo ha eseguito le analisi senza evidenziare criticità sulla qualità del materiale prelevato (cfr. sentenza impugnata, consid. 27, pag. 88 seg.). Il ricorrente non sostanzia al riguardo arbitrio alcuno, sicché la CARP poteva sostenibilmente ritenere
che tali accertamenti smentivano la versione del ricorrente secondo cui la vittima si sarebbe masturbata prima del decesso. Contrariamente a quanto sembra addurre il ricorrente, la Corte cantonale non ha d'altra parte negato la credibilità della sua versione, secondo cui la vittima sarebbe deceduta nel corso di un rapporto sessuale particolarmente focoso, solo per il fatto che la pretesa masturbazione non era in realtà avvenuta. La CARP ha per contro eseguito una valutazione complessiva, spiegata e motivata, dell'insieme degli elementi disponibili, che il ricorrente non censura d'arbitrio con una motivazione conforme alle esigenze dell'art. 106 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
10.
Il ricorrente sostiene di essersi recato alla ricezione dell'hotel in stato di agitazione nonché di essere apparso scosso e provato anche ai soccorritori e agli agenti di polizia intervenuti successivamente. Rileva inoltre che non sarebbero state trovate tracce di un'alterazione della scena del crimine, che non avrebbe appunto modificato (cfr. ricorso, punti n. 3.77-3.80). Si tratta di argomenti meramente appellatori, che non sono riferiti a specifici considerandi del giudizio impugnato e non dimostrano perciò arbitrio alcuno. Peraltro, non risulta che la CARP abbia negato ch'egli fosse (perlomeno in apparenza) agitato dinanzi al personale dell'albergo. Né essa gli ha esplicitamente rimproverato atti specifici volti a manomettere determinate prove. È per contro di rilievo che la CARP ha ritenuto come il disordine e lo stato in cui si trovava la camera non fossero oggettivamente spiegabili con la pretesa, intensa, attività sessuale nella fase precedente il decesso della vittima. Questo apprezzamento probatorio, a lui sfavorevole, non è censurato d'arbitrio in modo rispettoso delle esposte esigenze di motivazione.
11.
11.1. Il ricorrente sostiene che la sua dichiarazione, secondo cui la vittima avrebbe perso involontariamente dell'urina dopo lo svenimento a seguito della compressione del collo, apparirebbe credibile, tanto più che una traccia di urina sarebbe stata trovata accanto al gabinetto.
11.2. Sulla scorta dei rilevamenti effettuati dalla polizia scientifica, la CARP ha accertato che sul pavimento del bagno non sono state trovate tracce di urina nella zona in cui giaceva il cadavere. La CARP ha altresì accertato che i soccorritori non avevano potuto asciugare l'eventuale urina presente sul pavimento. Ha rilevato che la ricerca di tracce da parte della polizia scientifica è stata minuziosa e che una traccia ritrovata accanto al gabinetto, che ha reagito al test per l'urina in modo soltanto leggermente positivo, non confortava comunque la versione del ricorrente, essendo situata distante dalla posizione del cadavere. Il ricorrente non si confronta con queste valutazioni, esposte al consid. 27 f1 (pag. 90 seg.) della sentenza impugnata, e non le sostanzia pertanto d'arbitrio. In ogni caso, la versione del ricorrente, secondo cui la vittima sarebbe deceduta per un'asfissia erotica nell'ambito di un rapporto sessuale particolarmente intenso, è stata ritenuta menzognera dai giudici cantonali per una serie di incongruenze valutate nel loro complesso, non solo per il fatto che non sono state ritrovate tracce di urina accanto al cadavere.
12.
12.1. In un capitolo intitolato "qualificazione giuridica dei fatti", il ricorrente sostiene ch'egli dovrebbe essere condannato per il reato di omicidio colposo (art. 117
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 117 - Quiconque, par négligence, cause la mort d'une personne est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 19 - 1 L'auteur n'est pas punissable si, au moment d'agir, il ne possédait pas la faculté d'apprécier le caractère illicite de son acte ou de se déterminer d'après cette appréciation. |
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1 | L'auteur n'est pas punissable si, au moment d'agir, il ne possédait pas la faculté d'apprécier le caractère illicite de son acte ou de se déterminer d'après cette appréciation. |
2 | Le juge atténue la peine si, au moment d'agir, l'auteur ne possédait que partiellement la faculté d'apprécier le caractère illicite de son acte ou de se déterminer d'après cette appréciation. |
3 | Les mesures prévues aux art. 59 à 61, 63, 64, 67, 67b et 67e peuvent cependant être ordonnées.15 |
4 | Si l'auteur pouvait éviter l'irresponsabilité ou la responsabilité restreinte et prévoir l'acte commis en cet état, les al. 1 à 3 ne sont pas applicables. |
12.2. Prospettando la condanna per il reato di omicidio colposo, il ricorrente si fonda a torto sulla circostanza che la vittima sarebbe deceduta nel corso di un rapporto sessuale in cui sarebbe stata praticata in modo consensuale un'asfissia erotica. Come visto, tale fattispecie non è stata accertata dai giudici cantonali. Sollevando la censura egli si scosta quindi dai fatti accertati, non censurati d'arbitrio con una motivazione conforme alle esigenze dell'art. 106 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
consid. 6.1). Poiché gli estremi dell'arbitrio non sono puntualmente addotti dal ricorrente, il gravame si rivela inammissibile e non deve essere vagliato oltre.
13.
13.1. Il ricorrente contesta il reato di appropriazione indebita con riferimento all'occultamento della carta di debito all'interno dell'ascensore. Sostiene che i giudici cantonali avrebbero ravvisato a torto nell'omicidio un movente economico. Adduce che la morte della vittima sarebbe avvenuta tra le ore 05:30 e le ore 06:00 e che la carta di debito sarebbe stata completamente inutilizzabile dopo il decesso della titolare. Presenta poi un'altra ipotesi che a suo dire sarebbe altrettanto compatibile con un litigio tra le parti, secondo cui sarebbe stata la vittima stessa a nascondere la carta di debito nella plafoniera dell'ascensore per mettere alla prova il ricorrente e verificare se egli fosse effettivamente in grado di pagare personalmente tutte le spese nei giorni successivi.
13.2. Il ricorrente si limita ad esporre un'ipotesi teorica alternativa, ma non si confronta con gli accertamenti eseguiti dalla Corte cantonale e non li sostanzia d'arbitrio con una motivazione conforme alle esposte esigenze. L'arbitrio non deriva infatti dalla semplice circostanza che anche un'altra soluzione sarebbe possibile (DTF 146 IV 88 consid. 1.3.1; 143 IV 241 consid. 2.3.1 e rinvii). Il ricorrente si fonda poi a torto sul fatto che il decesso della vittima sarebbe avvenuto tra le 05:30 e le 06:00, circostanza che, come visto, non è stata accertata dalla Corte cantonale. Laddove critica l'esistenza di un movente economico alla base dell'omicidio, egli disattende che la CARP ha in realtà accertato che l'intento omicida è nato e si è concretizzato durante il lungo litigio tra le parti. Contrariamente all'opinione del ricorrente, la Corte cantonale non ha quindi collegato l'uccisione della vittima a un movente economico, ma ha accertato ch'egli ha agito in un momento di rabbia, reagendo con violenza e senza controllare la propria aggressività (cfr. sentenza impugnata, consid. 37, pag. 105 e 107). Alla luce di queste considerazioni, la censura è di conseguenza inammissibile.
14.
14.1. Il ricorrente contesta inoltre la condanna per lesioni corporali gravi riguardante i fatti avvenuti il 18 febbraio 2018 a Y.________ presso il bar F.________. Adduce che il procedimento penale contro il correo (G.________) sarebbe stato disgiunto a torto, sicché non sarebbe stato possibile accertare chiaramente chi dei due protagonisti ha ferito B.________. Sostiene che, in mancanza di una chiara identificazione dell'autore del reato, la sua colpevolezza non potrebbe essere dimostrata oltre ogni ragionevole dubbio.
14.2. Il ricorrente non ha impugnato dinanzi all'istanza cantonale di ricorso la decisione di disgiunzione del procedimento penale ordinata dal Procuratore pubblico, la quale era di massima suscettibile di comportare un pregiudizio irreparabile (DTF 147 IV 188 consid. 1.3). Considerato il mancato esaurimento delle istanze cantonali (art. 80
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 80 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance ou par la Cour des plaintes et la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral.49 |
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1 | Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance ou par la Cour des plaintes et la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral.49 |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours. Sont exceptés les cas dans lesquels le code de procédure pénale du 5 octobre 2007 (CPP)50 prévoit un tribunal des mesures de contrainte ou un autre tribunal comme instance cantonale unique.51 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 93 Autres décisions préjudicielles et incidentes - 1 Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours: |
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1 | Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours: |
a | si elles peuvent causer un préjudice irréparable, ou |
b | si l'admission du recours peut conduire immédiatement à une décision finale qui permet d'éviter une procédure probatoire longue et coûteuse. |
2 | En matière d'entraide pénale internationale et en matière d'asile, les décisions préjudicielles et incidentes ne peuvent pas faire l'objet d'un recours.88 Le recours contre les décisions relatives à la détention extraditionnelle ou à la saisie d'objets et de valeurs est réservé si les conditions de l'al. 1 sont remplies. |
3 | Si le recours n'est pas recevable en vertu des al. 1 et 2 ou qu'il n'a pas été utilisé, les décisions préjudicielles et incidentes peuvent être attaquées par un recours contre la décision finale dans la mesure où elles influent sur le contenu de celle-ci. |
Ad ogni modo, il ricorrente non sostiene che la disgiunzione del procedimento penale contro il correo sarebbe stata lesiva dell'art. 30
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 30 Exceptions - Si des raisons objectives le justifient, le ministère public et les tribunaux peuvent ordonner la jonction ou la disjonction de procédures pénales. |
14.3. Per il resto, il ricorrente non si confronta puntualmente con gli accertamenti e le valutazioni delle prove eseguiti dalla Corte cantonale e non li sostanzia perciò d'arbitrio con una motivazione conforme alle esigenze dell'art. 106 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
trovato il ricorrente e il correo e li hanno condotti all'esterno del locale. La Corte cantonale ha altresì richiamato le dichiarazioni della vittima, che ha riferito di essere stata picchiata dagli aggressori, e che sono sostanzialmente concordanti con gli esposti accertamenti. Il ricorrente non si confronta in modo specifico con la valutazione complessiva eseguita dalla CARP e non sostanzia motivi per cui, nelle citate circostanze, i giudici cantonali avrebbero dovuto nutrire rilevanti e insopprimibili dubbi sulla sua colpevolezza.
15.
Il ricorrente contesta infine la decisione di espulsione solo quale corollario dell'asserita minore gravità dei reati ch'egli avrebbe commesso. Adduce inoltre genericamente che la durata dell'espulsione ordinata dalla CARP sarebbe ingiustificata alla luce delle turbe psichiche di cui soffrirebbe. Ne postula la riduzione ad un periodo massimo di un anno, proporzionalmente alla diminuzione della durata della pena detentiva in caso di accoglimento del ricorso. Tuttavia, poiché in concreto il gravame deve essere respinto, la questione non si pone. Il ricorrente contesta la durata dell'espulsione scostandosi dai fatti accertati ed ipotizzando l'adempimento di reati meno gravi di quelli oggetto di condanna. D'altra parte, la durata minima dell'espulsione obbligatoria è di 5 anni (cfr. art. 66a cpv. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 66a - 1 Le juge expulse de Suisse l'étranger qui est condamné pour l'une des infractions suivantes, quelle que soit la quotité de la peine prononcée à son encontre, pour une durée de cinq à quinze ans: |
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1 | Le juge expulse de Suisse l'étranger qui est condamné pour l'une des infractions suivantes, quelle que soit la quotité de la peine prononcée à son encontre, pour une durée de cinq à quinze ans: |
a | meurtre (art. 111), assassinat (art. 112), meurtre passionnel (art. 113), incitation et assistance au suicide (art. 115), interruption de grossesse punissable (art. 118, al. 1 et 2); |
b | lésions corporelles graves (art. 122), mutilation d'organes génitaux féminins (art. 124, al. 1), exposition (art. 127), mise en danger de la vie d'autrui (art. 129), agression (art. 134), représentation de la violence (art. 135, al. 1, 2e phrase); |
c | abus de confiance qualifié (art. 138, ch. 2), vol qualifié (art. 139, ch. 3), brigandage (art. 140), escroquerie par métier (art. 146, al. 2), utilisation frauduleuse d'un ordinateur par métier (art. 147, al. 2), abus de cartes-chèques et de cartes de crédit par métier (art. 148, al. 2), extorsion et chantage qualifiés (art. 156, ch. 2 à 4), usure par métier (art. 157, ch. 2), recel par métier (art. 160, ch. 2); |
d | vol (art. 139) en lien avec une violation de domicile (art. 186); |
e | escroquerie (art. 146, al. 1) à une assurance sociale ou à l'aide sociale, obtention illicite de prestations d'une assurance sociale ou de l'aide sociale (art. 148a, al. 1); |
f | escroquerie (art. 146, al. 1), escroquerie en matière de prestations et de contributions (art. 14, al. 1 à 3, de la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif76), fraude fiscale, détournement de l'impôt à la source ou autre infraction en matière de contributions de droit public passible d'une peine privative de liberté maximale d'un an ou plus; |
g | mariage forcé, partenariat forcé (art. 181a), traite d'êtres humains (art. 182), séquestration et enlèvement (art. 183), séquestration et enlèvement qualifiés (art. 184), prise d'otage (art. 185); |
h | actes d'ordre sexuel avec des enfants (art. 187, ch. 1 et 1bis), actes d'ordre sexuel avec des personnes dépendantes (art. 188), contrainte sexuelle (art. 189, al. 2 et 3), viol (art. 190), actes d'ordre sexuel commis sur une personne incapable de discernement ou de résistance (art. 191), abus de la détresse ou de la dépendance (art. 193), tromperie concernant le caractère sexuel d'un acte (art. 193a), encouragement à la prostitution (art. 195), pornographie (art. 197, al. 4, 2e phrase); |
i | incendie intentionnel (art. 221, al. 1 et 2), explosion intentionnelle (art. 223, ch. 1, al. 1), emploi, avec dessein délictueux, d'explosifs ou de gaz toxiques (art. 224, al. 1), emploi intentionnel sans dessein délictueux (art. 225, al. 1), fabriquer, dissimuler et transporter des explosifs ou des gaz toxiques (art. 226), danger imputable à l'énergie nucléaire, à la radioactivité et aux rayonnements ionisants (art. 226bis), actes préparatoires punissables (art. 226ter), inondation, écroulement causés intentionnellement (art. 227, ch. 1, al. 1), dommages intentionnels aux installations électriques, travaux hydrauliques et ouvrages de protection (art. 228, ch. 1, al. 1), violation des règles de l'art de construire (art. 229, al. 1), suppression ou omission d'installer des appareils protecteurs (art. 230, ch. 1); |
j | mise en danger intentionnelle par des organismes génétiquement modifiés ou pathogènes (art. 230bis, al. 1), propagation d'une maladie de l'homme (art. 231), contamination intentionnelle d'eau potable (art. 234, al. 1); |
k | entrave à la circulation publique (art. 237, ch. 1); |
l | actes préparatoires délictueux (art. 260bis, al. 1 et 3), participation ou soutien à une organisation criminelle ou terroriste (art. 260ter), mise en danger de la sécurité publique au moyen d'armes (art. 260quater), financement du terrorisme (art. 260quinquies), recrutement, formation et voyage en vue d'un acte terroriste (art. 260sexies); |
m | génocide (art. 264), crimes contre l'humanité (art. 264a), infractions graves aux conventions de Genève du 12 août 194982 (art. 264c), autres crimes de guerre (art. 264d à 264h); |
n | infraction intentionnelle à l'art. 116, al. 3, ou 118, al. 3, de la loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers83; |
o | infraction à l'art. 19, al. 2, ou 20, al. 2, de la loi du 3 octobre 1951 sur les stupéfiants (LStup)84; |
p | infraction visée à l'art. 74, al. 4, de la loi fédérale du 25 septembre 2015 sur le renseignement (LRens)86. |
2 | Le juge peut exceptionnellement renoncer à une expulsion lorsque celle-ci mettrait l'étranger dans une situation personnelle grave et que les intérêts publics à l'expulsion ne l'emportent pas sur l'intérêt privé de l'étranger à demeurer en Suisse. À cet égard, il tiendra compte de la situation particulière de l'étranger qui est né ou qui a grandi en Suisse. |
3 | Le juge peut également renoncer à l'expulsion si l'acte a été commis en état de défense excusable (art. 16, al. 1) ou de nécessité excusable (art. 18, al. 1). |
16.
16.1. Ne segue che il ricorso deve essere respinto nella misura della sua ammissibilità.
16.2. La domanda di assistenza giudiziaria con gratuito patrocinio presentata dal ricorrente può essere accolta in considerazione della sua situazione finanziaria e del fatto che il gravame poteva non apparire d'acchito privo di possibilità di successo (art. 64 cpv. 1 e
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
|
1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
16.3. Non si assegnano ripetibili agli opponenti, non invitati a presentare una risposta al ricorso (art. 68 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
|
1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Per questi motivi, il Tribunale federale pronuncia:
1.
Nella misura in cui è ammissibile, il ricorso è respinto.
2.
La domanda di assistenza giudiziaria con gratuito patrocinio per la procedura dinanzi al Tribunale federale è accolta e al ricorrente viene designato quale patrocinatore l'avv. Luca Maria Guidicelli.
3.
Non si prelevano spese giudiziarie.
4.
La Cassa del Tribunale federale verserà all'avv. Luca Maria Guidicelli un'indennità di fr. 3'000.--.
5.
Comunicazione ai patrocinatori delle parti, al Ministero pubblico e alla Corte di appello e di revisione penale del Cantone Ticino.
Losanna, 13 luglio 2023
In nome della I Corte di diritto penale
del Tribunale federale svizzero
La Presidente: Jacquemoud-Rossari
Il Cancelliere: Gadoni