Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
2G 1/2020
Urteil vom 12. Juni 2020
II. öffentlich-rechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Seiler, Präsident,
Bundesrichter Zünd,
Bundesrichterin Aubry Girardin,
Gerichtsschreiberin de Sépibus.
Verfahrensbeteiligte
Bundesverwaltungsgericht, Abteilung II,
Gesuchsteller,
gegen
Ticketcorner AG,
Gesuchsgegnerin,
vertreten durch Dr. Marcel Meinhardt und/oder Dr. Astrid Waser und/oder Désirée Stebler, Rechtsanwälte,
Wettbewerbskommission,
Tamedia AG.
Gegenstand
Zusammenschlussvorhaben 41-0816
Ticketcorner und Starticket. Erläuterungsgesuch betreffend das Urteil des Schweizerischen Bundesgerichts 2C 509/2018 vom 24. Juni 2019.
Sachverhalt:
A.
Am 9. Januar 2017 reichten Ticketcorner Holding AG (nachfolgend: Ticketcorner Holding) sowie Tamedia AG (nachfolgend: Tamedia) ein Zusammenschlussvorhaben beim Sekretariat der Wettbewerbskommission (WEKO) ein. Mit dem Zusammenschlussvorhaben sollte eine gemeinsame Kontrolle über Ticketcorner AG (nachfolgend: Ticketcorner), einer 100% Tochtergesellschaft von Ticketcorner Holding AG begründet werden.
Mit Verfügung vom 22. Mai 2017 wurde das Zusammenschlussvorhaben durch die WEKO untersagt (nachfolgend: Untersagungsbescheid).
Mit Beschwerde vom 10. Juli 2017 focht Ticketcorner Holding den Entscheid der WEKO beim Bundesverwaltungsgericht an. Mit Urteil vom 3. Mai 2018 trat das Bundesverwaltungsgericht auf die bei ihm eingereichte Beschwerde nicht ein, mit der Begründung, Ticketcorner Holding sei nicht zur Beschwerde legitimiert.
B.
Gegen dieses Urteil erhob Ticketcorner Holding am 7. Juni 2018 Beschwerde an das Bundesgericht. Dieses fällte am 24. Juni 2019 folgendes Urteil (2C 509/2018, Dispositiv 1) :
"Die Beschwerde wird gutgeheissen, soweit darauf einzutreten ist. Der angefochtene Entscheid wird aufgehoben. Die Sache wird zu neuer Entscheidung an die Vorinstanz zurückgewiesen."
C.
Mit Eingabe vom 28. Januar 2020 stellt das Bundesverwaltungsgericht ein Gesuch, mit welchem es das Bundesgericht um Erläuterung der folgenden Fragen bittet:
Das Dispositiv Ziffer 1 des Urteils (2C 509/2018) vom 24. Juni 2019 sei insoweit zu erläutern, als daraus nicht hervorgehe, ob der Untersagungsbescheid der WEKO gegenüber Tamedia in Teilrechtskraft erwachsen sei bzw. ob Tamedia sich im Falle des Vollzugs des Zusammenschlussvorhabens wegen Widerhandlung gegen den Untersagungsbescheid strafbar machen würde. Zweitens müsse geklärt werden, ob das Bundesgericht das Bundesverwaltungsgericht anweise, die Beschwerde von Ticketcorner Holding materiell-rechtlich zu behandeln oder ob dieses auch einen weiteren Nichteintretensentscheid fällen dürfe.
Ticketcorner Holding (Gesuchsgegnerin) beantragt in ihrer Stellungnahme, auf das Gesuch nicht einzutreten, eventualiter das Gesuch abzulehnen. Die Wettbewerbskommission verzichtet auf eine Vernehmlassung. Tamedia hat sich nicht vernehmen lassen.
Erwägungen:
1.
1.1. Ist das Dispositiv eines bundesgerichtlichen Entscheids unklar, unvollständig oder zweideutig, stehen seine Bestimmungen untereinander oder mit der Begründung im Widerspruch oder enthält es Redaktions- oder Rechnungsfehler, so nimmt das Bundesgericht auf schriftliches Gesuch einer Partei oder von Amtes wegen die Erläuterung oder Berichtigung vor (Art. 129 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 129 - 1 Si le dispositif d'un arrêt du Tribunal fédéral est peu clair, incomplet ou équivoque, ou si ses éléments sont contradictoires entre eux ou avec les motifs, ou s'il contient des erreurs de rédaction ou de calcul, le Tribunal fédéral, à la demande écrite d'une partie ou d'office, interprète ou rectifie l'arrêt. |
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1 | Si le dispositif d'un arrêt du Tribunal fédéral est peu clair, incomplet ou équivoque, ou si ses éléments sont contradictoires entre eux ou avec les motifs, ou s'il contient des erreurs de rédaction ou de calcul, le Tribunal fédéral, à la demande écrite d'une partie ou d'office, interprète ou rectifie l'arrêt. |
2 | L'interprétation d'un arrêt du tribunal qui renvoie la cause à l'autorité précédente ne peut être demandée que si cette dernière n'a pas encore rendu sa nouvelle décision. |
3 | Les art. 126 et 127 sont applicables par analogie. |
1.2. Die Erläuterung oder Berichtigung dient dazu, möglichst formlos Abhilfe zu schaffen, wenn die Entscheidformel (Dispositiv) unklar, unvollständig, zweideutig oder in sich widersprüchlich ist. Sie erlaubt insbesondere, Fehler oder Auslassungen bei der Ausformulierung des Dispositivs zu korrigieren. Eine Berichtigung ist nach Art. 129 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 129 - 1 Si le dispositif d'un arrêt du Tribunal fédéral est peu clair, incomplet ou équivoque, ou si ses éléments sont contradictoires entre eux ou avec les motifs, ou s'il contient des erreurs de rédaction ou de calcul, le Tribunal fédéral, à la demande écrite d'une partie ou d'office, interprète ou rectifie l'arrêt. |
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1 | Si le dispositif d'un arrêt du Tribunal fédéral est peu clair, incomplet ou équivoque, ou si ses éléments sont contradictoires entre eux ou avec les motifs, ou s'il contient des erreurs de rédaction ou de calcul, le Tribunal fédéral, à la demande écrite d'une partie ou d'office, interprète ou rectifie l'arrêt. |
2 | L'interprétation d'un arrêt du tribunal qui renvoie la cause à l'autorité précédente ne peut être demandée que si cette dernière n'a pas encore rendu sa nouvelle décision. |
3 | Les art. 126 et 127 sont applicables par analogie. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 129 - 1 Si le dispositif d'un arrêt du Tribunal fédéral est peu clair, incomplet ou équivoque, ou si ses éléments sont contradictoires entre eux ou avec les motifs, ou s'il contient des erreurs de rédaction ou de calcul, le Tribunal fédéral, à la demande écrite d'une partie ou d'office, interprète ou rectifie l'arrêt. |
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1 | Si le dispositif d'un arrêt du Tribunal fédéral est peu clair, incomplet ou équivoque, ou si ses éléments sont contradictoires entre eux ou avec les motifs, ou s'il contient des erreurs de rédaction ou de calcul, le Tribunal fédéral, à la demande écrite d'une partie ou d'office, interprète ou rectifie l'arrêt. |
2 | L'interprétation d'un arrêt du tribunal qui renvoie la cause à l'autorité précédente ne peut être demandée que si cette dernière n'a pas encore rendu sa nouvelle décision. |
3 | Les art. 126 et 127 sont applicables par analogie. |
1.3. Legitimiert zur Stellung eines Erläuterungsgesuchs sind nach Art. 129 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 129 - 1 Si le dispositif d'un arrêt du Tribunal fédéral est peu clair, incomplet ou équivoque, ou si ses éléments sont contradictoires entre eux ou avec les motifs, ou s'il contient des erreurs de rédaction ou de calcul, le Tribunal fédéral, à la demande écrite d'une partie ou d'office, interprète ou rectifie l'arrêt. |
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1 | Si le dispositif d'un arrêt du Tribunal fédéral est peu clair, incomplet ou équivoque, ou si ses éléments sont contradictoires entre eux ou avec les motifs, ou s'il contient des erreurs de rédaction ou de calcul, le Tribunal fédéral, à la demande écrite d'une partie ou d'office, interprète ou rectifie l'arrêt. |
2 | L'interprétation d'un arrêt du tribunal qui renvoie la cause à l'autorité précédente ne peut être demandée que si cette dernière n'a pas encore rendu sa nouvelle décision. |
3 | Les art. 126 et 127 sont applicables par analogie. |
2.
2.1. Das Bundesverwaltungsgericht ersucht das Bundesgericht um Klärung der Frage, ob der Untersagungsbescheid der Wettbewerbskommission gegenüber Tamedia in Teilrechtskraft erwachsen sei. Diese Frage stelle sich, da für den Fall, dass die Beschwerde durch das Bundesverwaltungsgericht gutgeheissen werde und der Zusammenschluss vollzogen würde, unklar sei, ob Tamedia sich wegen Verletzung von Art. 55
SR 251 Loi fédérale du 6 octobre 1995 sur les cartels et autres restrictions à la concurrence (Loi sur les cartels, LCart) - Loi sur les cartels LCart Art. 55 Autres violations - Quiconque, intentionnellement, n'aura pas exécuté, ou ne l'aura fait qu'en partie, une décision des autorités en matière de concurrence concernant l'obligation de renseigner (art. 40), aura réalisé une concentration d'entreprises sans procéder à la notification dont elle aurait dû faire l'objet ou aura violé des décisions liées à des concentrations d'entreprises, sera puni d'une amende de 20 000 francs au plus. |
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 48 - 1 A qualité pour recourir quiconque: |
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1 | A qualité pour recourir quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité inférieure ou a été privé de la possibilité de le faire; |
b | est spécialement atteint par la décision attaquée, et |
c | a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification. |
2 | A également qualité pour recourir toute personne, organisation ou autorité qu'une autre loi fédérale autorise à recourir. |
2.2. Die Gesuchsgegnerin hält diese Fragestellung für unzulässig. Das Bundesverwaltungsgericht bezwecke mit seiner Frage zur Teilrechtskraft in Wirklichkeit eine Aussage zu ihrem Rechtsschutzinteresse an der richterlichen Beurteilung ihrer Beschwerde. Sie habe in ihrer Eingabe vom 17. Januar 2020 dem Bundesverwaltungsgericht dargelegt, dass sie unabhängig von der Veräusserung der vom Zusammenschlussvorhaben betroffenen Firma Starticket AG durch Tamedia an Vivendi AG weiterhin über ein aktuelles und praktisches Rechtsschutzinteresse bzw. ein virtuelles Rechtsschutzinteresse daran habe. Das am 28. Januar 2020 eingereichte Gesuch des Bundesverwaltungsgerichts diene insofern nicht der Erläuterung des Urteils des Bundesgerichts, sondern entspreche vielmehr einem Vorabentscheidungsbegehren, mittels welchem die Gesuchstellerin eine Frage, die sich im Rahmen des laufenden Verfahrens stellt, dem Bundesgericht vorab unterbreitet.
2.3. Der Gegenstand eines Erläuterungsgesuchs ist das Dispositiv. Das Bundesgericht entschied in seinem Urteil 2C 509/2018, dass das Bundesverwaltungsgericht Ticketcorner Holding zu Unrecht ihre Beschwerdelegitimation abgesprochen habe und demzufolge unrechtmässig auf die bei ihm eingereichte Beschwerde nicht eingetreten sei. Die Frage der Teilrechtskraft des Entscheids der WEKO gegenüber Tamedia war nicht Teil des Streitgegenstands. Erläuterungsgesuche, die sodann auf eine inhaltliche Abänderung des zu erläuternden Urteils oder eine nachträgliche neue materielle Prüfung der Angelegenheit abzielen, sind unzulässig. Die von der Gesuchstellerin aufgeworfene Frage geht über den Streitgegenstand hinaus und verlangt eine unzulässige Abänderung des Urteils 2C 509/2018, weshalb darauf nicht einzutreten ist.
3.
3.1. Das Bundesverwaltungsgericht stellt sich des Weiteren auf den Standpunkt, Ziffer 1 des Dispositivs stimme nicht mit den Erwägungen 1.3 und 5.5 des Urteils überein. Während das Dispositiv dahingehend laute, dass die Sache zu neuer Entscheidung an die Vorinstanz zurückgewiesen werde, ergebe sich aus den Erwägungen, dass die Beschwerde an die Vorinstanz zur Überprüfung in der Sache zurückzuweisen sei (E. 1.3) bzw. dass die Vorinstanz angewiesen werde, auf die Beschwerde einzutreten und einen Entscheid in der Sache zu fällen (E. 5.5). Für das Bundesverwaltungsgericht sei infolgedessen unklar, ob das Bundesverwaltungsgericht angewiesen werde, den Fall materiell-rechtlich zu behandeln, oder ob es auch erneut einen Nichteintretensentscheid fällen könne.
3.2. Die Dispositivziffer 1 des Bundesgerichts ist entgegen dem Vorbringen der Gesuchstellerin nicht erläuterungsbedürftig. Die Tragweite eines Urteilsdispositivs ist nach ständiger Rechtsprechung unter Beizug der Urteilserwägungen auszulegen (vgl. BGE 142 III 210 E. 2.2 S. 213). In Anbetracht der Erwägungen 1.3 und 5.5 ist der Wortlaut der Dispositivziffer 1 unmissverständlich dahingehend auszulegen, dass das Bundesverwaltungsgericht auf die Beschwerde der Gesuchsgegnerin vom 10. Juli 2017 einzutreten und einen materiell-rechtlichen Entscheid zu treffen hat. Das Dispositiv steht insofern mit den Entscheidgründen im Einklang. Soweit das Bundesverwaltungsgericht aufgrund veränderter Tatsachen erneut einen Nichteintretensentscheid fällen wollte, so stellt dies eine neue Frage dar, die nicht vorab vom Bundesgericht zu beurteilen ist.
Das Gesuch ist demnach, soweit darauf einzutreten ist, abzuweisen.
4.
Gerichtskosten sind keine zu sprechen (Art. 66 Abs. 4
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Das Erläuterungsgesuch wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
2.
Es werden keine Gerichtskosten erhoben.
3.
Die Gesuchstellerin hat die Gesuchsgegnerin für das bundesgerichtliche Verfahren mit Fr. 2'000.-- zu entschädigen.
4.
Dieses Urteil wird den Verfahrensbeteiligten schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 12. Juni 2020
Im Namen der II. öffentlich-rechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Seiler
Die Gerichtsschreiberin: de Sépibus