Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

{T 0/2}

9C 297/2015

Arrêt du 6 novembre 2015

IIe Cour de droit social

Composition
Mmes les Juges fédérales Glanzmann, Présidente, Pfiffner et Moser-Szeless.
Greffier : M. Cretton.

Participants à la procédure
A.________, représenté par Me Didier Elsig, avocat,
recourant,

contre

Fondation de prévoyance en faveur du personnel du Secrétariat des Syndicats Chrétiens du Valais central, Porte-Neuve 20, 1950 Sion.
intimée,

Autorité de surveillance LPP et des fondations de Suisse occidentale, Avenue de Tivoli 2, 1007 Lausanne,

Objet
Prévoyance professionnelle (liquidation partielle),

recours contre le jugement du Tribunal administratif fédéral, Cour III, du 9 mars 2015.

Faits :

A.

A.a. Le Syndicat Chrétien Interprofessionnel des régions de Sierre, Loèche et Lötschental, les Syndicats Chrétiens Interprofessionnels du Valais central, les Syndicats Chrétiens Interprofessionnels de Martigny et les Syndicats Chrétiens Interprofessionnels du Chablais, ainsi que leurs membres individuels adhérant par adhésion collective ont fondé l'association Syndicats Chrétiens Interprofessionnels du Valais (ci-après: SCIV). Celle-ci est dirigée par le Bureau des SCIV, alors que les quatre membres institutionnels des SCIV sont juridiquement distincts et complètement autonomes dans leur gestion.
Les Syndicats Chrétiens Interprofessionnels du Valais central (ci-après: SCI Valais central) ont assuré leurs employés pour la prévoyance professionnelle auprès de la Fondation de prévoyance en faveur du personnel du Secrétariat des Syndicats Chrétiens du Valais central (ci-après: la fondation).

A.b. Employé des SCI Valais central et des SCIV, A.________ a démissionné de son poste avec effet au 30 juin 2012; il a indiqué que les conditions devant lui "permettre de conduire et continuer à construire les Syndicats Chrétiens du Valais [n'étaient] à ce jour plus remplies, la confiance réciproque entre une majorité du Bureau des SCIV et [lui]-même [étant] fortement altérée (courrier du 28 mars 2012 aux SCIV). Lors de la séance du comité régional des SCI Valais central du 31 mai 2012, A.________ a déclaré cesser toute activité au 31 décembre 2012 et évoqué des conflits avec les représentants des trois autres régions (procès-verbal de la séance du comité régional des SCI Valais central du 31 mai 2012).
Pendant la même période, neuf collaborateurs des SCI Valais central ont donné leur démission pour les 30 juin ou 31 juillet 2012 (courriers des 23 avril et 28 mai 2012). Ils ont été engagés au 1er juillet/1er août 2012 auprès du Secrétariat des SCIV (cf. liste du personnel signée le 22 octobre 2013, cette association acquérant alors le statut d'employeur.
Souhaitant assurer son personnel de manière identique aux SCI Valais central, les SCIV ont sollicité leur affiliation à la fondation. Dans ce but, le Conseil de fondation a requis de l'Autorité de surveillance LPP et des fondations de Suisse occidentale (ci-après: l'autorité de surveillance) l'approbation de la modification des statuts élargissant le cercle des employeurs affiliés et des employés. Par décision du 18 décembre 2012, l'autorité de surveillance a ratifié cette modification avec effet rétroactif au 27 novembre 2012. Le personnel des SCIV a été affilié à la fondation à partir du 1er juillet/1er août 2012.

A.c. Par courrier du 28 novembre 2012, A.________ a requis de la fondation de "simuler une liquidation partielle de la caisse (...) " et de lui garantir le versement de sa prestation de libre passage au 31 décembre 2012, à laquelle "sera ajouté[e] la part [lui] revenant en cas de liquidation partielle selon simulation précitée". Le 7 décembre suivant, il a demandé à l'autorité de surveillance de décider de la mise en liquidation de la fondation.
Interpellé par l'autorité de surveillance sur l'éventualité d'une liquidation partielle, le Conseil de fondation a dans un premier temps considéré qu'il convenait de renoncer à une liquidation partielle, avant de changer de position, le 25 septembre 2013, en retenant que les conditions en étaient réunies. Le 15 octobre 2013, l'expert agréé LPP de la fondation a établi un rapport de liquidation partielle au 30 juin 2012. Il a fait état du départ au 30 juin/31 juillet 2012 de neuf collaborateurs sur vingt-quatre des SCI Valais central, réengagés aux mêmes conditions s'agissant de leur qualité d'assurés de la fondation, selon une convention d'affiliation des SCIV à la fondation du 15 octobre 2013, avec effet rétroactif au 1er juillet 2012. L'expert a indiqué qu'aucun transfert de fonds (prestation de sortie, transfert collectif de provision, transfert collectif ou individuel de fonds libres) n'avait eu lieu.
Le 5 novembre 2013, l'autorité de surveillance a rendu une décision par laquelle elle a constaté que la liquidation partielle de la fondation survenue à la suite du départ de neuf collaborateurs (des SCI Valais central) a été réalisée conformément au règlement et aux dispositions légales.

B.
Saisi d'un recours de A.________ contre cette décision, le Tribunal administratif fédéral l'a rejeté dans la mesure de sa recevabilité (jugement du 9 mars 2015).

C.
Agissant par la voie du "recours de droit public" (recte: en matière de droit public), A.________ demande au Tribunal fédéral d'annuler le jugement du Tribunal administratif fédéral, ainsi que la décision de l'autorité de surveillance du 5 novembre 2013. Il conclut à la suspension et à l'annulation de l'affiliation rétroactive des employés à la fondation, à ce qu'une véritable liquidation partielle de la fondation comprenant une répartition des fonds libres soit ordonnée et à ce que la fondation lui verse une part des fonds libres correspondant au minimum à un montant de 55'000 fr., voire au montant à fixer par un expert judiciaire. Il demande par ailleurs le renvoi de la cause au Tribunal administratif fédéral pour qu'il mette en oeuvre une expertise judiciaire et complète l'instruction; subsidiairement, il requiert le renvoi de la cause à l'autorité de surveillance pour instruction complémentaire.
La fondation conclut au rejet du recours tandis que l'Office fédéral des assurances sociales et l'autorité de surveillance ont renoncé à se déterminer.
Par écriture du 6 juillet 2015, le recourant a déposé des observations sur la réponse de la fondation.

Considérant en droit :

1.
Saisi d'un recours en matière de droit public (art. 82 ss
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz
BGG Art. 82 Grundsatz - Das Bundesgericht beurteilt Beschwerden:
a  gegen Entscheide in Angelegenheiten des öffentlichen Rechts;
b  gegen kantonale Erlasse;
c  betreffend die politische Stimmberechtigung der Bürger und Bürgerinnen sowie betreffend Volkswahlen und -abstimmungen.
LTF), le Tribunal fédéral exerce un pouvoir d'examen limité. Il applique le droit d'office (art. 106 al. 1
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz
BGG Art. 106 Rechtsanwendung - 1 Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an.
1    Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an.
2    Es prüft die Verletzung von Grundrechten und von kantonalem und interkantonalem Recht nur insofern, als eine solche Rüge in der Beschwerde vorgebracht und begründet worden ist.
LTF) et statue sur la base des faits retenus par l'autorité précédente (art. 105 al. 1
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz
BGG Art. 105 Massgebender Sachverhalt - 1 Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat.
1    Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat.
2    Es kann die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz von Amtes wegen berichtigen oder ergänzen, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Artikel 95 beruht.
3    Richtet sich die Beschwerde gegen einen Entscheid über die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung, so ist das Bundesgericht nicht an die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz gebunden.95
LTF). Il peut néanmoins rectifier ou compléter d'office l'état de fait du jugement entrepris si des lacunes ou des erreurs manifestes lui apparaissent aussitôt (art. 105 al. 2
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz
BGG Art. 105 Massgebender Sachverhalt - 1 Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat.
1    Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat.
2    Es kann die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz von Amtes wegen berichtigen oder ergänzen, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Artikel 95 beruht.
3    Richtet sich die Beschwerde gegen einen Entscheid über die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung, so ist das Bundesgericht nicht an die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz gebunden.95
LTF). Il examine en principe seulement les griefs motivés (art. 42 al. 2
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz
BGG Art. 42 Rechtsschriften - 1 Rechtsschriften sind in einer Amtssprache abzufassen und haben die Begehren, deren Begründung mit Angabe der Beweismittel und die Unterschrift zu enthalten.
1    Rechtsschriften sind in einer Amtssprache abzufassen und haben die Begehren, deren Begründung mit Angabe der Beweismittel und die Unterschrift zu enthalten.
2    In der Begründung ist in gedrängter Form darzulegen, inwiefern der angefochtene Akt Recht verletzt. Ist eine Beschwerde nur unter der Voraussetzung zulässig, dass sich eine Rechtsfrage von grundsätzlicher Bedeutung stellt oder aus anderen Gründen ein besonders bedeutender Fall vorliegt, so ist auszuführen, warum die jeweilige Voraussetzung erfüllt ist. 14 15
3    Die Urkunden, auf die sich die Partei als Beweismittel beruft, sind beizulegen, soweit die Partei sie in Händen hat; richtet sich die Rechtsschrift gegen einen Entscheid, so ist auch dieser beizulegen.
4    Bei elektronischer Einreichung muss die Rechtsschrift von der Partei oder ihrem Vertreter beziehungsweise ihrer Vertreterin mit einer qualifizierten elektronischen Signatur gemäss Bundesgesetz vom 18. März 201616 über die elektronische Signatur versehen werden. Das Bundesgericht bestimmt in einem Reglement:
a  das Format der Rechtsschrift und ihrer Beilagen;
b  die Art und Weise der Übermittlung;
c  die Voraussetzungen, unter denen bei technischen Problemen die Nachreichung von Dokumenten auf Papier verlangt werden kann.17
5    Fehlen die Unterschrift der Partei oder ihrer Vertretung, deren Vollmacht oder die vorgeschriebenen Beilagen oder ist die Vertretung nicht zugelassen, so wird eine angemessene Frist zur Behebung des Mangels angesetzt mit der Androhung, dass die Rechtsschrift sonst unbeachtet bleibt.
6    Unleserliche, ungebührliche, unverständliche, übermässig weitschweifige oder nicht in einer Amtssprache verfasste Rechtsschriften können in gleicher Weise zur Änderung zurückgewiesen werden.
7    Rechtsschriften, die auf querulatorischer oder rechtsmissbräuchlicher Prozessführung beruhen, sind unzulässig.
LTF) et ne peut pas aller au-delà des conclusions des parties (art. 107 al. 1
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz
BGG Art. 107 Entscheid - 1 Das Bundesgericht darf nicht über die Begehren der Parteien hinausgehen.
1    Das Bundesgericht darf nicht über die Begehren der Parteien hinausgehen.
2    Heisst das Bundesgericht die Beschwerde gut, so entscheidet es in der Sache selbst oder weist diese zu neuer Beurteilung an die Vorinstanz zurück. Es kann die Sache auch an die Behörde zurückweisen, die als erste Instanz entschieden hat.
3    Erachtet das Bundesgericht eine Beschwerde auf dem Gebiet der internationalen Rechtshilfe in Strafsachen oder der internationalen Amtshilfe in Steuersachen als unzulässig, so fällt es den Nichteintretensentscheid innert 15 Tagen seit Abschluss eines allfälligen Schriftenwechsels. Auf dem Gebiet der internationalen Rechtshilfe in Strafsachen ist es nicht an diese Frist gebunden, wenn das Auslieferungsverfahren eine Person betrifft, gegen deren Asylgesuch noch kein rechtskräftiger Endentscheid vorliegt.96
4    Über Beschwerden gegen Entscheide des Bundespatentgerichts über die Erteilung einer Lizenz nach Artikel 40d des Patentgesetzes vom 25. Juni 195497 entscheidet das Bundesgericht innerhalb eines Monats nach Anhebung der Beschwerde.98
LTF). Le recourant ne peut critiquer la constatation des faits importants pour le sort de l'affaire que si ceux-ci ont été établis en violation du droit ou de façon manifestement inexacte (art. 97 al. 1
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz
BGG Art. 97 Unrichtige Feststellung des Sachverhalts - 1 Die Feststellung des Sachverhalts kann nur gerügt werden, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Artikel 95 beruht und wenn die Behebung des Mangels für den Ausgang des Verfahrens entscheidend sein kann.
1    Die Feststellung des Sachverhalts kann nur gerügt werden, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Artikel 95 beruht und wenn die Behebung des Mangels für den Ausgang des Verfahrens entscheidend sein kann.
2    Richtet sich die Beschwerde gegen einen Entscheid über die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung, so kann jede unrichtige oder unvollständige Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gerügt werden.86
LTF).

2.

2.1. Au vu des conclusions du recours, on constate que le recourant réitère en instance fédérale celle visant à la suspension et à l'annulation de l'affiliation rétroactive des employés à la fondation. Cette conclusion a été jugée irrecevable par le Tribunal administratif fédéral, motif pris de l'absence d'un intérêt personnel du recourant à ladite annulation, de l'intérêt prépondérant des personnes assurées concernées, ainsi que de l'entrée en force de la décision de l'autorité de surveillance relative à la modification des statuts de la fondation intimée (consid. 4.3 de l'arrêt attaqué). Or le recourant n'invoque aucun grief contre l'irrecevabilité prononcée, n'exposant pas en quoi il disposerait d'un intérêt digne de protection à recourir sur la suspension et l'annulation de l'affiliation rétroactive de tiers; il ne suffit pas à cet égard de mentionner ne pas trouver étonnant que les juges du Tribunal administratif fédéral aient qualifié de "plus pragmatiques dans l'intérêt de toutes les parties que juridiques" les modalités de l'affiliation rétroactive des neuf employés ayant quitté les SCI Valais central pour les SCIV. Dépourvue de toute motivation au sens de l'art. 42 al. 2
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz
BGG Art. 42 Rechtsschriften - 1 Rechtsschriften sind in einer Amtssprache abzufassen und haben die Begehren, deren Begründung mit Angabe der Beweismittel und die Unterschrift zu enthalten.
1    Rechtsschriften sind in einer Amtssprache abzufassen und haben die Begehren, deren Begründung mit Angabe der Beweismittel und die Unterschrift zu enthalten.
2    In der Begründung ist in gedrängter Form darzulegen, inwiefern der angefochtene Akt Recht verletzt. Ist eine Beschwerde nur unter der Voraussetzung zulässig, dass sich eine Rechtsfrage von grundsätzlicher Bedeutung stellt oder aus anderen Gründen ein besonders bedeutender Fall vorliegt, so ist auszuführen, warum die jeweilige Voraussetzung erfüllt ist. 14 15
3    Die Urkunden, auf die sich die Partei als Beweismittel beruft, sind beizulegen, soweit die Partei sie in Händen hat; richtet sich die Rechtsschrift gegen einen Entscheid, so ist auch dieser beizulegen.
4    Bei elektronischer Einreichung muss die Rechtsschrift von der Partei oder ihrem Vertreter beziehungsweise ihrer Vertreterin mit einer qualifizierten elektronischen Signatur gemäss Bundesgesetz vom 18. März 201616 über die elektronische Signatur versehen werden. Das Bundesgericht bestimmt in einem Reglement:
a  das Format der Rechtsschrift und ihrer Beilagen;
b  die Art und Weise der Übermittlung;
c  die Voraussetzungen, unter denen bei technischen Problemen die Nachreichung von Dokumenten auf Papier verlangt werden kann.17
5    Fehlen die Unterschrift der Partei oder ihrer Vertretung, deren Vollmacht oder die vorgeschriebenen Beilagen oder ist die Vertretung nicht zugelassen, so wird eine angemessene Frist zur Behebung des Mangels angesetzt mit der Androhung, dass die Rechtsschrift sonst unbeachtet bleibt.
6    Unleserliche, ungebührliche, unverständliche, übermässig weitschweifige oder nicht in einer Amtssprache verfasste Rechtsschriften können in gleicher Weise zur Änderung zurückgewiesen werden.
7    Rechtsschriften, die auf querulatorischer oder rechtsmissbräuchlicher Prozessführung beruhen, sind unzulässig.
LTF, la conclusion relative à la suspension et
l'annulation de l'affiliation rétroactive est par conséquent irrecevable.

2.2. Compte tenu des autres conclusions du recours, le litige porte sur le point de savoir si le recourant peut prétendre une part des fonds libres de la fondation intimée (d'un montant minimum de 55'000 fr.) à la suite de la liquidation partielle dont les modalités de réalisation ont été approuvées par l'autorité de surveillance et confirmées par le Tribunal administratif fédéral.

2.3. Le jugement entrepris expose de manière complète les normes légales sur les conditions de la liquidation partielle d'une institution de prévoyance au sens des art. 23 al. 1
SR 831.42 Bundesgesetz vom 17. Dezember 1993 über die Freizügigkeit in der beruflichen Alters-, Hinterlassenen- und Invalidenvorsorge (Freizügigkeitsgesetz, FZG) - Freizügigkeitsgesetz
FZG Art. 23 Eingetragene Partnerschaft - Die Bestimmungen über die Scheidung sind bei gerichtlicher Auflösung einer eingetragenen Partnerschaft sinngemäss anwendbar.
LFLP (RS 831.42) et 53b ss LPP. Il suffit d'y renvoyer.
En ce qui concerne les dispositions réglementaires édictées par la fondation sur ce point, l'art. 2 ("Conditions de la liquidation partielle") du règlement de liquidation partielle du 22 juin 2006 prévoit que:

"1. Les conditions pour une liquidation partielle sont remplies lorsque:
a. L'effectif du personnel de l'employeur affilié (ci-après l'employeur) subit une réduction considérable, que celle-ci est due à des motifs économiques et qu'elle entraîne le départ forcé d'un nombre considérable de personnes assurées actives et le retrait d'une part considérable des prestations de sortie de la Fondation.
b. L'employeur est restructuré, cette mesure entraînant le départ forcé d'un nombre considérable de personnes assurées actives et le retrait d'une part considérable des prestations de sortie de la Fondation. On entend par restructuration de l'employeur les mesures prises dont le but premier n'est ni la réduction d'emplois, ni le licenciement d'employés, en particulier les mesures organisationnelles visant la cessation de l'activité exercée jusque-là ou le transfert de secteurs entiers vers un autre employeur.
c. [...]
2. La réduction de l'effectif du personnel, voire du départ de personnes assurées actives, est qualifiée de considérable en cas de départ forcé d'au-moins 20% des personnes assurées actives et de retrait de 20% des avoirs de vieillesse. Ces pourcentages sont calculés en fonction du nombre de personnes assurées actives avant le début de la réduction de personnel ou de la restructuration.
3. [...]
4. Le départ est contraint lorsque le contrat de travail est résilié par l'employeur, mais également lorsque la personne assurée, après avoir pris connaissance de la réduction de l'effectif du personnel ou de la restructuration, résilie elle-même son contrat de travail dans un délai de six mois, afin de prévenir une résiliation par l'employeur ou parce qu'elle n'accepte pas les nouvelles conditions de travail proposées."

3.

3.1. Le Tribunal administratif fédéral a constaté que le départ de neuf employés des SCI Valais central les 30 juin et 31 juillet 2012, sur un effectif de vingt-quatre personnes (soit 37,5 % du personnel), n'avait pas été motivé par des raisons économiques et ne relevait pas du premier cas de liquidation partielle prévu par l'art. 2 du règlement de liquidation partielle. Dès lors que les salariés concernés avaient volontairement quitté les SCI Valais central pour les SCIV, afin finalement d'y exercer la même activité qu'auparavant dans la continuité des affaires pour un autre employeur ayant une fonction faîtière dans le cadre de l'entité constitué des quatre secrétariats, le transfert de personnel correspondait à une restructuration au sens du deuxième cas de liquidation partielle prévu par l'art. 2 du règlement de liquidation partielle. Il s'était opéré un transfert de secteur entier d'un employeur à un autre mais au sein d'un même groupement d'entités. Par ailleurs, au vu du nombre de personnes touchées par la restructuration qui atteignait 37,5 % du personnel des SCI Valais central, et implicitement des assurés de la Fondation, un nombre considérable d'assurés avait été concerné par la restructuration. Sous l'angle des
prestations de libre passage, quelques 20 % des avoirs de vieillesse (fonds libres non pris en compte) avaient été concernés théoriquement par le cas de liquidation partielle. Il y avait donc lieu de retenir un cas de liquidation partielle, comme l'avait décidé l'autorité de surveillance dans son prononcé du 5 novembre 2013.
S'agissant du départ du recourant des SCI Valais central, les premiers juges ont constaté que la fin des rapports de travail avait été motivée principalement par des raisons qui devaient être qualifiées en droit de personnelles et non d'économiques, et sans rattachement avec les résiliations intervenues au 30 juin/31 juillet 2012, qui avaient fondé le cas de liquidation partielle pour cause de situation assimilée à une restructuration. Son départ donnait par conséquent lieu à une simple prestation de libre passage. Une solution contraire ne pouvait être retenue, car elle était constitutive d'une inégalité de traitement par rapport aux autres collaborateurs des SCIV et SCI Valais central assurés auprès de la fondation.

3.2. Se prononçant sur les modalités de la liquidation partielle, les premiers juges ont constaté que le choix discrétionnaire de la fondation de ne pas répartir de fonds libres entre les groupes d'assurés en raison du maintien en son sein des collaborateurs ayant quitté leur employeur, assurés aux mêmes conditions qu'auparavant n'était pas critiquable. L'option de la fondation avait la même incidence que si elle avait choisi une attribution collective des fonds libres aux assurés sortants et restants. Comme au final ces deux groupes d'assurés continuaient à être assurés dans le cadre de la même fondation et aux mêmes conditions, la non-distribution des fonds libres relevait d'une décision objective et qui respectait les critères de l'égalité de traitement. Le recourant avait été pris en considération au nombre des assurés restants dans le règlement de la liquidation partielle au 30 juin/31 juillet 2012. Aussi, la fondation avait-elle décidé légalement, soit en application de son droit discrétionnaire, de ne pas attribuer de fonds libres consécutivement à l'existence d'un cas de liquidation partielle; la décision de l'autorité de surveillance était, partant, également conforme au droit.

4.

4.1. Le recourant ne conteste pas la survenance d'un cas de liquidation partielle de la fondation en raison d'une restructuration de l'employeur. Invoquant une constatation (manifestement) inexacte des faits, il fait en revanche valoir que la fin de ses rapports de travail constituait un départ contraint au sens de l'art. 2 al. 4 du règlement de liquidation de la fondation. Il avait en effet été contraint de partir après avoir pris connaissance de la restructuration prévue. Son départ était dû aux graves querelles et dissensions liées au fait que les SCI Valais central avaient voulu, dans un premier temps, faire scission d'avec les SCIV en créant une nouvelle structure qui aurait accueilli les actifs et passifs, ainsi que les membres des SCI Valais central, avant de renoncer à la scission. Son cas ne pouvait dès lors pas être traité de manière différente de celle des autres collaborateurs engagés par la suite par les SCIV.
Le recourant soutient par ailleurs que le droit à l'égalité a été violé, parce que lui-même, ainsi que les neuf collaborateurs en question étaient lésés par le fait que les fonds libres de la fondation avaient été "dilués avec l'absorption des collaborateurs provenant des 3 autres Syndicats", ce que le Tribunal administratif fédéral avait manqué d'examiner. Il invoque également l'illégalité de la décision du 5 novembre 2013, parce qu'elle serait contraire aux statuts de la fondation en vigueur au moment du départ des employés des SCI Valais central, qui ne prévoyaient pas la faculté d'accepter de nouveaux employeurs, la "décision initiale" n'émanant pas du Comité régional, mais du Conseil de fondation. De plus, selon lui, la décision de la fondation de ne pas attribuer de fonds libres était arbitraire, en raison du "mélange des rôles (notamment entre employeur et Fondation) ", ce que les premiers juges auraient dû constater.

4.2. Pour la fondation intimée, il convient de distinguer le cas des neuf collaborateurs qui avaient quitté les SCI Valais central de celui du recourant. Les premiers avaient volontairement donné leur congé à un moment où il n'était pas question (encore) de mesures organisationnelles visant la cessation de l'activité exercée et le transfert de secteurs vers un autre employeur. Ils avaient résilié leur contrat de travail, parce qu'ils ne s'accommodaient pas de la future organisation indépendante des SCI Valais central, qui avait été envisagée dans un premier temps avant qu'il y soit renoncé par la suite. Quant au recourant, il avait lui-même donné sa démission en raison de problèmes relationnels avec les responsables des autres régions des SCIV, de sorte que son départ correspondait à un cas de libre passage et non pas de liquidation partielle.

5.

5.1. Les constatations de la juridiction fédérale de première instance sur les faits pertinents au regard des conditions d'une liquidation partielle de la fondation intimée sont relativement succinctes. En particulier, si elles permettent de comprendre que le départ des neuf collaborateurs des SCI Valais central a conduit au transfert d'un secteur entier de l'activité de l'employeur à l'organisation faîtière - ce que le Tribunal administratif fédéral a qualifié de restructuration opérée au 30 juin/31 juillet 2012 -, on ne voit pas précisément quelles mesures organisationnelles auraient concrètement été prises par l'employeur à ce moment-là et qui auraient été susceptibles d'entraîner une modification de l'effectif du personnel dans le sens d'une restructuration (sur les conditions de l'art. 53b al. 1 let. b
SR 831.40 Bundesgesetz vom 25. Juni 1982 über die berufliche Alters-, Hinterlassenen- und Invalidenvorsorge (BVG)
BVG Art. 53b Teilliquidation - 1 Die Vorsorgeeinrichtungen regeln in ihren Reglementen die Voraussetzungen und das Verfahren zur Teilliquidation. Die Voraussetzungen für eine Teilliquidation sind vermutungsweise erfüllt, wenn:
1    Die Vorsorgeeinrichtungen regeln in ihren Reglementen die Voraussetzungen und das Verfahren zur Teilliquidation. Die Voraussetzungen für eine Teilliquidation sind vermutungsweise erfüllt, wenn:
a  eine erhebliche Verminderung der Belegschaft erfolgt;
b  eine Unternehmung restrukturiert wird;
c  der Anschlussvertrag aufgelöst wird.
2    Die reglementarischen Vorschriften über die Voraussetzungen und das Verfahren zur Teilliquidation müssen von der Aufsichtsbehörde genehmigt werden.
LPP, KIESER, in Commentaire LPP et LFLP, 2010, nos 17 ss ad art. 53b
SR 831.40 Bundesgesetz vom 25. Juni 1982 über die berufliche Alters-, Hinterlassenen- und Invalidenvorsorge (BVG)
BVG Art. 53b Teilliquidation - 1 Die Vorsorgeeinrichtungen regeln in ihren Reglementen die Voraussetzungen und das Verfahren zur Teilliquidation. Die Voraussetzungen für eine Teilliquidation sind vermutungsweise erfüllt, wenn:
1    Die Vorsorgeeinrichtungen regeln in ihren Reglementen die Voraussetzungen und das Verfahren zur Teilliquidation. Die Voraussetzungen für eine Teilliquidation sind vermutungsweise erfüllt, wenn:
a  eine erhebliche Verminderung der Belegschaft erfolgt;
b  eine Unternehmung restrukturiert wird;
c  der Anschlussvertrag aufgelöst wird.
2    Die reglementarischen Vorschriften über die Voraussetzungen und das Verfahren zur Teilliquidation müssen von der Aufsichtsbehörde genehmigt werden.
LPP); les SCI Valais central ont décidé de leur maintien au sein du groupement de syndicats, sans prévoir de restructuration (voir consid. 5.2 infra). La survenance d'un cas de liquidation partielle n'est cependant pas remise en question par les parties. Il n'y a dès lors pas lieu d'examiner plus avant si les circonstances particulières du cas d'espèce, dans
lesquelles il n'y a en fin de compte pas eu de retrait ou de déplacement déterminant du patrimoine de la fondation malgré le changement d'employeur des assurés concernés, correspond à une situation de liquidation partielle; l'exécution de celle-ci n'a pas eu d'influence sur leurs droits respectifs, dans la mesure où ils sont restés affiliés aux mêmes conditions que celles prévalant pendant les rapports de travail avec les SCI Valais central (cf. jugement entrepris, consid. 9.3 p. 17).

5.2. En tout état de cause, les constatations des premiers juges relatives aux raisons personnelles et non économiques du départ du recourant, qui conduisent à distinguer son cas de celui des autres employés ayant quitté les SCI Valais central, n'apparaissent pas manifestement inexactes dans leur résultat, ni ne relèvent d'une appréciation arbitraire des preuves.
Contrairement à ce que voudrait le recourant, on ne saurait admettre que son départ correspondait à un départ contraint, à savoir, selon lui, "quand une personne assurée est contrainte de partir après avoir pris connaissance de la restructuration prévue". Il ressort des pièces produites devant l'instance précédente - le Tribunal fédéral peut compléter d'office un état de fait incomplet (ATF 135 V 23 consid. 2 p. 25) - que le recourant a, par lettre du 28 mars 2012, d'abord mis un terme à son mandat de secrétaire général des SCIV; il y a indiqué que les conditions devant lui permettre de conduire et continuer à construire les Syndicats Chrétiens du Valais n'étaient à ce moment-là plus remplies, "la confiance réciproque entre une majorité du Bureau des SCIV et [lui]-même [étant] fortement altérée" et qu'il était arrivé à la conclusion que seul son départ permettrait de changer les choses. Lors d'une séance extraordinaire du 17 avril 2012, le comité régional des SCI Valais central a discuté d'une proposition des arrondissements des SCIV de Monthey, Martigny et Sierre (du 13 avril 2012), visant notamment à faire du Secrétariat général du Syndicat un "organe totalement indépendant des régions fondatrices". Le comité a alors décidé de
constituer un nouveau secrétariat cantonal qui allait reprendre les actifs et les passifs ainsi que les membres des SCI Valais central, ensuite de quoi huit employés de ces derniers ont résilié leur contrat de travail, le 23 avril 2012, sans en indiquer les motifs. Au cours d'une nouvelle séance du comité régional des SCI Valais central, qui s'est tenue le 31 mai 2012, la décision d'annuler la décision de scission du 17 avril 2012 a été prise. A cette occasion, le recourant a rappelé que le 29 mars 2012, il avait décidé de partir; il souhaitait mettre fin à son mandat directionnel. Il a ajouté ne plus accepter aucun poste directionnel au 30 juin 2012 et cesser toute activité au 31 décembre 2012 (pour les SCI Valais central). Il a précisé avoir constaté que "les conflits avec les représentants des trois régions [étaient] tellement vifs qu'il estim[ait] ne plus pouvoir faire davantage que de quitter son emploi en son âme et conscience"; selon lui, le moment était arrivé d'annuler "le mandat de la scission qui avait été décidé", en souhaitant que la situation se normalisât (cf. procès-verbal de l'assemblée du comité régional du 31 mai 2012).
De ces éléments, on doit déduire que le recourant a mis fin aux rapports de travail avec les SCI Valais central, en mai 2012, non pas en raison d'une restructuration de son employeur ou de nouvelles conditions de travail que celui-ci lui aurait proposées et qu'il aurait refusées (cf. art. 2 al. 4 du règlement de liquidation partielle), mais parce qu'il ne s'entendait pas avec certains responsables régionaux et estimait ne plus pouvoir continuer de collaborer avec eux. Au moment de la résiliation, le comité régional des SCI Valais central avait pris la décision de ne pas créer une nouvelle structure, de sorte qu'il n'était pas question d'une restructuration ou de nouvelles conditions de travail que le recourant n'aurait pas acceptées et qui l'auraient mené à la démission. Le recourant ne s'est donc pas trouvé dans la situation d'un assuré qui sort d'une institution de prévoyance de manière involontaire, c'est-à-dire en raison d'événements dus à l'employeur mais pour des motifs individuels. Son départ des SCI Valais central et sa sortie de la fondation résultaient de sa propre volonté de cesser toute collaboration avec les interlocuteurs de son employeur, et non pas d'une évolution défavorable sur le plan économique dont celui-ci
aurait été responsable, voire de la crainte que son poste fût supprimé (cf. arrêt 2A.576/2002 du 4 novembre 2003 consid. 2.2 et les arrêts cités). Un tel départ volontaire ne donne pas droit à une part des fonds libres, respectivement à être pris en considération dans la liquidation partielle (cf. ATF 128 II 394 consid. 5.6 p. 402; arrêt 2A.410/2003 du 26 février 2004 consid. 3.2), indépendamment des motifs qui ont conduit huit employés des SCI Valais central à donner leur démission le 23 avril 2012.
On ajoutera que le recourant se réfère en vain à la déclaration d'une personne présente lors de la séance du comité régional du 31 mai 2012, selon laquelle "les autres régions ont réussi leur coup en faisant partir A.________". Ces propos illustrent les dissensions entre le recourant et les autres syndicats ayant créé les SCIV mais ne mettent aucunement en évidence un comportement de son employeur susceptible de lui faire douter du maintien de son poste ou de la mise en oeuvre de mesures de restructuration. Au contraire, la circonstance que le recourant a conclu avec son employé une "Convention de règlement d'accord transactionnel des rapports de travail", signée le 4 juin 2012, portant notamment sur les modalités de la fin des rapports de travail, constitue un élément supplémentaire en faveur d'un départ qui n'a pas été imposé par les SCI Valais central (cf. arrêt B 115/04 du 19 avril 2005 consid. 3, in RSAS 2006 p. 461).

6.
Dès lors que le recourant ne peut prétendre un droit à des fonds libres de la fondation intimée au sens de l'art. 23 al. 1
SR 831.42 Bundesgesetz vom 17. Dezember 1993 über die Freizügigkeit in der beruflichen Alters-, Hinterlassenen- und Invalidenvorsorge (Freizügigkeitsgesetz, FZG) - Freizügigkeitsgesetz
FZG Art. 23 Eingetragene Partnerschaft - Die Bestimmungen über die Scheidung sind bei gerichtlicher Auflösung einer eingetragenen Partnerschaft sinngemäss anwendbar.
LFLP, la Cour de céans n'a pas à se prononcer sur les griefs du recourant tirés d'une violation du principe de l'égalité de traitement au sens de l'art. 53d al. 1
SR 831.40 Bundesgesetz vom 25. Juni 1982 über die berufliche Alters-, Hinterlassenen- und Invalidenvorsorge (BVG)
BVG Art. 53d Verfahren bei Teil- oder Gesamtliquidation - 1 Die Teil- und Gesamtliquidation der Vorsorgeeinrichtung muss unter Berücksichtigung des Gleichbehandlungsgrundsatzes und nach fachlich anerkannten Grundsätzen durchgeführt werden. Der Bundesrat bezeichnet diese Grundsätze.
1    Die Teil- und Gesamtliquidation der Vorsorgeeinrichtung muss unter Berücksichtigung des Gleichbehandlungsgrundsatzes und nach fachlich anerkannten Grundsätzen durchgeführt werden. Der Bundesrat bezeichnet diese Grundsätze.
2    Zur Berechnung der freien Mittel ist das Vermögen zu Veräusserungswerten einzusetzen.
3    Vorsorgeeinrichtungen dürfen versicherungstechnische Fehlbeträge anteilsmässig abziehen, sofern dadurch nicht das Altersguthaben (Art. 15) geschmälert wird.205
4    Das paritätisch besetzte Organ oder das zuständige Organ legt im Rahmen der gesetzlichen Bestimmungen und des Reglements fest:
a  den genauen Zeitpunkt;
b  die freien Mittel und den zu verteilenden Anteil;
c  den Fehlbetrag und dessen Zuweisung;
d  den Verteilungsplan.
5    Die Vorsorgeeinrichtung muss die Versicherten und die Rentnerinnen und Rentner über die Teil- oder Gesamtliquidation rechtzeitig und vollständig informieren. Sie muss ihnen namentlich Einsicht in die Verteilungspläne gewähren.
6    Die Versicherten und die Rentnerinnen und Rentner haben das Recht, die Voraussetzungen, das Verfahren und den Verteilungsplan bei der zuständigen Aufsichtsbehörde überprüfen und entscheiden zu lassen. Eine Beschwerde gegen den Entscheid der Aufsichtsbehörde hat nur aufschiebende Wirkung, wenn der Präsident der zuständigen Abteilung des Bundesverwaltungsgerichts oder der Instruktionsrichter dies von Amtes wegen oder auf Begehren des Beschwerdeführers verfügt. Wird keine aufschiebende Wirkung erteilt, so wirkt der Entscheid des Bundesverwaltungsgerichts nur zu Gunsten oder zu Lasten des Beschwerdeführers.206
LPP, de son droit d'être entendu en relation avec une demande d'expertise indépendante des conditions de la liquidation partielle et de l'absence de différentes pièces relatives à la procédure de liquidation partielle, ainsi que du droit individuel à des fonds libres.
Dans la mesure où le recourant se plaint encore de ce que la juridiction fédérale de première instance n'a pas donné suite à ses demandes d'entendre des témoins et de comparution personnelle, sans préciser davantage son grief, il n'établit pas en quoi le Tribunal administratif fédéral aurait fait preuve d'arbitraire dans l'appréciation anticipée des preuves à laquelle il a procédé en renonçant à administrer les preuves offertes. Son grief n'est dès lors pas pertinent.
Finalement, il ne suffit pas de trouver "critiquable que la problématique de l'indépendance n'ait pas été examinée plus avant par les Premiers Juges (...) " ou de "pose[r] également la question de l'interdépendance (économique et juridique) ou du véritable clientélisme existant entre les sociétés ou fondations présentement en cause" pour formuler un grief recevable en procédure fédérale. Faute de reposer sur une motivation suffisante au sens de l'art. 42
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz
BGG Art. 42 Rechtsschriften - 1 Rechtsschriften sind in einer Amtssprache abzufassen und haben die Begehren, deren Begründung mit Angabe der Beweismittel und die Unterschrift zu enthalten.
1    Rechtsschriften sind in einer Amtssprache abzufassen und haben die Begehren, deren Begründung mit Angabe der Beweismittel und die Unterschrift zu enthalten.
2    In der Begründung ist in gedrängter Form darzulegen, inwiefern der angefochtene Akt Recht verletzt. Ist eine Beschwerde nur unter der Voraussetzung zulässig, dass sich eine Rechtsfrage von grundsätzlicher Bedeutung stellt oder aus anderen Gründen ein besonders bedeutender Fall vorliegt, so ist auszuführen, warum die jeweilige Voraussetzung erfüllt ist. 14 15
3    Die Urkunden, auf die sich die Partei als Beweismittel beruft, sind beizulegen, soweit die Partei sie in Händen hat; richtet sich die Rechtsschrift gegen einen Entscheid, so ist auch dieser beizulegen.
4    Bei elektronischer Einreichung muss die Rechtsschrift von der Partei oder ihrem Vertreter beziehungsweise ihrer Vertreterin mit einer qualifizierten elektronischen Signatur gemäss Bundesgesetz vom 18. März 201616 über die elektronische Signatur versehen werden. Das Bundesgericht bestimmt in einem Reglement:
a  das Format der Rechtsschrift und ihrer Beilagen;
b  die Art und Weise der Übermittlung;
c  die Voraussetzungen, unter denen bei technischen Problemen die Nachreichung von Dokumenten auf Papier verlangt werden kann.17
5    Fehlen die Unterschrift der Partei oder ihrer Vertretung, deren Vollmacht oder die vorgeschriebenen Beilagen oder ist die Vertretung nicht zugelassen, so wird eine angemessene Frist zur Behebung des Mangels angesetzt mit der Androhung, dass die Rechtsschrift sonst unbeachtet bleibt.
6    Unleserliche, ungebührliche, unverständliche, übermässig weitschweifige oder nicht in einer Amtssprache verfasste Rechtsschriften können in gleicher Weise zur Änderung zurückgewiesen werden.
7    Rechtsschriften, die auf querulatorischer oder rechtsmissbräuchlicher Prozessführung beruhen, sind unzulässig.
LTF, ladite critique ou interrogation n'a pas à être prise en considération.

7.
En conséquence de ce qui précède, le recours est mal fondé, dans la mesure où il est recevable.

8.
Vu l'issue de la procédure, les frais judiciaires doivent être mis à la charge du recourant (art. 66 al. 1
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz
BGG Art. 66 Erhebung und Verteilung der Gerichtskosten - 1 Die Gerichtskosten werden in der Regel der unterliegenden Partei auferlegt. Wenn die Umstände es rechtfertigen, kann das Bundesgericht die Kosten anders verteilen oder darauf verzichten, Kosten zu erheben.
1    Die Gerichtskosten werden in der Regel der unterliegenden Partei auferlegt. Wenn die Umstände es rechtfertigen, kann das Bundesgericht die Kosten anders verteilen oder darauf verzichten, Kosten zu erheben.
2    Wird ein Fall durch Abstandserklärung oder Vergleich erledigt, so kann auf die Erhebung von Gerichtskosten ganz oder teilweise verzichtet werden.
3    Unnötige Kosten hat zu bezahlen, wer sie verursacht.
4    Dem Bund, den Kantonen und den Gemeinden sowie mit öffentlich-rechtlichen Aufgaben betrauten Organisationen dürfen in der Regel keine Gerichtskosten auferlegt werden, wenn sie in ihrem amtlichen Wirkungskreis, ohne dass es sich um ihr Vermögensinteresse handelt, das Bundesgericht in Anspruch nehmen oder wenn gegen ihre Entscheide in solchen Angelegenheiten Beschwerde geführt worden ist.
5    Mehrere Personen haben die ihnen gemeinsam auferlegten Gerichtskosten, wenn nichts anderes bestimmt ist, zu gleichen Teilen und unter solidarischer Haftung zu tragen.
LTF). La fondation intimée ne peut prétendre des dépens (art. 68 al. 3
SR 173.110 Bundesgesetz vom 17. Juni 2005 über das Bundesgericht (Bundesgerichtsgesetz, BGG) - Bundesgerichtsgesetz
BGG Art. 68 Parteientschädigung - 1 Das Bundesgericht bestimmt im Urteil, ob und in welchem Mass die Kosten der obsiegenden Partei von der unterliegenden zu ersetzen sind.
1    Das Bundesgericht bestimmt im Urteil, ob und in welchem Mass die Kosten der obsiegenden Partei von der unterliegenden zu ersetzen sind.
2    Die unterliegende Partei wird in der Regel verpflichtet, der obsiegenden Partei nach Massgabe des Tarifs des Bundesgerichts alle durch den Rechtsstreit verursachten notwendigen Kosten zu ersetzen.
3    Bund, Kantonen und Gemeinden sowie mit öffentlich-rechtlichen Aufgaben betrauten Organisationen wird in der Regel keine Parteientschädigung zugesprochen, wenn sie in ihrem amtlichen Wirkungskreis obsiegen.
4    Artikel 66 Absätze 3 und 5 ist sinngemäss anwendbar.
5    Der Entscheid der Vorinstanz über die Parteientschädigung wird vom Bundesgericht je nach Ausgang des Verfahrens bestätigt, aufgehoben oder geändert. Dabei kann das Gericht die Entschädigung nach Massgabe des anwendbaren eidgenössischen oder kantonalen Tarifs selbst festsetzen oder die Festsetzung der Vorinstanz übertragen.
LTF).

Par ces motifs, le Tribunal fédéral prononce :

1.
Le recours est rejeté dans la mesure où il est recevable.

2.
Les frais judiciaires, arrêtés à 4'000 fr., sont mis à la charge du recourant.

3.
Le présent arrêt est communiqué aux parties, à l'Autorité de surveillance LPP et des fondations de Suisse occidentale, au Tribunal administratif fédéral, Cour III, et à l'Office fédéral des assurances sociales.

Lucerne, le 6 novembre 2015

Au nom de la IIe Cour de droit social
du Tribunal fédéral suisse

La Présidente : Glanzmann

Le Greffier : Cretton
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 9C_297/2015
Date : 06. November 2015
Publié : 24. November 2015
Source : Bundesgericht
Statut : Unpubliziert
Domaine : Berufliche Vorsorge
Objet : Prévoyance professionnelle (liquidation partielle)


Répertoire des lois
LFLP: 23
SR 831.42 Loi fédérale du 17 décembre 1993 sur le libre passage dans la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (Loi sur le libre passage, LFLP) - Loi sur le libre passage
LFLP Art. 23 Partenariat enregistré - Les dispositions applicables en cas de divorce s'appliquent par analogie à la dissolution judiciaire d'un partenariat enregistré.
LPP: 53b 
SR 831.40 Loi fédérale du 25 juin 1982 sur la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (LPP)
LPP Art. 53b Liquidation partielle - 1 Les institutions de prévoyance fixent dans leurs règlements les conditions et la procédure de liquidation partielle. Les conditions pour une liquidation partielle sont présumées remplies lorsque:
1    Les institutions de prévoyance fixent dans leurs règlements les conditions et la procédure de liquidation partielle. Les conditions pour une liquidation partielle sont présumées remplies lorsque:
a  l'effectif du personnel subit une réduction considérable;
b  une entreprise est restructurée;
c  le contrat d'affiliation est résilié.
2    Les prescriptions réglementaires concernant les conditions et la procédure de liquidation partielle doivent être approuvées par l'autorité de surveillance.
53d
SR 831.40 Loi fédérale du 25 juin 1982 sur la prévoyance professionnelle vieillesse, survivants et invalidité (LPP)
LPP Art. 53d Procédure en cas de liquidation partielle ou totale - 1 Lors de la liquidation partielle ou totale de l'institution de prévoyance, le principe de l'égalité de traitement et les principes techniques reconnus doivent être respectés. Le Conseil fédéral définit les principes.
1    Lors de la liquidation partielle ou totale de l'institution de prévoyance, le principe de l'égalité de traitement et les principes techniques reconnus doivent être respectés. Le Conseil fédéral définit les principes.
2    Les fonds libres doivent être calculés en fonction de la fortune, dont les éléments sont évalués sur la base des valeurs de revente.
3    Les institutions de prévoyance peuvent déduire proportionnellement les découverts techniques pour autant que cela ne réduise pas l'avoir de vieillesse (art. 15).204
4    L'organe paritaire désigné ou l'organe compétent fixe, dans le cadre des dispositions légales et du règlement:
a  le moment exact de la liquidation;
b  les fonds libres et la part à répartir lors de la liquidation;
c  le montant du découvert et la répartition de celui-ci;
d  le plan de répartition.
5    L'institution de prévoyance informe les assurés et les bénéficiaires de rentes sur la liquidation partielle ou totale de manière complète et en temps utile. Elle leur permet notamment de consulter le plan de répartition.
6    Les assurés et les bénéficiaires de rentes ont le droit de faire vérifier par l'autorité de surveillance compétente les conditions, la procédure et le plan de répartition et de leur demander de rendre une décision. Un recours contre la décision de l'autorité de surveillance n'a d'effet suspensif que si le président de la cour compétente du Tribunal administratif fédéral ou le juge instructeur le décide, d'office ou sur requête du recourant. En l'absence d'effet suspensif, la décision du Tribunal administratif fédéral n'a d'effet qu'à l'avantage ou au détriment du recourant.205
LTF: 42 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
66 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
68 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
82 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 82 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours:
a  contre les décisions rendues dans des causes de droit public;
b  contre les actes normatifs cantonaux;
c  qui concernent le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et votations populaires.
97 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
105 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
106 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
107
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 107 Arrêt - 1 Le Tribunal fédéral ne peut aller au-delà des conclusions des parties.
1    Le Tribunal fédéral ne peut aller au-delà des conclusions des parties.
2    Si le Tribunal fédéral admet le recours, il statue lui-même sur le fond ou renvoie l'affaire à l'autorité précédente pour qu'elle prenne une nouvelle décision. Il peut également renvoyer l'affaire à l'autorité qui a statué en première instance.
3    Si le Tribunal fédéral considère qu'un recours en matière d'entraide pénale internationale ou d'assistance administrative internationale en matière fiscale est irrecevable, il rend une décision de non-entrée en matière dans les quinze jours qui suivent la fin d'un éventuel échange d'écritures. Dans le domaine de l'entraide pénale internationale, le Tribunal fédéral n'est pas lié par ce délai lorsque la procédure d'extradition concerne une personne dont la demande d'asile n'a pas encore fait l'objet d'une décision finale entrée en force.100
4    Le Tribunal fédéral statue sur tout recours contre une décision du Tribunal fédéral des brevets portant sur l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets101 dans le mois qui suit le dépôt du recours.102
Répertoire ATF
128-II-394 • 135-V-23
Weitere Urteile ab 2000
2A.410/2003 • 2A.576/2002 • 9C_297/2015 • B_115/04
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
liquidation partielle • restructuration • autorité de surveillance • fonds libres • tribunal administratif fédéral • tribunal fédéral • contrat de travail • prestation de libre passage • conditions de travail • conseil de fondation • examinateur • d'office • vue • calcul • prévoyance professionnelle • modification des statuts • égalité de traitement • autorisation ou approbation • fondation de prévoyance en faveur du personnel • première instance • procès-verbal • office fédéral des assurances sociales • institution de prévoyance • avoir de vieillesse • greffier • droit social • frais judiciaires • résiliation • décision • constatation des faits • violation du droit • prolongation • autorité inférieure • membre d'une communauté religieuse • loi sur le libre passage • directeur • effet • accès • bilan • intérêt digne de protection • intérêt personnel • lettre • travailleur • recours en matière de droit public • recours de droit public • fin • contrat d'affiliation • fortune • déclaration d'adhésion • à titre volontaire • volonté • décision de renvoi • droit public • appréciation anticipée des preuves • viol • mois • libre passage • sion • allaitement • incident • droit d'être entendu • lausanne • quant • pouvoir d'examen limité • futur • participation à la procédure • qualité d'assuré • secrétariat général • mention • comparution personnelle • doute
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