Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
8C 239/2021
Urteil vom 4. November 2021
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Maillard, Präsident,
Bundesrichterin Heine, Bundesrichter Wirthlin,
Gerichtsschreiber Walther.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Philip Stolkin,
Beschwerdeführer,
gegen
Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (Suva), Fluhmattstrasse 1, 6004 Luzern,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Unfallversicherung (Invalidenrente; Arbeitsunfähigkeit),
Beschwerde gegen das Urteil des Versicherungs-
gerichts des Kantons Aargau vom 8. Februar 2021 (VBE.2020.276).
Sachverhalt:
A.
A.________, geboren 1973, war seit dem 1. März 2011 bei der B.________ AG in C.________ als Bäckereimitarbeiter angestellt und in dieser Eigenschaft bei der Schweizerischen Unfallversicherungsanstalt (Suva) obligatorisch gegen die Folgen von Unfällen versichert. Am 18. April 2012 kletterte er auf einen Ofenentlader, um ein eingeklemmtes Blech zu lösen. Als die Anlage weiterfuhr, wurde er mit dem Rumpf darin eingeklemmt, wobei er ein stumpfes Abdominaltrauma mit schweren Verbrennungen an Abdomen, Rücken und Händen sowie eine Durchtrennung des Dünndarms erlitt. Die Suva erbrachte die gesetzlichen Leistungen (Heilbehandlung; Taggeld) und schloss den Fall per 1. Juni 2014 ab. Nach einer Rückfallmeldung vom 24. Oktober 2014 erbrachte die Suva erneut die gesetzlichen Leistungen und tätigte weitere Abklärungen. Gestützt auf ein von der Invalidenversicherung in Auftrag gegebenes Gutachten der Academy of Swiss Insurance Medicine am Universitätsspital Basel (Expertise vom 14. September 2018; nachfolgend: asim-Gutachten) sprach die Suva A.________ ab 1. Oktober 2019 eine Invalidenrente bei einer Erwerbsunfähigkeit von 30 % und eine Integritätsentschädigung entsprechend einer Integritätseinbusse von 10 % zu (Verfügung vom 19. September 2019).
Mit Einspracheentscheid vom 1. Mai 2020 erhöhte sie die Invalidenrente unter Annahme einer Erwerbsunfähigkeit von 33 % und die Integritätsentschädigung bei einem Integritätsschaden von 25 %.
B.
Die dagegen gerichtete Beschwerde des A.________ wies das Versicherungsgericht des Kantons Aargau mit Urteil vom 8. Februar 2021 ab.
C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten lässt A.________ beantragen, unter Aufhebung des angefochtenen Urteils sei ihm eine Invalidenrente auf der Basis von mindestens 50 % und eine Integritätsentschädigung von mindestens 55 % zu gewähren; eventualiter sei die Sache zur weiteren Untersuchung an die Vorinstanz zurückzuweisen. Zudem ersucht er um Gewährung der unentgeltlichen Rechtspflege und Verbeiständung.
Während die Suva auf Abweisung der Beschwerde schliesst, verzichten sowohl die Vorinstanz als auch das Bundesamt für Gesundheit auf eine Vernehmlassung. A.________ lässt am 12. Mai 2021 eine weitere Eingabe einreichen.
Erwägungen:
1.
1.1. Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann wegen Rechtsverletzung gemäss Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour: |
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a | inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse; |
b | application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
1.2. Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
2.
Streitig ist, ob die Vorinstanz Bundesrecht verletzte, indem sie die von der Suva mit Einspracheentscheid vom 1. Mai 2020 zugesprochene Invalidenrente bei einer Erwerbsunfähigkeit von 33 % und die Integritätsentschädigung bei einem Integritätsschaden von 25 % bestätigte.
3.
3.1. Das kantonale Gericht hat die Bestimmungen und Grundsätze über das zeitlich massgebende Recht (BGE 144 V 224 E. 6.1.1 mit Hinweis; zur 1. UVG-Revision vgl. Abs. 1 der Übergangsbestimmungen zur Änderung des UVG vom 25. September 2015, AS 2016 4375, 4387) richtig dargelegt. Gleiches gilt betreffend die Ausführungen über die Leistungspflicht des obligatorischen Unfallversicherers (Art. 6 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 6 Généralités - 1 Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle. |
|
1 | Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle. |
2 | L'assurance alloue aussi ses prestations pour les lésions corporelles suivantes, pour autant qu'elles ne soient pas dues de manière prépondérante à l'usure ou à une maladie: |
a | les fractures; |
b | les déboîtements d'articulations; |
c | les déchirures du ménisque; |
d | les déchirures de muscles; |
e | les élongations de muscles; |
f | les déchirures de tendons; |
g | les lésions de ligaments; |
h | les lésions du tympan.21 |
3 | L'assurance alloue en outre ses prestations pour les lésions causées à l'assuré victime d'un accident lors du traitement médical (art. 10). |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 4 Accident - Est réputée accident toute atteinte dommageable, soudaine et involontaire, portée au corps humain par une cause extérieure extraordinaire qui compromet la santé physique, mentale ou psychique ou qui entraîne la mort. |
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 18 Invalidité - 1 Si l'assuré est invalide (art. 8 LPGA50) à 10 % au moins par suite d'un accident, il a droit à une rente d'invalidité, pour autant que l'accident soit survenu avant l'âge de référence51.52 |
|
1 | Si l'assuré est invalide (art. 8 LPGA50) à 10 % au moins par suite d'un accident, il a droit à une rente d'invalidité, pour autant que l'accident soit survenu avant l'âge de référence51.52 |
2 | Le Conseil fédéral règle l'évaluation du degré de l'invalidité dans des cas spéciaux. Il peut à cette occasion déroger à l'art. 16 LPGA. |
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 24 Droit - 1 Si, par suite de l'accident, l'assuré souffre d'une atteinte importante et durable à son intégrité physique, mentale ou psychique, il a droit à une indemnité équitable pour atteinte à l'intégrité.66 |
|
1 | Si, par suite de l'accident, l'assuré souffre d'une atteinte importante et durable à son intégrité physique, mentale ou psychique, il a droit à une indemnité équitable pour atteinte à l'intégrité.66 |
2 | L'indemnité est fixée en même temps que la rente d'invalidité ou, si l'assuré ne peut prétendre une rente, lorsque le traitement médical est terminé. Le Conseil fédéral peut fixer la naissance du droit à un autre moment dans les cas spéciaux, notamment en cas d'atteinte à la santé liée à l'inhalation de fibres d'amiante.67 |
SR 832.202 Ordonnance du 20 décembre 1982 sur l'assurance-accidents (OLAA) OLAA Art. 36 - 1 Une atteinte à l'intégrité est réputée durable lorsqu'il est prévisible qu'elle subsistera avec au moins la même gravité pendant toute la vie. Elle est réputée importante lorsque l'intégrité physique, mentale ou psychique subit, indépendamment de la diminution de la capacité de gain, une altération évidente ou grave.87 |
|
1 | Une atteinte à l'intégrité est réputée durable lorsqu'il est prévisible qu'elle subsistera avec au moins la même gravité pendant toute la vie. Elle est réputée importante lorsque l'intégrité physique, mentale ou psychique subit, indépendamment de la diminution de la capacité de gain, une altération évidente ou grave.87 |
2 | L'indemnité pour atteinte à l'intégrité est calculée selon les directives figurant à l'annexe 3. |
3 | En cas de concours de plusieurs atteintes à l'intégrité physique, mentale ou psychique, dues à un ou plusieurs accidents, l'indemnité pour atteinte à l'intégrité est fixée d'après l'ensemble du dommage.88 L'indemnité totale ne peut dépasser le montant maximum du gain annuel assuré. Il est tenu compte, dans le taux d'indemnisation, des indemnités déjà reçues en vertu de la loi. |
4 | Il sera équitablement tenu compte des aggravations prévisibles de l'atteinte à l'intégrité. Une révision n'est possible qu'en cas exceptionnel, si l'aggravation est importante et n'était pas prévisible.89 |
5 | L'assuré qui, dans le cadre d'une maladie professionnelle, développe un mésothéliome ou d'autres tumeurs dont l'évolution est tout aussi défavorable en termes de survie a droit à une indemnité pour atteinte à l'intégrité physique dès l'apparition de la maladie.90 |
3.2. Zu ergänzen ist, dass das Gericht den von Versicherungsträgern im Verfahren nach Art. 44
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 44 Expertise - 1 Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
|
1 | Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
a | expertise monodisciplinaire; |
b | expertise bidisciplinaire; |
c | expertise pluridisciplinaire. |
2 | Si l'assureur doit recourir aux services d'un ou de plusieurs experts indépendants pour élucider les faits dans le cadre d'une expertise, il communique leur nom aux parties. Les parties peuvent récuser les experts pour les motifs indiqués à l'art. 36, al. 1, et présenter des contre-propositions dans un délai de dix jours. |
3 | Lorsqu'il communique le nom des experts, l'assureur soumet aussi aux parties les questions qu'il entend poser aux experts et leur signale qu'elles ont la possibilité de remettre par écrit des questions supplémentaires dans le même délai. L'assureur décide en dernier ressort des questions qui sont posées aux experts. |
4 | Si, malgré la demande de récusation, l'assureur maintient son choix du ou des experts pressentis, il en avise les parties par une décision incidente. |
5 | Les disciplines médicales sont déterminées à titre définitif par l'assureur pour les expertises visées à l'al. 1, let. a et b, et par le centre d'expertises pour les expertises visées à l'al. 1, let. c. |
6 | Sauf avis contraire de l'assuré, les entretiens entre l'assuré et l'expert font l'objet d'enregistrements sonores, lesquels sont conservés dans le dossier de l'assureur. |
7 | Le Conseil fédéral: |
a | peut régler la nature de l'attribution du mandat à un centre d'expertises, pour les expertises visées à l'al. 1; |
b | édicte des critères pour l'admission des experts médicaux et des experts en neuropsychologie, pour les expertises visées à l'al. 1; |
c | crée une commission réunissant des représentants des différentes assurances sociales, des centres d'expertises, des médecins, des neuropsychologues, des milieux scientifiques, ainsi que des organisations d'aide aux patients et aux personnes en situation de handicap qui veille au contrôle de l'accréditation, du processus, et du résultat des expertises médicales. Elle émet des recommandations publiques. |
4.
4.1. Die Vorinstanz erwog, die asim-Gutachter hätten als Diagnosen mit Auswirkung auf die Arbeitsfähigkeit ein chronisches Schmerzsyndrom der Bauchdecke nach schwerem mechanischem und thermischem Abdominaltrauma und eine posttraumatische Belastungsstörung festgestellt. Im Folgenden sprach sie dem Gutachten Beweiswert zu und führte aus, auf die darin attestierte Arbeitsfähigkeit von 50 % in der (bisherigen und) aktuell ausgeübten - aus gesundheitlichen Gründen jedoch ungeeigneten - Tätigkeit als Bäcker sowie die Arbeitsfähigkeit von 70 % in angepassten Tätigkeiten könne abgestellt werden.
4.2. Der Beschwerdeführer wirft der Vorinstanz eine Verletzung des Untersuchungsgrundsatzes vor, weil diese trotz widersprüchlichem asim-Gutachten keine weiteren medizinischen Abklärungen vorgenommen habe.
4.2.1. Ins Leere zielt diesbezüglich zunächst die Rüge, die Vorinstanz habe hinsichtlich des Beweiswerts des asim-Gutachtens ohne eigene Abklärungen auf die entsprechende "Einschätzung der IV-Stelle" abgestellt (vgl. hinsichtlich der fehlenden Bindungswirkung der Invaliditätsschätzung der Invalidenversicherung gegenüber der Unfallversicherung BGE 133 V 549 E. 6.1 mit Hinweis). Das kantonale Gericht verwies zwar darauf, dem asim-Gutachten bereits mit Urteil VBE.2019.393 vom 18. Februar 2020 betreffend den Anspruch des Beschwerdeführers auf eine Rente der Invalidenversicherung vollen Beweiswert zuerkannt zu haben, was das Bundesgericht mit Urteil 9C 228/2020 vom 6. August 2020 bestätigt habe. Im Weiteren erwog die Vorinstanz jedoch zu Recht, sämtliche von den Gutachtern gestellten Diagnosen mit Auswirkung auf die Arbeitsfähigkeit seien unbestrittenermassen auf den Unfall vom 18. April 2012 zurückzuführen. Ferner seien den Akten keine Anhaltspunkte dafür zu entnehmen, dass das Gutachten für die unfallversicherungsrechtlichen Fragen nicht zum Beweis tauge, zumal die asim-Gutachter auch den ergänzenden Fragekatalog der Suva berücksichtigt hätten. Entgegen dem Beschwerdeführer berief sich das kantonale Gericht somit nicht darauf,
hinsichtlich des Beweiswerts des asim-Gutachtens an sein früheres Urteil gebunden zu sein.
4.2.2. Nicht stichhaltig sind sodann die verschiedenen Rügen, wonach die Vorinstanz das Tätigkeitsprofil respektive das "Persönlichkeitsprofil" des Beschwerdeführers in Verweistätigkeiten nur ungenügend abgeklärt habe. Dass dieser bei der B.________ AG nicht mehr in der Bäckerei, sondern in der Konditorei arbeitet, ist der Suva nicht entgangen. Das kantonale Gericht hielt zwar fest, der Beschwerdeführer arbeite auch aktuell in der bisherigen Tätigkeit als Bäcker. Daraus vermag er indes nichts zu seinen Gunsten abzuleiten, wies die Vorinstanz diesbezüglich doch darauf hin, es handle sich um die bisherige, aus gesundheitlichen Gründen ungeeignete Tätigkeit. Entgegen dem Beschwerdeführer ging PD Dr. med. D.________, Facharzt für Chirurgie, im viszeralchirurgischen Teilgutachten auch nicht davon aus, die Tätigkeit bei der B.________ AG im Bereich der Konditorei sei angepasst; vielmehr merkte der Gutachter an, die Arbeitgeberin gewährleiste die Einhaltung des Belastungsprofils nicht. Das gutachterlich festgelegte Belastungsprofil (keine Trigger für die posttraumatische Belastungsstörung, keine Arbeiten an schweren Maschinen oder solchen mit Hitzeentwicklung, keine Tätigkeiten mit vermehrtem Schwitzen, mechanischem Druck auf den Bauch,
Reibung von Kleidung am Abdomen sowie körperlich schwere Tätigkeiten; mittelschwere Tätigkeiten sind nur intermittierend möglich, volle Arbeitstage sind nicht geeignet) und damit die zumutbaren Verweistätigkeiten erscheinen sodann ohne Weiteres als nachvollziehbar.
Wie in der Beschwerde geltend gemacht, postulierte PD Dr. med. D.________ in angepassten Tätigkeiten zwar eine Arbeitsfähigkeit von 50 %, was isoliert betrachtet der psychiatrischen wie auch der gesamtgutachterlichen Einschätzung einer 70%igen Arbeitsfähigkeit zu widersprechen scheint. An verschiedenen Stellen hob der viszeralchirurgische Gutachter allerdings hervor, aufgrund der belastungsassoziierten Beschwerden sollte insbesondere die körperliche Arbeit auf vier Stunden täglich begrenzt werden. Daraus erhellt, dass der Gutachter bei der von ihm genannten 50%igen Einschränkung nicht eine zeitliche Limitierung in angepassten Tätigkeiten per se, sondern eine Limitierung der körperlichen Belastung im Blick hatte. Dies ergibt sich auch aus der Konsensbeurteilung, nach welcher aus somatischer Sicht vor allem die qualitativen Belastungslimiten gut begründbar seien, während bei der zeitlichen Limitierung des Pensums auf 70 % die psychiatrische Sicht im Vordergrund stehe. Entgegen der Ansicht des Beschwerdeführers erweist sich die Konsensbeurteilung einer 70 %igen Arbeitsfähigkeit in angepassten Tätigkeiten nach dem Gesagten als schlüssig.
4.2.3. Unbehelflich sind schliesslich die Beanstandungen hinsichtlich des psychiatrischen Teilgutachtens des Dr. med. E.________, Facharzt für Psychiatrie und Psychotherapie. Mit seinen diesbezüglichen Vorbringen beschränkt sich der Beschwerdeführer darauf, eigene laienhafte medizinische Schlussfolgerungen an die Stelle der fachärztlichen Ausführungen des psychiatrischen Gutachters zu setzen. Dies vermag keine konkreten Indizien (vgl. E. 3.2) gegen die Zuverlässigkeit des psychiatrischen Teilgutachtens zu begründen.
4.3. Nach dem Gesagten verletzte die Vorinstanz kein Bundesrecht, indem sie dem asim-Gutachten vollen Beweiswert zuerkannte und auf die darin festgestellte Arbeitsfähigkeit in Verweistätigkeiten von 70 % abstellte. Da von weiteren medizinischen Abklärungen keine entscheidrelevanten Resultate zu erwarten waren, durfte sie ohne Verletzung des Untersuchungsgrundsatzes bundesrechtskonform davon absehen (antizipierte Beweiswürdigung, vgl. BGE 144 V 361 E. 6.5; Urteil 8C 739/2020 vom 17. Februar 2021 E. 5.4).
5.
In erwerblicher Hinsicht ist allein die Höhe des von der Vorinstanz bestätigten leidensbedingten Abzugs vom Tabellenlohn auf der Seite des Invalideneinkommens streitig (vgl. zum Rügeprinzip E. 1.1). Der Beschwerdeführer macht geltend, ihm sei ein Abzug von mindestens 15 % zu gewähren.
5.1.
5.1.1. Mit dem Abzug vom Tabellenlohn nach BGE 126 V 75 soll der Tatsache Rechnung getragen werden, dass persönliche und berufliche Merkmale, wie Art und Ausmass der Behinderung, Lebensalter, Dienstjahre, Nationalität oder Aufenthaltskategorie und Beschäftigungsgrad Auswirkungen auf die Lohnhöhe haben können und je nach Ausprägung die versicherte Person deswegen die verbliebene Arbeitsfähigkeit auch auf einem ausgeglichenen Arbeitsmarkt (vgl. dazu BGE 134 V 64 E. 4.2.1) nur mit unterdurchschnittlichem erwerblichem Erfolg verwerten kann (BGE 146 V 16 E. 4.1; 135 V 297 E. 5.2 mit Hinweis). Der Abzug soll aber nicht automatisch erfolgen. Er ist unter Würdigung der Umstände im Einzelfall nach pflichtgemässem Ermessen gesamthaft zu schätzen und darf 25 % nicht übersteigen (BGE 146 V 16 E. 4.1; 135 V 297 E. 5.2; 134 V 322 E. 5.2; 126 V 75 E. 5b/bb-cc).
5.1.2. Ob ein behinderungsbedingt oder anderweitig begründeter Abzug vom Tabellenlohn vorzunehmen ist, stellt eine frei überprüfbare Rechtsfrage dar. Dagegen ist die Höhe des (im konkreten Fall grundsätzlich angezeigten) Abzugs eine Ermessensfrage und daher letztinstanzlich nur bei Ermessensüberschreitung, -missbrauch oder -unterschreitung korrigierbar (BGE 146 V 16 E. 4.2 mit Hinweisen).
5.2. Das kantonale Gericht legte dar, bereits im genannten Urteil VBE.2019.393 vom 18. Februar 2020 die Voraussetzungen eines Abzuges vom Tabellenlohn verneint zu haben, was vom Bundesgericht bestätigt worden sei. Ein Abzug vom Tabellenlohn aufgrund des Umstands, dass ein 70%iges Pensum auf fünf Tage verteilt werden müsse, sei jedoch zulässig, weshalb der von der Suva gewährte Abzug von 5 % nicht zu beanstanden sei.
5.3. Was der Beschwerdeführer dagegen vorbringt, vermag nicht zu verfangen. Die ungenügende Ausbildung und die mangelnden Sprachkenntnisse sind nicht abzugsrelevant (Urteil 8C 549/2019 vom 26. November 2019 E. 7.7 mit Hinweis). Auch das Alter des im Zeitpunkt des Einspracheentscheids vom 1. Mai 2020 47 Jahre alt gewesenen Beschwerdeführers rechtfertigt keinen leidensbedingten Abzug. Zudem fällt der Umstand, dass die Stellensuche altersbedingt erschwert sein mag, als invaliditätsfremder Faktor ausser Betracht (BGE 146 V 16 E. 7.2.1; Urteil 8C 296/2020 vom 25. November 2020 E. 6.3.2). Die bisher vom Bundesgericht offen gelassene Frage, ob das Merkmal "Alter" in der obligatorischen Unfallversicherung grundsätzlich überhaupt einen Abzug vom Tabellenlohn zu rechtfertigen vermöchte (vgl. Urteile 8C 729/2019 vom 25. Februar 2020 E. 5.3.2 und 8C 878/2018 vom 21. August 2019 E. 5.3.1), braucht hier somit nicht beurteilt zu werden. Hinsichtlich des Beschäftigungsgrads ist sodann von einem zumutbaren Pensum von 70 % auszugehen (vgl. E. 4.2.2 hiervor). Wie bereits von der Suva i m Einspracheentscheid dargelegt, muss die Frage nach einem Abzug vom Tabellenlohn in Fällen, wo ein Versicherter seine Arbeitsfähigkeit nicht vollschichtig umsetzen
kann, stets mit Blick auf den konkreten Beschäftigungsgrad und die jeweils aktuellen Werte beurteilt werden (vgl. Urteil 8C 303/2020 vom 6. August 2020 E. 4.2.2.2). Aus der hier massgebenden, vom Bundesamt für Statistik gestützt auf die Schweizerische Lohnstrukturerhebung 2016 erstellten Tabelle zu den nach Beschäftigungsgrad, Geschlecht und beruflicher Stellung differenzierenden standardisierten monatlichen Bruttolöhnen ergibt sich bei einem Beschäftigungsgrad von 70 % bei Männern ohne Kaderfunktion keine relevante Lohnminderung und damit auch kein Anlass für einen Tabellenlohnabzug (vgl. Urteile 9C 223/2020 vom 25. Mai 2020 E. 4.3.2 und 8C 699/2017 vom 26. April 2018 E. 3.1; je mit Hinweisen). Der vom kantonalen Gericht bestätigte 5%ige Abzug aufgrund der notwendigen Aufteilung des 70%igen Teilzeitpensums auf fünf Tage pro Woche steht schliesslich im vorinstanzlichen Ermessensspielraum und ist somit nicht zu beanstanden (vgl. etwa Urteil 9C 223/2020 vom 25. Mai 2020 E. 4.3.3). Entgegen dem Beschwerdeführer vermögen die geltend gemachten Kriterien - soweit überhaupt zutreffend - auch gesamthaft keinen höheren Abzug zu rechtfertigen; von der geltend gemachten Ermessensunterschreitung kann keine Rede sein.
6.
Was die Integritätsentschädigung anbelangt, legte die Vorinstanz dar, gemäss der beweiswertigen Beurteilung des Suva-Arztes Dr. med. F.________, Facharzt für Chirurgie, vom 29. April 2020 betrage der Integritätsschaden angesichts einer Betrachtung der Gesamtfunktionsstörung der Bauchdecke 25 %. Mangels einer eindeutigen ungünstigen individuellen Langzeitprognose und damit mangels der Dauerhaftigkeit des psychischen Integritätsschadens sei eine zusätzliche Integritätsentschädigung aufgrund der psychischen Beschwerden nicht angezeigt. Dies wird vom Beschwerdeführer nicht bestritten, weshalb darauf nicht weiter einzugehen ist. Die Beschwerde ist unbegründet und das angefochtene Urteil zu bestätigen.
7.
7.1. Gemäss Art. 64 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
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1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
Gemäss den Angaben des Beschwerdeführers in der Eingabe vom 12. Mai 2021 ergibt die Gegenüberstellung der Ausgaben mit den Einnahmen unter Berücksichtigung eines Grundbetrags für eine Familie mit drei Kindern einen monatlichen Überschuss von Fr. 175.-. Ausweislich der mit dieser Eingabe eingereichten Steuererklärung vom 28. Mai 2020 hat der volljährige Sohn die Ausbildung indes am 1. August 2021 abgeschlossen, womit der monatliche Grundbetrag um Fr. 600.- zu reduzieren ist. Unter Ausserachtlassung der ferner geltend gemachten Beiträge an die Krankenkassen-Zusatzversicherungen (vgl. Urteil 9C 659/2016 vom 17. Januar 2017 E. 5.2), der Hausrat- und Privathaftpflichtversicherung (Urteil 8C 309/2011 vom 31. Mai 2011 E. 3.3.3) sowie der Pianomiete von Fr. 83.- resultiert ein monatlicher Einnahmenüberschuss von rund Fr. 407.-, welcher dem Beschwerdeführer erlaubt, die Verfahrenskosten innert absehbarer Zeit zu begleichen (vgl. BGE 141 III 369 E. 4.1; 135 I 221 E. 5.1; Urteil 9C 640/2020 vom 18. Januar 2021 E. 4.1). Das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege (im Sinne der vorläufigen Befreiung von den Gerichtskosten und der unentgeltlichen Verbeiständung) ist mangels ausgewiesener Bedürftigkeit abzuweisen.
7.2. Die Gerichtskosten werden daher dem unterliegenden Beschwerdeführer auferlegt (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege wird abgewiesen.
3.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
4.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Versicherungsgericht des Kantons Aargau und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 4. November 2021
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Maillard
Der Gerichtsschreiber: Walther