Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 0/2}
8C 96/2010
Urteil vom 3. Mai 2010
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Ursprung, Präsident,
Bundesrichter Frésard, Maillard,
Gerichtsschreiberin Schüpfer.
Verfahrensbeteiligte
L.________, vertreten durch
Rechtsanwalt Daniel Ehrenzeller,
Beschwerdeführer,
gegen
Helsana Unfall AG, Versicherungsrecht, Zürichstrasse 130, 8600 Dübendorf,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Unfallversicherung (Kausalzusammenhang),
Beschwerde gegen den Entscheid des Verwaltungsgerichts des Kantons Thurgau
vom 25. November 2009.
Sachverhalt:
A.
Der 1954 geborene L.________ arbeitete als Versicherungsberater bei der Firma C.________. Am 8. November 2001 meldete er der Helsana Unfall AG (nachfolgend Helsana), bei welcher er unter anderem obligatorisch gegen die Folgen von Unfällen versichert war, dass er sich am 15. Oktober 2001 in den Ferien beim Fussballspielen am rechten Knie verletzt habe. Eine MRI-Untersuchung zeigte einen Riss des Meniskus-Hinterhorns und eine Arthrose mit Chondromalazien in der Trochlea, an der Patellarückfläche und am Femurcondylus bei einem Zustand nach multiplen Knieoperationen aufgrund eines Motorradunfalls im Jahre 1977 (recte: 1976). Am 7. Dezember 2001 wurde eine diagnostische Arthroskopie mit Knorpelglättung und einer Teilmeniskektomie durchgeführt.
Wegen einer gesundheitlichen Verschlechterung im Oktober 2002 - insbesondere wegen Rückenbeschwerden - absolvierte der Versicherte im Dezember 2002 eine stationäre Rehabilitation in der Klinik K.________. Es folgten weitere Untersuchungen und Behandlungen bei einer attestierten Arbeitsunfähigkeit von 50 %. Die Helsana liess L.________ durch Dr. med. O.________, Oberarzt Kniechirurgie an der Klinik B.________, begutachten. Gemäss Expertise vom 17. Mai 2004 stellte das Ereignis vom 15. Oktober 2001 eine erneute Traumatisierung des vorgeschädigten Kniegelenkes dar. Wenngleich das aktuelle MRI verglichen mit demjenigen im November 2001 nur eine geringe Progredienz der arthrotischen Veränderungen aufzeige, müsse doch beim zuvor beschwerdearmen Versicherten von einer richtungsgebenden Verschlimmerung durch das Unfallereignis ausgegangen werden. Der Vorzustand sei nicht erreicht; die angestammte Arbeit als Aussendienstmitarbeiter sei den Beschwerden optimal angepasst und die Arbeitsfähigkeit werde auf 50 % geschätzt. Mit Verfügung vom 14. Juni 2007 stellte die Helsana ihre Taggeldleistungen auf den 1. April 2007 ein und richtete eine Integritätsentschädigung von Fr. 16'020.-, entsprechend einer Integritätseinbusse von 15 %, aus. Im
Rahmen des darauf folgenden Einspracheverfahrens holte die Versicherung bei Dr. med. M.________, Facharzt FMH für Orthopädische Chirurgie und Traumatologie des Bewegungsapparates, ein Aktengutachten ein. Gemäss dessen Expertise vom 21. August 2008 sei der Status quo sine längst erreicht. Die aktuellen Beschwerden seien auf die beträchtliche vorbestehende Arthrose des rechten Knies zurückzuführen. Mit Einspracheentscheid vom 20. März 2009 bekräftigte die Helsana, dem Unfall vom 15. Oktober 2001 komme für die anhaltenden Kniebeschwerden keine Bedeutung mehr zu und es würden keine weiteren Versicherungsleistungen mehr ausgerichtet.
B.
Die dagegen erhobene Beschwerde wies das Verwaltungsgericht des Kantons Thurgau mit Entscheid vom 25. November 2009 ab.
C.
L.________ lässt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten führen und beantragen, es sei ihm in Aufhebung des vorinstanzlichen Entscheides bis Ende Februar 2007 ein Taggeld von 70 % und anschliessend eine Rente von 50 % auszurichten; eventuell sei ein Obergutachten anzuordnen.
Erwägungen:
1.
Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann wegen Rechtsverletzungen gemäss Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour: |
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a | inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse; |
b | application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
2.
Im angefochtenen Entscheid werden die Bestimmungen über die Arbeitsunfähigkeit (Art. 6
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 6 Incapacité de travail - Est réputée incapacité de travail toute perte, totale ou partielle, de l'aptitude de l'assuré à accomplir dans sa profession ou son domaine d'activité le travail qui peut raisonnablement être exigé de lui, si cette perte résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique.9 En cas d'incapacité de travail de longue durée, l'activité qui peut être exigée de lui peut aussi relever d'une autre profession ou d'un autre domaine d'activité. |
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 6 Généralités - 1 Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle. |
|
1 | Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle. |
2 | L'assurance alloue aussi ses prestations pour les lésions corporelles suivantes, pour autant qu'elles ne soient pas dues de manière prépondérante à l'usure ou à une maladie: |
a | les fractures; |
b | les déboîtements d'articulations; |
c | les déchirures du ménisque; |
d | les déchirures de muscles; |
e | les élongations de muscles; |
f | les déchirures de tendons; |
g | les lésions de ligaments; |
h | les lésions du tympan.21 |
3 | L'assurance alloue en outre ses prestations pour les lésions causées à l'assuré victime d'un accident lors du traitement médical (art. 10). |
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 16 Droit - 1 L'assuré totalement ou partiellement incapable de travailler (art. 6 LPGA35) à la suite d'un accident a droit à une indemnité journalière.36 |
|
1 | L'assuré totalement ou partiellement incapable de travailler (art. 6 LPGA35) à la suite d'un accident a droit à une indemnité journalière.36 |
2 | Le droit à l'indemnité journalière naît le troisième jour qui suit celui de l'accident. Il s'éteint dès que l'assuré a recouvré sa pleine capacité de travail, dès qu'une rente est versée ou dès que l'assuré décède. |
3 | L'indemnité journalière de l'assurance-accidents n'est pas allouée s'il existe un droit à une indemnité journalière de l'assurance-invalidité ou à une allocation de maternité, d'allocation à l'autre parent, de prise en charge ou d'adoption selon la loi du 25 septembre 1952 sur les allocations pour perte de gain37.38 |
4 | L'indemnité journalière est versée aux personnes au chômage nonobstant les délais d'attente (art. 18, al. 1, LACI39) ou les jours de suspension (art. 30 LACI).40 |
5 | Les personnes visées à l'art. 1a, al. 1, let. c, qui reçoivent une rente conformément à l'art. 22bis, al. 5, LAI41 en relation avec l'art. 28 LAI n'ont pas droit à une indemnité journalière.42 |
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 18 Invalidité - 1 Si l'assuré est invalide (art. 8 LPGA50) à 10 % au moins par suite d'un accident, il a droit à une rente d'invalidité, pour autant que l'accident soit survenu avant l'âge de référence51.52 |
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1 | Si l'assuré est invalide (art. 8 LPGA50) à 10 % au moins par suite d'un accident, il a droit à une rente d'invalidité, pour autant que l'accident soit survenu avant l'âge de référence51.52 |
2 | Le Conseil fédéral règle l'évaluation du degré de l'invalidité dans des cas spéciaux. Il peut à cette occasion déroger à l'art. 16 LPGA. |
3.
Streitig ist der Anspruch des Beschwerdeführers auf Taggeld beziehungsweise Rentenleistungen ab dem 1. April 2007.
3.1 Das kantonale Gericht hat erwogen, die Unfallversicherung habe ihren Entscheid zu Recht auf das Gutachten des Dr. med. M.________ vom 21. August 2008 gestützt. Demnach sei der Status quo sine zum Zeitpunkt der Leistungseinstellungen längst erreicht gewesen. Die gesundheitlichen Beschwerden am rechten Knie seien vollständig auf den Vorzustand zurückzuführen, womit es zwischen diesen und dem Unfall vom 15. Oktober 2001 keinen natürlichen Kausalzusammenhang mehr gäbe. Weiter wird im angefochtenen Entscheid ausgeführt, der Beschwerdeführer sei in seiner angestammten Tätigkeit als Aussendienstmitarbeiter einer Versicherungsgesellschaft trotz seiner Beschwerden am rechten Knie voll arbeitsfähig, weshalb auch keine Erwerbsunfähigkeit vorliege.
3.2 Der Beschwerdeführer bringt insbesondere vor, die Vorinstanz habe zu Unrecht einzig auf das Gutachten es Dr. med. M.________ abgestellt und nicht begründet, weshalb es die Beurteilung des Dr. med. O.________, der degenerative Vorzustand im rechten Knie habe sich durch das Ereignis vom 15. Oktober 2001 richtunggebend verschlimmert, ausser Acht gelassen habe. Das kantonale Gericht habe sein rechtliches Gehör verletzt, indem es davon abgesehen habe, ein Obergutachten über die Frage des Status quo sine einzuholen. Zudem sei der vorinstanzliche Entscheid in Bezug auf die zu Grunde gelegte Arbeitsfähigkeit widersprüchlich, da er einerseits auf das Gutachten des Dr. med. M.________ abstelle, andererseits aber nicht berücksichtige, dass dieser die Hälfte der gesamthaft attestierten Arbeitsunfähigkeit von 50 % den Kniebeschwerden zuordne.
4.
4.1 Dr. med. O.________ legt in seinem Gutachten vom 17. Mai 2004 dar, die insbesondere patellofemoral ausgeprägte Gonarthrose (beginnend auch im medialen Kompartiment) sei mit überwiegender Wahrscheinlichkeit auf das Unfallereignis im Jahre 1976 zurückzuführen. Nach jahrelangem beschwerdearmem Verlauf sei es durch das Unfallereignis am 15. Oktober 2001 zu einer erneuten Traumatisierung des vorgeschädigten rechten Kniegelenkes gekommen. Wenngleich das im Zeitpunkt der Begutachtung aktuelle MRI nur eine unwesentliche Progredienz der arthrotischen Veränderungen zeige, müsse doch bei dem zuvor beschwerdearmen Versicherten von einer richtungsgebenden Verschlimmerung durch diesen Unfall ausgegangen werden. Es sei somit mit überwiegender Wahrscheinlichkeit von einer durch diesen Unfall aktivierten posttraumatischen Gonarthrose auszugehen; der Vorzustand sei nicht erreicht.
Dr. med. M.________ hält im Gutachten vom 21. August 2008 dafür, das Fortschreiten (vgl. Bericht der Klinik B.________ vom 25. Juni 2006) der sekundären Gonarthrose rechts sei nicht als Spätfolge aus dem Jahre 2001 zu betrachten. Vielmehr stelle die aktuelle Schädigung den schicksalsmässigen Verlauf der bereits am 15. Oktober 2001 vorhandenden Arthrose dar. Der Versicherte beklage seit Jahren nicht mehr die Folgen der Meniskusläsion, sondern die Beschwerden von Seiten der fortschreitenden Patellofemoralarthrose und medialen Femorotibialarthrose.
4.2 Auf den ersten Blick widersprechen sich diese zwei Gutachten. Es gilt indessen zu berücksichtigen, dass Dr. med. O.________ auf die Frage nach dem Status quo ante/sine antwortete, der Unfall vom 15. Oktober 2001 habe zu einer richtungsgebenden Verschlimmerung geführt, so dass ein Vorzustand im Sinne eines Status quo ante nicht erreicht worden sei. Die Frage, wie der Verlauf der unbestreitbar vorbestehenden massiven arthrotischen Veränderungen im Kniegelenk ohne den Schlag auf dieses Knie im Rahmen eines Fussballspieles gewesen wäre (Status quo sine), lässt dieser Arzt damit aber unbeantwortet. Die "richtunggebende Verschlimmerung" begründet er lediglich mit der vor dem Unfall bestehenden Beschwerdearmut, nicht aber mit dem Vergleich objektiver Daten wie beispielsweise Röntgenbildern. Dr. med. M.________ andererseits macht in Bezug auf den Heilungsverlauf vor allem theoretische Ausführungen. Bei einem sonst arthrosefreien Kniegelenk benötige eine arthroskopische Meniskussanierung rund 3 bis 4 Wochen für die Abheilung; bei gleichzeitig vorhandenem Knorpelschaden im Sinne einer vorbestehenden Arthrose könne der Verlauf verzögert sein und 2 bis 3 Monate betragen. Dieser Arzt macht seinerseits also keine Angaben darüber, ob ein
Schlag (gegnerischer Spieler mit Stollenschuhen) auf ein arthrotisch vorgeschädigtes Knie eine Teilursache für dauerhafte Schmerzen sei.
Von der beantragten Rückweisung zur weiteren Abklärung der Frage, ob sich der Vorzustand durch den Unfall richtunggebend verschlimmert hat, oder ob der Status quo sine bis spätestens Ende März 2007 erreicht war, kann indessen abgesehen werden, wenn davon auszugehen ist, dass die Kniebeschwerden keinen Einfluss auf die Arbeits- und Erwerbsfähigkeit haben, was nachfolgend zu prüfen ist.
5.
Das kantonale Gericht hat erwogen, es sei bezüglich der vorliegend einzig relevanten Kniebeschwerden nicht nachvollziehbar, inwiefern der Beschwerdeführer dadurch in seiner angestammten Tätigkeit als Aussendienstmitarbeiter einer Versicherungsgesellschaft in seiner Arbeitsfähigkeit eingeschränkt sei. Dieser Beurteilung kann gefolgt werden. Bereits in einem nicht vorliegenden, aber im Gutachten des Dr. med. O.________ angeführten Bericht der Dr. med. S.________, Fachärztin FMH für Arbeitsmedizin, Psychosomatik und psychosoziale Medizin APPM vom 27. November 2003 wird dargelegt, der Versicherte sei aus arbeitsmedizinischer Sicht für wechselbelastende Tätigkeiten ohne Einschränkung arbeitsfähig. Die Arbeit als Versicherungsagent entspricht in idealer Weise den Vorgaben einer dem Knieleiden angepassten Tätigkeit. Davon gehen alle behandelnden und begutachtenden Ärzte aus. Dr. med. O.________, auf dessen Beurteilung im Gutachten vom 17. Mai 2004 sich der Beschwerdeführer beruft, begründet nicht, inwiefern die Arbeitsfähigkeit durch die Kniebeschwerden eingeschränkt sein sollte. Auch der Beschwerdeführer selbst legt mit keinem Wort dar, inwiefern ihn die Kniebeschwerden an einer vollzeitlichen Tätigkeit hindern würden und weshalb die
vorinstanzliche Feststellung, er sei in seiner angestammten Tätigkeit ohne Leistungseinschränkung und damit voll arbeitsfähig, nicht den Tatsachen entspreche. Spätestens ab dem Zeitpunkt der Leistungseinstellung hatte keine Arbeits- und damit auch keine Erwerbsunfähigkeit vorgelegen. Die Beschwerde ist daher abzuweisen.
6.
Dem Verfahrensausgang entsprechend sind die Gerichtskosten vom Beschwerdeführer als unterliegender Partei zu tragen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 750.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Verwaltungsgericht des Kantons Thurgau und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 3. Mai 2010
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Die Gerichtsschreiberin:
Ursprung Schüpfer